[angel.heart] Mes critiques en 2012

Modérateur: Dunandan

Re: Dracula 73 - 3,5/10

Messagepar Val » Lun 02 Jan 2012, 17:52

angel.heart a écrit:Réservé aux complétiste des Dracula de la Hammer ( ou éventuellement à Val :eheh: ).



Si jamais je le vois, je pense pas que j'aime car même ceux qui défendent Les Cicatrices de Dracula le trouvent mauvais celui-là. :mrgreen:
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Vallée de Gwangi (La) - 6/10

Messagepar angel.heart » Lun 02 Jan 2012, 18:32

-"Hey, un western avec des dinausores ça tente quelqu'un?!"
-"Oh bah mon salaud si tu m'prend par les sentiments ouais carrément que ça me tente!"
-"Ok mon coco alors viens donc tester":


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La vallée de Gwangi de Jim O'Connolly ( 1969 )

La propriétaire d’un cirque prépare l’arrivée d’une nouvelle attraction qui devrait résoudre ses problèmes financiers. Mais l’animal extraordinaire va être enlevé puis ramené dans son habitat d’origine. Forcément, la jeune femme et un entrepreneur en quête d’une bonne affaire partent sur ses traces et découvrent une vallée secrète peuplée de dinosaures…

Bah ça va c'est plutôt sympa dans l'ensemble, bon le film est un peu lent à démarrer, la première partie du métrage insistant sur les retrouvailles tendu entre un cow-boy à la recherche du filon et une femme de cirque. Les rôles sont tenu par James Franciscus ( vu dans le chat à neuf queues ou la mort au large ) avec sa tronche un peu entre James Stewart et James Coburn ( une bonne dose de charisme en moins tout de même ) et la bien mignone Gila Golan ( vu dans notre homme Flint, ou alors c'est Flint qui était dans elle je sais plus :chut: ) mais comme j'ai pas acheté le dvd pour leur histoire d'amour passont tout de suite sur se qui nous intérèsse, les dinosaures! Plutôt bien foutu grace au savoir faire indéniable du prolifique Ray Harryhausen la deuxième partie du film est généreuse en grosses bêbêtes carnivor et propose quelques passages assez impressionannt ( enfin tout est relatif hein, de nos jours ça fait un peu sourire mais pour l'époque ça reste tout à fait honnête ), petit repproche tout de même la transition entre des plans sur des dinosaures à l'animation nickel sur d'autres où on à l'impression de voir des jouets en plastique ça fait assez vulgaire. La fin du film prend une tournure à la King Kong, un tyrannosaure se voyant capturer pour devenir l'attraction principal d'un cirque et comme on est en droit de s'y attendre ça va vite partir en sucette.

Un film bien sympathique reservé aux spectateur indulgents tout de même. ( c'est pas du western pour Scalp! :eheh: )

6/10

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Invisible invaders - 6/10

Messagepar angel.heart » Mar 03 Jan 2012, 00:16

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Invisible invaders

Le professeur Adam Penner, connu pour ses recherches sur les formes de vie extraterrestres, vient de faire une bien inquiétante découverte : les habitants d'une lointaine planète qui ont colonisé la Lune depuis plus de 20 000 ans, ont la ferme intention d'envahir la Terre dans les plus brefs délais. De fait, ils ne tardent pas à mettre leur menace à exécution. En possédant les corps de personnes récemment décédées, ils se répandent sur la planète, animés de mauvaises intentions. Aidé par le major Bruce Jay, Penner tente de les arrêter

