[Alegas] Mes Critiques en 2021

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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2021

Messagepar Scalp » Jeu 02 Sep 2021, 08:22

Ben ouais.
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2021

Messagepar Jed_Trigado » Jeu 02 Sep 2021, 09:05

La Rivière Rouge, un des meilleurs rôles de John Wayne, si ce n'est le meilleur. :super:
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2021

Messagepar Scalp » Jeu 02 Sep 2021, 09:20

Et même si c'est pas du Hawks, L'enfer est en lui est bien meilleur que Scarface.
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2021

Messagepar Alegas » Jeu 02 Sep 2021, 09:24

Scalp a écrit:Ben ouais.


Tu es prévisible. :mrgreen:
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Homme qui rétrécit (L') - 7/10

Messagepar Alegas » Jeu 02 Sep 2021, 16:08

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The incredible shrinking man (L'homme qui rétrécit) de Jack Arnold
(1957)


J’étais persuadé d’avoir déjà vu le film étant gosse, mais finalement les souvenirs que j’avais l’impression d’avoir venaient probablement d’un autre film. C’est donc du film fantastique purement 50’s, avec un script qui se limite au minimum, et dont l’efficacité va se jouer énormément sur les effets visuels révolutionnaires pour l’époque. Le récit est clairement divisé en deux parties : une phase d’exposition assez surprenante par sa longueur (c’est pas un défaut car elle est réussie bien qu’un peu didactique) puis une autre en mode survival avec un personnage réduit à la taille d’un insecte, qui va devoir faire son possible pour rester vivant face à un environnement qu’il doit complètement reconsidérer. Globalement, le film tient toujours la route plus d’un demi-siècle après sa sortie, et même si certains effets visuels font un peu datés (le nuage du début, le passage avec le chat), force est de reconnaître que la majorité sont encore bluffants, notamment dans la partie dans la cave où on ne cherche même plus à savoir comment ça a été fait tellement tout fait naturel.

C’est d’autant plus étonnant que ça n’hésite pas à faire des scènes assez complexes où les interactions entre le personnage et le décor sont nombreuses, et je ne parle même pas de la fameuse séquence de l’araignée qui a été probablement une influence directe de Peter Jackson pour une scène similaire du Seigneur des Anneaux. Bref, comme souvent avec les films 50’s de ce style, c’est davantage par le dépaysement créé par la technique que la magie opère, le film ne brillant pas forcément par ses personnages ou ses interprétations, mais ce serait quand même oublier la tonalité assez dark que le script possède aussi, et en ce sens le final est vraiment étonnant car très loin de la happy-end à laquelle on peut s’attendre. Sinon, dommage que le film cède un peu trop à la facilité dans sa narration avec l’utilisation abusive de la voix-off : j’aurais franchement pas craché sur une seconde moitié de film quasiment muette, d’autant que ce qui est raconté oralement n’apporte que rarement des informations qu’on avait pas déjà via l’image. Un joli petit classique du cinéma fantastique, qui possède toujours un charme certain.


7/10
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2021

Messagepar lvri » Jeu 02 Sep 2021, 21:26

J'en garde un très bon (et flippant) souvenir de ce film. Et cette fin m'avait semblé terrifiante. Il faudrait que j'y rejette un oeil.
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Stavisky - 2/10

Messagepar Alegas » Ven 03 Sep 2021, 15:27

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Stavisky de Alain Resnais
(1974)


