[Dunandan] Mes Critiques (ré)éditées en 2016

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Re: [Dunandan] Mes Critiques (ré)éditées en 2016

Messagepar Jed_Trigado » Ven 23 Déc 2016, 11:06

Vu ce qu'on met sur la gueule des asiatiques a longueur d'année, je pense qu'ils ont le droit de se défouler sur nous de temps a autres. :mrgreen:
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Re: [Dunandan] Mes Critiques (ré)éditées en 2016

Messagepar Dunandan » Ven 23 Déc 2016, 19:16

Jed_Trigado a écrit:Là, Ip Man 3, je cherche encore l’intérêt de la chose, si ce n'est d'inonder le spectateur de coups de coudes poussifs (les scènes avec Bruce Lee, putain).

C'est clair qu'il ne rajoute rien à la série et certains passages laissent à désirer, mais à prendre comme un simple film de stomb, on peut y trouver son compte.

Ce qui m'a par contre choqué, c'est que tout ce que j'ai préféré dans le film n'était pas dans la bande-annonce :chut:.
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Revenant (The) - 8/10

Messagepar Dunandan » Sam 24 Déc 2016, 19:34

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The Revenant, Alejandro G. Iñárritu (2016)

Alors c'est ça le film le plus plébiscité de l'année ? Alors oui, je suis bien d'accord pour lui reconnaître beaucoup de qualités, à commencer par cette mise en scène et cette photo incroyables (non mais il y a de ces plans, c'est juste magnifique, on dirait du Malick par cette manière de filmer la nature), on se croirait vraiment aux côtés de ces trappeurs largués au milieu de cet enfer blanc (je n'imagine même pas les conditions de tournage), d'autant plus que ça a l'air très bien documenté, en tous cas la crédibilité règne d'un bout à l'autre. D'autre part, si la mise en scène est globalement plutôt posée, le montage se lâche par moments, comme durant les affrontements, d'ailleurs bien violents dans leur genre (je pense surtout à cette caméra embarquée sur les chevaux, c'est un truc de fou). Côté casting, c'est aussi du bon boulot, même si je préfère l'interprétation de Tom Hardy (Fitzerald), qui campe d'ailleurs un personnage plus intéressant que celui de Di Caprio (Glass), un lâche oui, mais également un survivant avant tout.

Par contre, j'ai justement trouvé la mise en scène trop présente, on sent que Iñárritu était toujours à la recherche du plan parfait (ou volontairement sale, dixit ces tâches de sang ou d'eau sur la caméra), et du coup je n'ai jamais vraiment accroché aux personnages, alors qu'il y avait à faire de ce côté là (par exemple du côté du passé de Fitzerald ou de la spiritualité de Glass, des backgrounds qu'on nous rappelle par petites touches, bien souvent par l'image seule, mais finalement peu exploités d'un point de vue émotionnel). D'autant plus qu'à part certaines séquences fortes (évidemment le combat contre l'ours, du jamais vu dans le genre en termes de brutalité et de réalisme, le face-à-face final, et tout ce que Glass aura à faire pour survivre), le film est plutôt lent et contemplatif. Alors si on aime les belles images, on est servi, c'est du bel ouvrage (je me suis demandé des fois si le véritable héros n'était pas la montagne), idem côté crédibilité, on ressent la souffrance physique du protagoniste principal et les conditions de vie liées à ce milieu comme jamais, mais pour ma part j'ai trouvé le temps un petit peu long pour ce que ça racontait.

Note : 8/10


Maj du 24/05/2020 : 7 => 8/10

Signe des grands, ça passe mieux à la revoyure niveau rythme, comme quoi ce point peut être parfois très subjectif, du coup j'étais plus dedans. J'ai donc pu mieux apprécier la narration du film qui distille, en effet, de petits détails visuels, enrichissant un script peu épais à première vue, mais qui s'étoffe grandement autour de sa thématique centrale de la survie, et donc celle de l'humain. Il n'y a pas à dire, Iñárritu sait y faire pour faire vivre son cadre et ses personnages, planter une atmosphère, et ce, avec une certaine économie des dialogues. Même le perfectionnisme latent de certaines prises de vue m'a moins dérangé, pour ses raisons esthétiques évidentes, et aussi parce que cette «aventure» en premier lieu physique et viscérale prend aussi un atour spirituel, c'est donc raccord.
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Re: [Dunandan] Mes Critiques (ré)éditées en 2016

Messagepar Waylander » Sam 24 Déc 2016, 20:04

Je peux comprendre ce style d'avis sur le film.

Pzr contre, concernant le fond, ok l'histoire est simple mais le fond, le sous texte, le message, il est juste parfait même si c'est souvent très subtil, pas besoin d'exposer clairement le truc.

