[Alegas] Mes Critiques en 2015

Modérateur: Dunandan

Re: [Alegas] Mes Critiques en 2015

Messagepar Mark Chopper » Dim 03 Mai 2015, 12:18

Bizarre qu'il ne soit pas plus connu celui-là...
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2015

Messagepar Jed_Trigado » Dim 03 Mai 2015, 12:31

Je l'avais revu il y a plus d'un an et j'ai trouvé que ca vaut un Alice n'est plus ici dans le misérabilisme. :|
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2015

Messagepar Mark Chopper » Dim 03 Mai 2015, 12:32

Comment tu traites l'enfance d'Alegas de misérable :shock:

Alegas a écrit:un film dont je peux difficilement parler en toute objectivité, tant je retrouve parfois de mon expérience personnelle dans ce récit
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2015

Messagepar Alegas » Dim 03 Mai 2015, 12:38

Aucun respect. :evil: :mrgreen:
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2015

Messagepar Mark Chopper » Dim 03 Mai 2015, 12:44

Ou peut-être que tu t'identifies à De Niro en fait.
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2015

Messagepar Jed_Trigado » Dim 03 Mai 2015, 12:45

Qu'il est méchant. :eheh:

Jamais je me permettrais de dire une telle chose. :wink:
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Promesse d'une vie (La) - 3,5/10

Messagepar Alegas » Dim 03 Mai 2015, 21:10

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The Water Diviner (La Promesse d'une vie) de Russell Crowe
(2015)


Si je n'attendais pas un chef-d’œuvre de la part de la part de Russell Crowe, tant le passage d'acteur à réalisateur est souvent quelque chose de difficile à aborder (quelqu'un comme Kevin Costner est, à ce titre, une superbe exception), j'espérais au moins quelque chose de très prometteur, quelque chose qui non seulement puisse faire entrevoir un certain talent, mais qui en plus pourrait imposer Crowe comme quelqu'un avec un vision singulière. Malheureusement, The Water Diviner n'est, au final, ni l'un ni l'autre. Est-ce que cela vient d'un manque d'ambition, voire de problèmes de production ? Toujours est-il que le film de Crowe donne la constante impression d'une une faible resucée des inspirations de l'acteur. On est clairement dans la citation à un cinéma d'aventure d'antan à la David Lean, et si l'intention est plus que louable, Crowe ne se donne jamais les moyens pour atteindre le souffle de grand cinéma qu'il souhaite atteindre.

C'est d'autant plus dommage que beaucoup d'éléments du film sont prometteurs, entre la situation de départ ou le récit qui oblige un homme qui a tout perdu à faire un voyage dans le temps pour tenir une promesse insensée. Mais là encore, Crowe se tire une balle dans le pied en oubliant ce qui fait la force de son histoire, et en préférant s'attarder sur des choses presque hors-propos, que ce soit une confrontation ethnique (intéressante, mais mal gérée), des storylines inutiles (quid du personnage joué par Isabel Lucas ?), des facilités scénaristiques grossières (Crowe qui trouve ses fils parce qu'il les ressent, cela donne une scène magique) ou encore une histoire d'amour qui donne l'impression d'avoir été rajoutée à la dernière minute (avec une Kurylenko qui a rarement été aussi mauvaise). Mais le manque de souffle se trouve aussi bien dans le script que dans la mise en scène, et on se retrouve donc avec un métrage qui, hormis une courte scène (la séquence de la tempête, de loin la plus inspirée du film), se révèle techniquement très pauvre, l'apogée de ce défaut se trouvant dans les quelques scènes de bataille, cheaps au possible alors qu'elles sont censées être le point de départ d'un trauma général. Au final, il en résulte un film certes pas spécialement honteux, ni même défaitiste (je continue à penser que Crowe peut s'améliorer pour un second long-métrage) mais clairement anecdotique tant il échoue sur pratiquement toutes ses intentions.


3,5/10
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Tueurs (Les) - 6,5/10

Messagepar Alegas » Jeu 07 Mai 2015, 17:13

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The Killers (Les Tueurs) de Robert Siodmak
(1946)


Un peu déçu par celui-ci vu sa réputation en ses lieux. Alors oui, c'est du film noir efficace, original dans sa construction et qui mérite amplement le coup d’œil mais c'est loin d'être un incontournable à mes yeux. Déjà, le premier problème vient directement de l'introduction, qui est tellement réussie en terme d'ambiance et de dialogues que le reste du métrage paraît forcément un peu fade, puisque plus classique. Le film essaie pourtant de se défaire de la structure classique pour opter dans une construction en flashback, mais là encore, cela dessert le film plus qu'autre chose vu que l'on connaît d'ores et déjà le destin funeste du personnage principal. On pourra me dire que c'est l'enquêteur qui est le vrai héros du film, ce qui est vrai d'une certaine façon, mais c'est tellement un personnage fonctionnel que seul Lancaster apparaît comme un protagoniste où l'empathie peut fonctionner. L'autre problème de cette construction, c'est évidemment qu'elle arrive difficilement à la cheville de ce qui a pu être fait cinq ans plus tôt dans le même style (Citizen Kane, encore et toujours), surtout quand elle se révèle autant fragile dès qu'il s'agit d'attaquer sa cohérence.

