[Count Dooku] Mes Critiques en 2012

Modérateur: Dunandan

Maison de cire (La) - 5,5/10

Messagepar Count Dooku » Jeu 07 Juin 2012, 16:08

La Maison de cire, Jaume Collet-Serra, 2004


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Sorte de remake du classique d'Andre de Thoth de 1953, L'Homme au Masque de Cire (lui même déjà un remake d'un film de Michael Curtiz de 1933), le film de Collet-Serra prend toutefois une direction radicalement différente en lorgnant plutôt vers le slasher, la thématique originale de la cire étant limitée au modus operandi du tueur. Le début du film donne donc l'impression d'assister à un slasher lambda, avec sa bande de jeunes têtes-à-claques dont on sait que la plupart sont destinés à l'abattoir. Sexe, blagues craignos, persos ultra-stéréotypés, à peu près tous les clichés du genre y passent, faut pas chercher l'originalité de ce côté-là. Au début j'appréhendais de devoir me farcir cette dinde de Paris Hilton sur tout le film, mais heureusement le réal' a eu le bon goût de l'éclipser du film relativement vite, pour ensuite la faire mourir d'une façon assez jouissive.



Comme dans tout bon film d'horreur estampillé citadins vs bouseux, notre fine équipe va se retrouver dans une petite ville perdue au fin fond de nulle part, et va bien sûr être confrontée aux autochtones (ici au nombre de deux... ou plutôt trois mais enfin soit). C'est là que ça devient un peu plus intéressant, déjà la ville est sympa, avec cette impression qu'elle sort tout droit des années '50. Ensuite on rentre enfin dans le vif du sujet, avec la fameuse maison de cire et toutes ses statues dont on devine évidemment ce qui se cache en dessous. Après ça défouraille gaiement, les mises à mort sont sympas (mention spéciale au gars qui se fait arracher un bout de mâchoire à vif) mais malheureusement la mise en scène est un peu trop sage et peine à faire monter efficacement la tension (on ne compte plus les jump scares foireux). Reste quelques bonnes idées et trouvailles visuelles, comme l'église et la salle de ciné peuplées de statues de cire (on notera d'ailleurs la référence cinéphile de bon aloi, avec l'extrait de Qu'est-il arrivé à Baby Jane?) et surtout l'excellente utilisation du concept de maison de cire à la fin, ce qui sauve un peu le film (qui hormis cela reste un slasher somme toute banal). Un film honnête, à défaut d'être vraiment convainquant.



5.5/10
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Kiss of Death - 6/10

Messagepar Count Dooku » Jeu 07 Juin 2012, 17:09

Kiss of Death, Barbet Schroeder, 1995


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Remake du Carrefour de la Mort de Henry Hathaway (le film qui avait introduit à l'écran le génial Richard Widmark), j'avoue ne plus me souvenir suffisamment de l'histoire de ce dernier pour dire si le film de Barbet Schroeder lui est fidèle ou pas. Ce Kiss of Death version années '90 est en tout cas un bon petit polar sans fioritures, plaisant à visionner mais qu'on oublie assez vite.



La principale force du film réside dans son casting : David Caruso affiche un jeu sobre et d'une grande justesse, Nicolas Cage est parfait en chien fou d'une grande brutalité et qu'on sent prêt à péter les plombs à tout moment (et en avoir fait un asthmatique est une idée excellente, qui est de plus bien exploitée lors de la baston finale), et Samuel Lee Jackson est également très bon même si plus effacé, son personnage n'ayant pas la même importance que les deux autres. Un casting de série A pour ce qui est plutôt une série B dans la forme : la mise en scène est très téléfilmesque, sans éclat. Schroeder exploite très peu le contexte urbain (il m'a fallu attendre une heure et un plan plus large pour que je capte que ça se passait à New-York), il essaie plutôt de centrer sa réalisation sur ses personnages, mais sur ce terrain on est très loin de ce qu'on peut voir chez un James Gray par exemple. Un exemple du manque de profondeur du film, c'est la relation entre le perso de Caruso et de Sam L. Jackson : au début, elle est houleuse car Jackson en veut à Caruso pour la balle qu'il s'est prise, puis vers la fin du film on sent qu'ils s'apprécient voire sont potes, mais cette évolution transparait mal dans le film. Côté scénario, c'est du très classique, rien qu'on n'ait pas déjà vu mille fois. J'ai tout de même bien aimé la critique du système judiciaire américain que fait Schroeder : procureur, FBI, flics, tout le monde en prends pour son grade et c'est finalement l'ex-truand (Caruso) qui se révèle le plus juste et le plus honnête du film. Bref, un polar efficace, mais dont la mise en scène assez plate ne permet pas de rattraper le manque d'originalité.

