[Waylander] Mes critiques en 2011

Modérateur: Dunandan

Re: [Waylander] Mes critiques en 2011

Messagepar Waylander » Jeu 25 Aoû 2011, 17:19

Scalp a écrit:Bon c'est un poil radin la note quand même :mrgreen:


Non non. :mrgreen:
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Bug - 8/10

Messagepar Waylander » Jeu 25 Aoû 2011, 19:32



Impossible de faire plus viscéral qu'un film comme Bug et Friedkin y arrive vraiment bien surtout grâce à des acteurs totalement habités par leurs rôles : Ashley Judd tout simplement bluffante et Michael Shannon signe là sa meilleure interprétation (son visage assez atypique aide beaucoup).

Avec ce film, le réalisateur joue son Cronenberg en bien plus terre à terre (chez Cronenberg il y a toujours une dimension fantastique ,pas ici), moins bizarre, plus violent et qui prend aux tripes comme rarement un film en a été capable. Le scénario met en scène des personnages désabusés, à côté de la plaque, cas sociaux perdus dans le désert à vivre dans un no man's land cliché mais qui criant de vérité. Tout est glauque, sale, et Ashley patauge dans ce taudis dont elle ne prend pas soin , tout comme son corps qu'elle trahit chaque jour ... L'actrice connait là une transformation physique radicale, du même acabit que celle de Charlize Theron dans Monster.








Le plan-séquence aérien d'ouverture qui se diriger vers le motel pour aller juste-au dessus de l'actrice montre clairement l'isolement du lieu de l'action du film et la solitude du personnage. Un fondu sur une hélice au plafond dont le bruit ressemble à celui d'un hélico. Ici, sans le savoir, le spectateur a droit à son premier indice...


On peut penser pendant quelques minutes qu le film va dériver vers le slasher ou le thriller avec l'arrivée de l'étrange Michael Shannon mais le film sombre dans tout à fait autre chose. Harry Connick Junior st lui aussi excellent même si son rôle reste ne retrait. Son personnage est là pour marquer le ton que va prendre le fim: le mal ne vient pas de lui comme on pourrait le croire (il ajoute même la touche d'humour du film et malgré son background e la souffrance qu'il provoque chez son ex, c'est de la paranoïa contagieuse que tout va commencer...).

Friedkin pose rarement sa caméra et laisse le soin à une bonne shakycam et calme de se rapproche des personnages et de bouger succinctement dans cet studio de motel à l'abandon. Le film devient un hui-clos viscéral et psychologique comme on en rarement vu. Bug laisse perplexe sur son final extrême et poussif (un peu grand guignolesque dans l'esprit). Les acteurs à vifs s'enferment dans une logique schizophrénique dont ils ne peuvent échapper: la femme par sa fragilité et son background tragique (le mari taulard et qui la battait, le gamin qu’elle a perdu en faisant ses courses, sa vie minable et solitaire...) et l'échappé de l'asile qui est persuadé qu'on l'écoute, le surveille et le poursuit.

Le film prend son temps sans être lent, Ashley Judd possède un nombre incroyables de monologues dans lesquels elle crève complètement l'écran par son talent monstre et ses crises d'hystéries (à deux reprises) auraient pues vite devenir un gros cabotinage (tout comme les pétages de plombs de Shannon) mais Friedkin tire le meilleur de ses comédiens qu'ils exposent crument via un visuel bien pensé et réfléchi (Friedkin s'amuse avec des cadrages parfois atypiques et placent superbement sa caméra à travers ce si petit lieu dont on sent presque les odeurs nauséabondes à la fois de la transpiration , du sang et des insecticides).

La plongée dans la paranoïa est subtile, ça commence par des petits détails (dès le début les coups de téléphone anonymes et silencieux permettent de rentrer dans le fil met n'importe quel spectateur croit déjà tout savoir sur les directions que va emprunter le film..mais il se trompe), des petites réactions puis le film part de plus en plus loin. Shannon qui s'arrache les dents , le final "Clive Baker" avec l'acteur nu ensanglanté, des plaies partout et devenu complètement dingue.... :shock:

Friedkin est certainement l'un des réalisateurs les plus couillus qui soient et celui qui se permet le plus de choses. Des personnages à l'ouest, âmes perdues auxquelles on ne s’attache pas tellement ils nous répugnent par leur misère et leurs choix et caractères minables. Friedkin ne met pas en scène un scénario quelconque mais quelque chose bien atypique. Une fin comme il les aiment (cash , directe, sans concession) pour clore un film aux multiples clichés auxquels il tord le coup.