Ainsi, un flashback entier est basé sur les paroles d'un homme mourant qui se rappelle, au mot près, un dialogue ayant eu lieu plusieurs mois auparavant, ce qui permet à l'enquêteur/spectateur d'avoir la vision totale d'une séquence clé pour l'enquête. Autant le public de l'époque pouvait gober ça, peu habitué à une telle structure dans un genre aussi codé, autant cela marche beaucoup moins bien lorsqu'on regarde le film aujourd'hui. Enfin, le dernier gros problème du métrage est qu'il se repose sur un mystère dévoilé lord du dernier acte, un mystère qui se révèle être terriblement prévisible si on connaît un minimum les codes du film noir. Autant le film est très bien interprété (bien que Gardner hypnotise plus par sa beauté fatale que par son jeu) et visuellement magnifique par moment (l'introduction encore une fois), autant ses choix d'écriture font qu'il a bien du mal à convaincre totalement. Reste un bon film donc, mais rien de spécialement mémorable non plus.


6,5/10
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Route d'Eldorado (La) - 7,5/10

Messagepar Alegas » Jeu 07 Mai 2015, 23:24

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The Road to El Dorado (La Route d'Eldorado) de Éric Bergeron & Will Finn
(2000)


Il n'y a pas à dire, si la filmographie du département animation de Dreamworks ne manque pas de mauvais films, il faut tout de même reconnaître que le début de carrière du studio était, à plus d'un titre, assez exemplaire. Non content d'avoir frappé un grand coup avec le sous-estimé The Prince of Egypt, le studio ne s'est pas reposé sur ses lauriers et proposait, deux ans plus tard, deux excellents films d'animation. Si le premier film, à savoir Chicken Run, en collaboration avec le prestigieux studio Aardman, reste encore dans les mémoires, on ne peut pas en dire autant du second qui, de façon étonnante, est tombé dans l'oubli général, hormis envers ceux qui avaient eu la chance de le découvrir à l'époque. Pourtant, The Road to El Dorado s'impose encore aujourd'hui parmi ce que Dreamworks proposait de mieux, liant à la fois les qualités d'un Prince of Egypt en terme d'ambition et de narration (on parle ici d'un sujet rarement évoqué, à savoir la conquête de l'Amérique par les conquistadors) mais aussi celles d'un cinéma d'aventure pur à la Indiana Jones, mêlant la bonne dose entre exotisme, action et humour.

ImageImageImage


Le résultat, malgré l'oubli du métrage, est sans appel : The Road to El Dorado est une petite merveille d'aventure animée qui, à ma grande surprise à la revision, peut aussi bien plaire à public adulte tant le script ne tombe jamais dans la facilité la plus ultime du genre, à savoir prendre son spectateur enfantin pour un con en cherchant à le ménager. Du coup, la dureté de l'époque est retranscrite avec un bon dosage sans pour autant prendre le pas sur ce que cherche à être le film : une bonne dose de fun qui, derrière ses apparences classiques en terme de thématiques (l'amitié est au centre du scénario) s'avère néanmoins intelligent et pertinent. Hormis une apparition du fantastique un peu intrusive en milieu de métrage, il n'y a pas grand chose à redire sur ce divertissement de premier ordre, même les rares chansons ne sont pas déplaisantes, c'est dire si le film est réussi. A l'heure où le cinéma d'animation se complaît beaucoup trop dans la redite, j'encourage vivement les amateurs à (re)découvrir ce film hélas beaucoup trop méconnu et qui mériterait largement une copie HD (on attend toujours que Dreamworks se bouge le cul pour sortir ses premiers films...).


