[Caducia] Mes critiques en 2012

Modérateur: Dunandan

Re: [Caducia] Mes critiques en 2012

Messagepar Heatmann » Jeu 12 Jan 2012, 16:03

Scalp a écrit:C'est French Connection en moins bien le climax final :mrgreen:


ben carrement meme

Alegas a écrit::lol:


faut aller au dela du combo regard serieux dans le vide/ photographie de keke , et tu verra que y a plein de truc dans le final de French connection au dela de l aspect rugeux de l image et des fringues de hackman :nono:
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Re: [Caducia] Mes critiques en 2012

Messagepar Milkshake » Jeu 12 Jan 2012, 18:43

Gray il démonte French Connection dans toutes ses largeurs. 8)
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Re: [Caducia] Mes critiques en 2012

Messagepar Scalp » Jeu 12 Jan 2012, 18:46

Le lol du jour (bis)
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Shooter, tireur d'élite - 6,5/10

Messagepar caducia » Jeu 12 Jan 2012, 20:30

Shooter tireur d'élite

Réalisé par Antoine Fuqua

Avec Mark Wahlberg, Michael Peña, Rhona Mitra
Action / USA -2h04 2007

6.5/10






Synopsis

L'éclaireur et tireur d'élite Bob Lee Swagger s'est couvert de gloire sur divers fronts avant qu'une odieuse trahison ne l'amène à quitter les Marines et à se couper du monde. Reclus dans un chalet, au sommet d'une montagne quasi inaccessible, Swagger pense avoir tourné la page et se croit désormais à l'abri de toute nouvelle mésaventure.
Mais lorsque le colonel Isaac Johnson vient le relancer et lui demande une fois de plus son aide pour déjouer un complot imminent contre le Président des Etats-Unis, le "shooter" ne peut se dérober à son devoir.
Comment pourrait-il anticiper le piège diabolique qui lui est tendu et deviner qu'il va bientôt se retrouver accusé de tentative de meurtre ? Traqué à travers tout le pays par une meute de mercenaires, il est obligé de mobiliser toutes ses ressources pour survivre, retrouver son honneur et déjouer la plus terrifiante des conspirations.


Critique

Un pur film d'action 100% adrénaline et testostérone réalisé par Antoine Fuqua avec Mark Wahlberg en rôle principal. Swagger est un mélange de Rambo et MC Gyver, soldat surentrainé dans les techniques de tirs, combats, survie, camouflage...
C'est un peu un homme blessé par son passé sur le terrain et qui décide d’arrêter dans un coin reculé en solitaire, personnage un peu cliché.




Dès le début, on se rend comte que c'est un vrai pro avec un fort sens de l'honneur et de solidarité entre soldats, un vrai bon samaritain. Mais malheureusement c'est son sens de la loyauté qui va le perdre car quand le gouvernement US lui confie une nouvelle mission, il ne peut pas dire non et met le doigt dans l'engrenage.
Le scénario permet une action omniprésente sur fond de manipulation politique, mais il y des rebondissements peu crédibles, mais bon "Shooter" ne se regarde pas pour l'histoire mais surtout pour le rythme d'action poussé.
Les rôles secondaires féminins (Kata Mara et Rhona Mitra) sont malheureusement pas exploités et elles apportent un touche de charme minime.
Danny Glover joue le politicien manipulateur mais je le trouve transparent et caricatural, rôle de catégorie alimentaire pour le monsieur, il en est de même pour tous les bad guys du film trop caricaturaux.

Image


Shooter reste un divertissement efficace et bien mené permettant de garder l'attention du spectateur avec des scènes d'action variées plus ou moins violentes. Wahlberg joue des poings, de la gâchette, des tenues de camouflage (toutes plus glamour les unes que les autres, surtout celle de la fin) et autres accessoires de bricolage.

On suit ses pérégrinations avec plaisir et sympathie et on s’aperçoit que Wahlberg maitrise toutes les situations, il est un fin tacticien et élaborer des plans sans accros mais peut aussi s'adapter et se sortir de situations improbables grâce à ses muscles et ses neurones. C'est Mr Parfait en quelques sortes, c'est un peu dommage qu'il ne soit pas un peu faillible et plus humain qu'un simple militaire issu du film "Soldier", une machine à tuer.



Le seul point marrant de son personnage c'est son humour pourri qui se résume à deux répliques dans le film où on ne sait pas si c'est un ton décalé ou du premier degré. Des répliques pas trop bien écrites à la limite du ridicule. Dommage, car la petite touche d'humour à la Schwarzenegger çà fait du bien, ici le film se prend un peu au sérieux.

