[Scalp] Le coin allociné garantie sans argument

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Re: [Scalp] Mes Critiques en 2015

Messagepar Alegas » Mar 06 Jan 2015, 22:13

Ta réponse l'était tout autant. :nono:
"Our films were never intended for a passive audience. There are enough of those kinds of films being made. We wanted our audience to have to work, to have to think, to have to actually participate in order to enjoy them."

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Re: [Scalp] Mes Critiques en 2015

Messagepar Mark Chopper » Mar 06 Jan 2015, 22:14

Je commence vraiment à me poser des questions.
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Re: [Scalp] Mes Critiques en 2015

Messagepar Waylander » Mar 06 Jan 2015, 23:33

Je ressors de Cruising et je lis ça. :sm: :fouet:
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Re: [Scalp] Mes Critiques en 2015

Messagepar Scalp » Mer 07 Jan 2015, 07:08

Et tu portes un string en cuir ?
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Re: [Scalp] Mes Critiques en 2015

Messagepar Jimmy Two Times » Mer 07 Jan 2015, 08:16

Comme tous les jours sûrement :mrgreen:
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Gentleman Jim - 8/10

Messagepar Scalp » Mer 07 Jan 2015, 08:52

Gentleman Jim de Raoul Walsh - 1942

Quand j'ai commencé la filmo de Walsh je comprenais pas sa réputation, je me suis fait tout ses westerns pas bien fameux pour commencer mais heureusement La Fille du Désert puis ses films de guerre m'ont fait comprendre pourquoi c'est l'un des meilleurs réal de l'âge d'or.
Ce Gentleman Jim c'est donc l'histoire de Jim Corbett, l'inventeur en quelque sorte de la boxe moderne à une époque où c'était surtout un sport de gros bourrin avec des techniques rustres.
On suit donc l'American dream d'un roturier, qui veut s'élever dans la société, il est fasciné par les riches et leurs us et coutumes, et sa débrouillardise et son talent naturel le feront s'imposer dans la haute classe de San Francisco pour gagner le coeur de la femme qu'il aime ( oui c'est terriblement cliché mais le traitement de l'histoire de Walsh fait toute le différence et ça passe tout seul). Le ton est volontairement léger et enjoué, c'est pas une comédie à proprement parler mais on sourit souvent devant les situations ( le running gag des frères bagarreurs fonctionne à tout les coups). Comme souvent avec Walsh c'est très rythmé, on a pas le temps de s'ennuyer et l'histoire file à 100 à l'heure, il alterne à merveille la comédie et l'action. Il livre notamment un combat épique sur un ring au milieu de l'eau, véritable lutte des classes, ce combat est clairement le point d'orgue du film en matière d'action, même le final contre Sullivan est bien, le combat épique du film c'est bien celui là et en plus d'être pêchu et dynamique, il a un décors vraiment intéressant et superbement filmé.
La dernière scène entre Sullivan et Corbett est très touchante et pleine de dignité de la part des 2 adversaires fanfarons, c'est la fin d'un époque et un passage de témoin symbolisé par une poignée de main.
Le perso féminin qui pourrait être cliché ou inutile se révèle intéressant, la petite rivalité qui s'installe entre elle et Corbett amenant un peu plus d'humour au film qui n'en manque pas et surtout la romance est pas envahissante, Corbett il est pas là pour conter fleurette, il est là pour se servir de son gauche.

Errol Flynn joue à merveille ce boxeur plein de panache et de confiance en lui qui lui permettra de gravir rapidement les marches de son ascension sociale, ce qui pourrait apparaitre pour de l'arrogance soulante avec un autre acteur fonctionne ici à merveille car Flynn y apporte toute sa gouaille habituelle qui rend son personnage immédiatement attachant malgré une propension à en faire un peu trop. Bien entendu il fait lui même les scènes de boxe, bon c'est de la boxe de l'époque, mais ça vieillit pas trop mal notamment grâce à l'énergie que met Flynn dans ces séquences et Walsh appuyant beaucoup sur le jeu de jambe de son acteur. Dans le reste du casting tout le monde est impeccable mais on retiendra surtout la prestation d'un des chouchous de John Ford à savoir Ward Bond qui joue le champion de boxe Sullivan, l'homme à renverser.
Un film rafraichissant.