6/10
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Film: Kiss of death
Note: 5/10
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Greystoke, la légende de Tarzan - 8/10

Messagepar Count Dooku » Jeu 07 Juin 2012, 20:56

Greystoke, la légende de Tarzan (Greystoke: The Legend of Tarzan, Lord of the Apes), Hugh Hudson, 1984


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Je ne savais pas trop à quoi m'attendre avec ce film : du réalisateur, Hugh Hudson, je n'avais vu que Les Chariots de feu, qui m'avait passablement ennuyé ; de plus, voir Christophe Lambert à l'affiche d'un film, ça rend toujours méfiant. Et bien j'ai été agréablement surpris, Greystoke est un très beau film qui traite admirablement la question de l'identité et la confrontation entre deux mondes.



De Tarzan, je ne connais pratiquement que les lieux-communs (son cri, Cheetta, le "moi Tarzan, toi Jane") et le DA de Disney, mais je n'ai ni lu le roman d'Edgar Rice Burroughs, ni vu les films des années '30 (par contre j'ai le coffret métal Warner depuis un moment, ça m'a donné envie de les voir!). Donc je ne sais pas où se situe le film de Hudson par rapport à ces œuvres antérieures, mais apparemment il s'attache à être plus fidèle au livre que les films précédents. Le film est divisé en deux parties bien distinctes : la première concerne la naissance de Tarzan (à noter qu'on ne l'appelle jamais comme ça dans le film, et bien que le titre mentionne pourtant ce nom. Mais comme c'est plus simple, je le nommerai ainsi dans ma critique) dans la jungle et relate sa vie auprès des singes jusqu'à sa rencontre avec un explorateur belge (Ian Holm) qui lui fera découvrir qui il est ; tandis que la seconde partie aborde le retour de Tarzan au château de sa famille, où il devra apprendre à s'adapter à la civilisation.



La première partie ne comporte -fort logiquement- que très peu de dialogues et se rapproche du documentaire animalier dans son approche : on suit différentes étapes de la jeunesse de Tarzan, découvrant comment il apprends à survivre dans un environnement hostile et comment il arrivera à se faire accepter et respecter auprès des singes. Ces derniers sont campés par des acteurs déguisés, ce qui malheureusement se voit très fort, en dépit de la qualité des costumes et des maquillages, mais bon il aurait été impossible d'opter pour de vrais singes, et c'est toujours mieux que les merdes en CGI d'aujourd'hui. La mise en scène de Hudson est classique, mais dans le bon sens du terme : dès le début, on retrouve le souffle des grandes production d'antan, d'ailleurs signe qui ne trompe pas, le film commence par une "Ouverture", comme les films épiques de David Lean. La photographie de John Alcott (chef-op' de Kubrick notamment sur Barry Lyndon et Shining) est splendide et capte bien l'atmosphère de la jungle, tout en nous livrant de temps à autres de superbes plans des paysages d'Afrique. Plusieurs acteurs campent Tarzan dans cette partie du film, tous excepté Lambert sont totalement nus pour plus de crédibilité, on comprend que la bienséance n'aurait pas permis de montrer un homme adulte à poil dans un film grand public mais du coup on peut se demander comment le personnage a eu la présence d'esprit de porter un slip en peau de bête une fois adulte. :mrgreen:



La deuxième partie est très différente de la première, lorgnant plutôt vers le drame et le film historique. Tarzan doit à présent s'adapter aux exigences du monde humain, et qui plus est assumer son statut de noble, ce qui ne sera pas une mince affaire pour quelqu'un qui a toujours vécu comme un animal. Le film réussit à montrer cette ambiguïté du personnage (il répond aux questions des nobles et assiste à des cours de latin, tout en continuant par moment à sautiller comme un singe en poussant de petits cris) sans sombrer dans le ridicule, et il faut bien admettre que le mérite en revient en grande partie à Christophe Lambert. Aussi surprenant que ça puisse paraitre, Totof livre ici une prestation remarquable, parvenant à merveille à restituer le côté sauvage, animal, de son personnage tout en le rendant vraiment attachant. Les mauvaises langues diront que ce n'est pas tellement difficile dans un rôle où il a si peu de dialogues, mais personnellement je trouve au contraire que ce genre de rôle est particulièrement difficile à appréhender, ce qui rend sa performance vraiment impressionnante. Face à lui, on retrouve un Ian Holm toujours irréprochable, par contre j'ai eu le malheur de regarder le film en VF, et on lui a collé un accent bruxellois à couper au couteau, ce qui est plus risible qu'autre chose. Dans le rôle de Jane, la toute jeune Andie McDowell est ravissante mais a peu le temps de s'exprimer à l'écran. Enfin, Ralph Richardson incarne le grand-père de Tarzan, un personnage très touchant par l'authentique amour qu'il affiche pour son petit-fils, en dépit de son statut hybride mi-homme, mi-animal. Un excellent film. :super:




