[Jimmy Two Times] Mes critiques en 2013

Modérateur: Dunandan

Re: [Jimmy Two Times] Mes critiques en 2013

Messagepar Mark Chopper » Sam 16 Fév 2013, 00:05

Justement, ça m'a fait plaisir de le revoir bouffer l'écran après ce pétard mouillé :mrgreen:
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Re: [Jimmy Two Times] Mes critiques en 2013

Messagepar Jimmy Two Times » Sam 16 Fév 2013, 00:09

J'ai vu La Taupe dans la foulée et je l'ai préféré dans celui ci.
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Re: [Jimmy Two Times] Mes critiques en 2013

Messagepar osorojo » Sam 16 Fév 2013, 00:40

Je pense que c'est aussi le genre de film qui prend de l'ampleur en salle. Hillcoat y délivre en effet des ambiances pointues qui s'expriment certainement plus fortement sur grand écran, avec un son qui tabasse. Perso, j'ai vraiment été convaincu par ce chouette moment de bandits à l'ancienne. Et comme le dit Mark, Hardy y est une nouvelle fois d'une animalité qui impressionne, et Jason Clarke forme avec ce dernier un duo terriblement efficace auquel on croit sans peine.

Peut être que la révision lui sera un peu dommageable, j'ai en effet souvenir d'un Shia Labeouf pas mauvais, mais clairement pas à la hauteur des deux autres frangins et d'un final sous exploité, mais à la sortie du cinoche, j'avais la banane et des images bien sympas dans la tête.
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Re: [Jimmy Two Times] Mes critiques en 2013

Messagepar Mark Chopper » Sam 16 Fév 2013, 00:43

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Re: [Jimmy Two Times] Mes critiques en 2013

Messagepar Heatmann » Sam 16 Fév 2013, 09:40

le "manque" d'ampleur du hillcoat m'a pas du tout gener , mais bon jamais j avais attendue un film avec un plus grand schema que l'idee que je m'en fesait , donc jai eu une histoire de 3 frangin ( et ca moi je kiff toujour et pis hardy-clark :love: :love: :love: Have you met howard ? :eheh: ) qui traffic du whisky dans un bled paumer dans la cambrousse , c'est pas une guerre epique et j'ai bien aimer donc que ca reste a ce niveau ...+ chastain + pierce + photo-music ... non serieux je l'adore toujour en tete celui la ( surotut le gros coter famille et mytique du truc )
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Messagepar Scalp » Sam 16 Fév 2013, 09:42

Sans réclamer quelques choses d'épique on aurait quand même pu avoir une fin bien plus inspiré.
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Re: [Jimmy Two Times] Mes critiques en 2013

Messagepar Heatmann » Sam 16 Fév 2013, 09:47

aaaah la fin , je kiff perso :love: :mrgreen: de prime abord ca fait "happy" ( ce dont j'ai rien contre ) en plus j'adore ces scene de repas convivial en famille , les enfants , les femmes , les freres , y a un coter legend d automne john ford dans ces theme et la representation de la scene que j'adore evidement , et puis sa renforce le coter mythique indesctructible , limite legendaire des bondurant .
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Re: [Jimmy Two Times] Mes critiques en 2013

Messagepar Scalp » Sam 16 Fév 2013, 09:50

Jte parle du climax moi, je l'ai trouvé nul.
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Re: [Jimmy Two Times] Mes critiques en 2013

Messagepar Heatmann » Sam 16 Fév 2013, 09:52

aaha ok .

nul ? carrement ! :lol: scalp il connait jamais la demi mesure !

alors ca shoot pas de masse , mais rien que l'energie et sinceriter qui se degage de shia venere j'ai kiffer , pis meme si c'est rapide c'est bien fichut , tout ces bootleger qui deboule en camion ... tu sait je reste sur mon 8.5 donc forcement j'aime quasiement tout dans le film :eheh:
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Messagepar Scalp » Sam 16 Fév 2013, 09:53

Non j'ai pas aimé le choix du cadre, la mort du perso, le montage, franchement cette scène m'a déçu.
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Re: [Jimmy Two Times] Mes critiques en 2013

