[Johell] Mes critiques 2010

Modérateur: Dunandan

Retour à Howards end - 10/10

Messagepar johell » Jeu 14 Jan 2010, 15:23

Image
RETOUR A HOWARDS END (Howards End) de James Ivory (1992) : 10/10

Margaret Schlegel et Ruth Wilcox, deux femmes émancipées aux idées avancées, se lient d'amitié. Mariée à un homme traditionnaliste très riche, Ruth décide sur son lit de mort de léguer à Meg sa magnifique demeure, Howard End...

Image Image

Un drame en costumes dans toute sa splendeur. Le scénario est tout simplement brillant. L'histoire, grande fresque intimiste, se construit à mesure des différentes rencontres entre ses personnages, créant des alliances qui ne mèneront finalement pas là où on l'imaginerait. Du coup, la dramaturgie s'immisce parcimonieusement, par petite touches subtiles. L'ensemble de la distribution donne de très belles performances à des personnages forts et complexes. Que ce soit Helena Bonham-Carter à Anthony Hopkins, Emma Thompson ou encore la toujours sublime Vanessa Redgrave, tous les comédiens concordent à une sorte de perfection que la mise en scène virtuose de James Ivory vient encore plus sublimer. Véritable trésor visuel, RETOUR A HOWARDS END est d'une beauté à couper le souffle. Un travail d'orfèvre dans la reconstitution d'époque, regorgeant de détails merveilleux, que ce soit autant par la richesse des décors où encore la superbe garde-robe des acteurs. De plus, la photographie est superbe et rend très bien l'ambiance de l'Angleterre victorienne à travers l'effervescence londonnienne ainsi que la beauté lyrique de ses décors naturels, tout autour de la belle demeure d'Howards End, réceptacle de toute la charge émotionnelle du long-métrage. Chef-d'oeuvre!
Avatar de l’utilisateur
johell
Rambo
Rambo
 
Messages: 882
Inscription: Dim 01 Mar 2009, 11:01

Re: [Johell] Mes critiques 2010

Messagepar Jeff Buckley » Jeu 14 Jan 2010, 15:33

Je plussoie.
dunandan a écrit: Puis j'oubliais de dire que Logan me faisait penser à Burton avec sa méchanceté légendaire concernant certains films/réalisateurs/acteurs
Avatar de l’utilisateur
Jeff Buckley
Spiderman
Spiderman
 
Messages: 11413
Inscription: Ven 04 Jan 2008, 03:30
Localisation: Boulogne-sur-Mer (62)

Re: [Johell] Mes critiques 2010

Messagepar Heatmann » Jeu 14 Jan 2010, 15:37

+100 :love: :love: rahhh howard's end , magnifique ! hopkins et thompson sont sublime , et pis quelle histoire et quelle festival pour les sens ce film !

en double bill avec les vestiges du jours c'est que du bonheur ! d'ailleur ca a pas non plus trop de rapport mais j'ai un peu le meme feeling et kiffe en voyant Gosford park , lovely :love: :love:
Image
Avatar de l’utilisateur
Heatmann
BkRscar
BkRscar
 
Messages: 33395
Inscription: Jeu 06 Aoû 2009, 14:29
Localisation: UK

Re: [Johell] Mes critiques 2010

Messagepar johell » Jeu 14 Jan 2010, 17:02

Le Blu-Ray qui vient de sortir chez Criterion rend totalement justice aux images du film. Edition magnifique! :D

Heatmann a écrit: en double bill avec les vestiges du jours c'est que du bonheur ! d'ailleur ca a pas non plus trop de rapport mais j'ai un peu le meme feeling et kiffe en voyant Gosford park , lovely :love: :love:

J'adore aussi LES VESTIGES DU JOUR. Par contre, je me suis passablement ennuyé devant GOSFORD PARK.
Avatar de l’utilisateur
johell
Rambo
Rambo
 
Messages: 882
Inscription: Dim 01 Mar 2009, 11:01

Re: [Johell] Mes critiques 2010

Messagepar zack_ » Jeu 14 Jan 2010, 20:16

Et moi donc, un vrai calvaire ce Gosford Park :twisted:
zack_
 

Hard Revenge, Milly - 6/10

Messagepar johell » Jeu 14 Jan 2010, 20:22

Image
HARD REVENGE, MILLY (Hâdo Ribenji, Mirî) de Takanori Tsujimoto (2008) : 6/10

