[Jimmy Two Times] Mes critiques en 2012

Modérateur: Dunandan

Re: [Jimmy Two Times] Mes critiques en 2012

Messagepar Jimmy Two Times » Mer 24 Oct 2012, 17:36

Justement, quand je conseille aux conformistes de s'abstenir, je te rejoins totalement. Les cibles du film sont bien évidemment convenues et c'est pour cette raison que le film risque de faire rire jaune plus d'un spectateur. Certains se reconnaîtront dans la personnalité des victimes du couple de tueurs et la mise en abîme risque de leur donner des boutons :mrgreen:
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De bon matin - 6/10

Messagepar Jimmy Two Times » Jeu 25 Oct 2012, 09:32



De Bon Matin - Jean-Marc Moutout - 2011


Portrait d'un homme broyé par le monde impitoyable du travail (sur fond de crise des subprimes), De Bon Matin est une critique acerbe des entreprises du 21ème siècle, véritables rouleaux compresseurs, qui laissent une place de plus en plus insignifiante à l'épanouissement personnel et aux relations humaines. Proche des thématiques de Laurent Cantet (Ressources Humaines), Jean-Marc Moutout renoue avec le drame se déroulant dans le milieu du travail qu'il avait notamment abordé dans Violences des échanges en milieu tempéré.

Comme souvent dans le genre, on connaît tout de suite la conclusion. On assiste au cours des premières minutes au pétage de plomb d'un Jean-Pierre Darroussin qui décide de faire le ménage au sein de sa hiérarchie. Les 90 minutes qui suivent tâcheront de nous expliquer le pourquoi du comment. Le rythme est lent, la technique minimaliste (pratiquement aucune musique) mais Moutout n'oublie jamais de faire du cinéma. De Bon Matin jouit d'un scope, d'une photo et de cadrages plutôt flatteurs alors même qu'un sentiment d'immobilisme pictural prédomine. Des sensations de visionnage contradictoires que l'on retrouve au niveau du scénario. Ballotté entre passé et présent, entre les bureaux asphyxiants et les grand chantiers immobiliers, la trame suit un cheminement millimétré mais sans réelle surprise. Le temps s'écoule lentement et le manque d'émotions combiné à la froideur clinique des personnages provoque quelques bâillements. Seul l'épilogue, attendu mais qui réussit tout de même à secouer l'audience, nous fait éprouver un peu d'empathie pour ces évènements. Le plan final, précédé d'un joli hara-kiri du personnage principal sous forme de headshot, fait froid dans le dos...Who's next (c'est un peu ce qu'on doit se dire chez Orange)...?

De part son caractère minimaliste, De Bon Matin ne s'adresse évidemment qu'aux adeptes de drames à la française. On est ici plus proche de films comme L'Adversaire (Nicole Garcia) que d'essais plus rythmés et distrayants comme l'excellent Couperet (Costa Gavras) qui avait su marier la critique sociale et le thriller avec brio. Rien de neuf donc même si on ne peut que saluer la remarquable prestation d'un Jean-Pierre Darroussin impeccable en Droopy désespéré. Dommage que le sentiment de déjà-vu soit si prégnant.

6/10
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Faster - 5,5/10

Messagepar Jimmy Two Times » Lun 29 Oct 2012, 13:12



Faster - George Tillman Jr. - 2010


A moitié convaincu par ce Faster qui tente avec plus ou moins de succès de renouer avec l’esprit des polars des 70’s. Dans le rôle du conducteur, The Rock continue de prendre la relève d’un certain Arnold S. et tente de devenir son pendant des années 2000. Presque muet pendant les 90 minutes de film, il en impose par son impressionnante présence physique, moins par son jeu d'acteur (il est plutôt correct mais quelques regards de merlan frit s'échappent de temps en temps :mrgreen: )

Le récit reconstruit progressivement l’itinéraire vengeur de cet homme qui sort de taule et dont on sait juste qu’il cherche à punir les responsables de la mort de son frère suite à un braquage qui a mal tourné 10 ans plus tôt. A ses trousses, un flic adepte des piquouses qui font planer (Billy Bob Thornton) et un ancien dirigeant de start up devenu millionnaire qui a troqué son costard d’entrepreneur contre celui de tueur à gages, histoire de pimenter une existence trop vite accomplie.