Une action bien dosée avec quelques moments de repos pour notre soldat dans les bars de Kata Mara avec un amour interdit sous entendu, mais inutile car pas exploité du tout.

Le mélange de types d'action et des lieux permet de ne pas s'ennuyer : course poursuite à pied ou en voiture, combat à mains nues, fusillades en toutes circonstances... Je trouve juste que les effets un peu trop dévastateurs de balles sur les cadavres ne sont pas hyper crédibles, mais elles restent assez jouissives visuellement pour les spectateurs les plus sadiques. Mais tous ses exploits qui s'enchainent demeurent peu crédibles dans certaines situations. J'avoue avoir apprécié les scènes montagneuses avec un contraste Sang /Neige de toute beauté.

Scénario un peu trop lisse avec le tireur d'élite qui incarne la liberté, le courage, l'americain moyen qui défend les plus faibles et contre les atrocités commises dans le tiers monde, seul face contre tous. De l'autre coté, "les puissants" politiciens manipulateurs et nantis qui se cachent derrière le secret militaire et les lois pour manipuler le monde. Dommage que ces symboles vus et revus soient encore d'actualité.
De plus, le scénario ne donne pas toutes les réponses aux questions évoquées. Pourquoi les politiques pourris veulent la mort du président (pour prendre sa place ?), pourquoi ils ont choisi Swagger comme pigeon ? (car ils ont pas choisi le bonhomme le plus facile à convaincre et à arnaquer ).
Image


Ensuite, on arrive pas à situer le long métrage dans la vraie histoire américaine, car le film étant pendant la période Bush Junior, je pense que pas mal de soldats auraient aimé le dézinguer pour ce qu'il a fait en Irak. C'est donc une dénonciation de la guerre et de ses barbaries plus général dont il est question ici, mais ce thème a déjà été traité maintes et maintes fois au cinéma.

Film loin du politiquement incorrect misant sur l'action avant tout mais un scénario un peu trop formaté avec un héros sans faille.
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Re: [Caducia] Mes critiques en 2012

Messagepar moricenlive » Jeu 12 Jan 2012, 20:40

Milkshake a écrit:Gray il démonte French Connection dans toutes ses largeurs. 8)

BOUM

Si j'avais un momo approved j'en placerait un ici. 8)

Ceci dit j'ai pas vu french connection, mais l'idée me plait.
When a noise bothers you, listen to it John Cage.
scalp a écrit:Southland Tales d'un drogué
On dirait une version scary movie de Strange Days.
10/10
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Re: [Caducia] Mes critiques en 2012

Messagepar Val » Jeu 12 Jan 2012, 21:23

:lol:
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Very Bad Cops - 5/10

Messagepar caducia » Ven 13 Jan 2012, 19:13

Very Bad Cops

Réalisé par Adam McKay

Avec Mark Wahlberg, Will Ferrell, Samuel L. Jackson
Comédie / USA -1h47 2010

5/10






Synopsis

Les inspecteurs Christopher Danson et P.K. Highsmith sont les meilleurs flics de la ville. Ce sont des héros que rien n’arrête. Leurs collègues vont même jusqu’à se faire tatouer leur nom.
Mais dans la police, il y a les cadors… et les autres, comme Gamble et Hoitz, deux petits inspecteurs sans envergure, toujours dans l’ombre, au second plan sur les photos. Pourtant, un jour ou l’autre, chaque agent rencontre l’occasion de passer à la postérité.
Lorsque Gamble et Hoitz se chargent d’une affaire apparemment banale, ils se retrouvent vite au cœur de la plus grande affaire criminelle que la ville ait connue. C’est la chance de leur vie, mais ont-il vraiment ce qu’il faut pour la saisir ?


Critique

Film assez décevant dans l'ensemble.
Pour moi c'est déjà de la publicité mensongère de mettre The Rock et Samuel L Jackson sur l'affiche étant donné la teneur de leurs rôles.
En effet, le film commence très fort avec des cascades spectaculaires, explosions puissantes, un vrai divertissement dans le style "bad boys" avec ce duo de flics stars, qui envisage un film très prometteur. Hélas, nos deux amis ne feront pas long feu avec une disparition assez incompréhensible.

Du coup, notre couple de super flics est remplacé par un autre tandem mais ce sont plutôt des bras cassés.
Mark Wahlberg (Terry Hoitz) est un flic teigneux qui aime l'action et le terrain mais qui a commis une bavure l'obligeant à ne sévir que derrière un bureau. Personnage frustré qui a un fort besoin d’adrénaline mais qui a aussi un coté poétique, mais une poésie très imagée que personne ne comprend. Un rôle de roquet plutôt décalé et qui dénote dans la filmographie de Wahlberg avec beaucoup d'autodérision et rôle physique aussi. Wahlberg est correct mais sans plus.

