[Niko06] Mes critiques en 2009

Modérateur: Dunandan

Terminator 3: le soulèvement des machines - 6/10

Messagepar Niko06 » Sam 20 Juin 2009, 18:14

Terminator 3: Le Soulèvement des Machines
de James C... Jonathan Mostow

Image

Ca y est j'ai enfin vu le chaînon manquant! Et franchement si on ne le voit pas c'est pareil... chaînon inutile donc tant le film ne sert pas à grand chose dans la saga. En fait T3 est l'exemple type du blockbuster énorme, bourré de fric et qui ne présente que peu d'intérêt... enfin, on peut relativiser un peu car il y a quand même le plaisir de geek de revoir un Terminator sur un écran qui prend le dessus sur toute considération rationnelle! Le gros hic c'est que la comparaison avec les deux opus précédents est inévitable... et elle fait très mal! Mostow est loin d'être Cameron mais il essaye, un peu trop peut-être, au point de livrer un spectacle qui ne semble pas vraiment lui appartenir... Sauf que Cameron tente de nouvelles choses à chaque film, ici on n'a qu'une pale copie qui ne tient la route que grâce à la présence magnétique d'Arnold, car le reste... c'est simplement du déjà vu...

Mostow copie tout ce qu'il peut des épisodes précédents... la structure narrative est pompée sur T2 qui à l'époque était déjà une redite du premier mais en mieux. Les scènes d'action sont nombreuses, dépotent bien comme il faut sauf qu'à part la poursuite en camion on ne trouve rien de très original... A ce propos c'est clairement LA scène du film! Longue, superbement filmée et montée, c'est un vrai morceau de bravoure avec un mélange subtil de vraies cascades et de SFX... le résultat est vraiment impressionnant!
Après si sur la durée globale on ne s'ennuie pas, le film manque cruellement d'enjeux... Au contraire de T2 où le T1000 représentait une véritable menace effrayante, la T-X est certes graphiquement très réussie (sans parler du physique de Kristanna Loken qui apporte une touche de séduction à la saga... mais était-ce nécessaire??) mais ne fait jamais vraiment peur...

En fait c'est un peu le concept du T1000 qui est repris... mis en moins bien encore une fois!
Nick Stahl qui remplace Edward Furlong fait ce qu'il peut, il est même plutôt bon, mais quand on a vu le deuxième épisode des dizaines de fois le changement est difficile à appréhender... L'absence de Sarah Connor est également un énorme handicap... elle nous manque beaucoup... Et ce n'est pas la présence de Claire Danes qui rattrape quoi que ce soit!! On se demande presque ce qu'elle fait là... à croire que les scénaristes n'aiment pas le personnage de la femme de John Connor quand on voit ça et le rôle de Bryce Dallas Howard dans Terminator Renaissance où elle est également hors de l'intrigue!!

On se rabat donc sur LA valeur sure qui aura fait toute la personnalité de cette saga: Arnold Schwarzenegger!! On l'attend et dès qu'il apparaît c'est un pur bonheur!!! Il a beau être limité niveau jeu d'acteur, ce type a une présence à l'écran incomparable. Du coup il se permet un peu tout dans cette épisode, flingue à tout va bien sur (c'est un peu pour ça qu'on est venu!) mais nous sort également tout un lot de punchlines à mourir de rire (je ne suis pas prêt d'oublier le "Talk to the hand") sauf que c'est sympa, on rigole bien mais la machine implacable perd un peu de sa stature... mais c'est drôle, on se rattrape comme on peut!

En bref on a clairement là l'épisode le plus raté de la saga, même le final qui aurait du être magnifique est d'une faiblesse affligeante. Une intrigue qui n'est qu'un prétexte à l'accumulation de belles scènes d'action (ça c'est clair qu'on ne s'ennuie pas une seconde), une mise en scène efficace mais tout de même peu inspirée, ou alors trop inspirée par celle de James Cameron... on a l'impression d'avoir en face de nous un sous-produit, une vulgaire imitation. Mais avec toute la mauvaise volonté du monde on ne peut pas complètement lui cracher dessus car le spectacle est agréable et les SFX vraiment impressionnants.
Heureusement que McG est revenu mettre une certaine personnalité dans son Terminator Renaissance!!