Plutot sympa cette petite série B. C'est d'la sf à papa à petit budget mais avec de bonnes idées, notamment le coup des envahisseurs qui peuvent prendre possession des cadavres ça permet quelques passages sympa et 10 ans avant l'arrivée de Romero y avait déjà moyen de voir des mort-vivants déambuler dans les champs au cinema! Comme souvent le film est très court ( 1h07 ) mais le rythme est soutenu et bénéficie d'un bon montage, comme y a pas trop de thune on peut pas trop donner dans le spectaculaire mais c'est pas bien méchant, on prévoit les idées en fonction et donc de simples effets spéciaux tout ce qu'il y a de plus rudimentaire font l'affaire. Le casting est très correcte, on retrouve pas mal de tronches bien connu des amateurs de sf des 50's ( dont j'ai oublié les noms ) qui campent les personnages habituels du genre ( scientifique, militaire, fille à papa... ) et John Carradine tiens un petit rôle au début du film, un rôle bref mais imposant, en tant que premier mort-vivants du film.

6/10
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Résidence (La) - 7/10

Messagepar angel.heart » Mar 03 Jan 2012, 15:00

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La residence de Narciso Ibanez Serrador ( 1969 )

Un pensionnat du Sud de la France accueille une nouvelle pensionnaire, la jeune et timide Thérèse, sentant déjà une étrange présence dans l’établissement. Un établissement chargé de secrets, dirigé d’une main de fer par Mme Fourneau, apparemment veuve, vouant toute son affection à son jeune fils Luis. Mais des jeunes filles disparaissent et la tension entre les jeunes créatures grandit de jour en jour…

Bon film mais vu la réputation de la bête j'en attendais quand-même un peu plus. Pendant la première partie du film on a un peu l'impression d'être dans un WIP du genre 99 femmes de Jess Franco, en plus soft quand-même. On à donc une gouvernante des lieux peu commode qui réserve des chatiments très sévères à qui ne respecte pas les régles très stricte de l'établissement, des tortures et humiliations permanentes, une tension sexuelle bien palpable et des rivalités entre les jeunes pensionnaires. Et puis le film renvoie également inévitablement à Suspiria ne serait-ce que dans son contexte, des disparitions mystèrieuses dans un pensionnat de jeunes filles, des meurtres à l'arme blanche, une ambiance gothique et une certaine poésie morbide lors des scènes de meurtres, difficile de ne pas faire le rapprochement entre le film de Serrador et celui du maitre du giallo sortie 8 ans plus tard.

Si le film n'est jamais ennuyeux il ne faut pas non plus s'attendre à un étalonnage de meurtres, le métrage se montrant peu prolifique de ce coté là. Non l'intérêt réside surtout dans l'atmosphère qui se dégage des lieux ( une atmosphère toute mystèrieuse où on a parfois l'impression d'être dans une demeure hantée ) et dans sa grande sensibilité pour se qui est de nous faire ressentir les émotions bien palpable des pensionnaires, de l'envie à la frustration, la peur et le doute, tout est très bien retranscrit à l'écran. Seul petit bémol, la révelation finale qui n'en est pas vraiment une tant celle-ci appairait rapidement comme une évidence.

Sinon petit coup de gueule quand-même, au prix où René chateau vend ses dvd la presence d'une piste en vo serait quand-même appréciable et je ne parle même pas de la qualité de l'image qui laisse franchement à désirer.

7/10
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Re: [angel.heart] Mes critiques en 2012

Messagepar Scalp » Mar 03 Jan 2012, 15:13

J'ose espérer un jour une édition correct pour ce film, pas envie de le découvrir en VF et avec un master moisi.
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Re: [angel.heart] Mes critiques en 2012

Messagepar angel.heart » Mar 03 Jan 2012, 15:20

Ouais mais j'y crois pas trop, en tout cas pas en France àprès faut voir. Mais un ptit bluray ça ferait pas de mal.

