[Alegas] Mes Critiques en 2011

Modérateur: Dunandan

Re: [Alegas] Mes Critiques en 2011

Messagepar Alegas » Mer 01 Juin 2011, 11:13

Kakemono a écrit:En passant, tes images elles fonctionnent pas. :chut:


C'est mieux comme ça ?
"Our films were never intended for a passive audience. There are enough of those kinds of films being made. We wanted our audience to have to work, to have to think, to have to actually participate in order to enjoy them."

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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2011

Messagepar Kakemono » Mer 01 Juin 2011, 11:16

Impecc'! :super:

Et tu m'as donné envie de revoir Crying Feeeman tiens. Je l'ai vu il y'a plusieurs années a la télé, m'en souviens plus trop. C'est comme Le Pacte des Loups que j'ai qu'une fois lors de sa sortie ciné et que j'ai bien envie de revoir.
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2011

Messagepar Alegas » Mer 01 Juin 2011, 11:18

Crying Freeman ça m'étonne qu'il soit aussi peu connu en fait. C'est vraiment du film d'action 90's bien torché et avec des passages vraiment classes et au final il est jamais beaucoup cité.
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2011

Messagepar Scalp » Mer 01 Juin 2011, 13:53

Crying Freeman ça déboite !!
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2011

Messagepar Killbush » Mer 01 Juin 2011, 14:09

Heureusement qu'on a des mecs comme Gans en France, ce mec a fait énormément pour la diffusion des films Hk chez nous et Crying Freeman en est un bel hommage :wink:
Starting to see pictures, ain't ya?
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2011

Messagepar Milkshake » Ven 03 Juin 2011, 12:05

Elle arrive quand la critique de Tree Of Life ?
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2011

Messagepar Alegas » Ven 03 Juin 2011, 12:49

Dans quelques jours, le temps que je fasse celles des films que j'ai vu avant. Oui oui je sais j'ai du retard. :mrgreen:
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Fantasia 2000 - 9,5/10

Messagepar Alegas » Ven 03 Juin 2011, 13:50

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Fantasia 2000 de Eric Goldberg, Pixole Hunt & Hendel Butoy

(1999)


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Près de soixante ans, c'est le temps qu'il aura fallu à la compagnie Disney pour se décider à faire revivre l'expérience Fantasia concue par Walt Disney en 1941. Le film original, bien que trop long pour être parfait, était un véritable tour de force dans le domaine de l'animation, un film qui brillait de par sa créativité, là où la plupart des films d'animation ont tendance à se répéter inlassablement. Sorti en 1999, Fantasia 2000 se permet de reprendre le même concept (offrir des séquences animées et scénarisées entièrement d'après une composition classique existante) mais en offrant bien plus de puissance visuelle et sonore à l'ensemble (notamment grâce à un choix de musiques plus dynamiques) et surtout en limitant la durée du film à 1H20. C'est d'ailleurs là le premier point noir de Fantasia 2000 : là où le film original était bien trop long, sa suite (qui n'en est pas vraiment une) se révèle trop courte pour s'apprécier totalement, se terminant en plus sur l'un de ses plus beaux moments, à savoir la composition de Igor Stravinsky, L’Oiseau de Feu. De plus, les présentations de chaque séquences sont généralement de mauvais goûts, tentant d'insuffler un humour dans une œuvre qui se veut avant tout intellectuelle.

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Mais hormis ces deux défauts, Fantasia 2000 est clairement l'une des meilleures créations de la compagnie Disney, un film toujours inspiré qui se permet même d'afficher des moments marquants, épiques et très recherchés visuellement, des séquences où l'inspiration cinématographique rencontre la génie musical avec brio. Entre un envol de baleines à travers les nuages, un conte d'Andersen revisité, la renaissance d'une forêt après un cataclysme et la vision originale de la cinquième symphonie de Beethoven, on ne peut que rester bouche bée devant un spectacle aussi beau. Les autres séquences, moins inspirées, n'en sont pas moins réussies, avec notanamment un passage drôle et dynamique à Manhattan ou encore la rencontre étonnante entre un flamand rose et un yoyo. Débordant de poésie, Fantasia 2000 arrive sans aucun problème à entraîner son spectateur dans une douce folie de couleurs et de notes, on est bien là en face d'un exemple de ce que Disney peut offrir de meilleur.

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NOTE : 9,5/10
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Feux de la rampe (Les) - 5,5/10

Messagepar Alegas » Dim 05 Juin 2011, 12:14

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Limelight (Les Feux de la Rampe) de Charles Chaplin

(1952)


Clairement le film le plus personnel de la filmographie de Chaplin, Limelight est généralement considéré comme l'un de ses plus grands films. Pourtant, hormis la relation entre Chaplin et le personnage qu'il interprète (un humoriste vieillissant et dépassé qui souhaite renouer avec le succès d'antan coûte que coûte) et le massage sur le fait que chaque génération doit s'éteindre pour en laisser passer une autre, le film se révèle assez moyen.