Enfin perso j'y vois tout un discours sur l'empathie, l'entraide VS l'instinct (de survie ici) et l'individualisme. Et c'est pour rien qu'on a aussi tout un trip christique + un trip spirituel animiste avec les amérindiens et le gosse métisse de Glass + pleins de petits plans subtils avec notamment le compagnon d'Hardy qui laisse de la bouffe à la vieille et qui ne veut pas laisser Glass mourir seul ni mentir (il ne fait que suivre les ordres d'un mec dont il a peur). Il n'accepte pas non plus l'argent.

A l'inverse Hardy c'est le survivant ok mais qui n'a aucune humanité, aucune morale, aucune empathie (enfin non un peu quand même au début lors de la bataille il sauve le jeune justement , et il aurait pu tuer Glasse bien plus tôt, de plus il tue le fils parce qu'il est sous pression, qu'il gueule etc...) et il ne pense qu'à la survie sauf qu'il le fait toujours mal (quand il veut descendre le fleuve et que Glass refuse bah il avait raison puisqu'on voit que les mecs qui ont pris le fleuve sont morts tués par les indiens). Pour moi Glasse et Fitz sont aussi intéressants l'un que l'autre puisqu'ils sont les facettes opposées de l'Homme : l'animal, la survie, la sauvagerie, la violence, l'individualisme contre l'empathie, la morale, l'entraide, le spirituel (pas pour rien que Fitz annonce clairement qu'il s'en fout de la religion).

En gros le film évoque une partie de l'histoire américaine ultra violente, les trappeurs, les tueries forestieres, les massacres d'animaux, le massacre des indiens etc...on connait tout ça donc le mec a sans doute préféré le raconter essentiellement par des images et le silence plutôt que par un truc bavard pour rien, comme tous les films historiques en général. Là c'est fait différemment, c'est ultra intense et dense. Le film qui parle de comment on peut passer de cette époque pourrie à une civilisation , la vraie, en mettant de côté la survie parce qu'elle nous rend violents et sauvages donc Glass (le civilisé) contre Fitz (le sauvage).

On peut s'identifier aux deux mais clairement, Fitz ne vit que pour lui alors que Glass ne vit que pour son fils, il sait donc ce que c'est de devoir penser à quelqu'un en plus de soi. Mais Fitz souffre justement de cette solitude (pas pour rien qu'il veut le jeune avec lui et qu'il ne le tue pas alors qu'il aurait pu le faire en prenant son fusil juste après avoir constaté que celui du jeune ne marchait pas). La scène qui te montre bien la différence entre les deux mecs c'est quand Glass sauve l'indienne prête à se faire violer. Fitz n'aurait jamais fait ça.

Et j'ai adoré les plans symboliques de la renaissance de Glass qui , de mémoire, renaît 4-5 fois : quand il sort à moitié de terre, quand il sort de la hutte de sudation, quand il sort du cheval mort , quand il sort de la rivière puis du bain à la fin....à chaque fois, il retrouve des forces, il change, il se met à mieux marcher etc.... C'est juste une interprétation mais pour moi c'est évident. Pour moi le film possède un bon lot de plans symboles, toute un sous lecture spirituelle et un gros message que j'aime décortiquer à chaque vision. Le coup de l'histoire qui raconte pas grand chose ok mais c'est tellement riche niveau ambiance, mise en scène, acting , musique et références visuelles, spirituelles etc...ça tue.
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Re: [Dunandan] Mes Critiques (ré)éditées en 2016

Messagepar Dunandan » Sam 24 Déc 2016, 20:11

Bref, c'est le genre de film à découvrir au cinéma pour ressentir cette ambiance à fond. Je reconnais qu'à l'image il se passe plein de trucs autour de ces deux persos (je le dis dans ma critique même si effectivement certains choses ont pu m'échapper, je n'ai pas creusé plus que ça) mais du coup ça m'a fait le même effet qu'un certain Gravity, quoique The Revenant est plus riche et subtil dans son propos, mais 2h30 quoi :?.
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Enfants Loups: Ame et Yuki (Les) - 7,5/10

Messagepar Dunandan » Sam 24 Déc 2016, 23:29

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Les enfants loups, Mamoru Hosoda (2012)

Les premières séquences pouvaient faire craindre le pire, car oui, comme on pouvait s'en douter, les bons sentiments sont à la fête, mais assez rapidement le ton se durcit jusqu'à même devenir franchement doux-amer dans le dernier virage. En effet sont abordés le deuil et la séparation, faisant des Enfants loups une oeuvre plus profonde et contrastée qu'elle n'y paraît. En outre, on retrouve le cadre champêtre qui faisait des merveilles dans Summer Wars, avec ses paysans aux apparences rudes mais valorisant avant tout la détermination et l'entre-aide, et le thème de la famille, déjà important dans le film précité, qui devient ici non seulement le thème central mais abordé avec un angle neuf, à savoir la dualité entre la nature humaine et la nature animale.