8/10
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Re: [Scalp] Mes Critiques en 2015

Messagepar puta madre » Mer 07 Jan 2015, 10:51

Vraiment excellent, ce film :super:
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Re: [Scalp] Mes Critiques en 2015

Messagepar Jimmy Two Times » Mer 07 Jan 2015, 12:01

LE film culte de mon daron :super:
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Re: [Scalp] Mes Critiques en 2015

Messagepar Scalp » Mer 07 Jan 2015, 12:50

Et ouais je suis un vieux ^^
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Légende de Musashi Miyamoto (La) - 6,5/10

Messagepar Scalp » Jeu 08 Jan 2015, 08:53

Miyamoto Musashi de Tomu Uchida - 1961

5 ans après la version de Inagaki, une nouvelle adaptation du guerrier légendaire est lancé. Elle s'étalera sur 6 films.
Bon j'ai pas lu les romans mais l'adaptation manga Vagabond et ce premier film est très fidèle dans sa trame. Ici faut pas s'attendre à des combats ou une intrigue de fou. Ici on est pas encore devant Musashi mais devant Takezo le survivant de la bataille de Sekigahara, c'est alors un ado (bon le choix de l'acteur est limite du coup), c'est un chien fou incontrôlable et spontané, qui rentre dans le temps d'abord et réfléchit un peu après. Dans la première partie il court frappe, hurle sans arrêt, il veut juste sauver sa peau et il a pour lui une force incroyable qui lui permet de s'en sortir alors qu'il n'a aucune technique de combat. Après une première partie plutôt dynamique, la seconde sera plus statique avec Takezo faisant la connaissance du moine et il va finir capturer, pendu à un arbre pendant près de 20 minutes notamment.
Le premier film est surtout marqué par le personnage du moine Boudhiste, personnage ambigu, à la fois juste et sévère, sauveur et pervers, qui utilise sa langue comme arme, un homme à l'ambiguité intéressante, qui poussera Takezo à s'interroger sur ce qu'il veut devenir, la plan final préfigure ce que deviendra le personnage et la naissance de Musashi (même si ce nom est pas prononcé dans ce premier film).
La mise en scène de Uchida est posé, faite de long plan séquence et de belles compositions de plans, il se permet tout de même un final plutôt baroque lorsque Takezo rencontre ses ancêtres.
Un premier film en guise de gros introduction, essentiel pour la suite de l'histoire mais pas mémorable.
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Michael Kohlhass - 3/10

Messagepar Scalp » Ven 09 Jan 2015, 07:17

Michael Kohlass de Arnaud des Pallières - 2013

Braveheart version bobo, c'est pas mal, on a Mads qui regarde souvent au loin l'air très pensif (du coup on pense qu'il joue bien, mais c'est juste qu'il comprend pas un mot de ce qu'il raconte car il débite son texte phonétiquement, idée de génie ça ) et il est pas content parce qu'on a volé ses chevaux.
D'un point de vue purement formel c'est pas trop mal (enfin c'est tourné en forêt donc ça fait illusion surtout), malgré les contraintes de budget on croit à ce moyen age et le travail sur le son est pas mal mais bon faut se taper 2h bien longue remplit d'elipses avec des persos dont on a rien à foutre, par politesse je parlerais pas de la partie révolte.
Bref le Animal Factory du film moyen ageux. Les autistes, une valeur sûre du cinéma 2.0
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12 years a slave - 3/10

Messagepar Scalp » Ven 09 Jan 2015, 07:24

12 Years a Slave de Steve McQueen - 2014

C'est une histoire vraie donc ça doit être bien ... Une scène résume le film : le dialogue entre Pitt et Fassbender, tellement démago, du film académique chiant comme il en existe tant.
Je comprend pas, McQueen éternise tellement certaines scènes qu'on devrait avoir une impression de longueur dans l'histoire bein non on a l'impression que l'histoire dure 3 mois. Et puis bof c'est pas trop une vie d'esclave là mais plus un camp de vacance, comme quoi l'esclavage c'est une vaste fumisterie (du second degré est ptet à détecter).
Seul Fassbender fait que ça vaut pas 0, c'est d'ailleurs le seul à croire à son rôle, les autres c'est roue libre total, pourtant j'aime bien l'acteur principal mais là gros bof quoi.
Et puis Zimmer faut qu'il arrête ses bouillies sonore parce que là c'est juste possible. Il est capable de faire tellement mieux, là on dirait Batman, or on est pas devant un blockbuster avec des scènes d'action.
Un sois disant classique que tout le monde a déjà oublié, même ceux qui l'avaient encensé.
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Rush (2013) - 8/10