Messagepar Heatmann » Sam 16 Fév 2013, 09:56

comment c'est beau le plan ou shia marche doucement choper pierce sous le pont :love:

mais la plus belle pour moi c'est quand chastain decouvre hardy a terre en sang devant sa maison de nuit , sous la neige .... :love: :love:
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Messagepar Scalp » Sam 16 Fév 2013, 09:57

Moi c'est la première scène entre Hardy et Pierce, elle est génial cette séquence.
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Re: [Jimmy Two Times] Mes critiques en 2013

Messagepar Heatmann » Sam 16 Fév 2013, 10:00

j'avoue y a UN moment ou j'etait decut car tout exciter , c'est quand pierce et sa bande suive shia et sa copine et deboule dans la distileri au shotgun , jme suis dit ca va tirer de partout surtout que shia voudra impressioner sa copine et ces frere et qu il a un gun , et ben non :( ...

bon la suite avec le petit boiteux c'est bien , mais pour le coup je croyai que pierce l'emmenait dans les bois au loin pour le violer enfaite :eheh:
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Sécurité Rapprochée - 5,5/10

Messagepar Jimmy Two Times » Jeu 21 Fév 2013, 11:15



Sécurité Rapprochée - Daniel Espinosa - 2012


C'est sympa, ça divertit pendant 1h45 mais ça s'arrête là. Un produit calibré pour le box office malgré son classement R, porté par un Denzel qui transforme grâce à son charisme les scripts ineptes en films corrects. Le gros souci de Sécurité Rapprochée, en dehors de cette histoire pas vraiment enthousiasmante de champion du contre-espionnage escorté par un bleu-bite de la CIA, c'est son réalisateur, pas foutu de poser deux secondes sa caméra, branchée sur courant parkinsonien. C'est d'autant plus dommage que le film ne manque pas d'action mais à trop vouloir singer Tony Scott, ça ressemble parfois à rien. Il y a quelques idées de plan, ça bastonne et défouraille plutôt généreusement mais ça tremble tout le temps, souvent sans raison. Espinosa en profite aussi pour ressortir ses filtres dégueux déjà utilisés dans son polar suédois de triste mémoire (Easy Money).

Pourtant ça commençait bien. La première demie heure est parfaite (pour le genre), bien tendue, avec Denzel qui se la joue intouchable et tendance expéditif si on ose l'emmerder. Ancien de la CIA, il est devenu un ennemi dangereux pour son ancien employeur à force de balancer des infos compromettantes. Dans cette introduction, on le sent insaisissable et sûr de lui. Une vraie chimère qui ne va faire qu'une bouchée du newbie débauché pour le surveiller dans une résidence sécurisée tenue secrète. Evidemment, rien ne se passe comme prévu, une armée de bad guys veut faire la peau du captif et un jeu du chat et de la souris s'engage en plein coeur du Cap (ça se passe en Afrique du Sud). Le soufflet retombe inévitablement, et sans aucune surprise, Reynolds, qui fait le boulot dans un rôle un peu ingrat mais bien loin de ses prestations moisies dans Green Lantern ou Echange Standard, perd de vue son prisonnier (au cours d'une scène bien nase dans un stade de foot - non mais quelle idée d'emmener un roi de l'embrouille dans un lieu si propice à l'évasion :? ).

Passé ce ventre mou, Reynolds sort ses couilles, désobéit aux ordres de ses supérieurs, et veut terminer sa mission mal embarquée. Heureusement qu'il peut compter sur un Denzel bien sympa de l'avoir épargné, un peu lassé de jouer l'enculé de service et disposé à laisser le champ libre à l'inévitable happy end de rigueur. Le dernier tiers du film relève un peu la sauce avec une course poursuite sur les toits des bidonvilles bien sympa et un final en pleine cambrousse (dans une maison sécurisée de secours) qui réserve quelques bonnes scènes (un bon gros pugilat sanglant entre Reynolds et un autre débutant qui garde cette Safe House). Ah oui, pour justifier tout ce bordel, il y a évidemment une taupe au sein de la CIA et on l'identifie dès sa première apparition à l'écran, pour le suspense on repassera... Sécurité Rapprochée s'avère être un divertissement honorable, qui n'oublie pas d'envoyer la purée par moment, mais qui souffre d'un script vraiment light et d'une réalisation qui peut provoquer quelques maux de tête (quand on a vu le premier film du mec, on se demande comment il a pu être engagé sur un tel budget?)

