[Jack Spret] Mes critiques en 2013

Modérateur: Dunandan

Re: [Jack Spret] Mes critiques en 2013

Messagepar Heatmann » Dim 20 Jan 2013, 11:13

yep so true :super:

d'ailleur leur dialogue sur le porche il est sur le Cd de la bO entre 2 chanson et ca me fout la banane a chaque fois :love: :eheh: :super:
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Re: [Jack Spret] Mes critiques en 2013

Messagepar osorojo » Dim 20 Jan 2013, 11:13

Non mais, je pense que la relation entre Di Caprio et Sam est plus subtile qu'il n'y parait. Il me semble qu'à un moment Stephen dit avoir élevé Candie, où en tout cas avoir été présent depuis que ce dernier est gamin (à vérifier, tu me rediras). Du coup, je pense que Stephen est une figure paternelle aux yeux de Candie ce qui fait toute l’ambiguïté de la situation. Le gamin est son maître dans l'échelle sociale, mais Stephen est son maître à penser. Enfin, pour moi en tout cas ;)
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Re: [Jack Spret] Mes critiques en 2013

Messagepar Jack Spret » Dim 20 Jan 2013, 11:14

C'est bien pour ça que je dis qu'il aurait fallu une scène avant celle de la bibliothèque pour éviter d'y aller et garder la tension intacte et continuer de voir Waltz en restant assis au dîner.
Après je peux comprendre une chose: première partie = Foxx + Waltz. Seconde partie = DiCaprio + Jackson
C'est pour ça qu'au revisionnage, je serais certainement plus clément (peut être même monterais-je à 9)

EDIT pour oso: c'est pas du mec a qui le crâne appartient qu'il dit ça ?


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In the air - 6/10

Messagepar Jack Spret » Dim 20 Jan 2013, 19:58

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What else ?


In the air arrive après Thank you for smoking et Juno, soit deux films qui compte la crème des oeuvres indépendantes. Jason Reitman se serait-il reposé sur ses lauriers avec ce film ? Je ne le pense pas vu la réussite qu'est Young Adult. Mais In the air reste malgré tout le moins bon de sa filmographie, la faute à ce besoin de virer dans l'effusion de sentiments à mi-parcours alors que jusque là, le propos cynique et désabusé du personnage de Clooney se suffisait à lui même. Mais pour l'humaniser un tantinet, Reitman se sent obligé de lui infliger la part sentimentale et familiale que toute comédie indépendante se doit d'aborder.

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Les miles sont ses seuls compagnons, grossissant au fur et à mesure que sa vie se nourrit de vide.


Mais c'est fait de manière maladroite, avec un changement de ton si brutal et si inopportun qu'on se demande où est-ce qu'il désire emmener son personnage. Sa vision si réductrice soit-elle des rapports humains permettait un humour noir au ton charmeur, accentué par la présence d'Anna Kendrick en jeune diplômée arriviste. Une confrontation des époques,des méthodes de travail, des situations familiales qui permettent au film de garder un juste équilibre entre comédie professionnelle et drame de vie. Clooney semble à son aise et semble même être l'alter ego de Nick Taylor dans Thank you for smoking, leur boulot ingrat les faisant ressembler à des cousins éloignés, mais qui ont une vision très proche du monde de l'entreprise et de l'Amérique au sens large du terme.

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Détestable, on se surprend à comprendre sa manière d'appréhender le monde.


Puis vient le moment de la rupture de ton. Le film prend un virage à 90° dans la comédie romantique douce amère avec ce qu'il faut de cliché (le mariage, l'évolution du personnage, les désillusions,...). Mais plus jamais l'humour sera présent. Le ton abordé est sérieux, tragi-comique et Clooney n'incarne plus le même personnage. Le changement dans son jeu s'est opéré avant même que le personnage ne s'en rende compte, ce qui rend la seconde moitié du film longue et même parfois pénible. Sa vision du couple, et plus particulièrement du mariage, si étriquée et si réductrice au début du film (tout comme celle, caricaturale du personnage de Kendrick), s'étire pour coller au standard, mais sans aboutir à un résultat satisfaisant.