Image


Will Ferrell (Allen Gamble) est le personnage le plus burlesque, étonnant, déstabilisant. Un planqué de première, a qui il manque des cases, mais qui a un pouvoir magnétique sur les femmes qui tombent comme des mouches (oui, mais bien sur !). Will Ferrell assure un max et garde son air sérieux même dans les situations les plus loufoques, c'est un habitué du genre.
Adam McKay , le réalisateur joue sur le contraste de ces deux flics complétement opposés. Avec un Will Ferrell qui a une tête de plus que Marky qui passe pour un nabot.
A première vue, c'est Ferrell le looser de première et Wahlberg le winner, mais au fil du long métrage on voit que c'est plutôt l'inverse avec un Hoitz qui a une vie peu divertissante, vide qui tourne autour de son travail et Ferrell qui a une superbe femme (Eva Mendes en contre-emploi total ) et beaucoup d'activités (même si elles sont débiles) en dehors de son travail et il a de nombreuses qualités cachées mais des gouts douteux.
Gros décalage aussi entre Ferrell et Eva Mendes en couple d’obsédés sexuels, çà c'est excellent et bien trouvé.

Le méchant (Steve Coogan ) qui me fait trop penser à Benard Henri Levy est à baffer, mais sans charisme, un lache de première. Enfin, il n'est pas bien méchant dans le fond, le film fait référence à Madoff mais çà n' a rien à voir.
Image


Ces deux gratte-papiers transparents vont donc être amenés sur le terrain et enfin sortir du placard et passer à l'action en commettant des bourdes pas possible, mais ils vont s'accrocher pour notre plus grand plaisir.
Le film est riche en action,courses-poursuites , rebondissements,quiproquos , running gags, dialogues et situations décalés. Le duo de flics est savoureux, mais c'est surtout le comique de situation qui fonctionne, pour ma part, les dialogues de deux plombes avec le délire sur les animaux je ne comprends rien...et c'est un humour en dessous de ceinture lourd par moment et peu drôle.
J'aime beaucoup quand Wahlberg de tempérament si calme pète un câble et casse tout, c'est très jouissif mais quand il déblatère son truc du paon volant c'est du grand délire.

Réalisation correcte qui est rythmée mais le réalisateur s'attarde un peu trop sur certains effets visuels (bullet time dans le bar) et çà ne devient pas très subtil.
Les clins d’œil disséminés sont plus distrayant (Pulp Fiction) mais de nombreuses apparitions de star ont été coupées au montage...mais ils ont laissé des scènes nullissimes, va comprendre !

Scénario peu crédible voir absurde mais çà c'est normal sans grande cohérence, çà part dans tous les sens.
Dommage que nos deux tocards ne sauvent pas le monde, mais ne font que dénoncer une fraude bancaire à Wall Street.

Buddy Movie dynamique agréable à regarder mais assez inégal, dialogues improbables peu compréhensibles, mais un vrai comique de situation et casting réussi aussi. Reservé aux amateurs mais film dont aucune scène ne restera dans les annales du cinéma.
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Guerre des Boutons (2011) (La) - 6/10

Messagepar caducia » Ven 13 Jan 2012, 21:21

La Guerre des boutons (2011)

Réalisé par Yann Samuell

Avec Eric Elmosnino, Mathilde Seigner, Fred Testot plus
Comédie / France -1h49 2011

6/10







Synopsis

1960, un village dans le sud de la France. Une bande de garçons, âgés de 7 à 14 ans, menée par l’intrépide Lebrac, est en guerre contre les enfants du village voisin, leurs ennemis jurés. Une guerre sans merci, qui dure depuis des générations. On se bat pour l’honneur et la fidélité et, pour gagner, tous les moyens sont bons. Même, s’il le faut, combattre nu comme un ver, ou pire, accepter l’aide de Lanterne - une fille ! - la nouvelle recrue de la bande, pleine de panache et d’ingéniosité. Mais il n’est pas facile d’être une armée de petits hommes sans se faire attraper par Papa et Maman ! Quand, après la bataille, on rentre à la maison, les vêtements en lambeaux et des boutons en moins, mieux vaut se faire discret…


Critique

Adaptation du du livre de Louis Pergaud, je ne me souviens guère de la toute première de 1961, c'est avec un œil neuf que je me suis replongée en enfance.
Ce film m'a rappelé l'ambiance des "choristes" avec beaucoup de nostalgie sur cette époque où même les gens simples se contentaient de ce qu'ils avaient et avec plein de bons sens et rarement des arrières pensées. Une époque où les instituteurs étaient respectés par les gamins et éprouvaient aussi un respect mutuel et de l'affection pour eux, mais tout celà est révolu. Un mode d'instruction assez strict mais quoi de plus normal.

