Je sors de The intruder de Corman et j'ai été vachement surpris par le ton très noir et cash du film, quand on considère le mec aux commandes.
Dans la lignée de Furie ou Panique pour moi, efficace, saisissant.
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osorojo a écrit:Ben j'ai pas dit ça, mais bon, quand je pense au mec, je le range plutôt du côté de la bisserie plus ou moins fauchée. Après je peux me planter
Jed_Trigado a écrit:C'est surtout qu'il fallait des couilles bien accrochées pour pondre un film aussi anti-ségrégationniste a cette époque, Corman malgré son statut de business man a eu de temps a autres une sensibilité politique que ce soit dans ses réalisations ou même ses productions.
Corman dans une interview Premiere a écrit:Pourquoi n’avez-vous jamais renoué, même dans vos productions, avec un message politique aussi direct que celui de The Intruder (NDLR : film de Corman de 1962 sur le racisme dans le sud des États-Unis) ?
Les critiques étaient dithyrambiques, mais c'était mon premier film qui a perdu de l'argent. J'en suis revenu. Plutôt que de montrer l'angle politique aussi clairement, il fallait mieux que je fasse un film de genre - ou un film dramatique - dans lequel le thème était caché sous la surface. Si le public qui venait voir un divertissement comprenait la thématique cachée, tant mieux. Sinon, ils avaient toujours le divertissement.
pabelbaba a écrit:Il répond lui-même!Corman dans une interview Premiere a écrit:Pourquoi n’avez-vous jamais renoué, même dans vos productions, avec un message politique aussi direct que celui de The Intruder (NDLR : film de Corman de 1962 sur le racisme dans le sud des États-Unis) ?
Les critiques étaient dithyrambiques, mais c'était mon premier film qui a perdu de l'argent. J'en suis revenu. Plutôt que de montrer l'angle politique aussi clairement, il fallait mieux que je fasse un film de genre - ou un film dramatique - dans lequel le thème était caché sous la surface. Si le public qui venait voir un divertissement comprenait la thématique cachée, tant mieux. Sinon, ils avaient toujours le divertissement.
osorojo a écrit:Donc j'étais pas aux fraises, papa.
pabelbaba a écrit:osorojo a écrit:Donc j'étais pas aux fraises, papa.
Mais t'es jamais aux fraises.
pabelbaba a écrit:Tu parlais d'un ton noir et cash. J'ai dû mal comprendre ton noir.
My black, quoi.
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