Messagepar Scalp » Ven 09 Jan 2015, 09:21

8/10

Rush de Ron Howard - 2013

Souvent les sports chiants donnent quand même des sacrés films (le Base-Ball, le Foot Us, la F1), alors très vite on se rend compte que les courses en elle même c'est clairement pas ce qui va intéresser Howard et heureusement (car bon ça peut vite être relou des tours de F1). De cette histoire je ne connaissais que le destin de Lauda (c'est obligé quand on a vu la F1 dans les 90's, Lauda était une figure incontournable), je savais même pas qui était champion du monde à la fin de cette saison 76 et Howard nous scotche à notre siège lors d'un dernier acte dantesque.

La rivalité des personnages est quand même peu grosse mais c'est jamais un défaut mais les différences entre eux étaient elles aussi énorme dans la réalité ? parce que bon là entre Hunt en beau gosse rockstar anglaise qui baise, picole et pilote exclusivement à l'instinct ( il est même d'ailleurs meilleur quand il a une vie borderline ) et Lauda en pilote à la tronche de souris qui ne laisse rien au hasard, hautain et froid, la différence est tellement abyssale que ça fait un peu facilité scénaristique ( mais bon c'est ptet effectivement la réalité, je laisse donc le bénéfice du doute ). Mais le plus important et c'est pour ça que c'est pas un défaut, c'est qu'on croit à cette rivalité et cette relation qui se crée entre eux deux (pour une fois les images d'archives de fin ont une réelle utilité ), l'un ne pouvant avancer sans l'autre (et la fin de Hunt en vrai c'est mieux qu'un scénario de film, le mec a atteint son but ultime et il arrête au sommet, chose finalement très rare pour un sportif). Le film est ultra rythmé et ça commence dès l'intro où l'utilisation des 2 voix off est très judicieuse, le fait de suivre l'évolution des 2 personnages en parallèle fait que le film est plus que plaisant à suivre.
Howard réussit très bien sa reconstitution d'époque mais il se concentre uniquement sur ses 2 persos principaux, par exemple Enzo Ferrari a une seule mini scène, le contexte de l'époque est très bien utilisé, à savoir que pour être pilote de F1 dans les 70's fallait surtout avoir une grosse paire de couille. Et puis le soucis du détail est appréciable ( quand Lauda est à l'hôpital est regarde les courses c'est en Allemand, c'est un truc tout con mais c'est devenu tellement rare ).
Howard livre techniquement son film le plus aboutit surement, les courses sont immersives et il trouve toujours des petites idées de plans sympa ( la remontée finale de Hunt c'est un gros morceau qui nous scotch ) et la photo granuleuse est chouette. Howard quand il se sort les doigts du cul, il est vraiment capable de grande chose, on se demande comment il a pu faire autant de films de merde dans sa carrière quand on voit de quoi il est capable. Il est monté très haut et descendu vraiment très bas.

Chris Hemsworth est un des seuls acteurs de sa génération a avoir ce qu'on appelle le charisme naturel et ça l'aide vraiment à compenser les lacunes de jeux qu'il peut avoir par moment, et c'est ce qu'il fait là, il joue sur ça et ça fonctionne et il trouve certainement ici son meilleur rôle (Howard lui refera confiance pour le malheureusement décevant In the Heart of the Sea qui avait tout pour être génial et se révèle anecdotique), Daniel Brulh a pas la rôle le plus facile et il campe un Lauda qui malgré un coté tête de con s'avèrera très attachant (et comme souvent Brulh fait plus que le taf, c'est clairement un super acteur) et le film arrive à nous faire aimer les 2 personnages sans réellement prendre parti plus pour l'un que pour l'autre ( même si on peut avoir une préférence bien entendu), les seconds rôles sont plus décoratif qu'autre chose mais c'est pas un défaut, enfin ça permet d'éviter de se taper trop de scènes avec Olivia Wilde qui est comme toujours assez relou.
Zimmer signe ici surement un de ses meilleurs scores des 10's, bon la barre était pas très haute vu les merdes qu'il a pondu.