Et puis je suis pas du tout sûr que le film va te plaire, j'pense que tu risques de trouver ça chiant.
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Re: [angel.heart] Mes critiques en 2012

Messagepar Logan » Mar 03 Jan 2012, 19:54

Aie merde tu fais redescendre mes attentes un poil la :(

Il le vaut vraiment le moins de 18 fièrement annoncé sur sa jaquette? :mrgreen:
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Re: [angel.heart] Mes critiques en 2012

Messagepar angel.heart » Mar 03 Jan 2012, 20:12

Bah dison que ça pourait presque être tout publique. Donc il est carrément à la ramasse le moins de 18 affiché.
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Entrailles de l'enfer (Les) - 6/10

Messagepar angel.heart » Mer 04 Jan 2012, 17:05

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Les entrailles de l'enfer de Philippe Mora ( 1982 )

En 1964, Eli et Caroline McLeary se perdent en voiture, en pleine nuit, près de la petite ville de Nioba. Alors qu'Eli est parti chercher du secours, son épouse, restée seule, se fait agresser et violer par une créature monstrueuse. Dix-sept ans plus tard... Un enfant, nommé Michael, est né de cette nuit terrible, et Eli et Caroline l'ont élevé avec amour. Mais, en pleine adolescence, il commence à être victime d'étranges symptômes : constamment affamé, il est, en plus, hanté par des visions étranges. Réussissant à s'évader de l'hôpital, Michael s'enfuit à Nioba, où l'attend son destin.

Un sympathique film de monstre à poil qui se laisse regarder avec intérêt à condition de ne pas être trop exigent et de savoir profiter des plaisirs ( coupables? ) d'une bonne petite série B. La première partie est assez bordélique dans sa narration, passant d'un lieu à un autre s'en trop qu'on sache pourquoi ( ou alors c'est moi qui étais un peu trop fatigué, ce qui n'est pas exclu ) ça manque un peu trop de fluidité dans le déroulement de son enquête qui n'est pourtant pas inintéressante ( car on cherche à y expliquer les origines du monstre ) mais bien trop bordélique pour totalement convaincre.

Par-contre le métrage se démarque des films de loup-garous habituels ne serait-ce que dans le deroulement de ses événements puisqu' ici la métamorphose béstiales de l'adolescent n'est pas provoqué par une attaque qu'il aurait subit mais il s'agit bel et bien d'une part de lui-même qui à toujours était présente dans ses gênes et qui se sera manifestée qu'à son adolescence. La scène de transformation est particulièrement amusante, ça commence comme du film de possession ( perso j'ai penssé à l'exorciste ) avec le jeune homme ligoté sur un lit se détachant de ses sangles en poussant des hurlements de douleurs alors que son visage se déforme jusqu'à former une grosse boule prête à exploser ( là c'est carrément repris sur le "Hurlement" de Joe Dante mais en beaucoup plus WTF ) sous les yeux de sa famille impuissante. Scène qui flirte méchament avec le ridicule mais elle vaut néanmoins son pesant de cacahuète.

Sinon autre bon point le film est totalement dénué d'humour ( volontaire ), c'est avec sérieux et dans une atmosphère lugubre que l'on assiste à la destrution de cette cellule familiale déja bien fragilisée par les traumatismes du passé, c'est juste dommage que quelques scènes ridicules viennent un peu désamorcer tout ça.

6/10

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Vie d'un Tatoué (La) - 8,5/10

Messagepar angel.heart » Jeu 05 Jan 2012, 14:01

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La vie d'un tatoué de Seijun Suzuki ( 1965 )

Deux freres en fuite pour avoir supprime un patron de gang se dissimulent au sein d'une equipe d'ouvriers du batiment. Ils decouvrent alors la vie miserable du proletariat et l'emprise des yakuzas sur ce secteur.

Vraiment mortel ce Suzuki, jusqu'a présent c'est de loin celui que j'ai préféré et je dirais même que c'est le seul auquel j'ai totalement adhéré du début jusqu'à son monstueux final. Car même si j'aime beaucoup un film comme La marque du tueur faut bien reconnaitre que ces nombreuses expérimentations visuel et sa naration éclatée ( presque chaotique même ) font qu'il est souvent possible de décrocher.

