[Dunandan] Mes critiques en 2012

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Re: [Dunandan] Mes critiques en 2012

Messagepar Dunandan » Sam 29 Sep 2012, 22:21

Si les spécialistes du coin pouvaient me conseiller d'autres films d'aventure (surtout de la période Hollywood pour connaître un peu mieux le genre), ce serait sympa :super:
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Re: [Dunandan] Mes critiques en 2012

Messagepar Heatmann » Sam 29 Sep 2012, 22:27

aaaah enfin , la voila ta critique du Cid :super: mon film d'aventure de chevet , tout ce que j'aime et trouve de plus ultime et mythique dans la fresque epique et historique hollywoodienne :love:

ca fait plaisir car comme toujour avec toi on a plein de beau screen ( et puis , mon dieu que le film est beau , vaste et evocateur :love: ) et une belle analyse , je te rejoint particulierement sur la densiter et complexiter du script qui se devoile encore plus au fil de revision , des psychologie et plusieur couche de lectur qui comme tu le dit rappelle une piece de theatre puissance 10 000 , et puis un autre aspect qui me fascine c est le clash entre le traitement intimiste et personnel mais incruster dans un contexte historique et geopoitique carrement immense et epic !

tu a vue l homme qui voulut etre roi de Huston ?
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Re: [Dunandan] Mes critiques en 2012

Messagepar Dunandan » Sam 29 Sep 2012, 23:50

Merci elle m'a pris plus de 3h00 cette critique :mrgreen:, puis perfectionniste comme je suis j'ai du faire au moins 15 MAJ au fur et à mesure que de nouvelles idées me venaient à l'esprit.

Oui, je l'ai vu aussi. Je me le referai l'un de ces jours :wink:

En fait sais-tu si le BR du Cid est free zone ? J'ai hâte de le revoir sans esprit d'analyse ...
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Kung fu Panda 2 - 6/10

Messagepar Dunandan » Dim 30 Sep 2012, 05:17

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Kung Fu Panda 2, Jennifer Yuh (2011)

Ce second opus est clairement un cran au-dessous de l'original. Il reprend les mêmes ingrédients au niveau du fond et de la forme sans en renouveler le concept : c'est toujours aussi beau voire même plus, mais on retrouve cette histoire d'identité mariée cette fois-ci avec le passé du Panda. C'est franchement redondant, même si c'est assez drôle de voir ce dernier découvrir que cette oie lui servant de père l'a adopté, c'est structuré de la même manière, et il est aussi regrettable que le background des personnages ne soit pas plus développé.

Au niveau des séquences d'action, les personnages travaillent plus en équipe, ce que j'ai bien apprécié, par contre l'histoire succombe souvent au vice de l'action qui n'en finit pas au lieu de livrer un récit plus intéressant ou des séquences plus emblématiques. Puis il faut dire que le paon, bien qu'il apporte une variante WXP assez intéressante autour de la menace du Kung-Fu par l'arrivée de la technologie, est moins charismatique que le tigre du premier.

Enfin, la facture générale est plus enfantine, que ce soit dans son humour ou sa morale, et donc parfois exaspérante pour les adultes. J'ai par contre bien apprécié toutes les séquences d'infiltration ratées du panda, comme avec le costume de dragon chinois ressemblant à une partie de Pac-Man. Mais on retrouve clairement moins de références au genre, et on est dans le droit de se demander comment il sera possible de faire durer la formule sur une franchise appelée à durer (en ce sens, ça fait penser à du Shrek).

Une suite assez décevante qui n'apporte pas grand chose au premier épisode, malgré une esthétique impeccable et quelques idées sympa.
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Re: [Dunandan] Mes critiques en 2012

Messagepar Heatmann » Dim 30 Sep 2012, 15:28

dunandan a écrit:En fait sais-tu si le BR du Cid est free zone ? J'ai hâte de le revoir sans esprit d'analyse ...


ben moi j'ai le uk et il est aussi dispos en france , donc ils sont tout 2 Zone B mais alors je sais pas si ca passe sur un lecteur A , tu a un lecteur A toi ?
sinon ouai tu l'appreciera encore plus la 2em fois surtout sans ce foutue esprit critique d'analyse trop prononcer :mrgreen:
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Re: [Dunandan] Mes critiques en 2012