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Pas besoin de scènes à rallonge pour expliquer sa vision de la famille: cette image se suffisait à elle même.


Une semi-réussite dû à une volonté de vouloir trop prendre par la main le public et de ne pas vouloir froisser le public américain qui, en pleine récession de la crise au moment précis où In the air, taclant les coupeurs de tête mais évoquant à vive-voix les licenciements à la volée pratiqués dans le pays, aurait pu trouver opportuniste la démarche de Reitman. Heureusement, son scénario ayant écrit longtemps à l'avance, on peut espérer croire que le cinéaste avait vu juste sur la situation économique et que sa vision d'ensemble collant parfaitement à l'actualité de son pays, soit à lui seul une raison suffisante d'avoir voulu réaliser ce film. Ce qui argumenterait en sa faveur le" meublage" fait en seconde partie et qui rehausserait mon opinion sur le film.

6/10

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Re: [Jack Spret] Mes critiques en 2013

Messagepar Dunandan » Dim 20 Jan 2013, 20:23

Oui elle m'a bien aussi saoulé la seconde partie, dommage car ça partait bien.
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Kontroll - 7,5/10

Messagepar Jack Spret » Lun 21 Jan 2013, 08:45

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Visionnaire et effrayant !


Promener sa caméra dans les couloirs de métro et découvrir un univers aussi glauque que ses habitants de passage sont hétéroclites est une excellente manière de prendre le pouls d'une société. Besson avait tenté l'expérience avec son Subway qui préfigurait un peu son cinéma de jeunesse. Entre plongée dans un monde marginal et violence d'une partie désagréable du quotidien de tout un chacun, le métro est le meilleur moyen de mettre en lumière les personnages, baigné tout au long de la journée dans des éclairages au néons qui peine à dessiner les contours de leur personnalité.

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Le briefing permet de faire un tour de table des employés: un nid de nihilistes !


En véritable jungle de métal et de rouille, où les tags et les insultes sont le seul et unique moyen d'expression, le métro contient sa faune (les prostituées, les drogués, les suicidaires) et sa flore (le conducteur de métro, la jeune femme habillée en nounours) qui vivent et survivent dans un milieu toujours plus hostile. En effet, un prédateur guette des proies faciles et les pousse sous le métro. Ce personnage, au visage toujours masqué par sa capuche, va devenir la Némésis de Bucsu, contrôleur sans attaches qui vagabonde dans les souterrains nocturnes du métro de Budapest.

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Solitaire et paumé, Bucsu est un être attachant qui semble avoir choisi son sort.


Opérant un étrange ballet entre deux genres (le thriller et la comédie sociale), Kontroll flirte même avec le fantastique, certains personnages sortant tout droit d'un univers surréaliste rappelant grandement un autre cinéaste: Terry Gilliam. Les rêves étranges et les situations kafkaïennes alliés à cette labyrinthe ville souterraine, on pense très sincèrement à Brazil. Et en observant de plus près les rouages de son fonctionnement, on assiste à la schizophrénie de Bucsu, livrant bataille contre lui même,contre cette part abattue et résignée qui l'empêche de quitter cet univers froid, hostile et sans avenir. Les métros passent inexorablement, au fil des jours et des années, à des heures régulières sans se soucier de ceux qui le pérennise (le conducteur) et le protège (Bucsu).

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Les contrôleurs ressemblent ni plus ni moins aux marginaux qu'ils verbalisent: un moyen de se fondre dans la masse.


