[Dun] Mes Critiques en 2023

[Dunandan]

Critiques et visionnages de 2023

Janvier

1 - Les affranchis, Martin Scorsese (1990) : 9,5/10
2 - Piège à Hong-Kong, Tsui Hark (1998) : 6,5/10
3 - La chasse à l'homme, John Woo (1993) : 7,5/10
4 - Minari, Lee Isaac Chung (2021) : 7/10
5 - Avatar 2, James Cameron (2022) : 7/10
6 - Avatar, James Cameron (2009) : 8,5/10
7 - Matrix Résurrection, Lana Wachowski (2021) : 7/10
8 - Man of steel, Zach Snyder (2012) : 8/10
9 - Shaolin Soccer, Stephen Chow (2001) : 8,5/10
10 - Razzia sur la chnouf, Henri Decoin (1955) : 7,5/10
11 - Heat, Michael Mann (1995) : 10/10
12 - Voici le temps des assassins, Jean Duvivier (1956) : 5,5/10
13 - Le clan des siciliens, Henri Verneuil (1969) : 6/10
14 - Top Gun : Maverick, Joseph Kosinski (2022) : 7/10


Février-Mars

15 - Harry Potter à l'école des sorciers, Chris Colombus (2001) : 7/10
16 - Harry Potter et la chambre des secrets, Chris Columbus (2022) : 6.5/10
17 - Harry Potter et le Prisonnier d'Azkaban, Alfonso Cuarón (2004) : 8/10
18 - Millenium Mambo, Hou Hsiao-hsien (2001) : 6/10
19 - En Corps, Cédric Klapish (2022) : 7/10
20 - Forrest Gump, Robert Zemeckis (1994) : 9/10
21 - Scream 5, Matt Bettinelli-Olpin et Tyler Gillett (2022) : 3/10


Avril

22 - Total Recall, Paul Verhoeven (1990) : 8,5/10
23 - La La land, Damien Chazelle (2016) : 8/10
24 - Ebola Syndrome, Herman Yau (1996) : 7,5/10
25 - Dream Lovers, Tony Au (1986) : 7/10
26 - John Wick, Chad Stahelski (2014) : 7/10
27 - John Wick 2, Chad Stahelski (2017) : 7,5/10
28 - John Wick 3, Chad Stahelski (2019) : 6,5/10
29 - The Insider, Michael Mann (1999) : 8,5/10
30 - Le cinquième élément, Luc Besson (1997) : 6/10
31- Aladdin, John Musker et Ron Clements (1992) : 8/10
32 - Le prince d'Égypte, Brenda Chapman, Steve Hickner, Simon Wells (1998) : 8/10
33 - La route vers l'Eldorado, Bilbo Bergeron (2000) : 7/10


Mai-Juin

34 - Kuzco, l'empereur mégalo, Mark Dindal (2000) : 7,5/10
35 - Hook, Steven Spielberg (1991) : 7,5/10
36 - JFK, Oliver Stone (1991) : 9/10
37 - Les Incorruptibles, Brian De Palma (1987) : 8,5/10
38 - Indiana Jones et la dernière croisade, Steven Spielberg (1989) : 8/10
39 - Impitoyable, Clint Eastwood (1992) : 9/10
40 - Tonnerre sous les tropiques, Ben Stiller (2008) : 5,5/10
41 - Le pacte des loups, Christophe Gans (2001) : 7,5/10
42 - Indiana Jones et le royaume du crâne de crystal, Steven Spielberg (2008) : 5,5/10
43 - Les gardiens de la galaxie, James Gunn (2014) : 7,5/10
44 - Les gardiens de la galaxie 2, James Gunn (2017) : 6,5/10
45 - L’appel de la forêt, Chris Sanders (2020) : 6,5/10
46 - Moneyball, Bennet Miller (2011) : 9/10
47 - Rush, Ron Howard (2013) : 8/10
48 - Ford vs Ferrari, James Mangold (2019) : 8,5/10
49 - Tyler Rake, Sam Hargrave (2020) : 7/10
50 - Tyler Rake 2, Sam Hargrave (2023) : 6/10
51- Indiana Jones et les aventuriers de l'arche perdue, Steven Spielberg (1981) : 9,5/10
52 - Indiana Jones et le temple maudit, Steven Spielberg (1984) : 9.5/10
53 - Nobody, Ilya Naishuller (2021) : 6,5/10
54 - King Richard, Reinaldo Marcus Green (2021) : 6/10