Je trouve que les gamins ont été très bien castés très naturels, spontanés avec une belle performance de Vincent Bres interprétant Lebras.
Sinon, les acteurs connus permettent d'inscrire des noms racoleurs sur l'affiche avec plus ou moins de réussite.
Eric Elmosnino en maitre d'école est crédible et simple, qui colle bien au personnage.
Fred Testot en curé de la paroisse est étonnant, même si sa soutane nous fait penser au SAV et à ses sous entendus douteux. Lui aussi joue la sobriété et les rares scènes où il apparait son distrayante : la photo de classe, la messe, la projection du film.
Alain Chabat , une belle erreur de casting en instit faussement méchant, avec un ton surjoué et qui sonne faux, une allure ridicule.




Mathilde Seigner, c'est le pompon. Un jeu à la Camping de seconde zone, n'importe quelle actrice débutante serait plus convainquante.
Ce qui est dommage c'est que tous les rôles d'adultes durent que quelques minutes chacun et sont d'une utilité très secondaire et çà montre juste que c'est pour donner de la notoriété au film et rien de plus.

Le scénario est cohérent même si ce n'est pas passionnant, on se laisse prendre par cette naïveté enfantine et cette gentille chamaillerie entre clans rivaux.
La nostalgie nous gagne et on repense aux trucs idiots qu'on a pu faire gamin pour tuer l'ennui dans les campagnes où il y a pas grand chose à faire.
Sammell essaye d'intégrer des filles dans la bande de garçons avec des amourettes plus ou moins prononcées mais çà n'apporte pas grand chose si ce n'est un peu légèreté.
On y retrouve des enfants très matures comme Lebrac ou Salomé Lemire qui sont assez précoces pour leur age qui sont mélangés avec des enfants plus basiques plein de rêves et un peu déconnectés de la réalité et ce sont eux qui sont le source de la magie du film.
On peut se demander pourquoi les gamins se font une telle guerre qui est avortée après coups par-ci par-là pour mieux recommencer les jours suivants. C'est pour se distraire ? pour une histoire de respect ? pour se lancer des défis ? Et bien, on n'aura jamais la réponse mais ce n'est pas bien grave car les gamins font des trucs qu'on ne s'explique pas irréfléchis.
J'ai bien aimé la séquence de la fête des boutons faite de brics et de brocs qui montrent une solidarité et une envie de réaliser une chose commune et donner du plaisir aux autres. Une séquence magique où tout spectateur aurait aimé assister car même si çà n'est pas grand chose, c'est beau.
L'ambiance rétro fait du bien et nous vide l'esprit de la complexité de la vie actuelle, on revit de beaux instants avec ces gosses et on se souvient de gens de la campagne qui travaillaient sans se plaindre et continuaient à avancer en restant digne, sans avoir la main tendue.



La réalisation est assez moderne avec un beau travail sur les couleurs et la campagne bien mise en valeur qui ajoute un peu de poésie supplémentaire. Film léger qui prône des valeurs universelles : amitié, entraide, respect à travers les yeux d'enfants qui sont encore dans leur monde et n'ont pas encore découvert les aspects sombres de la vie sauf peut être Lebras, mais celui-ci ne pourra pas rester dans cet univers privilégié de liberté et de joie de vivre.
Une histoire classique bien gentillette sans aucune prise de risque avec quelques pointes d'humour mais surtout une tranche de vie d'une époque, mais je trouve que celà manque d'émotions fortes (hormis la scène finale) pour en faire un grand film.
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Outlaw - 5/10

Messagepar caducia » Sam 14 Jan 2012, 16:58

Outlaw

Réalisé par Nick Love

Avec Sean Bean, Danny Dyer, Lennie James
action UK -1h43 2008

5/10







Synopsis

Un groupe d'hommes s'estimant trahi par le gouvernement et lâché par leurs proches décide de former un gang de hors-la-loi, et de régler leurs comptes avec les maux de la société.


Critique

Réalisé par Nick Love (Monsters), le scénario de base était intéressant avec un ancien soldat Bryant (Sean Bean) qui rentre au pays (Angleterre) et subit un vrai choc avec ce retour dans la vraie vie, pour en tirer un triste constat : "c'était mieux là-bas".
En effet, il rentre chez lui et trouve sa femme dans les bras d'un autre, la société se casse la figure avec une violence urbaine en ébullition et une police complétement incompétente et débordée. Celui-ci va se trouver une trouve de camarades de jeu pour rendre justice lui-même.
La petite troupe des "hors la loi" est assez éclectique, on y retrouve un futur jeune marié qui a été agressé très violemment, un avocat de renom dont sa femme a été tuée, un jeune qui a été battu à mort et défiguré....
A part Bryant, ils n'ont aucune expérience en matière d'armes à feu ou d'autodéfense mais ils sont déterminer à se venger en s'unissant voyant la défaillance du système traditionnel.