Or, ce film aurait très bien pu se contenter de l'image cutie de ces enfants loups en train de jouer, le passage vif et irrésistiblement incontrôlable d'une nature à l'autre correspondant bien à un âge où les émotions prennent le dessus (des séquences évidemment drôles et attachantes), avec le danger latent (mais jamais trop présent) que pourrait représenter le dévoilement de leur double identité. Mais Hosoda, à l'image de ses deux précédents films, se distingue par un message positif envers des thématiques difficiles (le temps, les communautés virtuelles, et enfin l'animalité), ici en dépassant le stéréotype habituel du genre (la lycanthropie devient un choix assumé et conscient). Ainsi, lors du passage à l'adolescence (marqué par une scène particulièrement forte), le film questionne la difficulté d'assumer pour les deux enfants leur véritable nature (qui peut évoluer en cours de route). Une partie aussi réussie que la première, mais pas pour les mêmes raisons (l'une est plus fun, l'autre plus existentielle), illustrée par deux séquences rivalisant de beauté (jusque dans leur mise en scène) qui se répondent comme un miroir inversé pour montrer leur décision finale.

Bref, Les enfants loups est une jolie fable sur le passage à l'âge adulte (tant pour les enfants que la mère), émouvante (tour à tour joyeuse et triste, le dosage est presque parfait), intelligente (par son traitement de l'animalité qui est loin d'être diabolisée), le tout joliment enrobé. Je retiendrai surtout les mignonnes facéties des enfants et les excursions souvent magiques (certaines sont en vue intérieure pour plus de dynamisme) dans la nature, même si on n'atteint pas le niveau technique ou la grâce d'un Miyazaki. Hosoda, la relève actuelle de l'animation japonaise ? Encore trop tôt pour le dire, mais il en a clairement le potentiel.

Note : 7.5/10
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Re: [Dunandan] Mes Critiques (ré)éditées en 2016

Messagepar Alegas » Sam 24 Déc 2016, 23:52

Tu te fais toute la carrière d'Hosoda pour pouvoir mater son dernier du coup ?
"Our films were never intended for a passive audience. There are enough of those kinds of films being made. We wanted our audience to have to work, to have to think, to have to actually participate in order to enjoy them."

The Wachowskis


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Re: [Dunandan] Mes Critiques (ré)éditées en 2016

Messagepar Dunandan » Dim 25 Déc 2016, 00:59

Oui :super:
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Batman v Superman : L'Aube de la Justice - 5/10

Messagepar Dunandan » Jeu 29 Déc 2016, 00:28

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Batman v superman : L'aube de la justice, Zach Snyder (2016)

Lorsqu’on a été comme moi l’un des premiers défenseurs de Man of steel (qui était à mon sens un très bon revival de la saga et un idéal Blockbuster parvenant à trouver la juste distance entre profondeur - des origines et du mythe - et séquences épiques), d’autant plus qu’avec Snyder aux manettes (qui commençait à avoir un bon pedigree dans le genre du film de super-héros avec l’excellente adaptation du comics Watchmen), je mesure la déception que constitue ce Batman v Superman. Le plus gros défaut étant que ça ne décolle jamais, la faute à un trop plein d’arcs narratifs alourdissant l’ensemble (combien de fois on va encore subir le trauma de Bruce Wayne ?) et à la nécessité d’arrimer ce film à la franchise La ligue des justiciers. D’autant plus que ces sous-intrigues sont loin d’être toutes de qualité (Wonder Woman n’existe qu’au combat, Loïs Lane ne sert à rien cette fois-ci, etc.). Dommage, car je salivais d’avance à l’idée de ce face-à-face entre ces deux mastodontes dans une guerre d’images et de symboles, mais au final on devra se contenter la majorité du temps à un Bruce Wayne en costume trois pièces parler à un Clark Kent lunetté de leurs états d’âme (syndrome Nolan). Pas ce que j’attendais…

