[Caducia] Mes Critiques en 2014

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Re: [Caducia] Mes Critiques en 2014

Messagepar Kakemono » Jeu 06 Nov 2014, 20:15

Quand je l'ai proposé pour le challenge je pensais le revoir du coup mais c'est vrai que j'en garde pas de grand souvenir. :eheh:
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Re: [Caducia] Mes Critiques en 2014

Messagepar osorojo » Jeu 06 Nov 2014, 20:24

Wow, ça donne envie, j'vais faire l'impasse je pense :eheh:

Il commence bien le challenge :mrgreen: Surtout que je sors de l'Albatros là, et comment dire, j'ai lutté pour aller au bout :chut:
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Re: [Caducia] Mes Critiques en 2014

Messagepar Mark Chopper » Jeu 06 Nov 2014, 20:33

Kakemono entre un film introuvable et une daube, tu as décidé de couler le challenge ? :eheh:
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Re: [Caducia] Mes Critiques en 2014

Messagepar Kakemono » Jeu 06 Nov 2014, 20:52

:nono: Mea culpa pour cette fois ci, la prochaine fois je choisirais mieux. :eheh:

Mais Augustin je l'ai si vous êtes intéressés...
en VHS :chut:
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Re: [Caducia] Mes Critiques en 2014

Messagepar caducia » Jeu 06 Nov 2014, 21:01

tu sais y en a qui ont proposé des films qu'ils n'ont pas vu...tout est possible avec ce challenge. :eheh:
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Re: [Caducia] Mes Critiques en 2014

Messagepar pabelbaba » Jeu 06 Nov 2014, 21:05

osorojo a écrit:Wow, ça donne envie, j'vais faire l'impasse je pense :eheh:

Il commence bien le challenge :mrgreen: Surtout que je sors de l'Albatros là, et comment dire, j'ai lutté pour aller au bout :chut:

T'aimes pas les beaufs de province traités en mode bulldozer? :eheh:
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Re: [Caducia] Mes Critiques en 2014

Messagepar osorojo » Jeu 06 Nov 2014, 21:13

C'est une manière de dire les choses, mais je crois que j'ai été aveuglé par le talent de Mocky en tant qu'acteur et les scènes prodigieuses qu'il nous sort en claquant des doigts. Il y a du lourd quand même là :mrgreen:
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Re: [Caducia] Mes Critiques en 2014

Messagepar pabelbaba » Jeu 06 Nov 2014, 22:55

Ouais, Mocky, c'est plus une présence qu'un acteur.

Comme Mifune ou Clint en fait. :chut: :mrgreen:
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Amistad - 4/10

Messagepar caducia » Dim 09 Nov 2014, 15:09

Amistad

Réalisé par Steven Spielberg
Avec Anthony Hopkins, Nigel Hawthorne, Morgan Freeman
drame - USA 1998- 2h28

4/10






Synopsis


En 1839, "l'Amistad", navire espagnol transportant des esclaves africains, est pris dans une violente tempête au large de Cuba. Une cinquantaine de prisonniers réussissent à se libérer de leurs chaînes et se retournent contre leurs bourreaux, qu'ils passent par les armes. Cinqué, leur leader, oblige le capitaine à les ramener vers l'Afrique, mais celui-ci, profitant de son ignorance, met le cap sur l'Amerique. Jetés en prison, les mutins vont être défendus par deux fervents abolitionnistes, Theodore Joadson et Lewis Tappan, qui engagent un jeune avocat, Roger Baldwin.



Critique

Une fresque historique que Spielberg apprécie, hélas les 2h30 sont dures à avaler à cause du style hyper académique et ampoulé du métrage qui de part son thème et son rythme finit par nous achever, on est bien loin du film divertissant mais un pan historique traité de façon lourde et maladroite.



Amistad permet pourtant de montrer quelques moments forts en émotions à 3 ou 4 reprises seulement, ce qui est relativement peu par rapport à l'ensemble du film et ils restent définitivement noyés et oublié par l'ambiance judiciaire qui plombe littéralement la narration.

La scène d'ouverture est donc la meilleure par son ambiance fantômatique , réalisée admirablement jouant sur les sons et la lumière provoquée par les éclairs, une alternance lumière et ombre qui permet à Spielberg de nous plonger rapidement et judicieusement dans l'action. Les autres scènes fortes sont similaires, proches des esclaves qui tentent tant bien que mal de survivre dans des conditions de voyage insupportables devant subir les humiliations et les tortures de leurs Maitres blancs.



Le spectateur est évidemment frustré face à ce contraste et de voir qu'ensuite l'ambiance électrique retombe pour des discours pénibles et lourdingues entre gens de la haute société blanche qui vont devoir décider du sort de ces pauvres bougres, de longues séquences d'une platitude extrême.

Pour garder un sens du réaliste, le cinéaste choisit de préserver le langage originel des esclaves et on jongle sans cesse entre mende, espagnol et américain. Etant donné que les esclaves n'arrivent à la fin qu'à parler que des bribes d'anglais, on a du mal à s'attacher à eux, celà crée une certaine distance qui nuit grandement aux relations entre les protagonistes, la dramaturgie linéaire nous conforte dans notre ennui des scènes de prétoire, le récit ne décolle jamais, on ne pourra apprécier que les rares flash-backs qui nous font une piqûre de rappel quant aux enjeux du procès.

