[Jipi] Mes critiques en 2009

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Re: [Jipi] Mes critiques en 2009

Messagepar jean-michel » Ven 16 Jan 2009, 23:46

oui! c'est ce film ! sûr! :mrgreen:
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Re: [Jipi] Mes critiques en 2009

Messagepar Jipi » Sam 17 Jan 2009, 13:55

zirko a écrit:Jipi peux tu stp me confirmer que le titre du film est bien "Le dernier tango à Paris" pour que je puisse le référencer ?


Oui c'est bien ça. Un film culte des années 70 à voir absolument.
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Panic room - 8/10

Messagepar Jipi » Sam 17 Jan 2009, 13:58

Panic Room David Fincher 2001

La nuit ne porte pas toujours conseil. Les insomnies sont salutaires, des bruits inquiétants ne laissent plus planés aucun doute. La demeure est visitée par des cambrioleurs.

Meg se réfugie avec sa fille dans la pièce de survie. Mais hélas ce que cherche à récupérer les visiteurs se trouvent sous leurs pieds dans la pièce.

Panic room film physique autant pour Jodie Foster en second souffle se dépensant sans compter par des cavalcades entre couloirs et escaliers que pour des travellings de caméras balayant de manière incessante des pièces fascinantes de noirceurs lumineuses.

Par des scènes volontairement assombries, David Fincher se met à l’étage des toiles de Rembrandt. En consultant certaines de ses oeuvres on comprend plus aisément la comparaison.

Une effrayante grandeur et une luminosité réduite au minimum rend cet immense appartement aussi attirant qu’effrayant.

Panic room film à compartiments violents alternant avec des raisonnements de survies en vase clos oppose avec brio une double absence de renoncement n'ayant qu'un seul visage, l'attaque et la défense d'un site convoité.

Panic Room est une œuvre prenante malgré un scénario sans réel surprise. Un combat moderne entre l’assaut et la protection d’un appartement dont les ingrédients sont identiques dans les deux camps, la détermination.

8/10

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Forêt d'émeraude (La) - 9/10

Messagepar Jipi » Dim 18 Jan 2009, 11:02

La forêt d'Emeraude John Boorman 1985

Film plaidoyer, la forêt d’émeraude raconte l’inexorable et lente destruction d’un espace vital hors du temps ou se côtoient des milliers d’espèces animales et végétales alimentant des centaines de tribus indigènes vivant en harmonie loin de la civilisation.

Tommy projeté à sept ans dans ce nouveau monde accepte de grandir dans une transformation calme et légère.

En prenant le statut d’invisible un privilégié encore influençable se trouve préservé de la fureur des chantiers de débroussaillages éliminant chaque jour des milliers d’hectares de forêts amazoniennes repoussant dans des sous bois de plus en plus restreints, rebelles, trafiquants et souteneurs devant cohabiter avec l'indien.

Les premières scènes sont révélatrices d’un basculement annoncé. Un jeune garçon positionne son regard sur une action millénaire réservée aux silences des forêts. Des fourmis construisant leurs territoires apportent des feuilles tombées des arbres, Tommy subit les prémisses d’un monde naturel inconnu et préservé à quelques mètres d'une civilisation à l'agonie. Le basculement n’a plus qu’à s’opérer dans la douceur.

L'acte de bravoure final d'une père éveillé laisse un peu de répit à une faune impuissante contre un déboisage ne menant qu'a l'instauraton du béton et de l'enseigne.

Que vont devenir tous ces indiens, débusqués, chassés de leurs environnement naturels ? Comment leur faire éviter le bidonville, la rapine, le vol, la prostitution et l’alcoolisme.

Quelle société sera capable de repositionner dans une chaîne d’esprits unitaires ces dépositaires écologiques détruits par l’âpreté du gain.

Cette culture loin des sciences s’est construite par la compréhension et le raisonnement qu’impose le respect des lois d’un espace naturel n’évoluant que par lui-même c'est-à-dire par tous ses composants loin des lumières artificielles.

Le film est daté, qu'en est-il aujourd'hui? Silence radio

9/10

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Re: [Jipi] Mes critiques en 2009

Messagepar jean-michel » Dim 18 Jan 2009, 12:14

mon film de chevet!! :love: :super:
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Magicien d'Oz (Le) - 10/10

Messagepar Jipi » Lun 19 Jan 2009, 09:45

Le magicien d'Oz Victor Fleming 1939

Film culte, borne indispensable à ne surtout pas contourner, le magicien d’Oz devient avec le temps et les expériences lucides de la vie une excellente réminiscence.

Toute génération confondue ressentira une attirance envers cet environnement et surtout ces personnages propulsés d’une terre imprévisible vers un monde enchantée fait de routes de briques jaunes et de palais d’émeraude.

L’initiation s’exécute dans des couleurs magnifiques. Un parcours insolite et décalé fusionne un cœur, un courage et une intelligence espérés en bout de courses dans une collecte d’évènement permettant d’acquérir par soi mêmes sous des roses vêtues de neige ses précieux ingrédients.