Tout d'abord trop long (plus de deux heures), Chaplin gère difficilement le rythme (ce qui rend le film ennuyeux bien trop souvent) et multiplie les storylines qui ne servent finalement à pas grand chose, notamment l'histoire d'amour entre la jeune fille et le compositeur. Toutefois, le film réserve quelques beaux moments, notamment le ballet final lourd de sens. Souvent maladroit sur la forme, Limelight est pourtant le film le plus intéressant de Chaplin en terme de fond, dommage donc.

NOTE : 5,5/10
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Roi à New-York (Un) - 4/10

Messagepar Alegas » Dim 05 Juin 2011, 12:32

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A King In New-York (Un Roi à New-York) de Charles Chaplin

(1957)


Dernier film de Chaplin où il endossera à la fois la casquette de réalisateur et d'acteur, A King in New-York est un film raté, un dernier pas vers la comédie qui se révèle extrêmement vain. Le pitch, très porté sur l'autobiographie (un exil, un retour, la recherche d'un come-back véritable), est pourtant loin d'être mauvais, n'hésitant pas à critiquer bon nombre de particularités de la société américaine, tant sur le plan politique (la traque des communistes) que culturel (le passage au cinéma avec la critique du format Cinémascope, excellent).

Hélas, à l'instar de Limelight, le film enchaîne les storylines foireuses, ici c'est le jeune garçon qui fait tâche. Un personnage non seulement insipide mais en plus totalement inutile. Dans l'ensemble, le film n'est pas totalement mauvais et arrive à arracher quelques sourires, mais il est totalement indigne du talent de Chaplin.

NOTE : 4/10
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Dementia 13 - 1/10

Messagepar Alegas » Dim 05 Juin 2011, 12:49

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Dementia 13 de Francis Ford Coppola

(1963)


La critique sera courte, de toute façon y'a pas grand chose à dire. Pour résumer en quelques mots, on est bien là en face d'un nanar de compétition. Une production Corman totalement bâclée, mal foutue et jamais intéressante. Autant voir le travail résultant d'un tournage amateur ne me dérange aucunement, autant là ça fait vraiment mal aux yeux. Dementia 13 a tout de la production cheap qui a seulement servie à Coppola de prétexte pour dire qu'il avait un long-métrage à son actif.

Pour le reste, aucun boulot en terme de mise en scène, de photographie (les scènes de nuit sont presque totalement noires, bonjour la lisibilité de l'action), de scénario (à mourir de rire), de montage (les rares combats sont ridicules) et surtout de direction d'acteur. Toutes les dix secondes, on se demande si c'est vraiment le même Coppola qui a fait les Parrain qui réalise. A éviter donc.

NOTE : 1/10
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Tree of Life (The) - 10/10

Messagepar Alegas » Mar 07 Juin 2011, 22:57

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The Tree Of Life de Terrence Malick

(2011)


Il est difficile d'écrire sur le dernier film de Terrence Malick tant son Tree Of Life fait partie de ce cercle fermé composé d'œuvres qui ne déclencheront jamais l'enthousiasme général tant celles-ci s'adressent avant tout à l'esprit affectif du spectateur. Ainsi, des films comme 2001, A Space Odyssey, Otto E Mezzo, 2046, le récent Enter The Void et désormais The Tree Of Life doivent être avant tout considérés comme des créations d'hommes qui, quoi que l'on en pense, marque et marqueront le paysage cinématographique mondial pour le changer à jamais. Des créations qui ne recherchent ni l'approbation, ni la compréhension du public, des œuvres faites simplement pour exister, faire ressentir et surtout pour permettre aux cinéastes de s'exprimer de façon libre, sans obligations narratives ou visuelles. Stanley Kubrick démontrait sa vision de la vie, Frederico Fellini exposait ses fantasmes et peurs, Wong Kar-Waï filmait les folies de l'amour à son paroxysme, Gaspar Noé créait son trip ultime, Terrence Malick, quand à lui, parle de la vie, de sa vie, à sa manière, de façon dense et pourtant si simple à la fois, tellement simple que, finalement, beaucoup de spectateurs seront laissés sur le carreau.

Pourtant, il est clair que l'évolution du cinéma de Malick ne pouvait que donner un tel résultat. C'est notamment dans The Thin Red Line que le cinéaste expérimente avec sa construction narrative, mélangeant une histoire linéaire avec des plans évocateurs d'un message simple, celui que la nature et la grâce sont au cœur de la vie, même lors d'un déchaînement de violence. Cette confrontation (ou plutôt cette symbiose) entre la nature et la grâce est le cœur du cinéma de Malick et est au final le sujet principal de The Tree Of Life, en parallèle avec l'histoire d'une famille texane qui se révèle hautement autobiographique, non seulement parce que les rapports avec les faits connus de l'enfance de Terrence Malick concorde, mais aussi et surtout parce que toute la force émotionnelle qui se dégage du film ne peut que provenir de doutes, de peurs et de souvenirs véritables. The Tree Of Life est donc un film hautement personnel et qui s'adresse au cinéaste lui-même avant de s'adresser au spectateur, un film simple mais ambitieux qui raconte l'enfance telle qu'on ne l'avais jamais raconté mais aussi et surtout la vie elle-même, sa création, son futur, sa portée symbolique, ses conséquences et ce qu'elle représente finalement pour chacun de nous. Avec un montage étonnant où le chaos des images qui se succèdent se permet de créer du sens, Malick virevolte avec une caméra légère comme l'air et toujours à haute d'homme (voire d'enfant) entre la création de l'univers, les joies et les peurs de l'enfance, les questionnements d'un architecte perdu (qui pourrait bien être la représentation que Malick se fait de lui-même, architecte de ses œuvres mais pas du déroulement de sa propre vie), le complexe d'Oedipe ou encore sur le futur de la vie elle-même (destruction pure et simple, éternel recommencement ou retrouvailles dans un paradis désertique ?).

