[Milkshake] Mes critiques en 2011

[Alegas]

Vorace de Antonia Bird

Guy Pearce et Robert Carlyle, deux grands acteurs sous employé se rencontrent dans un duel saignant

Vorace affiche clairement son ambition bis décalé dès le générique ou la réalisatrice fait un doigt d'honneur à Nietzche puis en mettant le paquet dans un diner carnivore ou les steak baigne dans le sang Antonia Bird barbouille la couleur de son film : rouge sang. Guy Pearce est vite pris d'un malaise qui le renvoi à sa propre expérience lâche et sanglante. Le départ orignal de l'histoire amène ver un huis clos à la sauce western minimaliste ou une petite troupe de joyeux luron va accueillir deux carnivore bien frappé.

Le film teint sur une idée aussi originale que ridicule, celle du Wendigo un mythe indien autour d'une bête qui absorbe l'âme humaine en dévorant ces muscles. Tout cela tient la route grâce à un Guy Pearce zombiefié magistralement perdu et un Robert Carlyle vampirisé à la dent aiguisé, tout l'intérêt du film se porte sur une relation malsaine entre les deux passant du dégout à la fascination. Les péripéties s'enchainent plutôt bien même si certaines sont rallongé artificiellement et la fin se révèle aussi surprenante que décevante. A trop vouloir jouer la carte de la dérision, le film perd de sa teneur.

Il faut avouer tout ce qui englobe le film le dessert, des seconds plus tête à claque les un que les autres à une musique totalement à la ramasse, le sujet était pourtant porteur mais au final tout cela semble bien bancal, surligné, l'arrière gout bis prédomine durant la majorité du métrage renforcé sur une dernière pirouette : Bon appétit.

6/10

[Scalp]

Elle est excellente la zic, sinon le film je le trouve absolument pas bancal.

[Milkshake]

Tout le passage de la grotte c'est vraiment traité pour rallonger du suspense foireux, Carlyle a le temps de faire 10 aller retour en étant à moitié fou sans que les 3 gars bougent.

Déjà le fait qu'il le laisse en vie après qui ait sucer la blessure de l'autre, trop facile il les implorent et les autres s'alignent.

[Scalp]

Justement c'est ma séquence préféré

[Heatmann]

tu m aurait demender avant milkshake , j aurai pue te dire sans peine que tu aimerai pas vraiment courue d avance

[Waylander]

Vorace c'est pas un film "sérieux". Ça se veut clairement décalé. La musique le prouve (elle est bien d'ailleurs).
Je trouve même que la frontière sérieux/décalé est pas si épaisse. Ya qu'à voir le côté ambigu que donne le scénariste au cannibalisme lié à la survie et le pseudo fantastique présent quasiment pour surligner la folie des personnages reclus dans les montagnes. Ça lorgne d'un côté comme de l'autre c'est violent, glauque, crasseux, drôle parfois. C'est bien interprété, Pearce en tête et Carlyle énorme.

[Logan]

Vorace c'est du 10/10 (à la limite je peux accepter jusqu'à 9) mais 6/10 c'est une offense et la musique tue clairement oui. Un de mes cinq films cultes.

[Scalp]

Oh putain tous contre Milshake, c'est rare, yaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa !!!

[Waylander]

Ouais Vorace ça a tout du film culte oublié dont personne ne parle jamais mais qui se révèle être couillu, burné, original.

[Heatmann]

dans mon top 100 d ailleur vorace et vous avez tous raison

[Milkshake]

vous vous excitez pour pas grand chose les gars ouai c'est original mais à la limite ça aurait été des vampires ça aurait pas changé grand chose.

[Scalp]

Bein ça aurait été des vampires ça aurait été un film de vampire, mais vu que c'est des cannibales c'est un film de cannibales et c'est tout de suite plus original.

[Milkshake]

Dans le fond c'est la même ils sont attiré par le sang humain, la ils grignotent un peu la chair aussi mais ça leur permet de se guérir c'est pas juste du cannibalisme il y a un aspect fantastique.

[Scalp]

C'est cet aspect fantastique dans un univers "normal" qui fait que c'est original, faut tout t'expliquer

[Heatmann]

si c etait des cannibalette avec des jolie robe rose , des perruque et du maquillage de partout dans des jolie salon bourgeois t aurai mit facile 2 pts de plus sofia/campion stylz