Nimrod Antal n'a pas de style visuel particulier mais a d'excellentes idées comme cette chute en avant dans les escalators qui introduit son sujet ou ce long plan séquence qui filme le bien et le mal luttant à la course entre deux rames de métro, dans des tunnels grouillant autant de leurs incertitudes de vie que de l'obscurité de leur avenir. On pense aussi aux débuts de Danny Boyle (surtout à Trainspotting) pour la symbiose qui s'opère entre ces êtres faillibles mais libres, prisonniers de la seule drogue qui donne un sens à leur vie. Tous les personnages de l'équipe sont différents mais ils ne se valent pas. Pas en qualité d'écriture ni en introspection.

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Cadencé par les allés et venues des rames, le sommeil de Bucsu est fragile.


Farfouillant dans notre imaginaire pour donner un sens poétique et visionnaire à ces images, Antal invoque autant le cinéma fantastique que le roman d'anticipation. On pense notamment à 1984 quand on observe ce pauvre hère coincé dans une société décadente qui aspire à une nouvelle vie. Et pour un premier film, ressembler à Orwell et Gilliam, c'est quand même faire preuve d'un réel talent.

7,5/10

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Martin - 7/10

Messagepar Jack Spret » Lun 21 Jan 2013, 17:12

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Le mythe du vampire revu et corrigé par le père des zombies, ça fait forcément envie !


Romero, tout le monde le connaît. Peut être lui, ni son oeuvre au grand complet mais tout du moins sa progéniture pourrissante, à la démarche lente et aux râles gutturaux. Mais il faut savoir qu'avant de livrer une filmographie alléchante qui utilisera sa créature lascive à outrance, il s'est attaqué à d'autres mythes, tenant davantage du folklore gothique et de la littérature fantastique: la sorcière et le vampire. Je n'ai pas encore vu son Season of the witch mais par contre, son Martin est délectable. Aussi balisé soit le thème du vampire, il parvient à le bousculer et à le faire rentrer dans une nouvelle réflexion qui est assez proche de celle du cinéma de Cronenberg. Un cinéma de chair et de mutation.

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Avec son air angélique, Martin ressemble à l'innocent idéal.


Et c'est en traitant le vampirisme du jeune Martin comme une maladie, rationalisant l'aspect scientifique de ses actes (l'utilisation de la seringue faisant écho au milieu médical) que Romero démontre tout son talent. Car en le faisant s'affronter au fanatisme religieux de son oncle, plus enclin à croire en quelque chose qu'il ne voit pas, refusant de comprendre ce qui n'entre pas dans sa ligne de conduite, que le drame se noue et que la tension entre les deux personnages accouche d'une violence extrême à l'écran. Les deux parents se tournent autour, comme la science et la religion depuis des siècles, et chaque rencontre est synonyme de répulsion immédiate et violente.

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Romero rend toutefois hommage au mythe pour mieux le remodeler.


Et même si aucun des deux n'apporte une solution efficace au problème, ils ne chercheront jamais à comprendre l'autre et s'offusqueront toujours du pragmatisme d'autrui. L'un évoque la maladie, l'autre la possession. Et la religion est bien mise à mal car enfermée dans son carcan de valeurs traditionnel et de croyances séculaires. Même Martin ne fuiera pas devant la tentative d'exorcisme pratiqué par l'ami de son oncle alors que lui même est incapable de raisonner de manière rationnelle en s'appuyant sur les faits et non sur ses croyances pour le moins romanesques et dépassées. Traité comme un virus, le vampirisme du jeune homme n'a de remède que sa soif insatiable de sang. Et Romero garde intact l'aspect romantique du prédateur aux dents longues, ne lui faisant chasser que la gente féminine, entre 20 et 30 ans. Un hommage respectueux qui invite à penser que sa propre vision du mythe est légèrement boursouflée de clichés trop profondément ancrés dans l'inconscient collectif, permettant un point de repère identifiable pour son public.

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Les femmes sont l'unique source de réconfort de Martin, entre chaleur humaine et présence réconfortante.