Messagepar Dunandan » Dim 30 Sep 2012, 16:00

Ouais cette fois-ci je n'ai pas pu le mettre off :mrgreen: (c'est parce qu'aussi je me débats avec ce genre encore nouveau pour moi), et sinon oui j'ai un lecteur zone A et je ne pense pas pouvoir le dézoner :? (encore que sur le net on trouve parfois ce modèle débloqué mais alors pour trouver un lien valable pour le code c'est galère ...).
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Exorciste (L') - 8/10

Messagepar Dunandan » Dim 30 Sep 2012, 22:00

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L'exorciste (VL), William Friedkin (1974)

Selon moi, aucun film actuel du genre n'arrive à la cheville de L'exorciste. Sa grande force, au lieu d'aborder directement son sujet par la démonstration et l'explicite, William Friedkin opte d'abord pour l'évocation qui laisse des questions sans réponse (comme l'identité du démon et son rôle). On a ainsi droit à une superbe introduction où se dessine le portrait d'un exorciste vidé par son combat contre le mal et à l'apparence spectrale, sur des terres mystérieuses où le silence règne et qui réveillent des peurs primaires défiant le rationalisme. La photo est à tomber et redresse le poil, et met en scène la fragilité et la faillibilité de la foi face aux forces des ténèbres. Une mise en scène et un fond que ne renierait pas Carpenter.

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Après cette mise en bouche au bord du fantastique, on enchaîne avec une longue exposition réaliste des personnages en total contraste avec ce qui précède. Au niveau de l'intérêt pur et simple, ce n'est pas ma partie préférée, mais elle a le mérite d'aborder non seulement d'apporter de l'affection dans la relation mère-fille, de faire ressentir la désaffection de la foi du jeune prêtre, et enfin de faire apparaître le mal chez cette fille sous un angle d'abord rationaliste : entre folie et possession, le doute est bel et bien posé, et ça regorge d'explications psychiatriques intéressantes en direction d'un traumatisme du passage de l'enfance à l'adolescence. En ce sens, au vu de la place accordée dans le film, il s'agit peut-être moins d'un film sur l'exorcisme que sur les peurs profondes qui nous habitent. D'ailleurs, je trouve qu'on a pas trop peur et que les scènes explicites provoquent surtout un malaise du fond du bide. Malgré tout, j'ai trouvé parfois le temps long, et il est dommage que l'ambiguïté soit parfois brisée trop tôt avec l'apparition d'images subliminales ou la fameuse scène de la fille dévalant l'escalier le corps à l'envers.

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Enfin vient l'exorcisme proprement dit, et là c'est du lourd. J'avais oublié quelle tension habitait cette séquence, et les effets spéciaux (maquillage, lévitation, meubles et maison qui tremblent), particulièrement les dégradations physiques et morales de la fille et du vieux prêtre, sont encore impressionnants et ne feraient pas tâche aujourd'hui. Il est vrai aussi que le souvenir de parodies de films récents viennent parfois atténuer les salves obscènes et dérangeantes du démon, mais ça fonctionne encore, surtout grâce à la mise en scène (l'arrivée de l'exorciste est par exemple inoubliable) qui parvient à rendre le réel malsain, et fait montre durant les "scènes-choc" d'une gestion de l'espace et du silence où chaque bruit ou placement de personnages a son importance dans la montée de l'adrénaline du spectateur, et aux acteurs habités par leurs rôles, avec en tête les deux prêtres, la fille, et sa mère. Sans oublier la B.O. culte mais finalement assez discrète.

Film d'horreur culte plus profond qu'en apparence, et qui frappe par sa capacité à évoquer nos peurs profondes, et son mélange réalisme-fantastique insidieux.
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Re: [Dunandan] Mes critiques en 2012

Messagepar angel.heart » Dim 30 Sep 2012, 22:24

Pour moi, le meilleur film d'horreur au monde ! ( en tout cas dans sa version d'origine... )
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Re: [Dunandan] Mes critiques en 2012

Messagepar Dunandan » Dim 30 Sep 2012, 22:27

Oui je déçu que le BR n'offre pas cette possibilité qui à la base devrait justement faciliter le visionnage des versions d'origine :?.
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Re: [Dunandan] Mes critiques en 2012

Messagepar Dunandan » Dim 30 Sep 2012, 22:33

TOP/FLOP DU MOIS DE SEPTEMBRE :


FILM DU MOIS :