Aboutissement grandiose du génie créatif de Terrence Malick qui signe là quelques unes de ses plus belles scènes (l'opéra cosmique, la dispute père-fils, etc...), The Tree Of Life est une œuvre au références étonnantes (le cinéma de Dziga Vertov ou encore le Fantasia de Walt Disney) à ne pas mettre entre toutes les mains puisqu'il se veut être un discours visuel symbolique avant d'être une entité cinématographique. En cela, le film pourra décevoir, surprendre voire même dégoûter, mais qu'importe, The Tree Of Life peut être d'ores et déjà considéré comme un monument cinématographique, trouvant la densité dans la simplicité, la beauté dans chaque image et la grâce dans n'importe quel moment. Terrence Malick ne signe peut être pas là son meilleur film mais il accomplit sans aucun doute l'accomplissement total de son cinéma, sur le fond et la forme, sans jamais se répéter, son film le moins abordable mais le plus complet. Assurément un très très grand film qui ne laissera personne indifférent et qui mérite amplement sa Palme d'Or, ce qui est assez rare pour être souligné.

NOTE : 10/10
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2011

Messagepar osorojo » Mer 08 Juin 2011, 00:35

Mouais. Franchement moi, je sais pas trop quoi en penser de ce tree of life. Autant j'ai beaucoup aimé un sens du cadre toujours aussi balaise qui donne des images de toute beauté, autant toute la branlette métaphorique qui prend le pas sur le reste du métrage m'a profondément agacé. Toute la partie disney channel du début, avec les dinos etc, honnêtement ça m'a sorti complètement du film :/

Je pense que tu surestimes le film en disant que c'est un monument cinématographique qui marquera cet art de son empreinte pour les années à venir. Autant je suis d'accord pour le cas d'Enter the Void qui se pose clairement comme un précurseur d'un cinéma sensitif sans précédent, mais tree of life et ses images symboliques dans tous les sens pour te donner le sentiment que t'es trop con pour tout comprendre, j'ai déjà vécu ça avant ! :o
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2011

Messagepar alinoe » Mer 08 Juin 2011, 16:25

Merci pour ce superbe kaléidoscope d'images et cette très juste et très belle critique de Fantasia 2000 injustement boudé par les spectateurs à sa sortie.
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Fast and furious 5 - 5/10

Messagepar Alegas » Dim 12 Juin 2011, 09:09

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Fast Five (Fast And Furious 5) de Justin Lin

(2011)


Petite information pour commencer : je fais partie de ces spectateurs qui sont allés voir ce cinquième épisode de la saga Fast And Furious sans avoir vu les précédents opus, il se pourrait donc que je revois le film légèrement à la hausse après vision de la totalité des films. S'éloignant fortement du milieu underground & tuning, ce nouveau film réalisé à nouveau par Justin Lin se permet de virer bien plus dans l'actionner bourrin et jouissif et permet donc un renouveau de la saga tout en gardant une continuité scénaristique certes poussive mais correcte. Autant l'avouer tout de suite, je m'attendais à beaucoup mieux, notamment en terme de réalisation qui se contente finalement du minimum syndicale. Justin Lin tourne ses scènes d'action sans jamais une seule originalité et finalement seule la dernière demi-heure sort vraiment du lot de par son côté extrêmement jouissif. Les autres sont soit gâchées par des CGI, certes peu présents, mais qui piquent les yeux tout de même (la scène du train notamment, et son explosion hideuse) soit par un script qui a tendance à vouloir trop en faire, discréditant totalement le peu de réalisme qui reste à grands coups de stéréotypes (sérieux les flavelas c'est plus original depuis des années). A cela s'ajoute des personnages souvent stéréotypés, et même si voir l'équipe (acquise au fil de la totalité des volets de la saga) en action est relativement agréable à voir, il est difficile de pardonner des personnages aussi mal écrits que celui du bad guy, dont la simplicité de l'écriture est à mourir de rire. Reste donc le duel Vin Diesel/Dwayne The Rock Johnson, principale attraction du film, et surtout la promesse d'un opus suivant encore meilleur, qui pourrait bien être l'aboutissement scénaristique total de la saga.

NOTE : 5/10
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