5.5/10
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Aux Frontières de l'aube - 6,5/10

Messagepar Jimmy Two Times » Mar 26 Fév 2013, 12:01



Aux Frontières de l'Aube - Kathryn Bigelow - 1987


Certains films traversent les décennies sans encombre, d'autres restent inexorablement ancrés dans leur époque. Aux Frontières de l'Aube ne trahit jamais ses origines 80's (love story un peu niaise, costumes, maquillages, musique) mais ça ne l'empêche pas pour autant d'être un film intéressant dans la filmographie de la plus couillue des réalisatrices, Kathryn Bigelow. Après tout, des bons films de vampires, il n'y en a pas tant que ça. Avec son parti pris qui fleure bon le western (quelqu'un qui n'a jamais vu le film et tombe par hasard sur certains plans auraient du mal à imaginer de quoi il en retourne), ce deuxième film de Bigelow est un sacré melting-pot. Il faut en effet ajouter une dose d’inspiration post-apocalyptique au travers du look de la troupe de suceurs de sang. L'amour et le mythe vampirique vont toujours de pair et c'est la rencontre entre deux personnages que tout oppose, une jeune vampire fraîchement convertie et un fermier simili texan, qui donne naissance au récit.

Si on a l'esprit un peu tordu, on pourrait aujourd'hui dire que c'est une métaphore de l'histoire d'amour qui unit le temps de quelques années la réalisatrice et son mari superstar (James Cameron). Soit la rencontre entre une amazone avec une profonde envie de faire du cinéma de mec et un mégalomane en devenir (attention, ça n'est pas une critique, mais son succès, ses velléités aventureuses et son goût pour les nouvelles technologies vaille que vaille ont forgé le statut d'intouchable de Cameron). Bigelow fut, le temps de quelques années, le fer de lance de productions à tendance bis de son époux producteur (Point Break et Strange Days). Mais voilà, l'idylle ne durera pas longtemps, le tempérament de fer de la réalisatrice ne doit pas y être étranger.


Aux Frontières de l'Aube a carrément plus la classe que l'adaptation des Schtroumpfs par Cameron, c'est un fait!


On retrouve naturellement dans Aux Frontières de l'Aube des acteurs fétiches de Cameron. Bill Paxton en fait un peu des tonnes mais trouve un de ses rôles les plus funs au travers de quelques punchlines nanaresques (je te ferai cracher tes amygdales par ton cul!) et Lance Henriksen a bien la classe en chef de meute qu'on croirait sorti de Mad Max. Le couple d'amoureux éperdus est un peu fade mais ça n'empêche jamais Bigelow de faire du cinoche avec pas grand chose (voir comment elle iconise tel un cowboy solitaire son héros pourtant peu charismatique). Deux scènes sont à retenir, l'excellent passage du bar rempli de Rednecks apeurés et la fusillade dans le bungalow cerné par les flics, résurgence d'un célèbre réalisateur qui a fait son beurre dans le western crépusculaire. Comme souvent lorsqu'on a de belles images, on en vient à regretter l'absence de scope mais en l'état, la technique presque sans faille de Bigelow reste l'atout numéro pour ceux qui découvriraient le film de nos jours. Il faut passer outre quelques négligences (gestion des cycles jour/nuit un peu foirée) mais il y a suffisamment d'ingrédient savoureux pour les amateurs de série B. Bigelow continuera d'ailleurs de confirmer tout son talent dans ses films à venir (et le pied de nez des Oscars 2010, Démineurs qui souffle les meilleures récompenses à Avatar, c'est priceless! 8) )


6.5/10
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