8/10
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Re: [Waylander] Mes critiques en 2011

Messagepar Criminale » Jeu 25 Aoû 2011, 19:37

Rha je me rappel, j'avais été voir ce film sans savoir de quoi ça parlait, et ça m'avait un peu fait bizarre. Je ne me souviens de pas grand chose à part du moment où ils n’arrêtent pas de se gratter.

T'es en mode critique de ouf quand même. En tout cas j'apprends plein de trucs. :super:
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Re: [Waylander] Mes critiques en 2011

Messagepar Logan » Jeu 25 Aoû 2011, 20:12

Il me faut mon logan approuved :mrgreen:

(Mais tu l'as :mrgreen: ) belle critique ;)
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Re: [Waylander] Mes critiques en 2011

Messagepar Eikichi Onizuka » Jeu 25 Aoû 2011, 20:45

Ouaip bien longues, t'es inspiré.
Par contre mal de tête avec toutes les photos (une à droite, deux à gauche, une au milieu).
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Re: [Waylander] Mes critiques en 2011

Messagepar osorojo » Jeu 25 Aoû 2011, 22:18

J'ai un sacré souvenir de BUG. Il m'avait carrément retourné, un film d'une belle intensité qui dégage une ambiance de fou. A revoir, c'est certain !
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Pont de la Rivière Kwaï (Le) - 8/10

Messagepar Waylander » Ven 26 Aoû 2011, 21:15





Première grand film de David Lean notamment grâce à l’utilisation du Cinémascope et le genre : film de guerre atypique (auquel viennent s'immiscer une part d'aventure et d'épique) où l’affrontement verbal remplace celui des obus et des balles; où le courage des guerriers s'efface devant celui des bâtisseurs.

Techniquement c'est d'une beauté inattaquable : la profondeur de champ inouïe, les décors naturels magnifiquement exploités, le cadre, la composition des plans toujours élégants et léchés sans sombrer dans le fantasme aseptisé récurrent au cinéma à cette époque. Lean met en scène des personnages charismatiques et bornés, aveuglés par l'honneur et les valeurs ancestrales de leur pays respectifs : japon, Angleterre. Deux îles jamais aperçue dans le film. Les hommes se confondent dans un troisième pays : la Thaïlande. Même perdus au fond de la jungle ils s’entêtent à vouloir dégager une un air digne, hautain et fier. L'un (le sous-exploité et pourtant remarquable Sessue Hayakawa ) est obsédé par son salut militaire (la construction du pont dans les délias) et la guerre (la réalité du moment) tandis que l'autre (le parfait Alec Guiness) s’obstine à résister aux ordres de l'autre. Droit comme un piquet il ne se permet aucun compromis.


A force de révolte purement volubile il finit par "gagner" tandis que Saito se morfond, observe de loin et pleure en cachette, affecté par une honte plus grande que tout. Deux hommes s’affrontant par le regard ,par le discours et les valeurs opposées et pourtant similaires : l'honneur prime. Chacun d'eux oublie la guerre qui ne jeu et finit par n'avoir en tête que la réussite du projet: construire le fameux pont. Le fossé est ainsi brisé et plus le film avance plus une certaine harmonie règne entre les deux ethnies (c'est subtil, mais trop ne surface pour mériter plus de développement).

Le scénario est loin d'être manichéen (même le traitment Japonais restye une peu en retrait) et les perosnnages principaux sont tous ambigus (Holden l'évadé américain qui se fout des autrres et ne veut pas faire mahcine arrière pour les aider mais fini par accepté car acculé par ses supérieurs ; Guiness respectable et respecté qui s'entête à peaufiner un ont dessiné et voulut par l’ennemi ; Saito qui s’enlise et se perd dans des valeurs devenus obsolètes face à un peuple qu'il dit détesté mais dont les manières force l'admiration et le troisième "fou" (Jack Hawkins), forcené et obtus comme les deux autres grands chefs dans leur quête d'honneur , de courage et de victoire.







Même si le film est sublime, l'ambiance visuelle n'est pas contemplative ni relavant d'un pur documentaire à l'image aseptisée. Ici, les acteurs transpirent, les vêtements sont criants de vérité, déchirés, les visages luisent sous la chaleur cuisante du Soleil et la jungle est étouffante. Tourné entièrement en décors naturels, le Pont de la Rivière fait partie de ces films à l’authenticité indémodable où le travail des créateurs connotaient une véritable passion pour un art qu'ils chérissaient par-dessus tout, n'hésitant pas à affronter des gros soucis au pour une scène de 30 sec qu'ils auraient pu tournées en studio avec maquette pour 10x moins cher et moins de jours de travail (la scène de l'explosion du pont).