« Le magicien d’Oz » est un film fabuleux. Soixante neuf ans à ce jour sans une seule ride dans sa partie couleur. Les effets spéciaux à couper le souffle semblent narguer nos plus belles avancées numériques.

Ce film d’une autre planète unique potion politique éradiquant par sa sensibilité toutes nos doutes permet de rédiger par une dernière phrase en leitmotiv un constat extrêmement fort sur toute une vie accompagnée d’un unique encadrement familial et amical.

Le magicien d’Oz est un hymne à la sédentarité à l’initiative d’une prière finale demandant comme amour et protection un seul groupe composé d’êtres chers que l’on ne quitte jamais.

Un message certes moralisateur un peu parano, bien américain démontrant qu’un danger est toujours présent en dehors de ses frontières.

La féerie de l’ensemble est bien plus forte qu’une dangereuse rationalité récupératrice inconnue des enfants qui eux adhère à la seconde à ce monde merveilleux.

Faisons-en autant en maîtrisant à la fin de la projection un réveil à la réalité presque douloureux.

10/10

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Re: [Jipi] Mes critiques en 2009

Messagepar zirko » Lun 19 Jan 2009, 10:00

Ce film me fait de l'oeil depuis longtemps.

Mais j'ai peur qu'il ait mal vieilli (d'après ta critique ce n'est pas le cas) et que l'image ne soit pas top ?
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Re: [Jipi] Mes critiques en 2009

Messagepar Riton » Lun 19 Jan 2009, 10:42

Un grand classique 8)
Mes DVD a vendre à partir de 0.70€ 8)
helldude™ a écrit:bik et moi vivions déjà le grand amour avant l'épisode de l'éjaculation faciale

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Re: [Jipi] Mes critiques en 2009

Messagepar Jipi » Lun 19 Jan 2009, 10:48

Bonjour Zirko
Nous l'avons regardé hier en remastérisé en famille avec ma femme, ma fille, son mari et leurs deux enfants. Du bonheur pour tout le monde pendant 1h40. Ma petite fille deux ans et demi était rivée sur l'écran elle n'a pas hésitée une seconde à sacrifier sa sieste.

L'image surtout dans sa partie couleur est impeccable. Tu peux y aller mais regarde le en remastérisé.
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Re: [Jipi] Mes critiques en 2009

Messagepar Riton » Lun 19 Jan 2009, 10:55

Un BR ne devrait pas tarder a sortir je crois.
Mes DVD a vendre à partir de 0.70€ 8)
helldude™ a écrit:bik et moi vivions déjà le grand amour avant l'épisode de l'éjaculation faciale

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Re: [Jipi] Mes critiques en 2009

Messagepar zirko » Lun 19 Jan 2009, 14:59

Effectivement j'ai vu qu'une édition BR allait bientôt sortir mais je n'arrive pas à trouver la date. :?
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Voleur de bicyclette (Le) - 10/10

Messagepar Jipi » Lun 19 Jan 2009, 15:51

Le voleur de Bicyclette Vittorio de Sica 1949

Porte drapeau du néo réalisme italien ce film culte emblème d’un pays dévasté, brisé par une guerre tout juste achevée montre admirablement la terrible humiliation d’un homme ne pouvant assumer normalement son rôle de chef de famille et de père envers un enfant lucide du désastre de son temps tout en étant protégé par un imaginatif enfantin.

Bruno en pleine croissance se construit avec force et courage une dimension digne de temps futurs plus qu’incertains. Que se soit dans son déroulement ou dans son message final le voleur de Bicyclette ne laisse que peu d’espoir d’amélioration.

Tout est en miettes sous les yeux d’un enfant à peine débarqué sur une terre en ruines.

Le constat social de la fin de ces années quarante est plus que navrant. Plus rien dans les assiettes, les draps au mont de piété, une seule paire de chaussures et l'eau à des kilomètres.

Propreté, dignité et respect se sont évaporés comme cette bicyclette indispensable pour gagner quelques lires suffisant à peine à se maintenir à flots.

L’opus est pathétique, plus que tragique. Il se consulte au bord des larmes tant l’enfance est sabordée, affamée et en guenilles.

Le père est bon, doux et à l’écoute. Un miracle dans un tel contexte.

Cet abattage de kilomètres ne servant à rien dans une ville en pleine reconstruction ou chacun lutte pour manger possède une force fraternelle se concluant par le regard porteur d’un enfant encourageant un père à tenir dans un dernier plan qui sans pour autant être optimiste incite à regarder de l’avant.

Un film admirable blindé d’injustices se regardant la gorge nouée. Un pays pansant ses plaies ne reconnait plus les siens.