Ici Suzuki choisit de ranconter son réçit de façon plus traditionnelle et posée, on a un peu l'impression de visionner une cronique social comme il s'en faisait dans le cinoche japonais des 50/60's et c'est souvent en décors extérieur que l'on suit donc ces deux frères qui tentent d'échapper à leur passé, deux frères aux caractères totalement opposés, l'un plus fort dont on devine un passé très chargé dans la violence et l'autre, plus jeune et également plus sensible et qui a plus de mal à accepter leur situation. Chacun des deux frères connaîtra l'amour à sa façon l'espace d'un instant.

Et puis au bout d'une heure de film arrive le moment tragique du réçit, la scène décisif où le rouge va envahir l'écran nous faisant bien comprendre que le sang va couler. On quitte l'aspect très terre à terre du métrage pour plonger en plein débordement pop et baroque où dans un maelstom de fureur les couleurs criardes dominent, le ton donné semble tellement trancher avec tout ce qui a précédé que ça en devient presque surnaturel et c'est dans une ambiance qui flirte carrément avec le fantastique que le combat final et gros morceau de bravoure du métrage va avoir lieu. Et là c'est un délice pour les yeux, Suzuki nous sert des combats au sabre où l'on passe d'une pièce à une autre un peu à la maniète dont on ouvre des poupées russes et un gun's fight dans une pièce sombre où chacune des détonations éclaire les lieux d'une lumière rouge nous permettant d'apercevoir l'action par fragments. Virtuose dans sa réal, nous servant des cadres hallucinant de beauté dans de superbes décors et avec une façon géniale de faire prograisser l'action, les 20 dernières minutes du film sont un sommet dans la carrière de Suzuki ( et tout simplement dans le cinoche japonais ).

8,5/10
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Dieu de la Guerre (Le) - 7,5/10

Messagepar angel.heart » Dim 08 Jan 2012, 16:55

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Le dieu de la guerre de Wang Yu ( 1973 )

En l’an 1556, durant la Dynastie Ming, la côte est chinoise est envahie par des hordes de soldats japonais ivres de conquêtes. Alors que la population subit sans riposter, lâchée par le gouvernement chinois corrompu, un homme surgi de nulle part décide d’organiser une résistance en ralliant à sa cause les meilleurs combattants du royaume.


Bah sans surprises c'est un bon film, ça tire sur le très bon même mais j'ai en fait quelques petits reproches à faire qui selon moi empêche le métrage d'atteindre le statut de petite tuerie. Le premier réside dans la presentation et la caractéristion de ses personnages. Bon déjà faut savoir qu'on a presque affaire à une version chinoise des 7 samourais, la trame scénaristique empruntant les grandes lignes de l'oeuvre de Kurosawa puisque pour défendre des villageois de l'envahisseur japonais un guerrier va chercher à rassembler les meilleurs lames de la région. Seulement voilà cette partie semble un peu expédiée et sonne plus comme un passage obligé où on va nous presenter en vitesse une petit brochette de personnages dont chacun possède plus où moins sa spécialitée ( comme les couteaux ) mais ça aurait été pas mal de développer un peu les caractères pour peut-être mieux comprendre et adhérer aux motivations de chaques guerrier. Wang Yu ne cherche clairement pas à s'attarder là dessus mais semble surtout bien pressé de nous livrer la bataille finale entre les 2 armées puisque celle-ci arrive à la moitié du métrage.

Du coup ce que le métrage perd en psychologie il le gagne en action puisqu'on va en avoir non stop pendant 45 minutes. Mais bon là encore y a un truc qui me dérange c'est que même si c'est généreux et qu'on apprécie le choix de pratiquer des combats sans cables pour accentuer la volonté de donner dans le réalisme, 45 minutes c'est quand-même un peu trop quand on filme des acteurs aux capacités martiales très limitées à moins bien sûr de compenser tout ça par de solides chorégraphies mais ce n'est malheureusement pas le cas ici. Après y a rien de bien honteux non plus hein mais c'est juste que c'est selon moi trop banal pour être autant étiré en longueur ( Bah ouais ce qui passe à merveille chez Yuen Woo-Ping ou Liu Chia-Liang passe moins bien chez Wang Yu, même si j'admets que ma comparaison n'est pas totalement appropriée mais quand-même... ).