Je n’ai rien contre le fait d’explorer la facette sombre de ces deux figures emblématiques, bien au contraire même, mais c’est globalement bien trop bavard, et lorsque ça devient enfin bad ass, la ligne n’est jamais vraiment totalement franchie, à l’image de cette polie cicatrice laissée sur la joue de Superman, bien rapidement effacée d’ailleurs. Le pire est évidemment ce bad guy interprété par Jesse Eisenberg, embarrassant au possible à chacune de ses apparitions (le voir surjouer la folie est priceless). Restent Ben Affleck qui assure en Batman avec une armure qui pète la classe, et un climax qui fait plaisir où Snyder fait un peu tout péter (même si le big bad guy est caricatural à souhait), annonçant le potentiel de ce qui est à venir. Bref, Batman vs Superman souffre d’une formule à deux vitesses (voire plus) alors qu’il aurait pu jouir d’un meilleur rythme en se contentant d’être un film à part entière en exploitant juste son idée de départ, alors qu'en l'état, on a plus affaire à une vulgaire oeuvre de transition qu'autre chose. La moyenne car un film avec Kevin Costner (même s’il n’apparaît que 30 secondes montre en main) ne peut souffrir d’une note négative. Mais quand même, quel gâchis vu le potentiel entrevu.

Note : 5/10
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Triple 9 - 5/10

Messagepar Dunandan » Jeu 29 Déc 2016, 00:48

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Triple 9, John Hillcoat (2016)

Sans Hillcoat à la réalisation, le mec qui a réalisé un des meilleurs films post-apo que j’ai vu jusqu’à présent, jamais je n’aurais jamais pensé à regarder cet ersatz mal dégrossi de Heat (j’avoue, je grossis les traits, surtout qu’il ne s’agit pas du tout du même fond, mais il est toujours bon de rappeler que dans le genre braquage et cops vs thugs, on n’a pas vu mieux). Bon, tout n'est pas à jeter, à commencer par son ambiance des bas-quartiers bad ass et poisseuse à souhait et des séquences cash qui sont toujours bonnes à prendre (je pense surtout au braquage du début et à l'opération Swat), et deux perles dans le casting, à savoir Casey Affleck et Woodie Harrelson, qui crèvent l’écran à chacune de leurs apparitions (même si le background d'alcoolo pour ce dernier manque sérieusement d’originalité), tout l’opposé d’Aaron Paul qui décidément ne parvient pas à dépasser son rôle de camé dans Breaking Bad en jouant encore un mec paumé, la subtilité en moins.

Le délire avec le Triple 9 était pourtant sympa, mais il est seulement exploité à la toute fin, et avant cela, il faut se farcir une pleine pelletée de clichés (comme ces gangs full tatoués, hispaniques de surcroît), le tout au service d'une intrigue pas vraiment fameuse, à savoir cette alliance entre ripoux et criminels d'une part, et russes bien machiavéliques de l'autre, menée par une Kate Winslet qui fait ce qu’elle peut dans un rôle à contre-emploi. Mais franchement, on se serait bien contentés d’un affrontement tout bête entre flics et braqueurs, en se déchargeant par là même d’une bonne poignée de leurs états d’âme (du coup, déjà qu'ils ne sont pas très bien écrits, on ne ressent quasiment aucune empathie pour les personnages), plutôt que de rajouter par dessus cette intrigue tirée par les cheveux avec les russes, d'autant qu'elle est purement interchangeable (qu'on les remplace par n'importe quel autre groupe d'enfoirés ne changerait rien au reste). Au moins, le spectacle est assuré par intermittences, mais là aussi la mise en scène manque de personnalité et de folie.

Note : 5/10
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Re: [Dunandan] Mes Critiques (ré)éditées en 2016

Messagepar Dunandan » Sam 31 Déc 2016, 20:55

TOP 2016


Puisque que je n'ai pas encore vu tous les films 2016 que j'avais prévu, je propose un top mélangé (sans ordre de préférence) :

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Autres découvertes marquantes : L'anguille, Nos Futurs, The Yellow Sea, Perfect Blue, Triad Zone, Millenium Actress, La traversée du temps, Les enfants loups, Toy Story, Tiger Cage, etc.

Réalisateurs découverts/approfondis : Mamoru Hosoda, Satoshi Kon, Rémi Besançon.

2016 était vraiment pour moi une année mouvementée et de changements (mais aussi riche à plusieurs niveaux...), marquée par plusieurs mois d'absence dans le topic Critiques (par contre 32 films vus en plus par rapport à 2015 pour un total de 132), mais maintenant je suis totalement motivé pour une autre année pour parler ici de cinoche, faire/terminer des cycles, et surtout j'espère, faire de belles découvertes cinématographiques :).

Cycles prévus/à compléter : Tsui Hark, Ethan et Joel Coen, Hayao Miyazaki, Quentin Tarantino, Takashi Miike (pas tout :mrgreen:), Park Chan-Wook, cinéma français naphta.
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