8/10
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Re: [Count Dooku] Mes Critiques en 2012

Messagepar Jimmy Two Times » Jeu 07 Juin 2012, 22:07

Mes visions de Kiss of Death et Greystoke remontent au siècle dernier. Faudra que je me les refasse à l'occasion. Et je n'avais pas fait le lien entre John Carter et Greystoke tout deux adaptés de l'oeuvre d'Edgar Rice Burroughs.
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Re: [Count Dooku] Mes Critiques en 2012

Messagepar elpingos » Ven 08 Juin 2012, 08:56

Raaahh ouais Greystoke, de très bons souvenirs, avec il me semble un Christophe Lambert parfait.
Count Dooku a écrit:et c'est toujours mieux que les merdes en CGI d'aujourd'hui.

Clairement...
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Re: [Count Dooku] Mes Critiques en 2012

Messagepar Scalp » Ven 08 Juin 2012, 09:10

bein quoi y sont très bien les singes CGI de la planète des singes :mrgreen:
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Re: [Count Dooku] Mes Critiques en 2012

Messagepar Heatmann » Ven 08 Juin 2012, 09:26

ah bah tient , moi qui voulais revoir greystock , tu ma bien donner envie et convaincue la ! :super:
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Emprise du Crime (L') - 7,5/10

Messagepar Count Dooku » Ven 08 Juin 2012, 13:50

L'Emprise du Crime (The Strange Love of Martha Ivers), Lewis Milestone, 1946


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L'Emprise du Crime est un film assez particulier, dans la mesure où si l'on s’attend à un film noir de prime abord (la plupart des jaquettes de DVD le vendent comme tel), en réalité on est très proche d'un mélodrame par le scénario, les relations entre les personnages et la mise en scène. La dimension film noir provient essentiellement du crime initial, dont les conséquences se répercutent tout au long du film, ainsi que des relations tourmentées qu'entretiennent les personnages, et qui conduiront deux d'entre eux à un dénouement tragique.



L'histoire est assez intéressante, avec une première partie assez brève présentant les trois protagonistes principaux enfants et dressant leur profil (le bad boy fougueux et indépendant, le garçon timide et sans personnalité et la garce manipulatrice), pour ensuite retrouver 18 ans plus tard ces personnages, respectivement incarnés par Van Heflin, Kirk Douglas (ici dans son premier rôle) et Barbara Stanwyck. C'est d'ailleurs amusant de constater le rôle totalement à contre-emploi de Douglas : le futur interprète de Spartacus et d'autres personnages virils incarne ici un personnage veule et effacé, tandis qu'en face Heflin et sa tête de bon père de famille (cf Shane, par exemple) campe un personnage de dur. Stanwyck en revanche convient à merveille pour son rôle de femme fatale, même si son personnage est moins machiavélique que dans Assurance sur la Mort (elle est plus névrosée que réellement diabolique). Enfin, à ces trois acteurs principaux s'ajoute Lizabeth Scott, qui avec ses faux airs de Lauren Bacall se chargera de séduire le personnage de Van Heflin. Un casting de qualité, donc, et assurément un des points forts du film.



La mise en scène de Lewis Milestone est assez sage, certains scènes sont nettement marquées de l'empreinte du film noir, avec une photographie en conséquence (la scène du meurtre dans l'escalier par exemple), mais la majeure partie du film se veut assez quelconque, avec peu de plans marquants, d'idées visuelles intéressantes et pas vraiment de travail sur l'atmosphère. Bref, esthétiquement en tout cas, on est loin de ce qu'on peut attendre d'un film noir, mais le film se révèle par contre plus intéressant au niveau du développement psychologique des personnages et des relations qu'ils entretiennent entre eux, en particulier le triangle amoureux qui concentre l'attention du scénario. Le film pourra apparaitre un peu trop bavard pour certains, d'autant qu'il n'y a absolument pas d'action sur tout le film (mais ce n'est pas un polar et il n'est jamais question d'enquête) mais personnellement je ne me suis pas ennuyé, les personnages sont intéressants, leurs relations ambiguës et la noirceur du final fait vraiment plaisir à voir (le happy end n'est pas de mise). Notons d'ailleurs que ce film a rassemblé un certain nombre de grands noms puisque outre Milestone à la réal' et les acteurs précités, on notera aussi Robert Rossen au scénario, Robert Aldrich comme assistant-réalisateur et Miklos Rozsa à la musique (qui livre un très bon score d'ailleurs).