Enfin là je donne beaucoup de défauts mais j'ai quand-même vraiment kiffé hein. Donc pour justifier mon 7,5 je dirais que c'est assez spectaculaire ( l'effet de masse fonctionne bien ) et qu'il y a une certaine fureur qui se dégage des combats ( scène où un homme bouffe la gorge de son ennemi avant de mourir ), qu'on navigue parfois dans une atmosphère proche du western ou du chambara ce qui est quand-même bien cool et surtout ô grand surtout; le duel final est vraiment mortel! Un duel nocturne qui se déroule dans un chouette décors ( bonne utilisation du moulin ) où l'action est éclairée par les torches des guerriers des deux clans qui restent spectateurs au combat qui oppose un Wang Yu ( définitivement plus imposant un sabre à la main ) très classe dans son costume blanc taché de sang à un Lung Fei tout aussi charismatique qui bénéficie d'une solide aura de guerrier invinsible. Sans spoiler je dirais juste que l'issue du duel est absolument térrible.

7,5/10
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Rodan - 7/10

Messagepar angel.heart » Lun 09 Jan 2012, 16:18

Image
Rodan de Inoshiro Honda ( 1956 )

De titanesques ptérodactyles vont s'abattre sur une ville minière victime d'un tremblement de terre qui a libéré les terrible volatiles.

Bien cool ce kaiju eiga ( film de monstre japonais ), j'en attendais pas grand chose et j'ai vraiment été agréablement surpris. Le film bénéficie d'une solide ambiance et joue à fond la carte du premier degrès, aucune note d'humour à l'horizon, c'est avec le plus grand sérieux qu'on évolue dans un Japon d'après guerre au climat bien tendu. Les monstres ( issus des radiations nucléaire ) sont plutot bien foutu et leurs apparitions sont pour la plupart assez impressionanntes avec une prime une très bonne utilisation des maquettes où perso j'ai vraiment été surpris de voir que ça sonnait presque pas kitch. Mais vraiment... Genre à 20 minutes de la fin du métrage on à une pure scène où dans une putain d'atmoshpère apocalyptique l'armée envoie ses missiles sur un monstre, détruisant tout une ville par la même occasion et franchement rarement la destruction de petites maquettes en carton aura eu un rendu aussi spectaculaire à l'écran.

Alors après y a bien quelques petits souçis dans le déroulement de l'action et dans la gestion du temps puisque dans la première partie tout semble un peu balancé de façon aléatoire et on a pas trop de repères nous indiquant sur combien de temps le film se déroule mais bon c'est pas bien méchant et à aucun moment ça m'a gaché mon plaisir. Vraiment une bonne surprise.

7/10
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Re: [angel.heart] Mes critiques en 2012

Messagepar Scalp » Ven 13 Jan 2012, 17:49

Ta signature est classe, de loin les plus jolie plan de ce film.
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Re: [angel.heart] Mes critiques en 2012

Messagepar angel.heart » Ven 13 Jan 2012, 18:00

Merci! Mais le film est une tuerie de toute façon ( et je suis pas sûr que ty l'ai vu mais si ce n'est pas le cas faut quand-même que tu vois la porte du paradis ( même si t'es pas fan de Cimino )).

PS : C'est quand j'arrète les critiques qu'on va venir posté sur mon topic! Si ça c'est pas du foutage de gueule... :mrgreen:
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Re: [angel.heart] Mes critiques en 2012

Messagepar Scalp » Ven 13 Jan 2012, 18:25

Je voulais pas polluer un topic juste pour parler de ta signature donc j'ai posté là ;)

La Porte du Paradis ça me tente pas des masses, après Cimino c'est pas que je suis pas fan c'est juste que je trouve qu'il fait des films trop long.
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