Dans un Japon post-apocalyptique, la ville de Yokohama est devenue un épicentre de la violence géré par un gang de vicieux criminels : "The Jack Brothers". Il y a 2 ans, lorsque ce même gang laisse Milly pour morte après avoir tué son mari et son bébé, elle cherche dorénavant à se venger. Elle apprend l'art du combat de sabre avec Maître Jubei et part à la recherche des membres du gang pour remplir sa destinée....

Petite production fauchée, HARD REVENGE, MILLY s'en va directement à l'essentiel. Le passé de l'héroïne est présenté en flashbacks alors qu'elle est en route pour assouvir sa vengeance qui se déroulera dans un vieux hangar désaffecté. Le monde post-apocalyptique est ici uniquement un prétexte qui n'est pas du tout exploité mais se prête plutôt bien à l'économie de décors, réduit au strict minimum. Pas de bavardages inutiles, il ne sera question que de combats ultraviolents et du gros gore qui tâche, le long-métrage n'hésitant pas à le présenter sous forme de véritables geysers. Si HARD REVENGE, MILLY est très brutal au début, la suite vire presque dans de l'action assez débridée (!) voire même cartoonesque. Le style est agréable et bien chorégraphié, assez lisible même si ces séquences sont ultra-découpées et filmées sur une caméra très mobile. Il s'en dégage une énergie qui donne un sacrée punch à l'ensemble.

Image

L'intérêt de HARD REVENGE, MILLY est surtout son héroïne charismatique qui, si elle peut rappeller "The Bride" dans KILL BILL n'est en pas moins différente. Plus proche d'un personnage de manga que d'une véritable femme vengeresse, Milly revient à la vie métamorphosée. Son corps mutilé a subit de nombreuses altérations et se voit maintenant attribué d'une sorte de jambe-canon qu'elle se sert comme d'un fusil à pompes. Ce n'est pas la seule surprise qu'elle réserve à ses ennemis pusiqu'elle utilise également un sabre pliable qu'elle dissimule dans son coude. Habillée d'un long imperméable noir, on est pas au bout de nos surprises lors d'un final très "mécanique" en ombres chinoises qui laisse augurer encore plus d'idées folles pour la suite.

Image

HARD REVENGE, MILLY se présente comme une intrigue en deux parties relativement courtes, comme un double épisode d'une série TV. Cette première partie ne durant pas plus de 45 minutes. L'intrigue présenté est donc très resserrée, comme une anecdote singulière, et offre comme spectacle une bonne dose d'action fait de combats, de sang et découpages de corps. Une production bis très sympathique et bien efficace.
Avatar de l’utilisateur
johell
Rambo
Rambo
 
Messages: 882
Inscription: Dim 01 Mar 2009, 11:01

Hard Revenge, Milly: Bloody Battle - 6/10

Messagepar johell » Jeu 14 Jan 2010, 22:58

Image
HARD REVENGE, MILLY : BLOODY BATTLE (Hâdo Ribenji, Mirî: Buraddi Batoru) de Takanori Tsujimoto (2009) : 6/10

Après que Milly ait éliminé les "Jack Brothers" pour venger sa famille, une jeune femme du nom d'Aru la rejoint pour lui demander de l'aide. Elle voudrait venger la mort de son petit ami. Milly repousse sa demande au début puis finalement accepte de l'entraîner à se battre. C'est à ce moment-là qu'entre en scène Ikki et son frère Hyuma, deux sbires de Jack qui viennent se battre contre Milly. Etant partiellement un cyborg, Ikky endommage passablement le corps mécanique de Milly. Seras-t'elle capable de survivre et d'aider Haru à avoir sa propre vengeance?

