[nicofromtheblock] Mes critiques en 2011

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Re: [nicofromtheblock] Mes critiques en 2011

Messagepar groo » Jeu 07 Avr 2011, 00:26

Excellent texte, Nico. Ton analyse concernant l'inceste est éclairante : je me suis posé la question en voyant le film, mais je ne l'ai vu qu'une fois et je n'avais qu'un ressenti pour étayer cette idée. Les points que tu relèves indiquent que la piste a clairement été suivie par le réalisateur.
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Re: [nicofromtheblock] Mes critiques en 2011

Messagepar zack_ » Jeu 07 Avr 2011, 07:59

ouai enfin le coup du morceau de bois, qui ne l'a pas fait (verrouiller sa chambre), pas sur que ca rejoingne la théorie de nico sur l'inceste. C'est un truc d'ado... mince je file fermer ma chambre... :eheh:
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Messagepar nicofromtheblock » Jeu 07 Avr 2011, 10:42

Ah oui, je suis bien d'accord avec toi mais là, Nina est loin d'être une ado : c'est une adulte ...
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Re: [nicofromtheblock] Mes critiques en 2011

Messagepar groo » Jeu 07 Avr 2011, 11:25

Surtout, le choix de la façon dont cet enfermement est mis en scène : on n'a pas un petit verrou fermé par convention, mais une grosse pièce de bois qu'il faut caler, c'est une façon d'attirer notre regard, notre attention, sur le fait qu'elle s'enferme régulièrement dans sa chambre. Dans un film, chaque accessoire est le fruit d'un choix. Pour celui-ci, il faut qu'il y aie eu une intention, c'est une façon trop peu conventionnelle de fermer sa porte.

Personnellement, je ne m'enfermais pas à l'aide d'une poutre, quand j'étais ado.
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Re: [nicofromtheblock] Mes critiques en 2011

Messagepar zack_ » Jeu 07 Avr 2011, 12:50

Ouai c'est vrai :eheh:
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Reservoir Dogs - 8/10

Messagepar nicofromtheblock » Lun 18 Avr 2011, 17:22

RESERVOIR DOGS
Quentin Tarantino - 1992
8/10

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Dés son premier film, Quentin Tarantino étonne et marque les années 90 grâce à ce petit polar réalisé avec très peu de moyen. On trouve déjà dans ce film tout ce qui fera sa renommée : les multiples références aux films de genre, les longues scènes de dialogue, la narration déstructurée, … Même 20 ans après, Reservoir dogs reste une référence du genre et on prend toujours autant de plaisir à le revoir.

C’était osé de faire un film de braquage dans lequel on ne voit le braquage en question à aucun moment. Le film alterne entre la préparation de celui-ci avec le recrutement des différents membres de l’équipe et leurs retrouvailles après le braquage qui a mal tourné. De cette façon, le réalisateur joue avec le spectateur en nous racontant les évènements par l’intermédiaire des personnages qui n’ont pas tous la même version. Après, c’est à nous de déterminer qui dit la vérité.

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Comme il en prendra l’habitude par la suite, le film comporte son lot de scènes cultes comme celle où Michael Madsen torture le flic tout en dansant sur «Stuck in the middle with you» de Steelers Wheel ou encore la fusillade finale en "Mexican standoff" où les personnages se braquent les uns les autres qui fait bien sûr référence aux films de John Woo. Le même genre de scène sera d’ailleurs reprise dans True romance qu’il écrivait à la même époque.



Il faut aussi noter que le film est bourré de référence plus ou moins évidente. Cette histoire de braquage renvoie à Bande à part de Jean-Lus Godard dont Tarantino n’a jamais caché l’influence. Sa boite de production porte d’ailleurs le nom "A Band Apart", ça n’est pas un hasard. Parmi les multiples références, on pourra aussi citer Le bon, la brute et le truand pour la torture en musique, Django pour la scène de l’oreille coupée, Les pirates du métro pour les pseudos des personnages, Il était une fois en Amérique pour l’ellipse sur la scène clé du film, et beaucoup d’autres encore …