Juillet

55 - Donjons et Dragons : L'honneur des voleurs, Jonathan Goldstein & John Francis Daley (2023) : 6/10
56 - Novembre, Cédric Jimenez (2022) : 6,5/10
57 - Babysitting, Philippe Lacheau et Nicolas Benamou (2014) : 6/10
58 - Athena (2022), Romain Gavras : 6.5/10
59 - Indiana Jones et le cadran de la destinée, James Mangold (2023) : 7,5/10
60 - Farang, Xavier Gens (2023) : 6,5/10
61 - Mission Impossible : Dead Reckoning, partie 1, Christopher McQuarrie (2023) : 7/10
62 - The Fabelman's, Steven Spielberg (2022) : 8/10
63 - John Wick 4, Chad Stahelski (2023) : 6/10
64 - Alibi.com 2, Philippe Lacheau (2023) : 6/10
65 - Avatar 2 : La voie de l'eau, James Cameron (2022) : 7,5/10
66 - Notre-Dame brûle, Jean-Jacques Annaud (2022) : 6,5/10
67 - Little Odessa, James Gray (1994) : 7,5/10
68 - Justice sans sommation, Corey Yuen (1990) : 7,5/10
69 - The White Storm 3, Herman Yau (2023) : 5,5/10
70 - Roundup 3, Lee Sang-yong (2023) : 7/10
71 - Histoire de fantôme chinois, Ching Siu-tung (1987) : 9/10
72 - Ride on, Larry Yang (2023) : 6/10
73 - Devils, Kim Jae-Hoon (2023) : 5/10
74 - Io Island, Kim Ki-young (1977) : 3/10


Août

75 - Phantom, Lee Hae-young (2023) : 8,5/10
76 - The Childe, Park Hoon-jeong (2023) : 7,5/10
77 - Mad Fate, Soi Cheang (2023) : 8/10
78 - Killing Romance, lee Won Suk (2023) : 7,5/10
79 - My Heart is that eternal love, Patrick Tam (1989) : 7/10
80 - House, Nobuhiko Ōbayashi (1977) : 8,5/10
81 - Thomas Crown, John McTiernan (1999) : 7,5/10

[Dunandan]

Les affranchis, Martin Scorsese (1990)

Je commence l'année avec du lourd. Je dois l'avoir vu une bonne dizaine de fois et je n'arrive toujours pas à m'en lasser. C'est pour moi le film ultime de films de mafioso dans le contexte italino-américain avec évidemment Le Parrain. Je préfère même retourner à celui-là. En effet, cette fresque du crime organisé que l'on suit quasiment au quotidien est à la fois virtuose et débordante d'authenticité, on aurait presque envie de faire partie de la familia. Le casting est juste ouf, blindé de trognes typiques que l'on retrouvera encore pendant 15 ans (je pense bien sûr aux Sopranos). Le sens du rythme est impeccable, jamais on ne sent que ça dure 2h35, notamment grâce à un montage qui sait quand prendre son temps ou mettre la pression (comme ce passage décalé où on passe d'un crime de sang froid avec ce sanguin de Tommy à un souper improvisé chez la mama), et à des placements de musique et à une interprétation au top (surtout Ray Liotta qui y trouve le rôle de sa vie, mais aucun ne démérite). Une véritable déconstruction de la figure de l'affranchi en mode rise and fall et surtout, un morceau de cinéma essentiel pour tout cinéphile qui se respecte.