Critique rapide pour celui-là, tant qu’il est encore frais dans ma mémoire, car vu comment je me suis fait chier devant j’aurais sans doute tout oublié du film d’ici peu. Sur le papier, j’attendais un truc un minimum sympathique : Alain Resnais est un réalisateur dont j’apprécie la technique à défaut d’apprécier la plupart de ses films, et la perspective de le voir aux commandes d’un film commercial avec Belmondo en lead, et sur lequel il serait plus un exécutant qu’autre chose, avait de quoi me donner envie de tenter. Manque de bol, de tout les films de Resnais que j’ai vu, c’est sans aucun doute le pire, et c’est même pas juste à cause du fait que ce soit une commande désincarnée, c’est surtout parce qu’il n’y a vraiment rien à sauver d’un tel provocateur d’ennui. C’est peut-être aussi de ma faute, je partais du principe que ça allait être plus ou moins un film de gangsters, et au final c’est plus la reconstitution d’une affaire politique française des années 30. A la limite, ça aurait quand même pu le faire si ça avait été bien, mais là c’est chaud de constater à quel point je n’avais aucune idée de ce qu’essayait de me raconter le film avant d’aller me renseigner sur ladite affaire sur Wikipédia. Du coup, le film donne l’impression d’être pensé pour un public qui connaît très bien le sujet, pendant que moi je passais tout le métrage à me demander ce que les storylines politiques venaient foutre là, et je ne parle même pas des scènes avec Trotski (un personnage féminin dit à un moment “mais quel est le rapport entre Stavisky et Trotski ?”, et j’étais complètement d’accord avec elle :eheh: ).

Ça échoue à rendre les intrigues politiques et policières intéressantes, et même tout ce qui touche au personnage de Stavisky est franchement bien lourdingue avec ses flashbacks qui déboulent de nulle part et qui finissent par nous perdre complètement. Très franchement, j’ai beau ne pas aimer un film comme Hiroshima mon amour, j’ai quand même conscience que ce dernier a des qualités formelles et narratives qui sont complètement absentes de Stavisky, qui n’a rien à offrir à par sa reconstitution de l’époque. Le film, malgré son million d’entrées, sera considéré comme un échec dans cette période pourtant florissante de Belmondo, et on comprend aisément pourquoi. A noter tout de même le joli casting : Belmondo, Boyer, Rich, Lonsdale, et il y a même, dans des touts petits rôles parlants, deux inconnus nommés Depardieu et Arestrup. Un film chiant, mal raconté, filmé de façon hyper plate, et dont on ne retient rien au final. Je serais bien curieux de savoir comment on peut trouver des qualités à ce truc.


2/10
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2021

Messagepar Scalp » Sam 04 Sep 2021, 05:09

Celui là je me souviens je l'ai vu gamin et vu comme j"ai souffert j'ai jamais retenté.
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Bac nord - 7/10

Messagepar Alegas » Lun 06 Sep 2021, 10:15

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Bac nord de Cédric Jimenez
(2021)


Sympathique film que voilà, alors c’est ni un grand film ni même un tract pour l’extrême droite comme certaines personnes peuvent le penser, mais c’est ni plus ni moins qu’un polar assez solide et qui fait plaisir à voir. Forcément, on pense un peu aux Misérables avec cette confrontation montrée rapidement entre forces de l’ordre et habitants des cités de Marseille, mais là où le film de Ladj Ly cherchaient constamment à montrer les deux camps, ici ça prend le parti d’être vraiment centré sur les flics, notamment dans leur galère de chaque jour pour pouvoir avancer. Du coup, si ça ne dresse pas un portrait reluisant des cités, ça ne le fait pas non plus pour les policiers, obligés d’enfreindre les lois pour arriver à quelque chose, avec des supérieurs qui les lâchent au moment critique, et ça permet d’avoir un film assez ambiguë sur les personnages dépeints, car même s'ils sont sympathiques et même s’ils ont des bonnes raisons, on a bien conscience qu’ils ont franchis le pas de trop. Globalement, le film se tient très bien, et même si on a jamais de séquences qui sortent du lot durant la première heure, c’est vite contrebalancé par la grosse séquence d’assaut dans la cité qui en vraiment top en termes de tension et qui s’avère être le pic d’intensité du métrage.

