Fallait prévenir que c’était Miss Doubtfire a la maison blanche, et réaliser par Michael Moore, je me serait épargner cette croisade CNN.
Rejet total donc, j’ai détester en tout point. Un gros film de petit malin. La narration repose entièrement sur une des voix off les plus didactique ever , ça devient vite imbuvable . La politique au cinéma c’est rarement intelligent, et ne m’intéresse pas trop, mais alors quand on te sermonne du début à la fin du boniment libéral démocrate sans aucune nuance ni subtilité ça devient vite nauséabond.
Le carton qui ouvre le film mettait déjà un doute :
« Cheney , l’un des personnages les plus secret. Ceci est une histoire vrai, enfin, on a essayé. » Ah ok donc c’est du pipo freestyle . Vue comme le portrait est biaiser on sent d'emblé que le point de vue sentira la vaseline.
On est donc au delà de la manipulation, on nage en pleine leçon de moral qui culmine avec une séquence au cours du vrai générique de fin qui se permet de mettre en scène un faut groupe de reviewer du film qui jugent directement le spectateur ! Incroyable.
Je précise le vrai générique, oui car au milieu du film il y a un faux End-credit genre « ils vécurent vieux et heureux… Ohoho et bah non enfaîte c’est pas vrai , ça continue ! Vous y aviez cru hein ! » . Au secours quoi.
M’enfin , ils sont pas a ca prêt , c’est comme la conclusion qui casse le 4eme mur et s’adresse a l’écran , le genre de truc qui devrait être interdit dans un film a charge et finit d’enfoncer la puanteur de ce mauvais sketch .
Sinon le monteur s’amuse à chercher a tout prix la filiation avec les chefs d’œuvre de Stone sauf que la c’est la version SNL .
Tout le cast est déguiser comme chez Patrick Sebastien , ça bouffe a tout les râtelier démagogique , ça en devient indigent . Le portait de madame Cheney avec une Amy Adams qui fait pitié (c’est rare. on dirait Sally Field dans Lincoln, la même constipation) , c’est le degré zéro du féminisme 2.0 en rétropédalage.
1 points pour Cricri , c’est jamais naturel mais au moins y a de l’abatage .
Vice , quand la satire devient malhonnête , sous ces faux air de comédie non assumer , Hollywood cherche encore a expurger sa culpabilité , ne laissant aucune place a éventuelle discussion . Le triomphe de la médiocrité