6/10
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Messagepar nicofromtheblock » Sam 20 Juin 2009, 23:49

L'autre rive : excellent film !
J'espère que tu feras un petit copier/coller ici.

Et les autres films du réalisateur David Gordon Green ne sont pas mal non plus :wink:
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Re: [Niko06] Mes critiques en 2009

Messagepar Niko06 » Dim 21 Juin 2009, 08:23

oui oui je copie tout ici aussi :wink:
je vais essayer de voir les autres films de ce mec car là il m'a bluffé
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Re: [Niko06] Mes critiques en 2009

Messagepar kenshiro » Dim 21 Juin 2009, 08:48

y a pas comme un bug la :?:
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Re: [Niko06] Mes critiques en 2009

Messagepar Niko06 » Dim 21 Juin 2009, 08:48

bah je comprends pas :shock:
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Re: [Niko06] Mes critiques en 2009

Messagepar kenshiro » Dim 21 Juin 2009, 08:50

tu avais un message avec critique referencé et c'est tout 2 messages après ta critique de T3 mais il a disparue
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Re: [Niko06] Mes critiques en 2009

Messagepar Niko06 » Dim 21 Juin 2009, 08:52

oui c'est moi qui l'ai viré... quand j'envoie ma critique le message est vide... :?

edit: ça y est trouvé pourquoi 8)
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Jusqu'en enfer - 9/10

Messagepar Niko06 » Dim 21 Juin 2009, 08:54

Jusqu'en Enfer
de Sam Raimi

Image

Et si le bonheur c'était l'horreur finalement? En revenant au genre qui l'a fait connaître grâce aux Evil Dead et qu'il a complètement abandonné par la suite, malgré une scène sacrément efficace dans Spiderman 2 où en quelques minutes il atomisait toutes les tentatives horrifiques récentes, Sam Raimi prouve que c'est bien lui le maître, qu'il est le seul au monde à savoir jongler aussi efficacement entre horreur pure et comédie (Peter Jackson avait une autre approche beaucoup plus portée sur le gore qui tâche et Edgar Wright fait plus dans la référence). Et ce fait a même été salué par le festival de Cannes qui lui a ouvert les portes de la sélection officielle, en séance de minuit certes, mais tout de même un film d'horreur tout ce qu'il y a de plus "anti-intello" à Cannes c'est une belle victoire pour le genre!! Et pour son retour aux affaires Raimi signe un film extraordinairement jouissif, qui parlera autant aux nostalgiques de l'époque Evil Dead qu'aux nouveaux amateurs de sensations fortes. Aucun doute, Sam is "The Man".

Ce qui fait le plus plaisir c'est de voir un réalisateur devenu hyper bankable grâce à sa trilogie du tisseur, capable d'engranger des bénéfices énormes, revenir à un genre loin de toute considération commerciale...
Comme à son habitude il nous pond une introduction qui est un modèle d'efficacité, en quelques minutes on a déjà compris tout l'enjeu du film, et ce avant même qu'apparaisse l'actrice principale! La scène est complètement folle, une scène de possession redoutable qui ne nous laisse pas le temps de respirer... un générique animé de toute beauté, ça y est ça peut commencer! Et là surprise, pour la première fois Raimi ajoute à son film un côté social évident en choisissant comme héroïne une jeune assistante dans une banque qui est issue d'une famille paysanne. Le choix du décor de la banque n'est pas un hasard non plus.

Raimi semble avoir trouvé avec Alison Lohman la réincarnation féminine de son ami de toujours Bruce Campbell. Elle représente à merveille la fille simple et va s'en prendre plein la gueule pendant tout le film... Sam Raimi serait-il sadique avec ses acteurs? Possible tant la pauvre va en baver!!! Des coups, du sang (mais pas trop, PG13 oblige...), tout plein de liquides plus ou moins douteux et dégueulasses (dont du liquide d'embaumage... en provenance d'un cadavre, franchement c'est à vomir!), la pauvre elle subit et du coup on éprouve une vraie empathie pour elle. Côté casting on retrouve à ses côtés Justin Long très sobre et en retrait, et tous les seconds rôles excellents avec en tête bien sur la vieille gitane qui est énorme!! On croirait un des zombie d'Evil Dead... elle est vraiment flippante la mamie!