Dommage toutefois que le film perde de sa superbe sur la suite, car même si elle se suit sans problème, la partie carcérale est nettement moins bien gérée que ce qui a précédé, notamment en termes d’écriture où ça devient plus consensuel et attendu. Même côté réal, ce dernier acte fait un peu tâche : jusque là le film arrivait à faire quelque chose à mi-chemin entre French Connection et Les Misérables, mais ensuite ça fait bien plus générique et avec des influences hors-propos (citer Casino et sa déchéance des personnages avec House of the rising sun, why not mais quel est le rapport avec ce film ?). Ceci dit, cette dernière partie n’empêche pas le métrage de laisser un feeling plutôt positif, et ça doit pas mal aux acteurs qui font très bien le job : Civil et Leklou confirment qu’ils font partie des jeunes acteurs français à suivre, et Lellouche s’en sort très bien dans un rôle qu’on pourrait qualifier de contre-emploi. Adèle Exarchopoulos a peu de scènes, et a un personnage finalement très secondaire, mais ça fait plaisir de la voir de nouveau dans un bon film car mine de rien depuis sa révélation c’était franchement pas la joie. Au final, c’est pas un film qui laisse un souvenir impérissable, mais ça fait une bonne séance et ça pourrait même se revoir sans problème à l’avenir. Ça a le mérite aussi de me rendre curieux vis à vis des autres films du réal, qui ont des sujets et castings pas dégueux.


7/10
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2021

Messagepar Scalp » Lun 06 Sep 2021, 10:18

T'as pas vu la French ?
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2021

Messagepar Alegas » Lun 06 Sep 2021, 10:29

Non, je l'avais zappé à l'époque malgré vos retours encourageants.
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Mirage de la vie - 6,5/10

Messagepar Alegas » Lun 06 Sep 2021, 17:23

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Imitation of life (Mirage de la vie) de Douglas Sirk
(1959)


Second film de Sirk que je découvre, et même si c’est pas aussi marquant que A time to love and a time to die que j'avais découvert l'annnée dernière, ça me confirme que ce que fait ce réal est plutôt ma came. Ici donc, c’est le dernier long-métrage que Sirk signera de sa carrière, avant de partir en retraite pour les trois décennies suivantes de peur de se répéter, s’arrêtant non seulement sur un succès, mais aussi sur ce qui est considéré aujourd’hui par beaucoup comme un de ses meilleurs films. Sirk oblige, on est dans du pur mélodrame dans le sens noble du terme, et ce qui est étonnant avec ce Imitation of life est de constater à quel point ça parle d’énormément de choses en l’espace de deux heures. Racisme, nécessité d’indépendance des femmes à la maison comme au travail, besoin d’une société sexuellement plus ouverte, relations maternelles, autant de sujets que Sirk aborde de façon frontale dans un récit que je le qualifierais presque de choral, tant on suit un grand nombre de personnages d’une même famille, chacun ayant sa storyline propre.

C’est d’ailleurs à la fois la force et la faiblesse du film : le récit est thématiquement très riche, et se pose comme un grand portrait de l’Amérique de l’époque, qui va questionner sans cesse la société analysée, mais de l’autre côté le film m’a souvent donné l’impression d’être un gros gâteau qui aurait un peu trop de crème, et sur certains passages on aurait presque envie que le script se concentre sur quelques personnages plutôt que de vouloir traiter tout le monde. D’autant que ce traitement apporte quelques inégalités, avec des personnages seulement traités pendant dix minutes avant de quasiment disparaître pendant une demi-heure pour réapparaître ensuite sans prévenir, et même sans ça il faut bien avouer que certaines storylines sont plus intéressantes que d’autres, car autant celle de la gamine qui essaye de cacher le fait qu’elle soit black a une grande force, autant celle de la mère qui va trouver le succès au théâtre est nettement plus conventionnelle (peut-être pas pour l’époque, mais c’est l’effet que ça fait aujourd’hui).