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Autres films mémorables :
- Warrior, Laura, L'adieu au roi, Revenge, Le cid, L'exorciste (8/10)
- Cruising, Le dernier samaritain, Kung-Fu panda (7.5/10)

PURGE DU MOIS :

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PIN-UP DU MOIS : Madeleine Stowe

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7 samouraïs - 10/10

Messagepar Dunandan » Lun 01 Oct 2012, 18:37


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Les 7 samouraïs, Akira Kurosawa (1954)

Résumé : Au Moyen-Age, la tranquillité d'un petit village japonais est troublée par les attaques répétées d'une bande de pillards. Sept samouraïs sans maître (ronins) acceptent de défendre les paysans impuissants.


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Etant un gros fan des chambaras, il me paraît logique de m'attaquer à ce monument du cinéma japonais qui m'a fait connaître le genre, et qui est resté l'un de mes préférés avec Hara-Kiri. En outre, ce film a ni plus ni moins révolutionné le cinéma épique, d'une part du fait de son épure narrative allant droit à l'essentiel, et d'autre part par sa science du montage aidé pour la première fois par la présence de plusieurs caméras lors des scènes de bataille. Il n'est pas pour autant exempt de défauts, et sont pour la plupart dû aux conditions de tournage de l'époque ou au style de Kurosawa : problèmes de rythme (surtout dans la première partie) ou trucages visibles. Mais il ressort quelque chose de grandiose de ce film, d'abord par une narration ample, recouvrant de multiples couches un scénario de prime abord simple (des ronins engagés pour protéger de pauvres paysans contre de terribles brigands), puis ensuite par la manière dont le mythe du samouraï est abordé, immergé dans la boue au sens propre et figuré, en quelque sorte l'un des premiers films démystificateurs et crépusculaires du genre (contrairement au film cité plus haut, dans un sens plus humaniste et éthique que politique, le contexte historique étant réduit au maximum, sans faire intervenir quelque autorité que ce soit).

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L'une des premières qualités qui frappe aux yeux, c'est le temps donné à la caractérisation des personnages, particulièrement les samouraïs. Loin d'une quelconque sacralisation, le contraste est mot d'ordre, les défauts étant mis en avant pour les humaniser. Ainsi les paysans apparaissent tour à tour misérables (je pense notamment au pillage des samouraïs vaincus qui provoquent un choc général) et courageux, et les samouraïs, à la fois vertueux et bons vivants. La mise en scène ici est importante, car en quelques images on parvient à les distinguer sans plus d'explication verbale. Il y a d'abord le fameux Takashi Shimura, un des acteurs fétiches du réalisateur, qui interprète ici l'un de ses meilleurs rôles avec ce personnage du vieux samouraï, qui a atteint une sagesse et une humilité non pas grâce à ses victoires, mais ses échecs, et préfère la ruse à l'attaque frontale (dixit la fameuse scène où il se déguise en moine pour désarçonner un kidnappeur), alors que l'inverse est plus commun (surtout que se raser la tête, même au nom d'une noble cause, serait perçu normalement comme une marque de honte chez un samouraï). Puis il y a le samouraï apprenti, à la fois romantique et en admiration des valeurs héroïques de l'art du sabre, et spécialement d'un samouraï qui est l'archétype même de cet idéal. Et enfin le faux samouraï interprété par Toshiro Mifune, à la fois soûlard, malpropre, fanfaron, et véritable coeur de l'équipe, car il est le trait d'union entre le camp des samouraïs et celui des paysans, comme le montre brillamment l'évocation de son passé et de son traumatisme, qui justifie d'un trait son caractère et son combat. Les autres ont une bonne gueule et sont bien introduits (ancien compagnon d'armes, bûcheron à la poigne de fer ...) mais sont moins approfondis que ces trois là, bien que ce soient aussi des têtes connues de la troupe Kurosawa.

