[alinoé] Mes Critiques en 2011

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Re: [alinoé] Mes Critiques en 2011

Messagepar jean-michel » Jeu 18 Aoû 2011, 14:26

:eheh: encore un à oublier, j'aurais pas de mal... :mrgreen:
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Re: [alinoé] Mes Critiques en 2011

Messagepar Heatmann » Jeu 18 Aoû 2011, 15:31

ben curieursement moi ton avis alinoe il me pousse toujour a aller voir le film 8) je sais reperer ce que j aimerai et ce qui me feras pas trop grincer
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Re: [alinoé] Mes Critiques en 2011

Messagepar alinoe » Jeu 18 Aoû 2011, 15:45

je n'ai pas vu Pathfinder, donc je ne peux pas faire de comparaison pour la manière de filmer, mais il semblerait que ce soit dans cette veine là.
J'ai mis la moyenne, donc ce n'est pas si catastrophique, même si je ne suis pas tendre dans ma critique.
Je pense qu'il y a moyen que tu apprécies un peu plus que moi, mais il y a tout de même des aspects qui vont te faire criser, notamment les méchants du film aux capacités sous exploitées.
De toute façon, je le reverrai sans 3D à sa sortie en BR, parce que je suis persuadée qu'elle amplifie le côté brouillon du film.
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Re: [alinoé] Mes Critiques en 2011

Messagepar Killbush » Jeu 18 Aoû 2011, 23:14

Superbe critique du Leone, du sacré travail d'écriture !

Pour Conan, j'en sors et je serais pas aussi dur mais je suis tout à fait d'accord avec certains défauts que tu cites (notamment sur la réal).
J'en attendais vraiment rien et au final, j'ai passé un bon moment, un sword and sorcery bien bis, gore et brutal, un vrai film de bourrin dans tous les sens du terme, blindé de défauts mais assez surprenant dans son déferlement de violence pour un blockbuster estival.
Et puis, entre les performances de Rose Mc Gowan et de Said Tagmahoui, les froncements de sourcils et les poses de Momoa et le cabotinage de Lang, on rigole aussi pas mal.

Après, il ne faut surtout pas y aller avec le chef d’œuvre de Milius en tête, ça joue définitivement pas dans la même cour !
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Re: [alinoé] Mes Critiques en 2011

Messagepar alinoe » Ven 19 Aoû 2011, 08:59

Oui, il vaut mieux faire abstraction du film de Milius.
J'ai vu que tu lui avais mis 6/10. Feras tu une critique pour développer un peu plus tes impressions ?

Merci à toi, ainsi qu'à Waylander et Jean-Michel pour vos commentaires sur Il était une fois dans l'Ouest.
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Re: [alinoé] Mes Critiques en 2011

Messagepar Killbush » Ven 19 Aoû 2011, 09:42

Oui, je vais faire une petite critique :wink:
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Re: [alinoé] Mes Critiques en 2011

Messagepar Heatmann » Ven 19 Aoû 2011, 10:22

cool , j en attend pas plus de conan :super: :bluespit:
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Rango - 9/10

Messagepar alinoe » Sam 20 Aoû 2011, 17:11

Rango

Réalisé par Gore Verbinski

Avec les voix de johnny Depp, Isla Fisher, Ned Beatty, Alfred Molina, Bill Nighty, Timothy Olyphant, Harry Dean Stanton

Western surréaliste, USA,1h47 - 2011

9/10

Rango est une véritable perle du cinéma d’animation dont la richesse thématique ne le destine pas vraiment aux plus jeunes. Un film décalé, parfois poétique, souvent loufoque, une sorte d’ovni cinématographique qui débute par un monologue du bocal.

Un caméléon fait son cinéma. Le film commence donc par un clin d’œil au 7ème art. Que faut-il pour faire un film ? Une histoire, un héros, des personnages, quelques artifices, une imagination débordante et un talent de conteur. Ces quelques minutes en compagnie d’un buste de Barbie, d’un cafard mort, d’un palmier et d’un poisson en plastique dans un bocal résument tout l’art du cinéma.
Par un caprice du hasard, ce petit caméléon qui s’interroge sur son existence et son utilité, se retrouve propulser dans un monde inconnu et hostile dans lequel il peut devenir ce qu’il souhaite ? Un vrai héros de cinéma. Car, qu’est-ce qu’un caméléon ? Tout simplement un acteur qui peut endosser tous les rôles.