Du beau monde au casting (enfin à l'époque), Anthony Hopkins, Morgan Freeman, Matthew McConaughey sont tous aussi fades les uns que les autres. Chiwetel Ejiofor était déjà présent dans cette dénonciation de la traite de noirs (on y préférera largement "12 years of slave") et Djimon Hounsou qui fait de son mieux et pote le film sur ses épaules.



Un film trop didactique, qui donne un résultat consternant avec un trop fort contraste entre la dure réalité de la mutinerie et les salons de thé ou les palais de justice américains. La musique est à l'image d'Amistad, lourde et vaine, politiquement correct qui ne va pas bien loin dans la dénonciation du système.
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Re: [Caducia] Mes Critiques en 2014

Messagepar puta madre » Dim 09 Nov 2014, 16:48

Je réagis en retard par rapport à Session 9, mais effectivement c'est le genre qui à force de jouer sur la suggestion et ne rien montrer finit par devenir soporifique.
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Re: [Caducia] Mes Critiques en 2014

Messagepar caducia » Dim 09 Nov 2014, 17:30

Tout à fait, j'adore les films à suspense mais la fin ne justifie pas d'en faire un film. :?
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Re: [Caducia] Mes Critiques en 2014

Messagepar puta madre » Dim 09 Nov 2014, 20:29

C'est dommage que Brad Anderson se soit retrouvé enfermé dans le credo du suspense psychologique avec de piètres résultats à part The Machinist. Avant Session 9, il avait réalisé une jolie petite comédie romantique, assez singulière, avec Happy accidents.
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'71 - 5,75/10

Messagepar caducia » Dim 09 Nov 2014, 20:53

'71

Réalisé par Yann Demange
Avec Jack O'Connell, Paul Anderson , Richard Dormer
drame - UK 2014- 1h39

5.75/10




Synopsis


Belfast, 1971.
Tandis que le conflit dégénère en guerre civile, Gary, jeune recrue anglaise, est envoyé sur le front.
La ville est dans une situation confuse, divisée entre protestants et catholiques.
Lors d’une patrouille dans un quartier en résistance, son unité est prise en embuscade. Gary se retrouve seul, pris au piège en territoire ennemi.
Il va devoir se battre jusqu'au bout pour essayer de revenir sain et sauf à sa base.





Critique

'71 est un nième film sur le conflit Irlandais des années 70, sa seule originalité vient du fait que le point de vue est celui du soldat et non celui d'une personne du peuple qui est général celui qui est choisit pour cette thématique.
Le second point qui fait que le film se démarque de ses prédécesseurs, c'est que son héros est un bleu tout droit sorti de la caserne qui n'a jamais connu de vrai combat et se voit livré à lui-même dans la ville de Belfast, et manque de chance les 2 camps vont être tous les deux à sa poursuite pour vouloir le récupérer.

Globalement, le film est une chasse à l'homme survival en milieu urbain, la narration est basée sur le jeune soldat (Gary/Jack O'Connell) et ses péripéties multiples. La fuite de Gary au sein de la population lui permet de rencontrer à la fois des ennemis mais aussi de braves gens qui ont peur d’être dénoncés mais qui vont quand même faire passer leur humanité avant leur bon sens et tout risquer pour le sauver alors qu'il n'est qu'un inconnu. Ces rencontres visent des individus de tout age, de n'importe quel milieu social, ce qui met en exergue le fait que personne n'échappe au conflit, même les gosses ne peuvent fermer les yeux car la guerre est leur quotidien.




Un thème universel à toute guerre qui reste efficace et permet de se poser la question "dans quel camp aurais-je été ?".
Au délà de la simple histoire du bleu, '71 souhaite aussi dénoncer le grand flou de cette guerre civile où les camps ne sont pas définis, où les trahisons, corruptions rongent le système, où la confiance n'existe plus.
Malheureusement, celà donne lieu à de multiples personnages plus ou moins pourris à la fois du coté de l'armée mais aussi de l'IRA.
Les ficelles scénaristiques sont plutôt faciles car à l'instant où Gary est à deux doigts de mourir, un personnage dévoile son vrai visage permettant au soldat d’être sauvé de justesse.
Le fait que le personnage central soit non expérimenté en tant que soldat fait de '71 une métamorphose de celui-ci qui va devoir se fondre à la population, et aller au delà de ses limites pour sa propre survie.

Gary est campé par Jack O'Connell, qu'on a pu voir dans quelques séries, "Les Poings contre les murs", "300", "Eden Lake" qui assure coté interprétation, mais qui manque un peu de charisme et du petit plus qui fait qu'on se souviendra longtemps de sa prestation, il permet néanmoins à nous garder en haleine tout le long de son parcours. Il en est de même pour les acteurs secondaires trop nombreux et insipides.

L'ambiance générale est assez réaliste mais enfile de nombreux clichés, tous les irlandais sont roux, les scènes de poursuite dans les méandres de Belfast, les pubs.

Un résultat très moyen pour un film peu percutant qui s'éparpille trop, le sort du jeune soldat n'étant qu'un fil conducteur pour dénoncer les rouages du conflit Irlandais et son absurdité. Reste quelques séquences choc.
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Re: Quand vient la nuit - 6/10

Messagepar Jimmy Two Times » Ven 14 Nov 2014, 13:45

Aigrie!

:mrgreen:
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Re: [Caducia] Mes Critiques en 2014

Messagepar caducia » Ven 14 Nov 2014, 19:57

ça y est je fais partie du club. :mrgreen:
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