10/10

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Quatre garçons dans le vent - 8/10

Messagepar Jipi » Mar 20 Jan 2009, 08:59

Quatre Garçons dans le vent Richard Lester 1964

Quel groupe de rock n’a pas rêvé en ces années 60 de ressembler à ces quatre icônes aux systèmes pileux identiques. L’époque est joyeuse et désinvolte, les trente glorieuses ont encore le vent en poupe, les Beatles et leurs agréables mélopées de début de carrière en sont la preuve, on se sent bien dans ce temps de plein emploi ou la musique est gentillette. Les coiffures ne sont plus « bananées » mais tombent légèrement devant les oreilles, pas de quoi en faire un drame et pourtant les bons pensants trépignent devant cette légère dérive capillaire.

Ce film concept est l’apologie du mouvement novateur qu’il soit physique ou moral, le groupe par moment semble faire son jogging dans ces courses poursuites plus ou moins réglementés par un scénario volontairement inconsistant, les propos ne sont plus structurés chacun délire dans des questions réponses qui n’ont qu’un seul but, désappointer par le rire.

Le Monty Python est embusqué derrière ces répliques plus ou moins acerbes, le verbe se déconnecte de toutes procédures contraignantes, c’est la liberté du ton à deux doigts de l’ironie et de l’irrespect dans cette époque ou marcher dans des règles de comportements poussiéreuses est une obligation


Les titres s’enchaînent, les notes de « A hard day's night" virevolte joyeusement, Ringo batteur à tempo unique semble mal à l’aise sur sa chaise. En observant bien le visage de John Lennon on s’aperçoit que la dépression est aux portes. Tout en jouant la démesure par la liberté de s’ébrouer et de s’exprimer dans une nature élargie le groupe semble à la torture, la pression est trop forte par moments on pense à « Vie Privée » de Louis Malle, par contre ici le sourire reste de mise jusqu’au bout. Interdiction de s’effondrer.

Les prémisses sont annonciatrices d’une conclusion néfaste liée au groupe et au système de dépendance qui en dépend. La manipulation de cette véritable bombe que représente ce succès devient soudain ingérable pour ces quatre garçons visiblement dépassé devenant uniquement des machines à jouer.

Le groupe est manipulé par un Richard Lester se lâchant par des mouvements de caméra en hauteur ou l’espace offert au mouvement est un vrai bonheur, dans une Angleterre rigide c’est une seconde naissance.

Tout ceci ressemble à une pantomime libératrice tentant de s'extraire d'un réalisme anglo saxon aussi raide que durable.

8/10

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Re: [Jipi] Mes critiques en 2009

Messagepar zack_ » Mar 20 Jan 2009, 21:46

Désolé de passer sur les dernières critiques ...mais j'ai un sentiment de bonheur pour le magicien d'Oz et j'ai hâte de le redécouvrir car j'ai plus de souvenir du film :D
zack_
 

Playtime - 10/10

Messagepar Jipi » Mer 21 Jan 2009, 08:41

Playtime Jacques Tati 1967

Hulot dans une course poursuite sur sols marbrés, open spaces, ascenseurs bondés et baies vitrées ne valorise qu’un seul ordonnancement, la répétition de l’échec.

Les personnages ne peuvent s’intercepter, la difficulté de conclure une transaction avec l’autre qu’elle soit interne ou externe est laborieuse.

Des décisionnaires sont enclavés dans de sombres costumes gris éparpillés dans d’immenses salles de réunions que Hulot hors norme visite par erreur.

A l’extérieur les rues sont pleines à craquer, un bétail touristique côtoient des autobus surchargés, les embouteillages sont monstrueux chacun n’est prisonnier que d’une seule ligne de conduite :

« L’indifférence de l’autre dans la communion du geste similaire ».

Une meute uniformisée se répand avec au loin de fantomatiques buildings architectures figées semblables à un comportement répétitif en marche. Le béton devient pharaonique, il imprègne l’homme de sa froideur.

Les salles de restaurants à l'image des rues sont pleines et n’obéissent qu’a une procédure de gestions des flux et reflux.

Hulot essaie de survivre dans ce miroir gigantesque. Intercepté par un ancien camarade il doit subir dans une pantomime sur écran large une éprouvante initiation au modernisme.

Dans l’appartement d’a coté les mêmes gestes se reproduisent. La masse est soumise à un même dénominateur commun. La télévision.

Les individus ne sont plus qu’une famille dont l’essence se nomme canapé moelleux dans de grandes pièces écrasées de lumières artificielles. On mime les sports d’hivers, en costume cravate devant Hulot ne demandant qu’a fuir ce monde terrifiant.

Le contraste avec la nuit est flagrant, celle-ci devient néantique sur fond de tours flamboyantes.

Playtime est le virage technologique d’une société sur fond de silence intellectuel, dans l’intérieur cossu derrière la baie vitrée de l’appartement du rez de chaussée, il n’y a aucun livres.

La caméra et la télévision ont chassés un instinct de lecture foudroyé par l'image.

Le culte est devenu « pensée de groupe » image unique brute non filtrée conditionnant l’avancée cérébrale d’un troupeau prenant comme nom « logistiques adaptées aux environnements côtoyés »

L'intérieur des buildings et des rues devient un ordonnancement d’écoulements de ressources métalliques et humaines. Une seule perception interne et externe.

10/10

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