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Il y a aussi une variété importante de tons altérant la linéarité trompeuse du récit, un résumé de ce que peut contenir idéalement un récit de samouraïs, alternant réalisme et détresse des paysans, et panorama picaresque des samouraïs agrémenté de moments d'humour, scènes héroïques et moments de quiétude avant la bataille, leçons de sagesse et idéalisation des samouraïs, et moquerie et désenchantement de la classe des paysans comme celle des samouraïs. Mais au final, la gloire revient aux paysans. Car il ne faudrait pas s'y tromper : malgré l'aura héroïque ou vertueuse (ils ne se battent ni pour la gloire, ni pour l'argent, ni pour l'ascension sociale, rançon habituelle des ronins) qui entoure certains de ces personnages, c'est avant tout la cause humaniste de la mission, la protection des pauvres et opprimés, qui importe ici. Les premiers montages retenus par les occidentaux étaient d'ailleurs amputés de la partie consacrée aux paysans, nous livrant ainsi une version tronquée : en étant vendu comme un film de guerre, on niait alors son message pacifique, et son combat pour les petits. Ce n'est pas pour rien que le "faux" samouraï, d'abord en retrait et marginalisé par son étrangeté, soit peu à peu mis en avant comme le véritable héros, adoré par les enfants par son visage digne de figurer dans un théâtre de marionnettes, et de plus en plus apprécié par les autres par son courage et bonhomie, malgré sa maladresse et son manque de compétences sur le terrain.

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Enfin, la réalisation est très bonne, proposant une science du cadrage maîtrisée, exploitant avant tout la profondeur de champ, ainsi que le montage et le découpage qui préfigurent le cinéma moderne (gros plan pour l'émotion, plan large pour la dimension épique, ...). Encore une fois on peut chipoter sur quelques coupes un peu brusques ou au contraire sur la longueur inutile de certaines séquences, mais l'ensemble est de haute tenue, et au final on a droit à un grand film rythmé auquel il est difficile de s'ennuyer. Il y a des idées de composition très intéressantes qui mettent en scène les rapports de force, comme justement celle où on met en retrait le "faux" samouraï, ou lorsque qu'on coupe l'image en deux par un sabre pour figurer l'impossibilité de combiner deux classes d'ordre différentes. Au niveau de la mise en scène, la planification de la stratégie à l'aide d'une carte m'a bien marqué, une technique réutilisée ensuite pour le comptage des ennemis vaincus permettant ainsi une bonne visibilité de l'action déjà mise en valeur par une bonne gestion de l'espace. Et pour terminer, les scènes de cavalerie sont un grand moment de mise en scène, surtout durant les première et dernière séquences. L'arrivée des voleurs qui pénètrent hors de l'obscurité, avec la pluie battante, fait encore son petit effet. Puis il y a bien sûr ce plan final sur la tombe des samouraïs alors que les paysans sont en liesse, qui nous rappelle par son aspect contrasté, à la fois joyeux et amer, que Kurosawa savait comment terminer ses films (une manière de dire que si la violence a été un mal nécessaire pour l'établissement de la paix, elle doit à présent laisser place à la reconstruction).



L'un des chefs-d'oeuvre du genre, avant tout pour la narration que ce film met en oeuvre, sa bonne caractérisation des personnages, et sa vision désenchantée du monde des samouraïs, malgré des défauts souvent imputables aux limites techniques de l'époque.
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Re: [Dunandan] Mes critiques en 2012

Messagepar Mark Chopper » Lun 01 Oct 2012, 18:52

:super:

Très peu de souvenirs pour ma part : j'ai dû le voir à 20 ans, à la télévision. Mais il est évident que je le redécouvrirai.
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Re: [Dunandan] Mes critiques en 2012

Messagepar Alegas » Lun 01 Oct 2012, 18:54

Celui là je l'ai en stock depuis des années mais la durée m'a toujours rebuté (idem pour Ran).
"Our films were never intended for a passive audience. There are enough of those kinds of films being made. We wanted our audience to have to work, to have to think, to have to actually participate in order to enjoy them."

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Re: [Dunandan] Mes critiques en 2012

Messagepar Mark Chopper » Lun 01 Oct 2012, 18:56

Alegas a écrit:Nan mais de toute façon c'est certain je DOIS le voir un jour, un mec qui fait des études de ciné et qui a toujours pas vu ce film c'est le genre de personnes qu'on lapide à l'université. :chut: :mrgreen:


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Re: [Dunandan] Mes critiques en 2012

Messagepar Dunandan » Lun 01 Oct 2012, 18:57

Contrairement à Ran tu ne devrais pas t'ennuyer, à condition bien sûr que tu arrives à passer au-delà des quelques longueurs habituelles de Kurosawa :wink: Puis bon voilà c'est ton boulot aussi :mrgreen:
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