Rango est certainement l’un des plus beaux hommages rendus aux différents genres du Western. Western classique avec son saloon, sa petite ville sous la coupe d’un vil propriétaire, ses fermiers dépossédés de leur terre, son attaque de la banque, son shérif, ses bandits, ses cavalcades sur fond de soleil couchant et sa chevauchée héroïque, un moment épique, grandiose et d’une virtuosité folle qui rappelle la Chevauchée fantastique de John Ford et se mue peu à peu en ballet aérien de chauve-souris sur l’air de la chevauchée des Walkyries, dans un tribut à Apocalypse Now et La Guerre des étoiles réunis.
Petit clin d’œil également au bestiaire fantastique de Star Wars, avec ce monstre gigantesque caché dans les profondeurs de Poussière, parent éloigné des monstres marins qui peuplent les océans de Naboo. Quand l’hommage au western fusionne avec l’hommage au cinéma. Western spaghetti, jusque dans son titre avec ses paysages arides, sa poussière, son poncho, ses personnages aux trognes patibulaires, son maire aux allures d’un Morton d’Il était une fois dans l’Ouest et bien évidemment sa légende, cette homme sans nom, Clint Eastwood, devenu l’Esprit de l’Ouest.… L’ombre de Sergio Leone plane sur le film, dans des plans et des cadrages iconiques qui reproduisent ceux du maître.
Un zest de western zapata avec ses mariachis et une bonne dose de western fayot avec ses dialogues piquants et ses situations burlesques.

Mais, Rango, n’est pas uniquement un tribut au western. Cette ruée vers l’eau est aussi une fable écologique sur cette ressource si précieuse à toute vie, ainsi qu’une comédie farfelue parsemée de fulgurances surréalistes. Le rêve du petit caméléon ressemble à un tableau de Dali, des vers du désert portent Rango vers son destin, l’Esprit de l’Ouest (Timothy Olyphant) se ballade en voiturette de golf avec un détecteur de métaux et des cactus desséchés marchent dans un dernier soubresaut vers leur salut.
Une ode étrange et singulière qui rappelle que désormais, le désert est peuplé d’oasis artificiels d’où surgissent des villes-casino, que l’Ouest sauvage est bien mort et qu’il n’existe plus qu’au cinéma. Et au cinéma, dans un western, il y doit toujours y avoir un « The End ». Le héros ne peut abandonner l’histoire en chemin, il doit poursuivre et affronter les méchants dans un ultime duel.

Gore Verbinski, nous propose un bestiaire hors du commun, d’insectes et d’animaux qui peuplent le désert. Des petites bestioles qui ont rarement la faveur des enfants ou même des adultes. Pourtant, on s’attache rapidement à Rango, Fève et tout ce petit monde peu ragoutant au premier abord. Le casting vocal est très bien choisi et colle parfaitement à chacun de ces personnages véritables incarnations des figures typiques de l’Ouest. Mention spéciale, à Jack, la morsure (Bill Nighty), ce serpent au look démentiel et impressionnant, véritable incarnation du pistolero léonien, mais aussi à ces taupes-bandits toutes à la fois inquiétantes et hilarantes. Une représentation graphique et une texture si irréprochables, qu’on a presque l’impression de sentir la poussière sur les vêtements ou la crasse et la sueur sur les visages. Les paysages magnifiques et les morceaux de bravoures (duel avec un faucon, chevauchée, bataille aérienne…) se succèdent dans une variation de couleurs et d’éclairage qui n’ont rien à envier aux oeuvres de Pixar. Chapeau ILM ! Car visuellement, Rango est aussi une réussite totale, prouvant qu’il n’est nul besoin de 3D pour donner de la profondeur à l’image. Un enchantement pour les yeux. Ne manquez pas le générique de fin de tout beauté et totalement dans l’esprit du film. Un mot, pour finir, sur la composition de Hans Zimmer, majestueuse et épique, qui s’harmonise judicieusement avec le thème du western.

Action, humour et émotion se côtoie dans cette grande aventure au cœur de l’Ouest, aux allures de fable décalée et déjantée sur la condition d’acteur qui prend tout son sens dans l’extended version du film.