Le cinéaste s'inspire du huis-clos et de ce qu'il a su construire de mieux depuis La nuit des morts-vivants pour rendre plus anxiogène l'atmosphère des assauts de Martin. En cela, chez sa seconde victime provocante et adultère on notera un sens aigu de la maîtrise de son espace avec une utilisation grandiose de l'ensemble de la maison, provoquant à certains moments une claustrophobie terriblement flippante. Et même si le côté dramatique est beaucoup plus mis en avant que l'aspect horrifique du long métrage, la fin nous laisse sur le carreau, par sa soudaineté et son acharnement exemplaire à vouloir nous montrer que les préjugés ont la vie dure et que les plus dangereux ne sont pas ceux que l'on croit.

7/10

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Hellboy - 5,5/10

Messagepar Jack Spret » Mar 22 Jan 2013, 18:48

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On est loin du niveau d'un Indiana Jones !


Et si je dis ça, c'est juste parce que l'affiche m'y fait penser. Car ça serait un raccourci idiot de comparer les deux personnages tant ils n'ont rien à voir entre eux. Et pourtant, ça n'est pas si idiot que ça d'attendre d'un film d'aventures (c'est clairement ce qu'il revendique d'être dans sa troisième troisième partie) qu'il fasse aussi bien voire mieux que ce qu'on a déjà vu dans le genre. Avant que les adorateurs du diable écorné ne sortent le goudron et les plumes, j'aimerais leur dire une chose: je n'ai jamais lu les comics et je n'ai pas aimé. Peut être que les deux sont indissociables. Et si c'est le cas, et pour cette simple et bonne raison, c'est un argument recevable et bétonné que de ne pas apprécier Hellboy.

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"- A partir de maintenant, tout ce que tu diras sera retenu contre toi !"


A l'inverse de tous ces super humains à l'aspect humain, il faut bien avouer que Hellboy sort du lot. Avec son look atypique et sa couleur voyante, on ne peut pas dire qu'il passe inaperçu. Et c'est justement le problème de ce colosse au coeur tendre car tout ce dont à quoi il aspire, c'est d'une vie ordinaire rangée aux côtés de sa copine. Mais sa rareté et sa monstruosité oblige le gouvernement à le cacher aux yeux du monde. Ne s'épanouissant réellement que lorsqu'on le sort de sa prison dorée, Hellboy est un boute en train particulièrement sévère avec ceux qu'il déteste et qui l'empêche de tourner en rond.

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"- Pour l'instant, tu t'en sors bien. Tu peux continuer..."


Après une présentation aux effets spéciaux douteux (c'est même carrément moche), une ellipse nous amène de nos jours sur le sol américain. Et heureusement que c'est indiqué car j'aurais été bien incapable de vous dire où on se trouvait si Myers ne se présentait pas comme un agent du FBI. Les décors sont pauvres et toujours nocturnes, ce qui s'explique facilement par le besoin de cacher à la population le mastodonte patibulaire,masquant également la difficulté qu'à Del Toro de faire passer Prague pour une ville des Etats-Unis. Mais le problème ne se trouve ni dans les effets spéciaux, ni dans les décors mais bel et bien dans l'histoire. Et pour un film qui est adapté d'une série de comics, c'est difficilement excusable.

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"- Je le crame tout de suite ?
- Non. Attendons de voir ce qu'il a à dire."


C'est fainéant dans l'iconisation du héros (sauf le bad guy nazi), dans les dialogues (les punchlines tombent à plat) et dans l'intrigue. Je ne me suis jamais intéressé à l'avenir de l'humanité qui, pourtant, avait l'air en péril du début à la fin. Et les enjeux, aussi bien amoureux que dramatiques (le professeur) sont trop mal écrits pour paraître sincères. A moins que tout se joue sur l'erreur de casting qui accumule les mauvais choix. Prendre des acteurs inconnus était judicieux pour traiter plus avant le personnage de Hellboy afin que la vedette ne lui soit pas volée. Mais ils sont si mauvais qu'ils en seraient incapable, même avec toute l'envie du monde.