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Pour continuer dans les marques de fabrique de Quentin Tarantino, on se doit de parler des dialogues. Dés la scène d’introduction, on a le droit à une longue scène de dialogue au restaurant sur Madonna puis sur les pourboires. Puis, plus tard dans le film, on a également une discussion en voiture entre 3 des personnages sur les différences entre les femmes blanches et les femmes noires. Je dois dire que même si ces dialogues passent plutôt bien, ça reste ceux qui m’ont le moins marqué dans la filmo de Tarantino. Il reprend le même procédé dans la seconde partie de Death proof avec une discussion au resto et une autre en voiture et j’ai trouvé ça bien plus passionnant …

En revanche, ce qui est vraiment bien trouvé, c’est toute la partie où Tim Roth répète son histoire. Plutôt que de la raconter d’une traite, on suit les différentes étapes de ses répétitions jusqu’à son interprétation finale lors de la rencontre avec le boss. La mise en scène de cette scène est d’ailleurs assez géniale car on sait qu’elle est totalement inventée et pourtant, on se laisse prendre en jeu et il y a une véritable tension lorsqu’il se retrouve aux chiottes avec les flics.

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Côté casting, il n’y a pas grand-chose à dire. Tim Roth s’en sort vraiment bien dans le rôle de ce flic sous couverture. On est totalement en empathie avec son personnage puisque contrairement aux autres, on connaît sa véritable identité. Michael Madsen a une prestance remarquable et son personnage fait sacrément flipper tant il reste zen malgré son tempérament complètement barré. Steve Buscemi est excellent en Mr. Pink. Dommage que son personnage ne soit pas mis d’avantage en avant car il est vraiment intéressant. Quant à Harvey Keitel, il est fidèle à lui-même : la grande classe. On se demande tout de même ce qui le pousse à faire autant confiance à Mr. Orange … Je reprocherai juste au film de ne pas accorder la même importance à chacun des personnages. Mr. Brown et Mr. Blue interprétés par Quentin Tarantino et Edward Bunker sont littéralement sacrifiés.

Au final, le grand Quentin Tarantino nous montre dès son premier film tout l’étendu de son talent et son univers hyper référencé. Le réalisateur s’améliorera par la suite mais il commence déjà sur une base solide avec ce film qui vieillit très bien et qui a son lot de fans inconditionnels.
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Messagepar Scalp » Lun 18 Avr 2011, 17:27

Belle critique, grand film que ce Reservoir Dogs, un film qui a vraiment révolutionné le genre du polar.
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Re: [nicofromtheblock] Mes critiques en 2011

Messagepar pabelbaba » Lun 18 Avr 2011, 17:31

Toutafé, belle critique, tout est dit dedans, chapeau.

Pour le mexican standoff, s'il y a de l'inspiration de John Woo, il y a surtout un copier/coller de la scène de City on Fire de Ringo Lam. Dont on a d'ailleurs souvent dit à tort que Reservoir Dogs en était un remake.

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Allez, Mark, c'est Sophie qui te demande de revenir!
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Re: [nicofromtheblock] Mes critiques en 2011

Messagepar Scalp » Lun 18 Avr 2011, 17:34

Oue quand j'ai vu City on fire j'ai halluciné, mais les gars qui sortent que Reservoir Dogs y ont vu le film ou quoi, le film de Tarantino serait plus un prolongement de celui de Lam ( qui est un putain de grand film, toujours utile de le rappeler ).
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Re: [nicofromtheblock] Mes critiques en 2011

Messagepar nicofromtheblock » Lun 18 Avr 2011, 17:38

Toujours pas vu City on fire mais il me tente beaucoup.
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Re: [nicofromtheblock] Mes critiques en 2011

Messagepar Scalp » Lun 18 Avr 2011, 17:40

Toujours pas sortie en film ce film d'ailleurs ( comme tout les Ringo Lam en gros ).
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Pulp Fiction - 10/10

Messagepar nicofromtheblock » Lun 18 Avr 2011, 22:00

PULP FICTION
Quentin Tarantino - 1994
10/10

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Je ne vous cacherai pas que je considère Pulp fiction comme le film culte par excellence et c’est accessoirement mon film préféré. Déjà vu une bonne dizaine de fois dont 2 fois sur grand écran, je prends toujours autant de plaisir à revoir ce chef d’œuvre du septième art !