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Re: [alinoé] Mes Critiques en 2011

Messagepar jean-michel » Sam 20 Aoû 2011, 17:37

Et bien c'est superbe comme travail!! et toi aussi le choix de capture est très bien fait!! je connais pas ce film, il est vrai que je regarde pratiquement jamais de films d'animation, pas le temps! :mrgreen:
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Re: [alinoé] Mes Critiques en 2011

Messagepar Waylander » Sam 20 Aoû 2011, 20:05

Excellente critique. Tu me donnes vraiment envie de le revoir.
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Re: [alinoé] Mes Critiques en 2011

Messagepar Frediwan » Sam 20 Aoû 2011, 21:04

Intéressante critique et superbes screenshots :super: .
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Fenêtre sur cour - 7/10

Messagepar alinoe » Dim 21 Aoû 2011, 16:34

Fenêtre sur cour

Réalisé par Alfred Hitchcock

Avec James Stewart, Grance Kelly, Thelma Ritter, Raymond Burr

Thriller, USA,1h52 - 1954

7/10


Résumé : Jeff Jeffries, photographe professionnel se retrouve dans un fauteuil roulant avec une jambe cassée. Il s'amuse alors à observer ses voisins, depuis sa fenêtre sur cour...


Je conservais de ce film, le souvenir d’un thriller passionnant, d’où une certaine impression de déception, lorsque je l’ai revu cet été, car Fenêtre sur cour est dénué de rythme et la tension est loin d’aller crescendo. Le suspens surgit uniquement dans les 20 dernières minutes. Nul doute, que ce manque de rythme, cette langueur qui s’insinue au cours de ces quelques journées à la chaleur étouffante, soit un artifice volontaire de la part de Hitchcock, pour nous faire ressentir l’ennui qui gagne ce photographe bloqué dans son fauteuil roulant, l’inactivité qui le ronge et le pousse à épier ses voisins. Pour ma part, le réalisateur réussi à retranscrire un peu trop parfaitement, cette lenteur du temps qui s’éternise. Comme Jeff à sa fenêtre, j’ai été prise de quelques somnolences.

Bien plus, qu’un film à suspens, Fenêtre sur cour est donc, avant tout une comédie de mœurs dans laquelle s’insinue un drame mystérieux : la disparition de Mme Thorwald. Le prétexte à l’étude de certains travers qui sommeillent en chacun de nous : le voyeurisme, la curiosité morbide pour le crime et l’indifférence des mégalopoles. En plaçant le spectateur dans la peau de Jeff, en lui proposant quasiment un point de vue unique, depuis la fenêtre de cet appartement (un bien bel exercice de style), Hitchcock interpelle le voyeur potentiel en chaque individu. Il nous propose, pour un temps, d’observer le quotidien de ces voisins que l’on côtoie, sans vraiment les connaître.
Car une constatation s’impose, si Jeff n’était pas désoeuvré et bloqué chez lui, il ne poserait pas son regard et son objectif sur son entourage et les petits tracas du quotidien. Il y a tellement plus intéressant et plus important à photographier dans le monde que la vie quotidienne de ceux qui logent à côté de chez nous. Dans cet environnement cloisonné, où s’expose la vie de chacun, personne ne s’intéresse au sort de l’autre et personne ne connait véritablement son voisin. Chacun vaque à ses activités, indifférent à autrui. Ce que souligne parfaitement, l’objectif d’Hitchcock, même si cela peu paraître une ficelle scénaristique un peu grossière. Personne ne remarque la surveillance pourtant peu subtile de Jeff (ce n’est pas franchement discret un téléobjectif !) et surtout personne, pas même Jeff,
ne surprend, le meurtrier qui enterre les morceaux de sa femme sous les rosiers, visibles de toutes les fenêtres !
Il faudra un drame, pour que s’établisse enfin des relations de voisinage.

