C'est vrai que ça manque dernièrement des films comme The Ward.
"Our films were never intended for a passive audience. There are enough of those kinds of films being made. We wanted our audience to have to work, to have to think, to have to actually participate in order to enjoy them."
Ben ouais, les grands réalisateurs ont le droit de faire un film pourri de temps en temps, ça prouve qu'ils restent humains. C'est beau en fait D'ailleurs Le 15:17 pour Paris sort cette semaine en Belgique, je sens que je vais être ému.
Perso j'ai eu l'impression de voir un film d'horreur de petit malin débutant. Le drame total. Mais pour être franc, à part mon ressenti, je n'en ai aucun souvenir (me rappelle juste du twist final qu'on grille à des kilomètres).
J'ai jamais osé le voir et pour cause, il ne donnait clairement pas envie, pour cause, Big John n'a jamais été aussi m'en foutiste pendant la promo : de mémoire, il disait que c'était la première fois où il faisait son taf comme un fonctionnaire.
"Je mets les pieds où je veux Littlejohn et c'est souvent dans la gueule." Chuck Norris
Vu, adoré, et comme je compte me refaire le film asap, je vais revoir et re-aimer, ça cible tellement bien le pourquoi du comment on peut être fasciné par l'oeuvre de Big John