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Reprenant le thème de "death sentence", le début du film semble prometteur où on assiste dans un premier temps aux sévices qu'ils ont subit qui sont assez violents, ce qui permet au spectateur de se placer à leurs cotés. Puis, Bryant embrigade ses futurs associés pour les tester puis les former à tuer. Une vraie montée en puissance de l'action, où on perçoit la détermination de la troupe et on se dit que leur vengeance sera terrible et que le sang va couler.

Certes, notre petite troupe va rendre des comptes en kidnappant les responsables, en les assommant de coups, en les exécutant froidement, mais le rythme du long métrage est inégal et on s’ennuie pas mal car nos vengeurs se posent pas mal de questions avant d'agir et ne savent pas tuer ou blesser sans se retourner les méninges. Bryant est le seul à assurer le travail proprement et sans question.
Enfin, celà montre que même si au départ, ils étaient prêts à se venger à tous prix, face à la réalité tout change et il est difficile de franchir le cap de non retour. Ce qu'il fait que çà n'a rien à voir avec "death sentence" où Kevin Bacon ne se pose pas de question et agit comme une machine à tuer.

Image


Sean Bean est très crédible avec toujours un fort charisme, et ici il est le leader de cette troupe, il reste impassible et froid face à tout ce qui se passe autour de lui.
Les autres acteurs sont juste corrects mais mention spéciale à Bob Hoskins qui lui assure un max.

Le film joue sur le réalisme mais par contre le réal utilise un effet de caméra "nystamus" sur 90% de plans, c'est très désagréable et çà dessert énormément le film çà n'apporte rien sauf un mal de crane. Sinon, la photographie est plaisante avec des jeux de lumière verts/blancs et de nombreuses vues du ciel des buildings londoniens by night.

Le film est complétement dénué d'humour et se veut réaliste avant tout.
Il dénonce l'incapacité de la justice dans la société et la vengeance au délà des lois mais le film semble avorté et ne pas aller au bout des choses avec des personnages qui se défilent, le résultat final est assez moyen et pas si violent que çà.
Film prometteur mais un peu trop répétitif, même si la scène finale remonte le niveau, l'ensemble reste passable sans plus avec une histoire un peu trop linéaire.
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Film: Outlaw
Note: 4/10
Auteur: osorojo
Film: Outlaw
Note: 5,5/10
Auteur: Scalp

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28 jours plus tard - 7/10

Messagepar caducia » Dim 15 Jan 2012, 11:45

28 jours plus tard

Réalisé par Danny Boyle

Avec Cillian Murphy, Naomie Harris, Christopher Eccleston
Science fiction, Horreur UK -1h52 2003

7/10



Image



Synopsis

Un commando de la Protection Animale fait irruption dans un laboratoire top secret pour délivrer des dizaines de chimpanzés soumis à de terribles expériences. Mais aussitôt libérés, les primates, contaminés par un mystérieux virus et animés d'une rage incontrôlable, bondissent sur leurs "sauveurs" et les massacrent.
28 jours plus tard, le mal s'est répandu à une vitesse fulgurante à travers le pays, la population a été évacuée en masse et Londres n'est plus qu'une ville fantôme. Les rares rescapés se terrent pour échapper aux "Contaminés" assoiffés de violence. C'est dans ce contexte que Jim, un coursier, sort d'un profond coma...


Critique

Film de Danny Boyle qui a par la suite inspiré pas mal de films de zombies sur une ambiance apocalyptique : "Doomsday", "je suis une légende", "les fils de l'homme" et même une suite "28 semaines plus tard".

Cillian Murphy est méconnaissable physiquement, hyper maigre et c'était avant ses opérations de chirurgie esthétique. Son jeu est sobre et naturel.

La scène d"ouverture est un peu maladroite.
Le début du film est excellent avec un Cillian Murphy qui erre dans Londres aux rues désespérément vides et où Boyle met en scène des lieux symboliques habituellement grouillant de touristes. Ces vues sont absolument irréelles et techniquement çà a du être un cauchemar à réaliser et assez unique au cinéma. De plus, le réalisateur aime faire des plans de longue durée pour augmenter l'impression d'immense solitude de Jim. Une ville froide et dévastée qui rend une atmosphère pesante et un certain malaise, et ce n'est que le début.
Boyle aime aussi insérer des éléments très clichés (taxi UK, bus...) que tout le monde connait pour que chacun puisse s'identifier au récit. Tout ce qui fait tourner la société (argent, publicité...) ne sert plus à rien dans ce monde abandonné.
Cillian Murphy est dans le dénuement total, sans repère, sans famille, il n'a plus qu'à errer dans une direction et voir ce qu'il y trouve...