La première partie du film est bien sympa. Aidé par un bon informateur, le conducteur obtient la liste des coupables et exécute froidement ceux qui ont le malheur de voir leur nom inscrit dessus. Une balle, un mort. Pas de chichis. Entre deux cibles, on a le droit à de sympathiques ballades à bord d’un muscle car vrombissant qui ravira les amateur de grosses cylindrées.

Côté pile, la tonalité du film est très agréable. C’est froid, les exécutions sont sèches et le fait de ne rien savoir ou presque sur les tenants de l’histoire garantit la proximité avec les polars d’antan. Pas de morale à deux balles pour justifier l’itinéraire sanglant du personnage principal. Côté face, on a malheureusement droit à des personnages parasites qui rappelle tristement que nous sommes bien face à une production estampillée 21ème siècle. Le personnage du tueur à gages beau gosse et propre sur lui (interprété par un illustre inconnu) n’est absolument pas crédible une seconde. Sa vie de pacha avec sa girlfriend potiche saoule considérablement et ne sert visiblement qu’à permettre aux spectatrices peu concernées par les démonstrations de testostérone de ne pas sombrer dans l’ennui. Pour les bonhommes, il faut une sacrée dose d’indulgence pour ne pas sourire devant des scènes niaises au possible. Quant au flic je m’en foutiste incarné par Billy BoB, il fait son office même s’il n’est pas forcément très bien écrit.

Ces défauts sont d’autant plus dommageables que la réalisation d’ensemble est franchement sympa avec quelques plans et cadrages particulièrement réussis. George Tillmann Jr. n’est pas le dernier des branques et rend une copie très propre avec des images bien léchées. Cerise sur le gâteau, on a le droit à une BO melting-pot rock du meilleur goût. Au final, Faster est un divertissement honorable qui réjouit au détour de quelques scènes couillues. The Rock n’est jamais aussi bon que lorsqu’il est expéditif malheureusement l’histoire aurait gagné à rester concentré sur son personnage et à se départir de quelques pistes ratées. Un bon cru pour les amateurs du genre mais il y a toujours un con (de scénariste) pour mettre de l’eau (de rose) dans le bon vin.

5.5/10
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Re: [Jimmy Two Times] Mes critiques en 2012

Messagepar osorojo » Lun 29 Oct 2012, 14:58

Ah tiens, je pensais l'avoir critiqué celui-ci ! Globalement d'accord avec ta critique même si je suis moins exigeant pour le genre et que je serai un tout petit peu plus généreux. Rien que pour la chevelle de toute façon :mrgreen:
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Lyonnais (Les) - 7/10

Messagepar Jimmy Two Times » Mar 30 Oct 2012, 09:45



Les Lyonnais - Olivier Marchal - 2011


Jusqu'à présent, j'ai toujours eu un peu de mal avec les films d'Olivier Marchal. 36 Quai des Orfèvres, bien que correct, m'avait assommé avec sa musique pompeuse et assourdissante et MR73 sombrait avec excès dans la surcharge de pathos. Pour son quatrième film, l'ancien flic réalise peut être son meilleur taf et paradoxalement pêche par manque d'ambition. Car il y avait semble-t-il matière à offrir une fresque démesurée à ces Lyonnais. Prévu initialement pour durer 3 heures, c'est finalement une version d'1h42 qui débarqua dans les salles.

Ainsi, tout semble aller trop vite et c'est bien dommage. Car dès le générique, punchy en diable, on sent le potentiel hautement cinématographique de l'entreprise. En l'état, Marchal pare son film d'une "sobriété" qu'on ne lui connaissait pas. Hormis un hommage raté au Parrain en ouverture et quelques tics de réalisation identifiables entre mille (toujours quellques effets très appuyés pour souligner la dramaturgie), le film se suit avec plaisir alternant perpétuellement entre passé et présent. Comme souvent chez le réalisateur, les acteurs aux gueules burinées se succèdent devant la caméra et profitent de quelques dialogues outranciers pour se mettre en valeur. Pour la plus grande joie des amateurs de polars couillus, les répliques cinglantes sont légion.