Note : 9.5/10

[Dunandan]

Hard Target, John Woo (1993)

J'avais oublié que c'était aussi kiffant. Et pourtant je reviens de loin tellement je le dénigrais un peu à sa sortie, probablement parce que je le comparais un peu trop hâtivement à ses comparses Hongkongais. Mais justement, avec le recul, je me rends compte de la générosité du bousin. Car Chasse à l'homme est un film qui se permet un peu tout pour iconiser JCVD, charismatique comme tout avec sa coupe de gitan et sa veste que l'on croirait empruntée à CYF, et mettre le curseur à fond les ballons dans l'action. Il sait tout faire, recharger à une main, alterner saut retourné et tirer au shotgun dans le même mouvement, les cheveux au vent, tirer assis sur une moto ou un cheval, faire des saltos au milieu des flammes pour... pas grand chose en fait. Alors certes, il ne faut pas le regarder pour son scénario mince comme un post-it et l'interprétation des acteurs franchement approximative, mais diantre, que c'est jouissif de remater un film si 90's dans sa conception, over the top, et assumant son côté bis du début à la fin. John Woo a fait ici son western urbain en faisant tout péter sur son passage, et le fait avec classe et sans retenue : Bay approves this movie (les pigeons en bonus).

Note : 7.5/10

[Dunandan]

Razzia sur la chnouf, Henri Decoin (1955)

En la personne de Henri Ferré dit le Breton (incarné par Jean Gabin) appelé pour restructurer les réseaux de la drogue, Razzia sur la chnouf nous offre une sacrée virée dans les terrains de la vieille France. C'est vraiment ce point-là qui m'a le plus accroché, excusant même les petits problèmes de rythme ici et là. On sent le travail de studio, mais ça ne m'a pas gêné, le dépaysement est garanti, ça ressemble presque à de la photographie figée dans le temps par moments grâce à un chouette travail de composition, et à ces trafiquants de l'ombre qui nous font graviter à tous les étages de la société. Pourtant, le petit écriteau en prologue pourrait nous faire craindre un pamphlet moraliste anti-drogue un peu lourdingue, mais finalement, excepté un personnage qui incarne toute la déchéance qui en résulte, on nous propose plutôt du cinéma de genre, et ça c'est bien.

Dans l'ensemble, la mise en scène est assez sage, mais le décorum fait largement le taff, encore une fois. Je retiens quand même quelques coups d'éclat, tels que le fameux interrogatoire assez costaud au commissariat, ou la table de jeu de dés où un cadrage bien pensé permet de faire rentrer tout ce «beau monde» dans le tableau. On retient aussi bien sûr l'interprétation des acteurs, mis en valeur par des dialogues argotiques aux petits oignons. Il y a évidemment Gabin, mais également le duo Ventura/Rémy, qui dégagent un charisme fou, ainsi que Magali Noël, bien charmante dans son rôle de petite nénette soumise. Je serais un peu moins clément envers Lila Kedrova qui incarne la dealeuse droguée, un peu too much à mon sens, même si c'est raccord avec la note d'intention.

Loin d'être complètement noir dans son récit, celui-ci est aussi parsemé de petites touches d'humour qui sont bienvenues tant elles sont dans le ton, et sont même parfois involontairement plus drôles que prévues par effet de décalage avec notre époque (je pense notamment à la réaction un peu légère des voisins quand il y a une fusillade dans leur rue). Bref, un bien chouette moment, malgré un dernier tiers un poil moins prenant (juste après la razzia), mais rien de bien grave (surtout que le twist est bien amené).