[center]Image


Par la suite, on assiste à l'apparition de premiers gens infectés qui se transforment en zombies sanguinaires. Je dois dire que les apparitions font mouche à chaque fois et que le spectateur doit sursauter à tous les coups car elles sont si rapides et violentes. Des effets spéciaux très réussis et des images d'une rare violence avec énormément d’hémoglobine.
Les zombies renouvellent le genre "deux de tension" de Romero pour des infectés à la REC, très agressifs et agiles.
Danny Boyle mise sur les images choc et va assez loin car il n'épargne personne les bébés, les enfants, vieillards, tout le monde est atteint par le virus qui est une fatalité ne faisant aucune discrimination.
Boyle met en avant un personnage féminin fort Selena (Naomie Harris) qui incarne la détermination, l'envie de survie et une certaine sauvagerie, mais çà me dérange de voir une black avec une machette à la main , çà rappelle fortement les massacres en Afrique, c'est assez malvenu, lui donner un gun ou une autre arme aurait été moins racoleur.

Boyle aime aussi casser le rythme du film avec une alternance de séquences de vie quotidienne banale mélancoliques ou de survie et séquences ultra gores très brèves. Le réalisateur s'attarde donc sur des paysages de campagne avec un groupe de chevaux blancs, des couchers de soleil...pour rappeler qu'il existe encore des traces de vie dans ce monde vicié. Ces scènes poétiques ou banales qui tranchent avec celles d'action sont une petite sous pape permettant de détendre la pression. Ces scènes si banales (courses au supermarché, balade en taxi en toute décontraction...) semblent assez décalées dans un tel chaos. Et c'est vrai que les protagonistes ne semblent pas très stressés par la situation et ne font que constater les dégâts sans étonnement.
La relation entre Franck (l’imposant Brendan Gleeson) et sa fille Hannah apporte un peu d’émotion mais n'est pas fortement exploitée.




Mais au bout d'une heure, le film prend un nouvel angle et notre groupe de non infectés se retrouve hors de la cité londonienne avec un seule loi , celle de la survie avec tous les sacrifices que celà comprend. Boyle ajoute encore un symbole avec le statue grecque de Laocoon contre le serpent qui correspond à l'humanité contre le virus et la mort inéluctable.
Boyle nous montre les soldats comme de gros abrutis à l'humour gras et à l'esprit mal placé, capable de tortures et autres atrocités (viol, charniers...) assez caricaturale , pas très original pour le coup.
Le tandem de civils devra choisir entre les bas instincts des soldats et la horde des contaminés assoiffés de sang.

Le réalisateur créé une tension civils / soldats avec un sentiment de malaise profond et le clash va bien avoir lieu, et Jim se métamorphose pour sauver ses deux petites femmes qui incarne sa nouvelle famille et fait jaillir l'animal qui est en lui.
La fin est un peu plus discutable et vite expédiée avec un impression de "pas fini" et de happy end trop parfaite encore clichée et conventionnelle qui tranche avec le coté expérimental de la réalisation.
Les dialogues sont peu présent, on pourra vaguement entrevoir un discours philosophique lors du diner avec les soldats mais çà ne vole pas très haut.

Ce film est devenu une vraie référence du genre, qui est depuis copié et recopié. Il reste choquant par sa grande violence et confrontation étroite homme-zombie contrastant avec les images poétiques et désuètes. Mais, je n'aime décidément pas les zombies alors ce film n'est pas du tout mon kif mais je conçois que les amateurs du genre soient comblés. Je trouve que çà manque un peu de philosophie et de psychologie et que c'est un peu de la violence gratuite.
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Re: [Caducia] Mes critiques en 2012

Messagepar Milkshake » Dim 15 Jan 2012, 15:22

Tien je viens d'apprendre que Cillian Murphy était passé sous le bistouri :mrgreen:
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Terminator 2 - 10/10

Messagepar caducia » Lun 16 Jan 2012, 18:57

Terminator 2 : le Jugement Dernier

Réalisé par James Cameron

Avec Arnold Schwarzenegger, Linda Hamilton, Edward Furlong
Science fiction, Thriller,USA -2h15 1991

10/10






Synopsis

En 2029, après leur échec pour éliminer Sarah Connor, les robots de Skynet programment un nouveau Terminator, le T-1000, pour retourner dans le passé et éliminer son fils John Connor, futur leader de la résistance humaine. Ce dernier programme un autre cyborg, le T-800, et l'envoie également en 1995, pour le protéger. Une seule question déterminera le sort de l'humanité : laquelle des deux machines trouvera John la première ?