Ron Howard confirme donc que sa carrière est quand même un beau gâchis dans l'ensemble car quand on arrive à faire des films comme Rush, Backdraft ou Frost/Nixon c'est qu'on est doué sauf que quand on voit Willow ou Da Vinci Code faut vraiment le deviner.
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American Bluff - 2/10

Messagepar Scalp » Ven 09 Jan 2015, 11:47

American Hustle de David O'Russel - 2013

La nouvelle coqueluche d'Hollywood s'avère être une belle baudruche, alors soit Fighter c'était bien, je veux bien que Happiness Therapy ça plaise mais American Hustle ça pue l'arnaque à plein nez.
Il y a pas grand chose à sauver du film, en gros Christian Bale (même si faudra lui expliquer que le mode actor studio, je prend 40 kilos et montre bien mon gros bide à l'écran via des gros plan c'est pas synonyme de bonne performance ) relativement sobre pour une fois et Amy Adams ( et je dis pas ça parce qu'elle porte pas de sous tif ), et puis on a un soundtrack sympa, le reste....
Alors forcément quand on voit le film on pense à du Scorsese, le petit O'Russel a vu Goodfellas et il a envie de lui rendre hommage sauf qu'on est même pas devant un Scorsese du pauvre mais devant un Guy Ritchie, à savoir que c'est un film qui veut tellement être cool qu'il arrive juste a être fake du début à la fin.
Et pourtant il nous sort tout l'attirail du gars qui veut refaire les Affranchis : voix off (surexplicative), plan séquence collant au basque des persos, De Niro en affranchis, ton à la cool, soundtrack de qualité mais voilà il oublie une chose importante : raconter une putain d'histoire !!!
Là au bout de 20 minutes le film va sombrer rapidement dans l'ennui devant cette pseudo histoire d'arnaque à base de mallette pleine de fric, de politicien véreux, de casino et de mafia, c'est simple d'un truc tout simple (coincer un gros bonnet) on se retrouve devant un truc tellement bien écrit que ça devient super compliqué pour rien.
Il voulait faire quoi ? une comédie (c'est pas drôle) ? un film d'arnaque (il a pas compris le concept alors) ? un drame (triangle amoureux traité par dessus la jambe) ? un polar (sont où les scènes de tension) ? en gros ça ressemble à rien et on ne retient strictement aucune scène !!! On s'emmerde, c'est bavard et très chiant à suivre vu qu'il y a zéro empathie pour les personnages qui ici ne sont même pas réduit à des archétypes, non c'est juste des persos sans aucun intérêt dont on a rien à foutre de leur sort.
Le casting est déplorable (bon à part le duo), Jennifer Lawrence ça fait peur une telle erreur de casting, du haut de ses 20 ans elle joue une mère au foyer qui a un gosse de 10 ans, y a pas comme un problème quelque part ? c'était qui le directeur de casting ? Ray Charles ? en plus elle joue comme une savate (ses 3 dernières scènes on touche au sublime), Bradley Cooper je crois que ça se voit qu'il est pas acteur et là c'est cabotinage powa, Jeremy Renner je l'aime bien mais là dans le concours de freak du film il arrive à avoir le look le plus ridicule et on arrive pas à faire abstraction de ça tant son personnage est inintéressant au possible ( c'est con parce que c'est censé être un perso clé du film).
Un film qui pue le fake du début à la fin avec un gars qui voulait être tellement cool qu'il rate tout ce qu'il essaye (Bradley Cooper qui se fait des bigoudis, seriously ???).
Bref c'est nul.
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Re: [Scalp] Mes Critiques en 2015

Messagepar lvri » Ven 09 Jan 2015, 13:10

Heureux de voir que Rush puisse plaire autant.
Étant fan de F1, je peux t'assurrer que le traitement des personnages est on ne peut plus réaliste. Hunt et Lauda sont dépeint avec une très grande justesse. Lauda a d'ailleurs joué le conseillé sur le film et le traitement de l'histoire et des personnages. L'ancien patron de McLaren à cette époque avait ailleurs dit : "Prenez la saison du championnat 1976 et faites en un scénario de film. Les gens diront : "Ne soyez pas ridicule, toutes ces péripéties ne peuvent arriver aux mêmes pilotes la même année". Et pourtant, c'est la pure vérité !".

Un bémol par contre dans ta critique

venant d'un sport aussi chiant que la F1 (enfin c'est devenu chiant, bein ouais y a plus de mort quoi)


Un sport n'est pas intéressant quand il y a des morts...... Je pense que c'était pour " provoquer" ..... Enfin j'espère :shock:
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