Spielberg
Thématiques :- L'enfance (le manque d'un père par exemple, le passage à l'âge adulte, l'innocence etc...)
- La famille (pas destructrice mais toujours avec un manque. Une absence.etc... C'est souvent ça. )
- Le dépassement de soi (Chez Spielberg les héros sont toujours des américains moyens, voir pauvres et avec des vies insipides qui par la suite des évènements vont s'élever...L'inverse de Scorsese en somme).
- - Une vision du monde pacifiste
- Des scénarios toujours intelligents (quand ce n'est pas sur la guerre, le terrorisme c'est le futur et ses dérives : clonage, police qui prédit les meurtres etc..) mais tellement avalés par les SFX et le fait que les films soient commerciaux que les cinéphiles ne voient pas ces éléments alors qu'ils sont pourtant là.
Ne pas voir ses thèmes chez Spielberg c'est être aveugle.
Les signatures techniques :- Le placement des figurants hors-champ avec les mouvements de caméra sollicités pour nous les faire découvrir plein champ). C'est un balai très souvent sur ses premiers films.
- Dans ses premiers films ya pas mal de séquences avec des nuits étoilées oniriques et cette fameuse fumée mystérieuse qui insuffle une ambiance fantastique.
- Dans ses derniers films ya de nombreuses scènes avec des reflets (ça peut être un miroir, une vitre de magasin etc..)
- John Williams à la musique.
- Après bah c'est un Dieu pour les scènes d'actions bien impressionnantes sans tomber dans du Bayissme.
- La photo du Soldat Ryan, Minority report , AI et La guerre des mondes c'est du grand art. Point.
etc...
Niveau montage je vois rien j'avoue.
Mais Spielberg c'est surtout sur le fond qu'on le reconnait à l'aise.
Et dans la forme ya l'ambiance général aussi : le déroulement des évènements par exemple mais là c'est long à développer. Ca se voit surtout dans ses 5 derniers films sauf le Terminal.
Bref, je comprend pas comment on peut rejtter un réalisateur parce qu'il fait des happy-end.
Je vois en quoi c'est négatif ou péjoratif. Moi les Bad-end ça commence à me saouler. C'était bie navant ça changeait mais ça commence à devenir la mode.
Une bonne happy-end c'est cool surtout que Spielberg n'est pas si happy-end que ça. Pour l'intrigue oui mais faut penser aux personnages.
Américain moyen devant un héros pour nous spectateur et puis les prhces du peros mais jamais ils ne devient un héros adulé ou quoi.
C'est toujours intimiste et ses héros sont tout le temps "seul".