On parle souvent de la déstructuration narrative de Pulp fiction mais en fin de compte, ça n’est pas si déstructuré que ça. On a juste un film en 3 actes dont le troisième acte devrait chronologiquement être le premier. Ça n’est pas bien compliqué de s’y retrouver même si les personnages se croisent d’une partie à l’autre. D’ailleurs cette narration a été reprise par de nombreux films par la suite comme dans Go ! de Doug Liman.

Bon, je ne sais pas trop comment organiser ma critique donc je vais simplement faire un bilan de ce que j’aime partie par partie. Et exceptionnellement, je vais mettre un peu plus de screenshots qu’à l’accoutumée mais c’est bien difficile de faire un choix.

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Le film débute sur une scène d’introduction avec Honey Bunny et Pumpkin alias Amanda Plummer et Tim Roth qui jouent un couple de braqueurs décidant à l’improviste de braquer le restaurant dans lequel ils se trouvent. On retrouvera cette scène dans le dernier acte sous le point de vue de Samuel L. Jackson afin de fermer la boucle. Ce couple fait un peu penser à celui formé par Mickey et Mallory Knox dans Tueurs nés dont Quentin Tarantino est le scénariste.Dès cette scène d’intro, le réalisateur nous montre ses talents de dialoguiste avec cette discussions sur les braquages qui se finira par une réplique devenue culte d’Amanda Plummer et sa voix criarde enchaînant directement sur le générique.



Après le générique, on se retrouve à suivre Vincent et Jules alias John Travolta et Samuel L. Jackson, un duo d’hommes de main au service de Marsellus Wallace. Là aussi, on a le droit à une discussion qui restera dans les annales sur la culture européenne (la consommation de haschich à Amsterdam et le nom des hamburgers à Paris). Tarantino ne met pas pour autant de côté la mise en scène. On a le droit au traditionnel plan en contre plongée du coffre qu’on retrouve dans quasiment tous ses films et puis on a un long plan séquence dans les couloirs d’un immeuble associé à une discussion sur les massages de pieds bien marrante. Dès cette introduction, on retrouve tout ce qui fait le charme de ses films : une mise en scène soignée et des dialogues inspirés. Samuel L. Jackson se montre d’entrée d’un charisme bluffant dans la scène de l’appartement se ponctuant par son monologue de l’«Ezéchiel 25 Verset 17». Et la référence au film En quatrième vitesse avec la valise est bien sympa.

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Le premier chapitre du film s’intéresse principalement à Vincent Vega et Mia Wallace. On commence par une scène où Vincent rend visite à son dealer. Eric Stoltz et son peignoir fait un peu penser à un Jeff Lebowski avant l’heure. Quant à la scène de shoot, elle est assez explicite pour l’époque : peu de films avaient osé montrer ça avant Pulp fiction. Ensuite, on découvre la belle Uma Thurman dans le rôle de Mia Wallace dont le style avec la frange fait référence à Anna Karina dans Bande à part. L’influence de la Nouvelle vague française est toujours présente d’une façon ou d’une autre chez Tarantino. Toute la séquence au "Jack Rabbit Slim’s" reste mythique avec la scène de danse sur «You never can tell» de Chuck Berry. Tarantino est doué pour faire revenir sur le devant de la scène des acteurs has been et il offre un rôle en or à John Travolta qui a ici l’occasion de faire un clin d’œil à La fièvre du samedi soir avec cette scène de danse.



Une fois de retour chez Mia, on a le droit à une nouvelle scène musicale, cette fois-ci sur le superbe titre de Urge Overkill : «Girl, you’ll be a woman soon». Le réalisateur en profite pour placer quelques inserts sur les pieds d’Uma Thurman. Son fétichisme des pieds est d’ailleurs devenu de notoriété publique. Il est également intéressant de remarquer un élément qui sera récurrent dans le film : à chaque fois qu’une situation tourne mal, Vincent se trouve être aux toilettes. Ici, il y est au moment où Mia fait une overdose mais il y sera également lorsque Jules se fera braquer au restaurant et il y mourra même lors de sa confrontation avec Butch. La scène de l’overdose est une autre scène extrêmement marquante du film. Celle-ci fait référence à Panique à Needle Park. Le coup de la seringue d’adrénaline est bien bourrin mais Tarantino arrive toujours à placer une touche d’humour pour détendre l’atmosphère.