En tête d'affiche, Gérard Lanvin et Tchéky Karyo incarnent Momon et Serge, deux amis d'enfance devenus les redoutables têtes pensantes du célèbre gang des Lyonnais, connus pour leurs innombrables braquages. Bien classes et plutôt sobres, les deux acteurs ne sont pas les seuls à tirer leur épingle du jeu. Dans les seconds rôles, Patrick Catalifo (en flic indécrottable) et Daniel Duval (le bras droit de Momon) sont parfaitement à leur place. Le film se projetant régulièrement dans les années 70, on découvre sur grand écran l'immense talent de Dimitri Storoge (qui incarne Momon jeune), qui bouffe littéralement toutes les scènes dans lesquelles il apparaît.

Et c'est là qu'on en vient à regretter le caractère expéditif du film. Les braquages sont réduits à leur plus simple expression, des résumés bien trop courts qui empêchent le film de prendre de l'ampleur. Mis à part une scène d'évasion pétaradante et parfaitement torchée par Marchal, on reste sur sa faim en dépit de quelques saillies d'hémoglobine toujours très brèves. Bien loin des excès de ses réalisations précédentes, on sent que Marchal a un véritable amour pour son sujet et pour le sens de l'honneur cher au personnage de Momon. Alors, certes la trame est très classique et on devine rapidement l'issue de l'histoire mais on espère constamment une envolée des débats qui pourrait élever le film au stade supérieur. C'est tellement rare de voir du cinéma de genre français s'éloigner avec une telle aisance de la facture télévisuelle prédominante que l'on ne peut que ressortir frustré de la vision de ce film réussi mais qui aurait tout gagné à être la grande fresque imaginée dès le départ.

7/10
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Skyfall - 8,5/10

Messagepar Jimmy Two Times » Mer 31 Oct 2012, 13:08



Skyfall - Sam Mendes - 2012


Après quelques heures de digestion, Skyfall s’impose naturellement comme le meilleur opus de la saga James Bond. La raison en est très simple. Pour la première fois en 50 ans, les producteurs ont fait appel à une équipe technique hors pair, en commençant par offrir à ce Skyfall un vrai réalisateur. Pourtant peu adepte de l’action XXL, l’homme rompu aux planches qu’est Sam Mendes relève le défi haut la main. Doté, toutes proportions gardées, d’un scénario solide, ce 23ème volet s’est surtout paré de ses plus beaux atours.

Cette réussite formelle incontestable, on la doit en grande partie au génie de Roger Deakins (directeur de la photo attitré des Coen Bros), distributeur de claques visuelles en chef qui réussit à transcender l’imagerie balisée de la série pour nous offrir de purs moments de cinéma. Entre l’escapade à Shangaï, le casino à Macao et le final époustouflant dans le land écossais, il y a de quoi flatter la rétine des plus exigeants.

Le scénario de John Logan (un fidèle de Ridley Scott) fait en partie table rase du passé et joue brillamment avec les codes de la saga. Nous laissant penser pendant plus d’une heure à un complot d’envergure internationale comme la saga nous en a trop souvent servi, Skyfall dérive à mi-parcours vers une histoire de vengeance personnelle. Exit la mégalomanie, les relectures de la guerre froide, les manipulations financières à grande échelle. Le Bond nouveau sera introspectif ou ne sera pas.

Pour la première fois, James est en souffrance, tant physique que psychologique, broyé par une mission qui a failli lui coûter la vie en Turquie. Cette scène d’action aussi énorme qu’improbable (à titre personnel, je trouve que c’est le passage le moins réussi tant il détonne avec la suite du récit) a été placée en introduction comme pour mieux faire le lien entre le passé démesuré en terme d’action et le présent synonyme de véritable retour à l’âge de pierre.
Que ce soit le déménagement forcé des locaux du MI6 dans le bunker de Churchill, les gadgets réduits à leur plus simple expression (un flingue et un transmetteur radio) ou le retour de la célèbre Aston Martin DB5 dans son apparat le plus simple, tout converge vers un minimalisme salvateur (notamment dans le final où 007 est armé de sa seule bite et de son couteau).

Si on ajoute à cela un bad guy (excellent Javier Bardem) bien loin des archétypes habituels, seulement guidé par sa quête de vengeance, une James Bond girl qui n’est autre que M et une excursion dans le passé de 007 au détour d’un final sur la terre de ses ancêtres, les fans du film d’espionnage post Jason Bourne risquent de déchanter. Intriguant pendant une heure, Skyfall resserre son étau dramatique au fil des minutes, non sans oublier d’offrir quelques touches de fan service (Moneypenny, loveboat…). Il y a bien quelques petites fautes de goût (la scène avec les dragons de Komodo) mais rien d’alarmant.