Assez statique, le film n'en possède pas moins de bons travellings et de bonnes scènes bien montées (comme le final où s'alternent à la fois la joie des soldats British fêtant l'ale pont achevé ; les soldats ne mission commando pour exploser le pont, le sourire d'Alec Guiness et Saito préparant dans le calme et la solitude son futur harakiri (c'est largement suggéré). mauvais point pour les musiques bien trop "fanfare" à mon goût et qui , même si ça correspond au ton de départ (l'armée British qui débarque en tant que prisonniers dans le camp de Saito en sifflant un air joyeux), reste en décalage avec le reste du film plus sombre (à partir du moment où William Holden et les deux autres reviennent dans la jungle). Malgré tout,ça correspondant plutôt bine car le message du film tend à montrer que les deux hommes qui s’affrontaient pour leur propre "image" n'ont fait que savourer un combat pacifistes et rhétorique alors qu'atour d'eux , les autres font la guerre. L'ennemi des British vient d'eux-mêmes avec ce commando réunit pour battre le pont tandis que tout les autres se tuent à la tâche avec amour , patriotisme et respect pour leur général...

La paire d'acteurs n'est pas assez prononcé ni exposé pour atteindre des sommets mais dans l'ensemble c'est excellent. L'écriture est vraiment bonne même si on sent que le film n'est pas bien équilibré. Les ellipses entre le camp et l'évasion d'Holden puis son retour au QG de l'armée et le retour à la jungle c'est bancal. Ça casse un pue le film et le film est justement trop "scindé" en 3 parties ce qui est assez dommage.

Formellement c'est intense , magistral et l'usage du scope permet un décor vu sou un angle vraiment large , l'immersion est renforcé sans avoir besoin d'une mise ne scène très mouvementé. Le film signe là un académisme léché qu'on retrouve de moins ne moins au cinéma. Il faut dire que les photos à l'ancienne (les regards qui ressortent bien, les perles de sueurs sur les visages, le technicolor etc...).
Entre l'ambition démesuré du film (sans aucune scène de batailles malgré ça :shock: ), son duel ethnique/code de conduite (voir l’Anglais qui aborde les conventions de Genève pour défendre sa positon et le Japonais rétorquer sur le Bushido ça exprime bien la direction que prend le l’œuvre).




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Re: [Waylander] Mes critiques en 2011

Messagepar Scalp » Ven 26 Aoû 2011, 21:55

Pour info y a eu un "remake" avec Robert Carlyle et K.Sutherland.
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Aventures du baron de Münchausen (Les) - 7,5/10

Messagepar Waylander » Sam 27 Aoû 2011, 14:05





20 ans avant L'imaginarium du docteur Parnassus, Terry Giliam réalisait déjà un film ambitieux aux décors démesurés (il a pris un peu d'âge avouons-le), parfois somptueux mais jamais tape à l’œil au travers desquels les protagonistes se confrontent à la réalité par le pouvoir débordant d'imagination du Baron de Munchausen , personnification du cinéaste lui-même , aristocrate attachant accompagné par une troupe totalement barrée et décalée (comme le ton du film et sa trame) dont la motivation et le courage reprennent des forces grâce à une petite fille qui veut y croire.

Gilliam réussit un véritable tour de force puisque le film est à la fois loin d'être graphiquement léché et commercial (le casting, l'écriture, le ton et l'ambiance sont à l'opposé des films de fantasy de la même époque) mais , par un travail acharné les décors imposent un respect et une authenticité presque plus importante et plus ambitieuse que n'importe quel film du genre. Le réalisateur n'exploite toutefois pas assez bien certains d'entre eux malgré le 35 mm qui permet à Gilliam de filmer un maximum de grands décors plutôt que de jouer avec des trucages sur des maquettes (finalement peu nombreuses). L'effet carton pâte est à peine visible et l’ensemble du film atrès folklorique et pittoresque instaure vraiment un décalage savoureux et non-conformiste entre l'imagerie de Gilliam et celle d'oeuvres comme Legend, Willow, LadyHaxke , Krull etc..

Le réalisateur de Brazil reprend des codes de la fantasy et les remanient à sa sauce en y ajoutant son humour british et très saugrenu comme le reste du film (le Sultan qui joue de l'orgue-instrument de torture :mrgreen: ). Tout est là: le guerrier sur son cheval blanc est remplacé par un vieil aristocrate radotant ses aventures, les compagnons sont remplacés par des êtres marginaux un peu freaks et l’héroïne par une petite fille (là on retrouve cette idée de l'enfant qui croit au pouvoir de l'imagination et se sert de cette foi pour motiver les héros) , la love story dure juste quelques secondes et reste à peine suggérer (avec Uma Thurman dont tout passe par le regard et une danse) , la bataille finale époque, grandiose mais dont la mise en scène manque de plans plus large ou aériens pour donner encore plus de souffle et de grandeur etc.... On retrouve même des idées venant de contes comme Pinocchio (le coup de la baleine géante à l'allure surréaliste qui "avale" les héros) et un peu des milles et un nuit pour la partie chez le Sultan.