Critique

Chef d'oeuvre absolu de James Cameron où il sort l'artillerie lourde. La réalisation parait à 1ere vue tout à fait classique, mais le film est bourré des plans de caméras inventifs discrètement parsemés pour donner un long métrage très équilibré laissant place à l'action, le coté science fiction qui tient parfaitement la route, une forte empathie pour les personnages...

Arnold Schwarzenegger en machine à tuer dans le 1 revient mais du coté des gentils cette fois-ci et même si à première vue çà ne se voit pas, son niveau de technologie a évolué lui permettant d'apprendre auprès des humains et de s'adapter aux situations. Scwarzy est excellent avec son allure raide et pas un sourire du début à la fin et sa relation avec John Connor est touchante et bien exploitée par le scénario.
Look quasi identique au 1er épisode, cool avec veste de cuir et fusil à pompe.

Linda Hamilton (Sarah Connor),parano très maigre et athlétique, avec une belle tête de junkie, l'anti-héros à la base qui n'a rien à voir avec son rôle de T1. Sa performance est aussi remarquable, très juste crédible qui laisse une image de femme mercenaire déterminée forte.
Mais on a toujours un doute sur sa lucidité mentale, car elle peut péter un plomb d'un moment à l'autre. Pas du tout féminine, instable et hantée par des visions d'apocalypse, loin de la Linda Hamilton du Terminator I.
Caleron aime à nous rappeler son fort coté maternel qui ressort dès qu'elle voit un bambin se balader sous ses yeux. Héroïne symbolique : mère, amante et guerrière (et femme du réal.)

Edward Furlong (J. Connor) est aussi précoce pour son age, en ado rebelle qu'on a envie de gifler. Insolent, désobéissant, délinquant mais au fond de lui il sait que commettre de vilaines choses a ses limites et derrière son allure de gros dur, c'est qu'un gamin. Dommage que ce gamin ait si mal tourné sa carrière était prometteuse.
L'originalité de son personnage tient au fait qu'il incarne l'avenir de l'humanité, difficile de croire que le destin de la planète tient sur les frêles épaules d'un sale gosse.
Sous ses aspects petit con se cache un vrai héros insoupçonné.

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Robert Patrick (T-1000), aussi raide que Arnold dans sa démarche ou ses courses à pieds, il marquera les esprits surtout pas les effets spéciaux des années 90's qui n'ont pas trop vieilli et encore très beau visuellement. Ce méchant polymorphe est sans coeur, tue les gens de sang froid, résiste aux nombreux coups reçus, il est presque indestructible.
Et il aime bien regarder les proies qu'il a tué dans les yeux avec un petit mouvement de tête sur le coté ou dire "elle est chouette ta bécane" pour tuer son propriétaire et s"en emparer - éléments repris dans Terminator III (enfin, si on y regarde de plus près dans le T-III, ils ont repris la structure de base scénario du T-II et ont modifié maladroitement l'emballage).
Le T-1000 parait nettement plus moderne que le T-800, plus rapide, plus résistant, plus vicieux , plus aérien et sait que le combat ne sera pas gagné d'avance : l'acier contre le mercure.

Le contraste de style entre les deux cyborgs est bien mis en valeur, avec un Arnold plutôt bourrin, qui suit les ordre et ne réfléchit pas trop, flingue tout ce qui a sur son passage alors que le T-1000 fonce, esquive, et tue de façon chirurgicale et précise pour atteindre son but sans perte de temps et sans pétarade ni arme lourde.
Croisement d'un James Dean boudeur et du surfeur d'argent protéiforme, avec le vice de Dark Vador.




Le scénario est vraiment irréprochable avec une montée en puissance du suspense mais le réalisateur dose parfaitement les scènes d'action et les moments plus intimes, et sait aussi injecter une certaine dose d'humour ce qui est très rare dans un film de science fiction, d'autant que les dialogues sont constructifs, jamais inutiles et les répliques cultissimes.

L'arrivée des deux terminators respecte l'esprit de Terminator I avec une ambiance nocturne électrique mystérieuse. Avec, le T800 qui débarque à poil dans le bar - scène carrément repris dan le 3eme film.
Puis, Sarah Connor bodybuildée dans son asile de fou face à un système hermétique à ses pensées et pris dans un engrenage avec un quotidien démoralisant.
Le petit John qui ne penser qu'à se barrer de chez ses parents adoptifs et qui ne fait que des conneries à droite à gauche...