Je n’accroche pas à cette relation conflictuelle, ce jeu du chat et de la souris entre ce baroudeur, célibataire endurci qui tient à sa liberté et cette femme parfaite issue de la haute société. Les dialogues sonnent faux et il y a bien des incohérences dans leur comportement. Par exemple, Lisa démonte avec brio toutes les convictions de Jeff et s’emporte devant son incapacité à arrêter de surveiller ses voisins, un comportement abject à son sens, et puis soudain, elle voit une malle et elle croit immédiatement à la théorie du crime ! Sans compter la scène surréaliste de l’escalade en tenue de soirée. Le film est bourré de stéréotypes sur les rapports hommes/femmes. En somme, je ne parviens pas à m’intéresser à la romance entre des deux personnages principaux. J’ai surtout l’impression que les entrées et les sorties de Lisa, dans l’appartement de Jeff, sont un prétexte, à un défilé de belles robes mises en valeur par la sublime Grace Kelly.


Ces individus dont on dérobe, à leur insu, quelques brides du quotidien, sont finalement plus intéressants que les deux héros du film. Ainsi, cette danseuse qui attire tous les regards et qui se révèle moins frivole que les apparences ou encore ces jeunes mariés qui par pudeur baissent les stores et s’isolent dans leur bonheur…et puis bien sûr, cet homme ordinaire, qui vaque tranquillement à ses occupations alors qu’il vient de commettre un meurtre sauvage. Le crime prémédité, froid et méticuleux, dans toute son horreur. Il y a aussi, Stella, cette infirmière à l’humour caustique et à la répartie cinglante qui est de loin, le personnage le plus attachant et le plus croustillant. La seule qui porte un regard humaniste sur les habitants de cette cour, ce microcosme de la société, la seule qui voit la détresse de Mlle « Coeur solitaire ». Pour Jeff, seul compte l’excitation du mystère, la chasse à l’assassin et, l’observation de la moindre faille dans le comportement du meurtrier, pour trouver l’indice qui le confondra.

Le personnage de James Stewart incarne également cette fascination pour le meurtre inhérente à nos sociétés. Lorsque, le détective Doyle, parvient presque à le convaincre, qu’il n’y a pas eu meurtre, le désappointement se lit sur son visage. Mme Thorwald n’existe pas dans son esprit en tant qu’être humain, mais bien en tant que corps du délit et preuve du meurtre. L’immense popularité des séries policières, telles les Experts et Cie, ou même en son temps, de Columbo, prouve à quel point, les enquêtes nous captivent. Le spectateur n’aspire pas à commettre des meurtres, mais bien à observer ces enquêteurs (voire à s’identifier à eux) démêler les ficelles et découvrir les indices pour parvenir à confondre le coupable. En somme, une autre forme de voyeurisme.
Il n’y a pas loin du voyeurisme à la paranoïa. De ce point de vue, la prestation de James Stewart est excellente, entre détermination et couardise. On l’observe sombrer peu à peu dans ses certitudes et entraîner avec lui ses proches, au point de les mettre en danger. Stella et Lisa seront ses jambes et lui le cerveau. Dommage qu’à aucun moment le spectateur ne doute des constatations de Jeff. Hitchcock ne construit pas son film sur l’ambiguïté, ce qui diminue grandement l’intensité des évènements, d’autant plus que l’affrontement final est franchement anecdotique et peu réaliste.


Pas un chef d’oeuvre du maître du suspens, mais un film intéressant qui porte un regard amusant et accusateur sur quelques bas instincts de notre société, dont Hitchcock, lui-même n’est pas exempt ; lui qui usa des artifices du cinéma, pour filmer des belles femmes dans des tenues légères, dans la limite de ce que lui permettait la censure.
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Re: [alinoé] Mes Critiques en 2011

Messagepar Alegas » Dim 21 Aoû 2011, 16:46

Mon Hitchcock favori (enfin faudrait quand même que je le revois, ma dernière vision date un peu).
"Our films were never intended for a passive audience. There are enough of those kinds of films being made. We wanted our audience to have to work, to have to think, to have to actually participate in order to enjoy them."

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Re: [alinoé] Mes Critiques en 2011

Messagepar Scalp » Dim 21 Aoû 2011, 20:09

Du Hitch un peu surcoté comme tout bon Hitch qui se respecte quoi :mrgreen:
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Re: [alinoé] Mes Critiques en 2011

Messagepar Killbush » Lun 22 Aoû 2011, 01:12

Encore une excellent critique pour Rango que tu as parfaitement cernée :wink:
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