Suite directe de HARD REVENGE, MILLY, le film reprend là où l'on avait quitté Milly. Retranchée sur elle-même, elle trouve un second souffle d'existence en s'attachant à une jeune fille qui poursuit le même but qu'elle : la vengeance. Avec toujours un manque de moyens conséquents, les auteurs de HARD REVENGE, MILLY : BLOODY BATTLE essaient d'étoffer un peu leur univers. On a donc droit à plus de décors, d'effets spéciaux "futuristes", et même si ceux-ci sont restreints, leur esthétique est quand même assez réussie et restent plutôt convaincants. Il y a aussi davantage de personnages, dont un docteur un peu étrange qui s'occupe de mettre au point le corps ravagé de Milly pour lui donner un second souffle. Il y a aussi des méchants très caricaturaux, dont l'un met passablement en avant le fait qu'il soit gay et à quel point c'est formidable! Il faut le voir s'envoyer en l'air avec un cadavre fraîchement tué pour saisir toute l'étendu de cet esprit dérangé et souvent rigolard. Tout ces personnages restent tout de même assez secondaires et c'est surtout la relation avec Haru qui est mise en avant. Mais la psychologie et les sentiments des personnages n'est vraiment pas le point fort du film qui, heureusement, revient assez souvent à l'action. Celle-ci est toujours bien chorégraphiée, avec de beaux combats qui mélangent armes blanches et armes à feu, même un nunchaku-mitraillette (!) sans parler d'un attirail technologique de pointe qui constituera le gros morceau de bravoure final. HARD REVENGE, MILLY : BLOODY BATTLE déverse à nouveau des hectolitres de sang et accumule un large éventail de cadavres, davantage que dans sa première partie beaucoup plus modeste.

Même avec des moyens réduits, Takanori Tsujimoto met en scène une très chouette série B, plus proche d'un film d'action avec du kung-fu que d'une réelle bande de science-fiction hardcore. Les effets spéciaux limités et la pauvreté de ses décors limite passablement la portée de son long-métrage qui laisse aussi de nombreuses questions en suspens et se permet même de cotoyer un certain onirisme avec cet étrange personnage de petite fille aux bulles de savon. Mais l'on en saura pas plus... Dans un troisième épisode, peut-être?

C'est un peu dommage que l'idée des personnages mi-humains mi-machines ne soit pas plus développés, faute de moyens. En l'état, cela rappelle parfois les séries Z italiennes futuristes avec certains de ses effets de maquillages (le bras mécanique, les articulations robotiques qui apparaissent sous la peau, tel un TERMINATOR au féminin!). Et puis aussi tout ce décorum cheap qui ne sert pas à grand chose comme ses masques à gaz dont les méchants se revêtent... pour se protéger de quoi? Est-ce vraiment utile? ... Cette ambiance d'anticipation est plutôt raté dans HARD REVENGE, MILLY : BLOODY BATTLE et prête largement à sourire mais cela est largement compensé par toute la partie action qui constitue tout de même le coeur de la quête de Milly. Et, à ce niveau-là, c'est une belle réussite, réalisé avec une belle ingéniosité malgré le côté technique insuffisant. Et son héroïne ne se gêne pas pour que ça saigne en faisant littéralement exploser des têtes et s'arrange toujours pour bien abîmer les corps de ses assaillants. Cela rend le spectacle d'autant plus jouissif qu'il garde toujours un côté un peu décalé, n'hésitant pas à en faire un peu trop! Pour les amateurs de petites productions fauchées et d'action bien débridée, HARD REVENGE, MILLY : BLOODY BATTLE vaut le détour. Couplé en "double feature" avec HARD REVENGE, MILLY, cela donne un réjouissant spectacle de deux bonnes heures au final. En attendant la suite, peut-être un jour. L'odyssée de Milly étant loin d'être terminée...
Avatar de l’utilisateur
johell
Rambo
Rambo
 
Messages: 882
Inscription: Dim 01 Mar 2009, 11:01

Re: [Johell] Mes critiques 2010

Messagepar Riton » Ven 15 Jan 2010, 11:50

zack_ a écrit: Et moi donc, un vrai calvaire ce Gosford Park :twisted:

Une bonne grosse merde oui.