La dernière demie heure, véritable morceau de bravoure qui convoque les dieux de l’under siege parachève la réussite globale de cet épisode décidemment à part. L’assaut de la demeure familiale, c’est juste de l’or en barre pour les amateurs d’un cinéma à l’ancienne et porté disparu. L’arc narratif tissé autour du trio Bond/Bardem/M débouche sur des images entêtantes aux forts relents de néo-western où le duo Mendes/Deakins parachève son somptueux tableau en offrant rien de moins que les meilleures séquences de la saga et de vrais grands moments de cinéma. Skyfall est un des rares blockbusters de l’année 2012 à tenir ses promesses et bien plus encore, rendant toujours plus amères les déceptions que furent Prometheus et The Dark Knight Rises. Maintenant la grande question, est ce que j'achète tout de même le coffret de l'intégral de la saga qui me fait de l'oeil sachant que je n'y trouverai rien de mieux que ce Skyfall à l'intérieur? :?

8.5/10
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Re: [Jimmy Two Times] Mes critiques en 2012

Messagepar Alegas » Mer 31 Oct 2012, 13:15

Pour ce qui est de ta question en dernière phrase tout dépend de ce que tu attends d'une saga comme James Bond. C'est certain que tu tomberas pas que sur des bons films (la période Roger Moore est souvent bien naze), mais en l'état, si on apprécie le personnage, il y a vraiment de quoi se faire plaisir à découvrir chaque film dans l'ordre chronologique, pour le meilleur comme pour le pire.
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Re: [Jimmy Two Times] Mes critiques en 2012

Messagepar Jimmy Two Times » Mer 31 Oct 2012, 13:33

Le truc, c'est que je n'ai revu aucun JB période Connery/Lazenby/Moore/Dalton depuis au moins 15 ans. Gamin, j'adorais. Aujourd'hui, j'ai peur de la révision.
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Re: [Jimmy Two Times] Mes critiques en 2012

Messagepar Scalp » Mer 31 Oct 2012, 14:54

Crois moi sur parole, reste loin de cette saga :mrgreen:
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Re: [Jimmy Two Times] Mes critiques en 2012

Messagepar Heatmann » Mer 31 Oct 2012, 15:12

faut ce faire un avis par soit meme apres revision Jimmy , perso je prefere toujour From russia with love a skyfall qui n'est pour moi pas le meilleur de la saga .
alors peut etre que tu restera autant subjuger par le mendes certes , mais les connery si tu les a autant aimer , il y a bcp de chance que tu y prenne encore du plaisir :wink:
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Re: [Jimmy Two Times] Mes critiques en 2012

Messagepar Hannibal » Mer 31 Oct 2012, 15:17

pareil que Heatmann!!!

Merci Heat :super: j'aime quand tu parles de la période "Connery" comme ça
Mark Chopper a écrit:La mode des années 2010 consiste à faire des suites de merde qui permettent de réévaluer des purges.
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Re: [Jimmy Two Times] Mes critiques en 2012

Messagepar Scalp » Mer 31 Oct 2012, 15:33

Moi j'aimerais bien lire des critiques positive de opération tonnerre ou on ne vit que 2 fois, histoire de voir ce qu'il y a de génial.
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Re: [Jimmy Two Times] Mes critiques en 2012

Messagepar Heatmann » Mer 31 Oct 2012, 15:41

pas forcement genial , mais tres bien ouai . et pis Dr no , goldfinger , From russia with love et diamonds are forever aussi .... pas besoin de critique , y a plein d'avis de partout sur le net , les films ont leur fan bases , sans vouloir a chercher a convaincre ou se justifier :wink:
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Re: [Jimmy Two Times] Mes critiques en 2012

Messagepar Scalp » Mer 31 Oct 2012, 15:54

Euh Diamond il a une grosse répute de merde, Goldfinger oue tout le monde se branle la nouille devant, mais sérieux c'est pas top quoi, le seul qui ressemble à un vrai film c'est Russia.
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Re: [Jimmy Two Times] Mes critiques en 2012

Messagepar Heatmann » Mer 31 Oct 2012, 15:57

tu fait les question et les reponse que tu veut donc bon ... :wink:

y a plein de gens qui aiment , mais plein hein . voila , apres c'est pas grave si toi tu trouve ca pourrie , faut pas y chercher d'explication ou rationaliser ca
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