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" - Tu devrais t'arrêter là, mon ami. Suis mon conseil..."


On passe du coq à l'âne tout le temps, les moments de bravoure sont rares (ce qui indique clairement une envie de faire un second opus mais qui n'excuse pas le fait d'être aussi avare en action à la sortie du film) et les seules scènes susceptibles de mettre à l'épreuve la pseudo invincibilité du géant rouge se terminent aussi rapidement qu'elles ont débutées. En cela, le combat final est l'un des plus rapides qu'il m'ait été donné de voir. Une manière bien étrange de raconter une histoire qui se contente de montrer son super héros dans des situations plus que banales la plupart du temps, provoquant l'ennui devant l'écran.

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"- Dernière sommation avant exécution. Fais tes excuses auprès de nous tous !"


Je vais enchaîner le second opus dès ce soir, en espérant que le niveau soit largement meilleur. Mais j'ai bien peur que Del Toro, en grand fan du travail de Mignola, n'ait eu le courage de créer une saga qui ne parle qu'aux aficionados et qui laissera pantois les autres. Si je voulais sauver quelque chose de cette première plongée dans l'univers d'Hellboy, ce serait le maquillage de Ron Perlman, d'un réalisme saisissant. C'est a peu près tout. Tu peux y aller, le Boche, je suis prêt...

5,5/10

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Re: [Jack Spret] Mes critiques en 2013

Messagepar Scalp » Mar 22 Jan 2013, 18:50

C'est quoi ça :shock: :shock: :evil:
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Re: [Jack Spret] Mes critiques en 2013

Messagepar elpingos » Mar 22 Jan 2013, 18:54

Le 2 est meilleur je trouve. Mais je trouve aussi que le 1 est quand même un gros morceau et bien mieux que beaucoup de films de super-héros (j'aime l'artisanat :wink: ) Et pi j'aime pas trop les comics. Voilà, bonne chance en tout cas, y a du monde au tournant ... :mrgreen:
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Re: [Jack Spret] Mes critiques en 2013

Messagepar Jack Spret » Mar 22 Jan 2013, 18:59

J'en étais conscient en mettant les petites répliques sous les images :mrgreen:
Mais merci quand même :-P


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Re: [Jack Spret] Mes critiques en 2013

Messagepar Mark Chopper » Mar 22 Jan 2013, 18:59

Scalp a écrit:C'est quoi ça :shock: :shock: :evil:


Une critique que j'aurais pu écrire :mrgreen:

Merci à Jack d'avoir fait le boulot pour moi (paie ton climax moisi).
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Re: [Jack Spret] Mes critiques en 2013

Messagepar Jack Spret » Mar 22 Jan 2013, 19:07

J'avais peur d'être seul sur le pont, en train de prier avant d'essuyer la tempête qui approche.
Content de voir qu'il reste des moussaillons à bord :D
Je suis d'accord avec ce climax: alors qu'on nous offre une superbe scène où Hellboy accepte son destin, on se retrouve à devoir quasiment ralentir la lecture du film pour avoir un minimum de satisfaction à la fin.
Les bastons, c'est clairement pas le truc de Del Toro (ce que je reprochais déjà à Blade 2)


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Re: [Jack Spret] Mes critiques en 2013

Messagepar Alegas » Mar 22 Jan 2013, 19:22

Qu'on aime pas le premier Hellboy soit, mais si tu mets moins de 8 au deuxième opus je me joindrais à Scalp. :mrgreen:
"Our films were never intended for a passive audience. There are enough of those kinds of films being made. We wanted our audience to have to work, to have to think, to have to actually participate in order to enjoy them."

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Re: [Jack Spret] Mes critiques en 2013

Messagepar Jack Spret » Mar 22 Jan 2013, 19:26

Peut être que maintenant que je suis imprégné de l'univers, le second passera mieux.
Par contre, s'il garde les mêmes lacunes que je trouve au premier film, il s'en mordra les doigts :eheh:


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