7,5/10
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2015

Messagepar Scalp » Ven 08 Mai 2015, 08:25

Il est bien celui là.
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2015

Messagepar Max59 » Ven 08 Mai 2015, 11:17

aie c'est ce que je craignais pour La Promesse d'une vie
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2015

Messagepar Jed_Trigado » Ven 08 Mai 2015, 11:51

Euh il est tout seul sur ce coup. :nono:

Franchement, si t'aimes le cinoche d'aventures a l'ancienne, ça se regarde.
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2015

Messagepar Max59 » Ven 08 Mai 2015, 11:57

:D ok je vais aller voir les autres critiques mais oui jadore ce genre
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Basil, détective privé - 7/10

Messagepar Alegas » Ven 08 Mai 2015, 19:41

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The Great Mouse Detective (Basil, détective privé) de Ron Clements, Burny Mattinson, David Michener & John Musker
(1986)


Il n'y a pas à dire, les films d'animation Disney d'avant, c'était quand même autre chose que ce à quoi on est habitué aujourd'hui. Si la décennie 80's est loin d'être la plus mémorable du studio, ni même la plus productive (hormis Rox & Rouky et La Petite Sirène, les films produits à l'époque ont été largement oubliés), il faut tout de même convenir qu'elle montrait déjà les prémices d'une certaine recherche d'originalité, recherche qui allait réellement aboutir la décennie suivante. Après un passage dans l'heroic-fantasy avec Taram et le Chaudron Magique qui allait aboutir sur un échec public, Disney tente un concept pour le moins risqué, puisqu'il s'agit de retranscrire le mythe de Sherlock Holmes dans un film d'animation, le tout sans jamais trahir le matériau original. Le résultat, bien qu'imparfait par moment, est tout simplement saisissant : non seulement le film ne ménage pas son spectateur enfantin, avec une atmosphère très sombre, des scènes visuellement marquantes et même des morts dont le hors-champ ne les rend que plus glauques (le coup de l'alcoolo exécuté, c'est quelque chose qui ne passerait jamais dans un Disney aujourd'hui) mais en plus l'essentiel de l'univers de Sherlock Holmes est là, avec même quelques clins d’œils bien sentis pour les connaisseurs du personnage.

Image


Toutefois, si le duo Basil/Dawson est réussi, le gros point fort du film tient dans son antagoniste. Hitchcock l'avait maintes fois répété, il faut un méchant de qualité pour rendre un film marquant, et cette leçon a été particulièrement bien assimilée sur ce film tant Ratigan s'impose comme l'un des bad-guys les plus réussis de l'histoire du studio Disney. Pervers, sadique, cruel mais néanmoins charismatique (la voix de Vincent Price, qui a largement inspiré la gestuelle et le physique du personnage, y est pour beaucoup), cette icône maléfique trouve son apogée dans un climax final qui figure facilement comme l'une des séquences les plus inspirées des animés Disney, rien que ça. Mise en scène épique (avec notamment l'une des premières utilisations de l'animation 3D), bad-guy dont la férocité est mise en valeur de façon étonnante : le genre de scène qui permet de relativiser sur les productions actuelles du studio, qui font pâle figure devant un résultat simple mais totalement efficace. Là encore, dommage que le film soit un peu trop oublié, et on espère (encore) une sortie HD française qui lui permettrait de redorer un peu son blason.


7/10
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Anastasia - 5/10

Messagepar Alegas » Sam 09 Mai 2015, 19:15

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Anastasia de Don Bluth & Gary Goldman
(1997)


Bien déçu à la revision étant donné que j'en gardais un vraiment bon souvenir. Le film n'est pas spécialement honteux mais c'est tout de même dommage de voir quelque chose d'aussi moyen de la part de Don Bluth, surtout que les bonnes intentions sont présentes. Le problème de ce Anastasia, c'est que l'on ressent un véritable tiraillement entre la production qui souhaite un grand divertissement familial dans la veine Disney, et Don Bluth qui tente d'en faire quelque chose de plus fourni à la manière de ce qu'il avait pu faire par le passé. Du coup, autant la trame principale avec une héroïne en quête d'identité qui doit apprendre à devenir ce qu'on attend d'elle, autant le reste a franchement du mal à convaincre et, pire encore, s'intègre assez mal à l'histoire. Exemple le plus parlant : toute la storyline de Raspoutine, qui n'est ici que pour créer un repère de figure maléfique, ne paraît que strictement secondaire, au point de disparaître pendant une bonne partie du métrage. L'idée culottée aurait été de proposer un simple parcours initiatique, avec de vrais enjeux en guise de rebondissements, mais l'option de facilité est choisie pour un résultat pas glorieux tant Raspoutine est un personnage qui a bien du mal à exister, au point de pouvoir être enlevé du film sans que cela ne bouge quasiment pas l'évolution du récit. Bad-guy inutile, sidekick WTF, animation pauvre et chansons bien fades (hormis la superbe mélodie principale qui donne lieu à la plus belle scène du film) : ce Anastasia, qui aurait pu être un très beau conte moderne, se révèle être rien de plus qu'un animé singeant de façon ridicule l'héritage Disney (et vas-y que Anastasia soit copine avec la totalité des animaux...). Un Don Bluth franchement moyen et oubliable, hélas.


5/10
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