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Le second chapitre est certainement celui qui a le plus de problème de rythme. La scène où Christopher Walken ramène la montre au jeune Butch et lui raconte l’histoire de celle-ci reste assez sympa bien que très statique. Le choix de Christopher Walken pour ce rôle n’est pas anodin et renvoie à Voyage au bout de l’enfer où il jouait un soldat de retour du Vietnam. De même, l’histoire de la montre fait référence au film Papillon où il était question de la même chose. Ensuite, comme il l’avait fait pour Reservoir dogs, Tarantino prend un malin plaisir à frustrer le spectateur en faisant une ellipse sur le combat de Butch. Après, il faut reconnaître que le passage dans le taxi et ceux avec Maria De Medeiros restent les plus faibles du film. Tu te demandes ce que Butch fait avec une fille aussi bête que Fabienne …

Heureusement, la suite relève largement le niveau. Le coup de Butch qui retourne chercher sa montre et qui bute Vincent, c’est déjà bien originale comme idée mais après, ça part complètement en vrille avec la rencontre fortuite de Butch et Marsellus et surtout toute la scène chez le préteur sur gages. Les personnages de Zed et Maynard sont bien barrés et "the gimp" sort d’on ne sait où : totalement improbable et jouissif comme scène ! Il fallait oser ! Là aussi, c’est plein de référence : la scène de viol fait penser à Délivrance et le Chopper de Zed renvoie directement à Easy Rider.

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Enfin, le dernier chapitre reprend là où la séquence d’introduction nous avait laissés avec Samuel L. Jackson et John Travolta face à la bande de jeunes. Après l’illumination de Jules suite à la fusillade qui aura une incidence sur la fin, on a à nouveau un élément perturbateur totalement imprévisible : la bavure de Vincent. Quentin Tarantino signe certainement sa meilleure interprétation dans le rôle de Jimmy, le mec chez qui viennent squatter les 2 compères. Et que dire de Harvey Keitel ? C’est la classe incarnée dans le rôle de Mr. Wolf. Cette dernière partie a beau traîner un peu en longueur, ça n’est pas un problème tant on n’a pas envie de quitter Samuel L. Jackson et sa "coolitude" légendaire. Et comme dit précédemment, Tarantino a la bonne idée de finir son film sur la même scène qu’il l’avait commencé à savoir la scène du restaurant ce qui donne une impression de boucle. Et là encore, il nous place une belle scène de "Mexican standoff" à 3 protagonistes mais qui, cette fois-ci, se finira sans effusion de sang.

Il est important de noter également l’excellente BO du film. Outre Chuck Berry et Urge Overkill, il y a du Kool & The Gang, Al Green, The Statler Brothers, Dusty Springfield ou encore The Brothers Johnson. La sélection musicale est parfaite et annonce le talent du réalisateur pour nous concocter des bandes originales toutes plus classes les unes que les autres (la palme revenant à Jackie Brown).



Au final, Quentin Tarantino nous livre un film génial faisant se succéder des séquences aussi cultes les unes que les autres. Et son talent de dialoguiste est ici à son apogée. Quant à la mise en scène, il est vrai qu’il sera encore plus inspiré sur Kill Bill mais ça reste tout de même un film bien maîtrisé visuellement. Pulp fiction reste et restera encore longtemps mon film préféré. Un vrai plaisir à chaque vision.
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Re: [nicofromtheblock] Mes critiques en 2011

Messagepar Alegas » Lun 18 Avr 2011, 22:21

Putain de critique pour un putain de film. Respect.
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Re: [nicofromtheblock] Mes critiques en 2011

Messagepar Kakemono » Lun 18 Avr 2011, 22:39

Belles critiques pour Reservoir Dogs et Pulp Fiction! :super:
Les affiches sont superbes. :love:

Pulp Fiction j'aime bien ce film, mais a force de le voir je trouve qu'il perd de sa superbe malheureusement. :?
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Re: [nicofromtheblock] Mes critiques en 2011

Messagepar Criminale » Mar 19 Avr 2011, 00:39

Elles sont superbes ces deux affiches. :super:
Deux magnifiques critiques en tout cas, Pulp fiction c'est vraiment un de mes films préférés, il doit faire partie de mon top 10.
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