Note : 7.5/10

[Dunandan]

Voici le temps des assassins, Jean Duvivier (1956)

Deuxième Duvivier avec Jean Gabin que je mate après La belle équipe, et le moins qu'on puisse dire, c'est qu'il incarnait un peu le visage du cinéma «noir» français de l'époque. Malgré tout, j'ai vraiment eu du mal avec la progression du récit tant on s'ennuie quand même beaucoup, on voit un peu tout arriver avec une ou deux longueurs d'avance sans gros renouvellement (dommage car j'ai relativement apprécié le début avec le côté commères), et j'ai aussi un soucis avec la naïveté des personnages, celui de Gabin en tête qui met du temps avant de comprendre l'engrenage dans lequel il est tombé. Ceci dit, encore une fois, on ne pourra s'empêcher de trouver un certain charme suranné à ce genre de film qui évoque une époque révolue, avec son cadre de la grande restauration. Mais c'est vraiment tout ce que j'en retiens, j'ai trouvé que ça ressemblait grosso-modo à une histoire de fait divers dont la noirceur annoncée ne vaut réellement que dans ses vingt dernières minutes (la séquence de l'accident est quand même glaçante, bon le final est par contre cocasse alors que ce n'était pas vraiment le but - interdit à -16 ans à l'époque je le rappelle - mais bon, vu à travers les yeux de notre époque, ma vision est certainement biaisée). J'en retiens aussi l'interprétation globale, Gabin en tête, mais en même temps, ses mauvais rôles se comptent sur les doigts d'une main, et cette fois-ci, malheureusement, ça ne suffit pas.

Note : 5.5/10

[Dunandan]

Le clan des siciliens, Henri Verneuil (1969)

Plutôt déçu vu la réputation qu'il se paie. Pas de soucis avec le casting 3 étoiles (ce n'est pas tous les jours qu'on voit Ventura, Gabin, et Delon, sous la même affiche), mais ça ronronne quand même beaucoup entre les grosses scènes, et même pendant (la séquence en avion dure une éternité). Alors tout n'est pas à jeter, loin de là, il y a un vrai effort de réalisme (comme la scène d'évasion, la fuite de l'hôtel, ou encore la même scène d'avion), mais par contre on repassera pour la crédibilité, ce qui est quand même un peu problématique. Genre Gabin en chef de famille / gangsters siciliens, c'est franchement limite, malgré sa présence et son charisme : comme d'habitude, il en impose. Et même la manière dont certains plans sont amenés est problématique (le gardien qui glisse la perceuse dans la poche de Delon pour son évasion sans que personne ne le capte, c'est le genre de détail qui m'a un peu sorti de la scène, et même le coup de l'avion paraît trop facile). Au fond ça reste divertissant malgré encore une fois un rythme en dents de scie (la partie de l'enquête est très en retrait, ça n'aide pas à créer de la tension), mais rien n'élève vraiment le niveau à mon sens hormis le casting et le réalisme global des grosses scènes.

Note : 6/10

[pabelbaba]

Pareil, j’avais dû me résigner à voir ses défauts, alors que gamin je kiffais bien.

[Dunandan]

Comme promis, voici un petit topo de mon expérience du festival Fantasia de cette année, à Montréal. J'étais parti pour seulement quelques séances, et j'ai fini par regarder une douzaine de films. Il faut dire que le public est particulièrement enthousiaste et animé par les moments forts des films, ce qui constitue une expérience à part entière.

- White Storm 3 : 5,5/10

Je n'avais vu que le premier, mais pas grave, même si on retrouve certains personnages, on va dire que le lien entre les trois est assez ténu.
Pas mauvais en soi, mais je ne retrouve pas ce qui faisait le sel du premier, et l'intrigue fait vraiment running gag (un chef de drogue, un flic infiltré. Bah, c'est juste la millième fois qu'on nous ressort la même rengaine dans les polars HK ), ça en joue même un peu (la révélation finale, c'est vraiment quelque chose ).
Sinon c'est bien over the top en termes d'action, et pas grand chose tient encore debout à la fin . Dommage par contre pour l'installation sonore de la salle, ce qui m'a un peu gâché la séance et a failli me bousiller les tympans. Pour les autres séances, je me suis installé bien plus en arrière !