Le film est porté par plusieurs belles interprétations : Lana Turner, Juanita Moore évidemment (meilleur personnage et plus belle scène du film :cry: ) mais aussi la jeune Susan Kohner que je trouve autrement plus marquante que Sandra Dee (mais c’est aussi le rôle qui veut ça). Par contre, autant Sirk maîtrise les prestations féminines, autant j’ai l’impression que du côté masculin il fait souvent appel à des acteurs assez lisses/fades : John Gavin n’est pas mauvais, loin de là, mais il manque clairement quelque chose pour rendre son personnage plus attirant et intéressant. Formellement, le film confirme ce que j’avais pensé du premier film que j’avais vu de Sirk : ça n’a rien de révolutionnaire, mais c’est du pur cinéma hollywoodien dans toute sa splendeur, avec autant de flamboyances dans les scènes intimistes que dans les scènes de foule. Bref, ça donne envie de jeter un œil au film dont il est tiré pour voir ce que Sirk y a apporté, mais ça donne surtout envie de se faire la carrière de ce dernier pour y trouver ce qui faisait la force de l’âge d’or d’Hollywood.


6,5/10
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Magnifique (Le) (1973) - 7/10

Messagepar Alegas » Mar 07 Sep 2021, 09:15

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Le Magnifique de Philippe de Broca
(1973)


Il fallait bien un Belmondo hier soir pour rendre hommage, et je pense que je ne pouvais pas mieux tomber que sur ce film. Je n’en connaissais que l’affiche, et naïvement je pensais donc que c’était un film d’action exotique premier degré. Au final, je ne pouvais pas plus me tromper : on est dans de la pure comédie, mais pas celle avec juste quelques blagues par-ci par là, plutôt le genre des ZAZ où on se retrouve avec généralement plusieurs gags absurdes à la minute (rien que le début avec le tennis et le golf avec une grenade dégoupillée, ça pose le niveau :mrgreen: ). En plus, vu que je ne savais rien du film, j’ai eu la surprise du petit twist qui arrive au bout d’une vingtaine de minutes, et ça fonctionne vraiment très bien comme idée car ça permet notamment à Belmondo de montrer deux de ses faces d’acteur : le Bebel dans toute sa splendeur, et le gars plus tendre et naturel qui se cache derrière. Côté script, même si ça ne tient pas toujours sur la longueur (on sent dans la dernière demi-heure que ça répète des situations déjà abordées), c’est quand même assez intelligemment écrit, notamment avec le parallèle entre les deux personnages qui se répondent de l’un à l’autre et inversement.

Là où j’attendais un simple divertissement d’action, j’ai eu le droit à une jolie analyse comique sur la création qui prend le pas sur le créateur, sur les fantasmes pour échapper au morne quotidien, sur le pouvoir de l’imagination, et de ce côté là c’est vraiment une chouette surprise. Quand bien même la réalisation de De Broca est assez pépère, j’ai surtout l’impression que c’est le genre parodié qui veut ça, d’autant que ça n’empêche pas le bonhomme de livrer des transitions sympathiques (la femme de ménage sur la plage, la machine qui n’a plus de R :mrgreen: ), des séquences mémorables (“papa, tu devrais rajouter plus de sang” :eheh: ) et un dernier plan qui était tout ce dont j’avais besoin pour dire un dernier au revoir à Belmondo. Si on ajoute que ce dernier semble prendre un pied monstrueux à jouer sur ses deux facettes, et si on met en plus le joli bonus charme qu’est Jacqueline Bisset :bluespit: , ça donne un joli divertissement, très drôle, souvent osé, et qui fait dire souvent que c’était quand même une autre époque quand le cinéma français était capable de produire des propositions aussi originales.


7/10
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2021

Messagepar pabelbaba » Mar 07 Sep 2021, 09:19

Ca doit faire bizarre de le découvrir sans rien savoir. :mrgreen:

Ceci dit, il ne faut pas idéaliser le passé à ce point, pour Un Magnifique, il y a eu 150 essais moisis de films concepts pas fameux. :chut:
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2021

Messagepar Alegas » Mar 07 Sep 2021, 09:22

pabelbaba a écrit:Ca doit faire bizarre de le découvrir sans rien savoir. :mrgreen:


Lorsque le "second" Belmondo apparaît, je me suis dit que c'était un gag à la ZAZ qui allait faire 5-10 minutes puis disparaître, donc ouais j'étais pas au bout de mes surprises. :mrgreen:
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