
Bioshock
Clairement le genre de jeu qui gagne à être fait plusieurs fois. La première fois que j'y avais touché, j'avais été assez déçu vu la haute réputation du titre, et force est de constater que les deux runs suivants ont été vraiment très bénéfiques, tant au niveau de l'appréciation du gameplay que de la compréhension du scénario. Celui-ci est d'ailleurs l'un des gros points forts du jeu, d'une part via son univers rétro/steampunk/utopique qui permet de visiter un univers étonnant créé de toutes pièces et que l'on découvre bien plus par les reconstitutions audios trouvées sur le chemin que par le simple regard, mais Bioshock c'est aussi un scénario qui, de la même façon que certains jeux d'Hideo Kojima, replace le joueur dans sa fonction et qui, du coup, le fait questionner sur ce dont il est capable. Bioshock, c'est une œuvre sur l'illusion, sur les limites du joueur lui-même, obligé de suivre les objectifs qu'on lui donne, le seul choix possible étant finalement de la moralité face aux petites sœurs. Alors certes, la mise en scène de quelques passages clés pourra un peu décevoir (il y avait moyen de faire nettement plus spectaculaire ou immersif) et le final donne clairement l'impression d'être bâclé, mais c'est finalement peu de défauts dans un FPS qui se refuse à la facilité.



Car oui, et c'est nettement plus évident d'année en année, Bioshock est aussi un FPS qui n'entre pas dans les normes actuelles du genre. Non seulement les maps permettent une liberté d'approche concernant le bon-vouloir du joueur, mais la diversité fait que l'on ne s'ennuie jamais et on a rarement l'impression de jouer à un simple shooter tant le jeu multiplie les petits à-côté comme les puzzles (le piratage), l'exploration (les améliorations) ou tout simplement la stratégie des combats via les différents plasmides. Graphiquement, le jeu est loin d'être un top technique, mais le design de l'univers est tellement inspiré que cela passe comme une lettre à la poste, et c'est bien là le principal.
A défaut d'y voir le chef-d’œuvre vu par beaucoup (nommé jeu de l'année c'était peut-être un peu fort même s'il est certain qu'il a marqué durablement son époque, il suffit de voir que Dead Space a repris le système de journaux audios), Bioshock s'impose clairement comme un indispensable du FPS de la génération actuelle.
A défaut d'y voir le chef-d’œuvre vu par beaucoup (nommé jeu de l'année c'était peut-être un peu fort même s'il est certain qu'il a marqué durablement son époque, il suffit de voir que Dead Space a repris le système de journaux audios), Bioshock s'impose clairement comme un indispensable du FPS de la génération actuelle.
NOTE : 8,5/10
















God of War c'est quoi ? Un concept 
Certes, les caméras insistent parfois sur tel ou tel endroit/objet et une fois un levier activé il n'est pas rare d'avoir droit à une cut-scene qui nous montre le chemin à suivre mais en dehors de ces détails, God of War reste un jeu pas si simple et qui demande très souvent au joueur de s'y reprendre à deux fois (pour ma part j'ai recommencer quelques sauts et pièges des dizaines de fois). Les combats sont vifs, jouissifs puisque notre perosnnage bénéficie de quelques pouvoirs dévastateurs même si le jeu prend une tout autre dimension guerrière quand on utilise les deux lames..tout est "upgradable" c'est le côté rpg du jeu.
Une pure aventure mythique et divertissante qui en met plein la vue et les oreilles (les musiques déchirent avec ces chœurs grégoriens etc...!), de l'exotisme à gogo, un bestiaire fournit, une réalisation magistrale qui permet au joueur de s'immerger à fond dans cette Grèce mythologique remanié par les créateurs, on sent aussi que ce second opus a du s’inspirer un peu du côté de

C'est tellement prenant ces phases QTE contre Zeus ou le Kraken ! Ce second volet des aventures de Kratos est encore plus dingue, un poil plus long, et les nouveautés flattent la rétine : la phase avec Pégase c'est du très très lourd (sur ps2 