La rencontre John Connor / T 800 est énormissime avec une course poursuite les plus haletantes du cinéma qui commence au départ dans la salles d'arcades pour se terminer en course poursuite entre un semi-remorque et une Harley Davidson avec un T-800 impassible. Ces scènes d'action sont hyper fluides , tenant le spectateur en haleine, pleine ingénuité, une des séquences d'action les plus classes et les plus marquantes du cinéma.

Les scènes où Cameron met en scène l'apocalypse à travers les rêves de Sarah ou avec le pré-générique sont assez brèves mais marquent les esprits car extrêmement, fortes et maitrisées, c'est pourquoi j'ai été déçue dans "Terminator IV" de ne pas revoir l'esprit de ces séquences pendant tout le film, gros contraste du coup.
Le film comporte pas mal de scènes pyrotechniques sont très bien rendues en contraste avec la froideur du T-1000.

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La relation John Connor - T800 est assez inédite au cinéma, et on sait que le T800 est dépourvu de sentiments mais ressent la douleur, ne sait pas pleurer. De ce fait, la relation père/fils ne peut exister que dans un sens, Connor qui prend le robot comme père de substitution, mais à la toute fin, il est de droit de se demander si le T-800 a ressenti de la douleur au moment de quitter son créateur pour toujours.
Cameron utilise très bien les petites séquences d'intimité anodines qui font la jonction entre deux scènes d'action et permettent de mieux comprendre la relation entre les protagonistes et augmenter l'empathie du spectateur rendant "l'oncle Bob" attendrissant.
John Connor est sensé être le fils spirituel du T800, mais c'est bien lui qui lui apprend la vie et les pires bêtises, et essaye de transformer la machine à tuer en nounours.
Un pari risqué pour Cameron de vouloir attendrir l'image du Terminator avec des situations inattendues à contre emploi sans attendrissement inutile. "Mais çà le rend moins con" : plus astucieux, drôle et sadique, mais le pari est réussi et humanise le cyborg avec une aura émotionnelle.
Le T1000 essaye donc de mimer les humains par son pouvoir de caméléon technologique sans pouvoir y parvenir totalement, alors que le T-800 au contact des humains essayent de mimer les humains à leur contact.

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Scénario très innovateur non linéaire truffé d'action et de rebondissements. Le film est moins violent que le Terminator I avec des morts et presque aucune goutte de sang au rendez-vous, tout est suggéré. Cameron aime jouer avec les couleurs sombres (filtre bleu ) ainsi que le métal, le feu...
Une bande originale exceptionnelle par son générique et avec les bruitages qui rythme les pas du T-1000 lors des courses poursuites qui augmentent la tension ambiante.
Casting excellent, effets spéciaux innovants et pas trop voyeurs, maitrise de la réalisation et pointes d'humour sympathique. La fin est d'une émotion rare et relativement ouverte, laissant plusieurs possibilités d'évolution de l'histoire.
Scénario riche très prenant et qui tient la route, T-2 est bien plus édulcoré que son prédécesseur, moins noir pour un film à grand spectacle divertissant qui frôle la perfection.
Film culte qui reste efficace même 20 ans après.

Allez, des points négatifs...
Linda Hamilton avec sa permanente style "la belle et la bête" à coté des balançoires dans son rêve.
Quelques effets de maquillage sur la fin qui ont un peu vieilli.
problème de cohérence de dates par rapport aux différents épisodes.
Invraisemblance du voyage dans le temps du T1000 qui n'est pas constitué de chair (cf. Termiantor I)
je trouve le perso de Dyson plutôt raté.
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Re: [Caducia] Mes critiques en 2012

Messagepar comICS-soon » Lun 16 Jan 2012, 19:33

Bon ok t'aimes pas Dujardin, j'te pardonne...

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:super:
See ya in another life brother !
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Re: [Caducia] Mes critiques en 2012

Messagepar Hannibal » Mar 17 Jan 2012, 10:15

Et hop, le premier de l'année!

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Mark Chopper a écrit:La mode des années 2010 consiste à faire des suites de merde qui permettent de réévaluer des purges.
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Re: [Caducia] Mes critiques en 2012

Messagepar Heatmann » Mar 17 Jan 2012, 10:28

grosse critique la , bravo !

ouai T2 ca envoie bien niveau action , c est bien penser dans la construction , la real moi que je la trouve vraiment au poil , c est classe et hyper iconisant , plein de sequence memorable a juste titre
mais alors a mon gout perso y a pas photo avec le 1er , moi vouloir humaniser et rendre gentil et cool le t 800 ca me fait bien chier , le coup du T800 qui doit se mettre sur un pied et aboyer ou meme ces replique fun et tolerente ... pfff ca fontione pas du tout sur moi
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