Un film qui mélange le film noir et le mélodrame pour un résultat réussi, mais il vaut mieux ne pas s'attendre à un pur film noir, tout du moins au niveau formel.

7.5/10
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Jusqu'à la mort - 6/10

Messagepar Count Dooku » Mer 13 Juin 2012, 16:41

Jusqu'à la mort (Until death), Simon Fellows, 2007


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Je ne m'attendais pas à grand chose et au final j'ai été agréablement surpris par ce DTV de l'ami Jean-Claude. Un petit polar noir efficace, plutôt bien réalisé avec un JCVD vraiment convaincant. Ce dernier campe un personnage de flic pourri et drogué, ce qui se voit à la tronche épouvantable qu'il se paie pendant la première moitié du film. C'est un peu un personnage à la Harvey Keitel dans Bad Lieutenant (il s'en met plein les veines, se tape des putes à l’œil, a des méthodes pas vraiment conventionnelles) mais contrairement au film de Ferrara qui nous présentait une descente aux enfers du personnage principal, dans Until death c'est justement l'inverse qui se produit : le film commence avec un JCVD au fond du trou, dans une tonalité très noire, et suite à un évènement au milieu du film le personnage va redevenir clean et se racheter (aux yeux de sa femme, de ses collègues, et tout simplement à ses yeux à lui). On sent donc une volonté de présenter le parcours du personnage tout au long du film comme une quête de rédemption, même si c'est évidemment emballé comme un DTV, on est loin de la force d'un Ferrara ou d'un James Gray. La mise en scène est cependant loin d'être honteuse, c'est carré et efficace, surtout dans la première partie du film, bien noire et hardboiled comme il faut. Après dans la deuxième partie y a tout de même une rupture de rythme, et si c'est justifié du point de vue dramatique, ça pourra frustrer les fans de Van Damme qui s'attendent à de l'action tous azimuts (d'autant que la fusillade finale est pas terrible).
Je reprocherai tout de même des trucs un peu cons dans le scénario, comme le gros flic qui débarque de nulle part dans la fusillade finale (genre il va risquer sa peau pour aider JCVD alors qu'il a perdu son boulot à cause de lui), mais globalement c'est plutôt bien ficelé et ça se laisse suivre, surtout que Van Damme livre une bonne prestation dans ce film et parvient à rendre son personnage attachant malgré ses vices. Par contre le méchant est quand même assez risible, dans le genre gros salopard sans nuances, et le film n'exploite pas tellement son passé de flic.



Bref, un divertissement très honnête, qui en dépit de ses défauts s'avère plaisant à regarder.

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Re: [Count Dooku] Mes Critiques en 2012

Messagepar Scalp » Mer 13 Juin 2012, 17:16

La seconde partie est tellement moins bonne que la première demi heure que ça plombe le film je trouve.
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Re: [Count Dooku] Mes Critiques en 2012

Messagepar angel.heart » Mer 13 Juin 2012, 17:32

Ouais.
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Re: [Count Dooku] Mes Critiques en 2012

Messagepar Count Dooku » Mer 13 Juin 2012, 17:32

Moi je dirais pas que ça plombe le film, mais c'est clairement en-deçà de la première partie, c'est sûr.
Disons qu'il y a une volonté de proposer quelque chose de profond, avec humanisation du héros, la quête de rédemption tout ça, mais c'est pas vraiment maîtrisé et surtout ça tranche assez radicalement avec le début. On s’attend à un polar noir jusqu’au-boutiste, et finalement l'enquête est mise de côté pour se recentrer sur le personnage principal et sa vie. L'idée est bonne (chez un grand réal' ça aurait pu donner quelque chose de génial), mais ici le résultat n'est pas tout-à-fait convaincant.
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Re: [Count Dooku] Mes Critiques en 2012

Messagepar Scalp » Mer 13 Juin 2012, 17:33

Ah bein l'aspect roumain du film aide pas des masses aussi c'est vrai.
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Re: [Count Dooku] Mes Critiques en 2012

Messagepar Heatmann » Mer 13 Juin 2012, 17:33

surtout la partie Reeducation de Jc qui fait pitier , sinon le debut et le vengeance c'est pas mal du tout , mais bon JC a l'hosto , pis Jc qui fait le triso avec le pti gamin qui lui apporte des fruit , Jc chez sont ex nana avec le mari au millieu , AU secours quoi !!!
un des meilleur JC 00's neanmoin , pour le coup ici perso le coter tournage dans des hangar a bucarest ca m'a pas gener
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Re: [Count Dooku] Mes Critiques en 2012

Messagepar Count Dooku » Mer 13 Juin 2012, 17:36

La partie rééducation ça m'a fait penser à Replicant. :mrgreen:
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