Gilliam mixe tout ce qui l'a sans doute bercé et tout ce qui le fait rêver. Son style peut mette mal à) l'aise (la photo est grandiose pour ce qui est des décors et des actions visibles à travers les plans mais les couleurs reste assez ternes) mais on ne peut lui reprocher d'avoir une vraie patte artistique en plus d'un esprit loufoque talentueux qui ne font jamais passé ses films pour des pellicules de secondes zones. dans le même genre, Tim Burton est un technicien moins doué..Terry Gilliam a le mérite d'avoir un sens de la mise en scène très prononcé même si ce Baron de Munchausen n'est pas on meilleur film formellement parlant (sans doute l'ambition dé départ et la grandeur originelle des décors l'ont-il aidés à rendre un film extraordinaire plutôt que le langage cinématographique bien que certaines scènes valent le détour comme sur la Lune le plan au-dessus de l'embarcation, le reflet des étoiles et le tout change en un grand banc de sable, l'image s’éclaircit.... L’onirisme dans toute sa splendeur...










Le film adapte très librement les aventures du héros populaire du véritable personnage historique de Munchausen. C'est rocambolesque, génial et jouissif. On pourra regrette un choix d'acteurs pas toujours évident et une interprétation parfois à la limite du cabotinage pour la majorité des personnages malgré leur investissement (les accents). Ça colle avec l'univers mais ça reste parfois agaçant surtout ce passage lunaire où Robin Williams surexcité en fait des tonnes et le film perd d’ailleurs un peu son temps avec ce côté grand-guignol en décalage avec le reste.

Dommage aussi que les personnages ne soit pas très attachant (même le petite fille) alors que ça devrait pourtant être le cas. Les caractères pas vraiment brossés, pas de background, juste un univers farfelu se moquant assez ouvertement d'un période historique et de la guerre par l'apologie de l'imagination, de l'aventure et de la quête initiatique.
On peut rapprocher Parnassus et Munchausen tel un diptyque cher au réalisateur qui signe là ses œuvres les plus personnelles. Le second film est plus maitrisé sur la forme, sur l'écriture, sur le choix des acteurs et la direction de l’interprétation des personnages. Plus léché aussi, moins d'ampleur, moins "ambition" mais plus équilibré, l'arrivée de CGI en complément du travail d'orfèvre etc... Mais la base reste ce grand film de 1988, douce folie à l'extravagance politiquement incorrecte (sans pour autant tomber dans la vulgarité).


7.5/10
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Re: [Waylander] Mes critiques en 2011

Messagepar alinoe » Sam 27 Aoû 2011, 15:00

Magistral enchaînement de critiques :super:
Je n'ai jamais vu Les Aventures du Baron Munchausen, ta critique et les magnifiques captures :love: me donnent vraiment envie.
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Re: [Waylander] Mes critiques en 2011

Messagepar francesco34 » Sam 27 Aoû 2011, 15:41

Oui c'est extra Munchausen, délirant et bien dans le style Gilliam... Ca devrait te plaire Alinoé... :wink:
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Re: [Waylander] Mes critiques en 2011

Messagepar Tyseah » Sam 27 Aoû 2011, 16:23

Elles sont super intéressantes à lire tes critiques waylander, mais ton placement d'images n'est pas adapté à toutes les résolutions. Sur un 1920x1080, c'est un peu le bordel.
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Re: [Waylander] Mes critiques en 2011

Messagepar Waylander » Sam 27 Aoû 2011, 16:26

Ouais mais ça je sais seulement je sais pas comment faire pour que ça soit agréable pour tous les formats d'écran. J'ai un de mes potes c'est juste atroce mes critiques. Chez moi ça passe nickel.
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Re: [Waylander] Mes critiques en 2011

Messagepar Val » Sam 27 Aoû 2011, 18:02

Je confirme, le texte est très intéressant mais se retrouve malheureusement haché par les photos sur mon écran.
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Re: [Waylander] Mes critiques en 2011

Messagepar Eikichi Onizuka » Sam 27 Aoû 2011, 18:09

Pareil j'aime tes critiques par contre comme chez Tyty et Val, las captures partent dans tous les sens.
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