- Roundup 3 : 7/10

Je revois ma note légèrement à la baisse car il y a du lourd qui suit, mais je me suis bien éclaté. Une séance récréative à souhait, sans prise de tête, avec un acteur principal (le gros balèze de A Train To Busan) qui fait ce qu'il fait de mieux avec sa mine bourrue et ses baffes en forme de parpaing. L'effet sonore à l'impact est d'ailleurs bien saisissant !
Le public, encore une fois, était déchaîné, ce qui a été sûrement une plus-value.

- Ride On : 6/10

Le dernier Jackie Chan, qui est une sorte d'hommage à la fonction de cascadeur, en duo avec un cheval... Ça paraît débile dit comme ça, mais ça fonctionne bien ! Pas un grand crû, mais c'est apparemment son meilleur depuis un certain temps. C'est même parfois émouvant, et c'est toujours un plaisir de voir ses cascades, même si ça reste soft de ce côté-là.

- Histoire de fantômes chinois : 9/10

Grand kiff de le découvrir en pellicule et sur grand écran.

- Devils : 5/10

Un genre de Volte Face qui démarre vraiment mal tant dans le fond et la forme (on se croirait dans un téléfilm, loin des standards coréens), mais ça se rattrape un peu grâce à l'implication du duo principal et d'un scénario qui joue un peu de son côté débile. Mais bon, ce n'est pas non plus super folichon.

- Phantom : 8,5/10

Ma plus grande surprise du festival. La photographie est ! Un genre de whodunit de la période des années 30 qui jouit de ruptures de ton comme je les aime.

- Io Island : 3/10

Vu pour son influence reconnue sur The Strangers, je me suis emmerdé puissance 1000. Ce montage sonore incompréhensible qui te fait passer d'une temporalité à l'autre avec un bruit de bulles de savon ! Et ce final guignolesque qui finit par te dégouter du don du sperme !

- The Childe : 7,5/10

Par le réalisateur de The Tiger et de New World, probablement son meilleur film (le plus rythmé en tous cas). Je ne sais pas s'il va bien vieillir car ça joue beaucoup de l'effet de surprise et se repose surtout sur son personnage de serial killer lunaire au possible. Une chouette comédie noire avec des accents de polar. Possiblement dans mon top 3 nouveautés du festival.

- Mad Fate : 8/10

Par le réalisateur de Limbo. On se croirait un peu revenir à la période de la Category III. Une autre comédie noire bien croustillante dans les ressorts de son intrigue tant on ne sait pas où ça va s'arrêter ! Ma deuxième grosse surprise, je ne pensais pas autant aimer.

- Killing Romance : 7,5/10

Une comédie romantique avec des accents de noirceur détonnants. Je pensais trouver ça mauvais mais c'était wtf au possible (dans le bon sens du terme), on se croirait parfois dans du Stephen Chow ! Les séquences avec les autruches, les passages de comédie musicale, tout est fou dans ce film !

- My Heart is that eternal love : 7/10

À revoir car j'ai eu légèrement du mal avec le début, mais je trouve que le film trouve son équilibre avec l'arrivée du tout jeune Tony Leung, qui joue un personnage naïf au possible, et complètement à contre-courant au point de se retrouver dans le pétrin à de multiples occasions (difficile de ne pas avoir de la peine pour lui vers la fin, au point que ça devient assez comique ).

[Alegas]

- The Childe : 7,5/10

Par le réalisateur de The Chaser et de The Strangers.

T'es sûr de ce que tu dis là ?
Parce que Na Hong-jin a juste fait un court-métrage depuis The Strangers, et son prochain long, Hope, est encore en pré-production.

[Dunandan]

My bad, je l'ai confondu avec le réalisateur de The Tiger, je rectifie ça ^^.

[pabelbaba]

Sympa ce recap! Je redonnerais bien une chance à My Heart is that eternal rose.

[osorojo]

Yep, sympa le petit récap, c'est cool d'avoir pris le temps de faire ça