Comment on l'a subit celui-là avec un pote au ciné. Trop une arnaque.
Mes DVD a vendre à partir de 0.70€ 8)
helldude™ a écrit:bik et moi vivions déjà le grand amour avant l'épisode de l'éjaculation faciale

(\__/)
(='.'=)
(")_(")
Avatar de l’utilisateur
Riton
Hulk
Hulk
 
Messages: 15046
Inscription: Mar 29 Mai 2007, 09:55
Localisation: Au CDR (Comité de Défense des Roux) puis après, At the McLaren's pub with Ted

Braveheart - 10/10

Messagepar johell » Mer 20 Jan 2010, 20:27

Image
BRAVEHEART de Mel Gibson (1995) : 10/10

Evocation de la vie tumultueuse de William Wallace, héros et symbole de l'indépendance écossaise, qui à la fin du XIIIe siècle affronta les troupes du roi d'Angleterre Edward I qui venaient d'envahir son pays.

Avec ce film, Mel Gibson conjugue le mot épique avec lyrisme. Situé dans les beaux décors naturels de l'Ecosse, BRAVEHEART est une grandiose histoire où des hommes se battent pour leur liberté. Un droit naturel que le comédien-réalisateur traduit comme de la pure poésie . Son film est une éloge à ce devoir, mixé avec une histoire d'amour tragique. Et le long-métrage déborde d'une sensibilité exacerbée qui donne des frissons et vous met directement les larmes aux yeux. Grâce aux pouvoirs de sa mise en scène naturaliste, des séquences entières de BRAVEHEART se déroulent quasiment sans dialogues. Et l'émotion vous submerge grâce à l'intensité de jeu de ses comédiens. Il se passe des choses incroyables dans les yeux de ses acteurs. A commencer par Mel Gibson lui-même. Son idylle avec Catherine McCormack touche au sublime. Avec seulement quelques scènes, il parvient à saisir toute la tendresse de cet amour et enchaîne les moments de grâce. C'est instantanément bouleversant et la présence quasi-permanente de la musique de James Horner magnifie la mise en scène .

Mais le bonheur ne durant pas, ce qui s'ensuit est un véritablement déchaînement de fureur pour des valeurs bafouées. Gibson montre la guerre comme on l'a rarement vue sur un écran. Avec une fougue et une passion pour des idéaux qui vous transporte littéralement. Les batailles sont immenses, violentes et d'une terrible brutalité... De véritables morceaux de bravoure, inoubliables. Mais Gibson ne verse pas uniquement dans le spectaculaire et reste proches de ses personnages, toujours très humains. Même du côté des méchants anglais, avec notamment un excellent Patrick McGoohan dans le rôle du Roi Edward I. Il est machiavélique et totalement délectable. Une grande performance!

L'amour étant l'un des moteurs de l'intrigue, il revient chez William Wallace sous les traits de Sophie Marceau qui, malgré son peu de temps à l'écran, insuffle toute la passion nécessaire à ce couple de cinéma. La Princesse Isabelle étant un personnage fort et émouvant. Même si cette idylle est de courte durée, elle n'en offre pas moins son lot de très belles scènes, dont le point culminant reste le prélude avant la mise à mort de ce personnage historique qui malmena les envahisseurs anglais.

BRAVEHEART a déjà 15 ans d'âge depuis sa sortie au cinéma. Le film garde encore aujourd'hui toute sa puissance intacte, d'une force émotionnelle peu commune. Gibson a transmis toute sa passion à ce personnage, transformant cette aventure en un grand moment de cinéma. Un chef-d'oeuvre!
Critiques similaires
Film: Braveheart
Note: 10/10
Auteur: lvri
Film: Braveheart
Note: 9,5/10
Auteur: Alegas
Film: Braveheart
Note: 9,5/10
Auteur: Dunandan
Film: Braveheart
Note: 9/10
Auteur: caducia
Film: Braveheart
Note: 9/10
Auteur: moricenlive

Avatar de l’utilisateur
johell
Rambo
Rambo
 
Messages: 882
Inscription: Dim 01 Mar 2009, 11:01

Re: [Johell] Mes critiques 2010

Messagepar zirko » Mer 20 Jan 2010, 21:12

Le 10/10 est obligatoire pour ce film !
Avatar de l’utilisateur
zirko
Terminator
Terminator
 
