[oso] Mes critiques en 2013

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Re: [oso] Mes critiques en 2013

Messagepar osorojo » Dim 11 Aoû 2013, 20:26

Mark Chopper a écrit:Et dire que certains pensent que le cinéma japonais est mort :mrgreen:

Tiens, si je ne devais recommander qu'un film japonais récent, ce serait celui-là. Ce n'est pas le meilleur, mais c'est certainement celui qui peut plaire à tout le monde...

Une bonne soirée garantie.


Merci en tout cas pour me l'avoir fait découvrir, j'ai passé un super moment devant :chinese:
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Re: [oso] Mes critiques en 2013

Messagepar Dunandan » Dim 11 Aoû 2013, 20:40

Je le note précieusement dans un coin celui-là ...
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Re: [oso] Mes critiques en 2013

Messagepar Mark Chopper » Dim 11 Aoû 2013, 21:17

osorojo a écrit:
Mark Chopper a écrit:Et dire que certains pensent que le cinéma japonais est mort :mrgreen:

Tiens, si je ne devais recommander qu'un film japonais récent, ce serait celui-là. Ce n'est pas le meilleur, mais c'est certainement celui qui peut plaire à tout le monde...

Une bonne soirée garantie.


Merci en tout cas pour me l'avoir fait découvrir, j'ai passé un super moment devant :chinese:


Nakamura a une filmographie inégale, mais je te conseille également The Foreign Duck, the Native Duck and God in a Coin Locker (dvd uk) et Golden Slumber (je t'envoie un ticket albanais).
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Only God Forgives - 7,5/10

Messagepar osorojo » Dim 11 Aoû 2013, 23:36

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ONLY GOD FORGIVES

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Nicolas Winding Refn (2013) | 7.5/10
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Proposer un film de cet acabit quand on vient de signer Drive, c’est osé et des plus respectables. Prendre son public à revers, au risque d’en perdre une belle partie, en livrant une œuvre aussi marquée par l’univers des bobines les plus expérimentales de sa filmographie n’est pas à la portée de tout le monde et la preuve véritable que Nicolas Winding Refn n’est pas homme à courber le dos pour contenter le plus grand nombre. Dès lors, il est impossible de prendre Only God Forgives pour autre chose qu’un film sincère. Mais cette singularité, cette intégrité suffit-elle à nous faire oublier l’unilatéralité, le manichéisme parfois maladroit de cet OFNI sans concession, en grande partie oui, mais pas complètement.

En effet, si OGF force le respect quand il délivre à l’écran tout le savoir faire conjugué du réalisateur et de son chef op, qui mettent en place des atmosphères terribles, dotées d’une photographie sans cesse esthétisante, il met toutefois mal à l’aise quant à son propos. Entre quête de rédemption pour les nuls d’un fiston malmené par sa diablesse de mère et dénonciation grossière du tourisme opportuniste dont souffre la Thaïlande, il y a parfois un réel manque de nuance qui se fait sentir à l’écran. A travers ce personnage presque divin tout d’abord du policier, véritable protagoniste du film qui semble le seul légitime à décider qui doit vivre ou mourir et de celui, maléfique jusqu’à la moelle, de cette mère presque satanique, NWR brosse un tableau noir et blanc d’où toute nuance de gris est absente. Si le parti pris est respectable, il peut également épuiser, lorsqu’il est étiré plus que de raison. A ce titre, difficile de réellement s’impliquer lors de scènes presque hors de propos, mettant généralement en vis-à-vis mère et fils à l’occasion de joutes verbales à sens unique dont la matriarche pose les règles.

Attention, louable est l’effort que fait Refn pour proposer une narration complètement hors norme dans son film et aborder des sujets délicats rarement mis en image au cinéma. Mais là où le propos devient un peu problématique, c’est quand il se perd dans des démonstrations gratuites qui déconstruisent des personnages qui n’existent quasiment pas. Je pense bien évidemment à ce personnage de Julian, qui n’est jamais construit par Refn qui prend bien trop son plaisir en lui en mettant plein la tronche. Certains loueront cette volonté de tuer le mythe du driver, je pense pour ma part que c’est un peu maladroit de clamer haut et fort cette idée. Je n’arrive
pas à faire le lien entre OGF et Drive tant les deux films sont opposés. Que Gosling soit le seul trait d’union entre les deux œuvres me paraît un peu mince pour se laisser aller à dire que Refn y détruit ce qu’il a forgé avec son acteur dans son précédent film. Il serait même plus sage de louer les efforts de ce dernier, qui se donne une nouvelle fois à 100% à l’image. Après, on peut juger sa prestation, mais l’intention est présente et non sujette à discussion.

Quand au personnage du policier, incarné par un acteur qui a été propulsé au rang des révélations de cette année, je serai pour ma part plus mitigé. J’ai trouvé son jeu bien trop à sens unique pour que j’y adhère complètement. Il est évident que le fait que je n’ai pas été spécialement convaincu par la métaphore de son personnage n’y est pas étranger. J’en suis même par moment venu à me dire que ce flic intouchable était une projection de Julian qui se laisserait aller à ses états d’âme les plus enfouis, dans son désir de tuer mère et frère histoire de compléter son œuvre. Et si l’on prend le film dans ce sens, alors l’ensemble paraît plus cohérent. Nul doute que pour cerner un peu mieux les différents enjeux, une seconde vision sera nécessaire.