Niveau mise en scène que dire... C'est juste parfait! Caméra virevoltante, décadrages, jump cuts, et même l'utilisation de sa fameuse "shaky-cam" lors de la séquence d'invocation... un vrai plaisir qui renvoie directement tous les réalisateurs du genre loin loin loin!!! On n'avait pas vu un film d'horreur aussi efficace depuis très longtemps (le seul à m'avoir fait sursauter dernièrement c'est [REC], et avant... je ne sais même plus). Sam Raimi joue en permanence avec le spectateur, créant la surprise même quand on l'attend! Et puis son film est super drôle, et le va et vient entre horreur et comique passe tout seul, ça fonctionne tout le temps même si les changements de ton sont brutaux.

C'est cruel, sale, flippant (il arrive quand même à créer une tension avec des feuilles mortes qui s'envolent ou une mouche!!), drôle à en pleurer, dégueulasse... et c'est bourré de scènes déjà cultes!! La baston dans la voiture c'est un modèle de mise en scène et de gestion d'un espace confiné, la séance d'invocation du démon est énormissime, le dîner chez les beaux parents vaut aussi son pesant de cacahuètes et la scène du cimetière est superbe (Ah on l'attend la main qui ressort façon Evil Dead!!)... en plus Sam Raimi se permet un peu tout en exécutant un enfant et en sacrifiant un petit chat (j'adore!!) et il y a ce final, cruel, sans concession... On s'y attends en se disant qu'il ne le fera pas et puis si!! Le dernier plan est juste magnifique de jusqu'auboutisme.

Bref, en un film loin du gigantisme auquel il s'est habitué, Sam Raimi revient mettre de l'ordre dans le genre, ridiculisant tous ceux qui s'y sont essayé depuis des années et affirmant bien fort que le patron, c'est lui. Des films aussi jouissifs que celui-là c'est que du bonheur!!!


9/10
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Re: [Niko06] Mes critiques en 2009

Messagepar Val » Dim 21 Juin 2009, 11:53

Super film, entièrement d'accord :super:
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Re: [Niko06] Mes critiques en 2009

Messagepar zirko » Dim 21 Juin 2009, 16:36

Que du bon Jusqu'en Enfer ! :super:
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Re: [Niko06] Mes critiques en 2009

Messagepar Riton » Dim 21 Juin 2009, 17:10

Il déchire 8)
Mes DVD a vendre à partir de 0.70€ 8)
helldude™ a écrit:bik et moi vivions déjà le grand amour avant l'épisode de l'éjaculation faciale

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Pixote, la loi du plus faible - 10/10

Messagepar Niko06 » Mar 23 Juin 2009, 09:07

Pixote, la loi du plus faible
d'Hector Babenco

Image

Reconnu comme étant le film matriciel qui a influencé Fernando Mereilles pour son film la Cité de Dieu et les séries TV dérivées, on peut dire que Pixote s'inscrit dans une certaine tradition de cinéma d'Amérique latine qui cherche à faire découvrir au monde la dure réalité de ces pays... et une chose est sure, le constat est d'autant plus triste qu'évident, entre Los Olvidados de Buñuel en 1950 et la Cité de Dieu en 2002, Pixote se plaçant juste entre les deux, rien n'a évolué... Que ce soit au Mexique ou au Brésil, la situation est tellement précaire, le taux de mortalité tellement élevé que les enfants représentent presque la majorité de la population. Des générations sacrifiées pour des raisons qui nous échappent... Et si le film de Mereilles nous montre une évolution façon Scarface, celui de Babenco se veut beaucoup plus réaliste, cru, documentaire... et la réalité qui y est étalée a de quoi choquer, un film qui ne s'oublie pas...

Après une introduction très "docu" qui nous présente la situation des enfants au Brésil et qui se termine par l'image de l'acteur qui incarne Pixote, Fernando Ramos Da Silva, dans sa vraie famille, le film est construit en deux parties bien distinctes, la première prenant place dans un centre de détention pour mineurs, la seconde dehors. On retrouve dans la première moitié à peu près tous les codes du film de prison: passages à tabac, douches, cantine, viols, isolement... sauf que d'emblée quelque chose nous dérange, ce ne sont que des enfants!! Ils se recréent une famille qu'il n'ont pas ou plus à l'extérieur, leurs jeux sont assez troublants car il s'agit de reconstitutions de crimes dans lesquelles leurs réactions en cas de triche vont du caprice enfantin à une explosion de rage digne d'un adulte criminel... On comprend bien que ces enfants ont grandi trop vite, que derrière leur apparence se cache un mélange assez terrifiant entre innocence et maturité.