Messages: 18437
Inscription: Lun 15 Jan 2007, 23:35

Re: [Johell] Mes critiques 2010

Messagepar johell » Mer 20 Jan 2010, 21:31

:super:
Avatar de l’utilisateur
johell
Rambo
Rambo
 
Messages: 882
Inscription: Dim 01 Mar 2009, 11:01

Re: [Johell] Mes critiques 2010

Messagepar Heatmann » Mer 20 Jan 2010, 23:48

c'est la raison pour laquelle jsuis partie vivre en ecosse !!! ( euh ca ou trainspotting jme rappelle plus :mrgreen: ) , non serieux braveheart 10/10 aussi quoi , et pis comment ils on assurer sur le bluray la , ca fait plaisir .
Image
Avatar de l’utilisateur
Heatmann
BkRscar
BkRscar
 
Messages: 33395
Inscription: Jeu 06 Aoû 2009, 14:29
Localisation: UK

Canonnière du Yang-Tse (La) - 8/10

Messagepar johell » Lun 25 Jan 2010, 15:19

Image
LA CANONNIERE DU YANG-TSE (The Sand Pebbles) de Robert Wise (1966) : 8/10

En 1926, le San Pablo, une canonnière américaine avec à son bord le mécanicien en chef Jake Holman, remonte le fleuve Yang-Tsé. Le patrouilleur se retrouve bientôt au coeur de la guerre civile chinoise qui oppose communistes et nationalistes...

Robert Wise a le sens du grand spectacle. Fort de son contexte politique, LA CANONNIERE DU YANG-TSE se concentre spécialement sur une belle galerie de personnages, à commencer par le marine incarné par Steve McQueen qui découvre une Chine en plein début de révolution. Le film a des allures de grandes fresques à la David Lean. Avec des moyens colossaux, le réalisateur développe un puissant mélodrame, à la fois héroïque et intimiste où le choc des cultures reste toujours à échelle humaine. Comme cette tragique histoire d'amour entre un américain et une beauté locale. Un point d'orgue émotionnel particulièrement émouvant qui permet à Richard Attenborough de camper un personnage très touchant. Il y a aussi la difficile entente entre McQueen et les "citrons" qui, progressivement, vire à un véritable soutien pour des gens méprisés... Une amitié qui prend forme mais qui aura malheureusement des conséquences dramatiques. LA CANONNIERE DU YANG-TSE sait également se montrer épique avec une impressionnante séquence maritime lors d'une prise d'un barrage sur le Yang-Tse. Spectaculaire! Le réalisateur a aussi la subtilité de faire une analogie avec la guerre du Vietnam, en cours au moment de la sortie du film. Cela donne un parfum légèrement subversif à cette oeuvre qui représente assez bien les grands spectacles engagés du cinéma hollywoodien.
Critiques similaires

Avatar de l’utilisateur
johell
Rambo
Rambo
 
Messages: 882
Inscription: Dim 01 Mar 2009, 11:01

Re: [Johell] Mes critiques 2010

Messagepar jean-michel » Lun 25 Jan 2010, 15:36

oui! un film superbe! un grand classique!! a avoir dans toute bonne blu ray thèque ou dvd thèque!
Avatar de l’utilisateur
jean-michel
Godzilla
Godzilla
 
Messages: 12763
Inscription: Sam 05 Jan 2008, 10:04
Localisation: essonne91 Chilly-Mazarin

Re: [Johell] Mes critiques 2010

Messagepar johell » Lun 25 Jan 2010, 15:50

L'édition DVD n'est pas très bonne. Je ne sais pas trop ce que vaut le blu-ray, mais je suppose que ça vaudrait sans doute le réinvestissement.
Avatar de l’utilisateur
johell
Rambo
Rambo
 
Messages: 882
Inscription: Dim 01 Mar 2009, 11:01

PrécédenteSuivante

Qui est en ligne

Utilisateurs parcourant ce forum: Aucun utilisateur enregistré et 6 invités



Founded by Zack_
Powered by phpBB © phpBB Group.
Designed by CoSa NoStrA DeSiGn and edited by osorojo and Tyseah
Traduction par phpBB-fr.com
phpBB SEO