Le comic book est centré sur un voyou qui affirme être le principal homme de main d'un patron de la pègre. Le comics a également un aspect paranormal, étant en relations avec des fantômes, des zombies et des scientifiques fous.

On en parle encore très peu dans nos contrées, mais l'une des œuvres phares de la bande dessinée américaine contemporaine risque de devenir un véritable événement cinématographique l'année prochaine. Pour des raisons qui nous subjuguent encore un peu (mais qui confirment toute l'autodérision qu'il a généreusement insufflé à son Fight Club, sans malheureusement le réitérer depuis) le génial David Fincher a jeté son dévolu sur le tout aussi génial (mais tellement loin de lui) comics The Goon, écrit et illustré avec un amour incandescent pour les fondements de la BD pulp un peu Z par Eric Powell. Un juste retour des choses quand l'auteur lui-même reconnaît, à la fois franchement dans ses propos et à demi-mot lorsque l'on parcourt ses cases, que son Goon n'aurait jamais vu le jour sans une vraie culture cinéphilique un peu foutraque où se sont mélangés aussi joyeusement que possible la Hammer, Roger Corman, Romero, Fulci et toute une tripotées de choses plus ou moins bien fagotées entre les années 50 et 80 mais qui ont fait le bonheur de millions de bisseux curieux réunis dans les salles d'exploitation à travers le globe.




Avec Fincher à la production, et l'auteur de la BD à l'écriture, The Goon pourrait imposer un véritable revirement dans l'industrie du cinéma d'animation 3D américain en étant le premier du genre à s'adresser uniquement aux adultes, s'il respecte ses petites entorses natives à la bienséances (le sexe et le gore font partie du programme). Une grosse attente, une curiosité en soi, la réponse à la déception Monstres contre Aliens (qui n'exploite pas suffisamment son filon) et pourquoi pas une énorme surprise...
Sortie courant 2010


On en parle encore très peu dans nos contrées, mais l'une des œuvres phares de la bande dessinée américaine contemporaine risque de devenir un véritable événement cinématographique l'année prochaine. Pour des raisons qui nous subjuguent encore un peu (mais qui confirment toute l'autodérision qu'il a généreusement insufflé à son Fight Club, sans malheureusement le réitérer depuis) le génial David Fincher a jeté son dévolu sur le tout aussi génial (mais tellement loin de lui) comics The Goon, écrit et illustré avec un amour incandescent pour les fondements de la BD pulp un peu Z par Eric Powell. Un juste retour des choses quand l'auteur lui-même reconnaît, à la fois franchement dans ses propos et à demi-mot lorsque l'on parcourt ses cases, que son Goon n'aurait jamais vu le jour sans une vraie culture cinéphilique un peu foutraque où se sont mélangés aussi joyeusement que possible la Hammer, Roger Corman, Romero, Fulci et toute une tripotées de choses plus ou moins bien fagotées entre les années 50 et 80 mais qui ont fait le bonheur de millions de bisseux curieux réunis dans les salles d'exploitation à travers le globe.




Avec Fincher à la production, et l'auteur de la BD à l'écriture, The Goon pourrait imposer un véritable revirement dans l'industrie du cinéma d'animation 3D américain en étant le premier du genre à s'adresser uniquement aux adultes, s'il respecte ses petites entorses natives à la bienséances (le sexe et le gore font partie du programme). Une grosse attente, une curiosité en soi, la réponse à la déception Monstres contre Aliens (qui n'exploite pas suffisamment son filon) et pourquoi pas une énorme surprise...
Sortie courant 2010