Dans cette partie Babenco manie habilement l'ellipse en nous donnant quelques fragments de pourquoi les enfants que nous suivons en particulier sont enfermés... le meurtre d'un magistrat qui fait couler beaucoup d'encre... alors que personne ne sait qui y a vraiment assisté. Cette "enquête" secondaire qui n'en est pas vraiment une nous rappelle que Pixote n'est pas un documentaire mais bien une oeuvre de fiction, malgré le fait qu'elle soit très encrée dans la réalité sordide du pays. Aucun des enfants acteurs n'était passé par ce centre de détention qui lui est bien réel. Et au milieu de cet enfer ce détache le jeune Pixote. Petit, frêle, il n'impressionne pas, n'est pas un leader ni un suiveur... il nous déstabilise par une capacité à se détacher de ce qu'il vit qui fait froid dans le dos, car un enfant ne sait pas faire ça! Tous les autres enfants ont des réactions à fleur de peau, enfantines en fait... mais pas lui. Mais il nous déchire le coeur quand on voit son seul vrai sourire, quand il est isolé et qu'il respire ce pot de colle... preuve d'une enfance définitivement perdue et dont les échappatoires agréables ne sont qu'illusion...

La seconde partie se passe hors du centre, on suit un groupe de quatre enfants: Pixote, Dito, Chico et Lillica, un travesti dont l'homosexualité ne pose pas vraiment de problèmes aux autres enfants. C'est clairement une nouvelle famille qui s'est constituée en plus d'être partenaires dans le crime. Ils vont toucher à toutes les activités, commençant par le vol, puis le deal de drogue et enfin le proxénétisme lorsqu'ils vont racheter Sueli qui deviendra leur acolyte, leur mère et leur amante... de très belles scènes succèdent aux plus cruelles, on gardera en mémoire une danse nocturne improvisée devant les phares d'une voiture où le rêve et la liberté semblent prendre le pas sur une triste réalité.

Mais ils n'atteignent jamais le bonheur, cette famille improvisée étant bâtie sur des valeurs impossibles. Et lorsque tout éclate ça fait très mal... On voit cet enfant angélique, Pixote, s'éloigner de plus en plus de tout sentiment, son regard se vide jusqu'à cette scène effrayant où il regarde la TV mais n'est finalement pas vraiment là. On pense alors qu'il va retrouver avec Sueli, alors qu'ils ne sont que tous les deux, une vie "normale", une mère surtout, idée qui atteint son paroxysme quand elle lui donne le sein... mais non, la fatalité le rattrape et la dernière image qu'on voit de lui sème le doute, seul sautillant sur des rails... Et le plus troublant dans tout ça c'est quand la réalité rattrape la fiction, le jeune Fernando Ramos Da Silva a été retrouvé abattu par les balles de la police brésilienne quelques années plus tard... ce qui vient confirmer ce fait effroyable: ces enfants n'ont aucun espoir de s'en sortir.

Pixote est un film très fort, qui ne fait pas dans le démonstratif et une mise en scène clipesque, tout est posé et la violence est présente aussi bien physiquement que psychologiquement, c'est surtout un film terriblement pessimiste et qui laisse un goût amer.


10/10
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Re: [Niko06] Mes critiques en 2009

Messagepar jean-michel » Mar 23 Juin 2009, 09:27

:super: du très bon! très bonne critique qui résume bien cette excellent film.
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Re: [Niko06] Mes critiques en 2009

Messagepar zack_ » Mar 23 Juin 2009, 11:19

Je connais pas ce dernier mais j'ai apprécié les critiques de T3 et Jusqu'en enfer, surtout qu'on les a vu ensemble ;)
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Re: [Niko06] Mes critiques en 2009

Messagepar Niko06 » Mar 23 Juin 2009, 11:29

yep :super: D'ailleurs tu remarqueras que je n'ai rien dit sur le fait que j'ai du calmer tes ardeurs avec ta main baladeuse
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