Pathfinder a écrit: c'est une tuerie ce film, des gunfights déments avec une réalisation qui tue. JCVD y apporte une touche nanard mais le reste du film tout est inconique à mort. Suis fan absolue. Raimi s'est pas trompé en le produisant!
par contre y a pas de coter nanard dans hard target , van damme est classe , pis c etait 94 hein . si tu dit ca , c est que tu est pas un vrai fan
Pathfinder a écrit:
Mais après t'en as une chié de sympatiquement z, Double impact, Double team, Coups pour coups, Mort subite...
t'as aussi de drole de notion de Z
c'est de la bonne grosse serie B ca , absolument pas Zedard . faut pas melanger les torchon et les serviette . alors ouai tu aime , mais enfaite tu assume pas du tout quoi 
tu kiff le JC de la 1er epoque toi 
c est pour ca que moi j ai preciser que je mettai les mien dans l ordre 
Le nouveau alexender payne est arrivé ! il sait fait attendre celui-ci . Donc sans trop de surprise c’est bien, ca aurait difficilement pu être mauvais, ceci dit ces film on pour effet de souvent vous glisser sous la peau et on y repense souvent par la suite , ce qui sur le coup fait office d’un recit plutôt simpliste sur la condition de l’homme ( c’est bien ca chez payne , pour une fois on se tape pas des nana pleurnicheuse qui se questionne sur leur role et valeur ) reste bien en tete et se revele enfaite etre une succession de micro-scene rudement bien mener et forte . la comme ca je le trouve quand meme moin emouvant et touchant que Schimdt ou sideways , mais je sens que ce descendants en a encore sous le capot .
c’est ca que j aime bcp chez payne c est que il ecrit des drame qui empile pas mal de situation over dramatique pour les besoin de ces demonstration et sont propos . Ici il fout donc la femme de clooney en etat de legume, un comas qui aboutie pas , il faudra donc la debrancher , ce mari absent et lointain se rend compte que c’est l’oportuniter et signe du destin de ce raprocher d’elle et pouf il se rend compte qu’elle le trompait et allait divorcer ! ca reste donc bien cinematographique car cree des personnage multi couche vivant des moment fort , mais c est toujour ecrit et dialoguer de facon tres realiste , simple , crue fichtrement facile a s identifier , authentique , ca sent le vecut et sur les mot sa cherche pas a faire dans les grand tirade pretentieuse , c est terre a terre et droit au but , des reaction normal quoi .
et the descendants est un pur film personnel , du cinema d’auteur qui fait la part belle a ces acteur et leur ligne . Le scene ou clooney court chez ces voisin pour leur demander qui était l amant de sa femme est parfaite , les reaction du mari en soutient masculin , et la femme qui defant sa copine avec un clooney tirailler au millieu , les cliches des marriage imparfait/parfait , un ping pong qui reflete toute les palette des emotion paradoxale humaine entre amour-haine , rancœur , respect , bref tout le long le film joue sur ce paradoxe , ce clash qui servira a clooney de faire sont introspection .
Evidement tout ce fond est illustrer avec le cadre faussement idylique de hawai ou le drame arrive . pendant la plupart du film l’ile est montrer sous le vent , le ciel gris et meme des drame aussi proche et cruel peuvent arriver sous les cocotier , en tong et chemise a fleur . la realisation est discrete mais le cadre propose toujour un language qui inconsiament reflete avec une grande rigueur ce qui se passe dans la tete des perso , tout en contraste , et la voix off est aussi incisive que les dialogue croustillant , acerbe et d’une belle justesse .
Payne est comme on le sait un grand directeur d acteur . la sa echappe pas . clooney est parfait , vraiment un de ces plus beau role et interpretation les plus subtile , il fait pas les beau yeux comme a sont habitude la star s’efface totalemetn pour les besoin du drame . contre emploie largement reussit . malgre tout pour du payne ca manque de mordant , de moment de reel malaise et empeche que ca decolle plus que ces film precedent qui font de l ombre et du tort a celui-ci .
un anti-hero au cœur d’un western classique c’est inhabituel et le melange est tres interressant , et puis evidement ca reprend plein de theme et de facette des autres perso interpreter par le mec au cour de ces precedente collaboration avec mann , on peut toujour y voir une continuiter , une vrai œuvre en profondeur a chaque fois qui se complemente . le passer de jeff le perso de stewart est bien poser, sont rapide background est sombre et sec , c’est un aventurier qui fait ce qu’il faut pour survivre et amasser de la tune . sa relation simple avec ronda fonctione tres bien car credible et logique , on se dit qu on aurait fait pareil . Jeff il dit ce qu’il pense , cash , meme si c est souvent nihiliste c est toujour plein de luciditer , la franchise ici est souvent grincante !! c’est meme un peu un vieux de la vielle qui arrive au moment ou l’evolution passe un cap , un pti coter crepusculaire en ce sens meme si ca reste classique dans le bon sens du therme en apparence .
Les paysages de territoires enneiges sont splendide et offre un peu de sauvagerie dans les panorama , ca change des desert du texas et paturage du montana . encore une fois mann utilise les fond naturel comme personnage a part entiere , chez lui la terre , le ciel , les montagne sont dans le cadre pour souligner les intention et emotion du moment et ca marche . les dialogues sont epurer a l’essentiel , et la magnificence du scope en exterieur et les construction de decors fourmillant de detail et de vie en ville remplisse a chaque fois l’image de couleur splendide , de credibilites palpable , comme le disait le realisateur :
Il faut juste 1h30 pour etre completement transporter , rarement personnelmeent j’ai ressentie ce souffle d’aventure aussi prononcer dans un western ou meme dans un autre genre, le titre francais et une fois n’est pas coutume d’ailleur vachement bien et vend le film a la perfection . l’ivresse de la liberte ici arrive a sont extremites , la conquete de l’ouest peut pas aller plus loin du coup on va au nord ! si vous trouver davy crockett trop long et cul cul comme moi , c’est celui la qu’il faut que vous voyez ! les passage de la frontiere , de rivieres tout en emenant ce troupeau de betails ca permet de montrer le bon coter de jeff avec sont copain ben , et tout le long du film on se rend compte a quelle point costner est le descendant de Mann qu’il aime citer comme influence , modele et inspiration . la relation fait penser a duvall/costner , on sent le long passer , la compliciter mais c’est pas tout etaller a l’ecran , les regard et non dit sont la pour faire le travaille et puis la facon dont il respect et prend le temp de filmer les espace naturel et les petit geste du quotidien du pioniers , bref le genre de traitement et sensibiliter que j’adore personnelement . 