Il est difficile de décortiquer un film aussi personnel qu’Only God Forgives. Cette capacité qu’à Refn à nous interroger, à nous faire écrire pour tenter de comprendre ce qu’il a voulu dire est à elle seule une preuve que cette bobine est dense et peu commune. Ainsi, malgré les réserves que je nourris à propos du traitement que propose Refn de son histoire, je ne peux que me prendre d’affection pour une œuvre aussi totale et assumée, dotée de cette singularité si rare qu'on passe son temps à rechercher en salle aujourd’hui et ce sens de la mise en scène terriblement marqué par l’univers cash d’un homme dont j’attends impatiemment le prochain film.
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Re: [oso] Mes critiques en 2013

Messagepar Jimmy Two Times » Lun 12 Aoû 2013, 03:41

Faut oser, Oso. Faut oser. :super:
I'm the motherfucker who found this place!
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Re: [oso] Mes critiques en 2013

Messagepar osorojo » Lun 12 Aoû 2013, 07:57

Erf. +Prop ! End of transmission !

:mrgreen:
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Retour des morts vivants (Le) - 8/10

Messagepar osorojo » Lun 12 Aoû 2013, 22:21

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LE RETOUR DES MORTS VIVANTS

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Dan O’Bannon (1984) | 8/10
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Véritable plaisir sans retenue que ce chouette moment horrifique qui surfe intelligemment sur les moults références qu'il pille sans vergogne. De ces clins d'oeil assumés Dan O'Bannon tire une bobine généreuse en humour noir et en cervelles qui éclatent. Tous les ingrédients que l'on attend de ce genre de film sont parfaitement exploités par un bonhomme qui ne prend jamais son sujet de haut, et s'en sert simplement pour délivrer un moment d'amusement décomplexé. Au menu une petite punkette qui aime bien danser nue sous la pluie (dommage que ce soit pas plus éclairé :eheh: ), des humains débiles dépassés par les évènements, d'autres un peu plus efficaces et surtout des zombies pas trop cons qui ne sont même pas ridicules lorsqu'ils se mettent à parler.

Bien entendu, il faut se mettre en condition avant de lancer les hostilités. Mais si vous êtes un tant soit peu amateur du genre, que les films de zombie sont votre came et que le gore c'est votre truc quand il est utilisé pour faire rire, alors vous devriez trouver plus que votre compte dans ce retour des morts vivants. En tout cas, j'ai pour ma part passé un super moment en compagnie d'une brochette d'acteurs qui savent trouver le ton juste pour nous faire marrer pendant que les zomblards ne manquent pas d'ingéniosité pour pouvoir enfin les bouffer.
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Re: [oso] Mes critiques en 2013

Messagepar Val » Lun 12 Aoû 2013, 23:03

Ouais il est bien sympa ce petit film sorti de nul part.
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Re: [oso] Mes critiques en 2013

Messagepar francesco34 » Mar 13 Aoû 2013, 14:37

Je me souviens l'avoir vu en salle à sa sortie dans le trou paumé où j'habitais... donc je sais pas si il est tant que ça "sorti de nulle part".
En tout cas un excellent souvenir. Ca changeait des films de zombie de Romero, même si ceux-ci restent mes préférés.
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Messagepar angel.heart » Mar 13 Aoû 2013, 18:11

Étonné de voir que le film a pour l'instant que des 8/10. :o ( bon cela-dit, Scalp ne metterait certainement pas la même note aujourd'hui... :eheh: )
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Exposé - 6/10

Messagepar osorojo » Mar 13 Aoû 2013, 20:24

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EXPOSÉ

++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++
James Kenelm Clarke (1976) | 6/10
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Film lancé complètement à l'aveugle en sachant juste qu'il s'agissait d'une pseudo histoire de vengeance. Je me suis laissé embarqué par l'ambiance glauque qui habite le film et les jolies actrices peu farouches qui y gravitent. Ne faisons pas l'hypocrite, quand on lance ce genre de péloche, on aime ce côté libre qu'arbore les petites gazelles en présence. Pour le coup, c'est vraiment sympa à ce niveau là, James Kenelm Clarke fait un chouette boulot pour mettre sur pied des petits passages gentiment érotiques qui fonctionnent et puis le duo Laura hayden / Fiona Richmond, c'est quelque chose. Les jeux de corps sont bien trouvés et jouent avec équilibre entre beauté graphique et côté malsain des situations.

Dommage que James Kenelm Clarke n'ait pas soigné autant son histoire et nous laisse quand même beaucoup sur notre faim à ce niveau là. La tension monte crescendo sans jamais vraiment exploser, on reste dans un faux suspens latent qui ne marche pas vraiment. La faute certainement à Linda Hayden, qui nous fait plus rêver qu'elle nous fout la trouille. Du coup, tout le dénouement prévisible du film tombe un peu à plat, on n'y croit pas vraiment. On sent que le réalisateur en est conscient, il saborde même toute la partie finale du film, en l'espace de 5 minutes c'est bouclé.

Finalement, on finit les hostilités un peu triste parce qu'on aurait aimé pouvoir en dire plus de bien mais dans son ensemble, même s'il propose de belles choses, il se révèle être assez moyen en plus d'être un peu trop en roue libre par moment. Se pose maintenant la question de la version que j'ai pu voir, car Exposé semble avoir subit beaucoup de cut lors de ses différentes phases d'exploitation.
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Auteur: angel.heart

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Call (The) - 3/10

Messagepar osorojo » Mer 14 Aoû 2013, 22:09

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THE CALL

++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++
Brad Anderson (2013) | 3/10
++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++



Le pitch était pourtant attirant et laissait présager un bon petit thriller oppressant avec en plus en tête d'affichage la jolie Halle Berry, de quoi me faire passer une petite soirée pénarde sans prise de chou. Loupé, tout dans The call est agaçant, de l'exploitation sans imagination d'un script qui s'arrête à sa phase d'introduction sans jamais savoir comment se développer à une réalisation passe partout sans aucune inventivité, sans parler des personnages écrits à la truelle que l'on a envie de voir disparaître rapidement alors qu'on devrait éprouver l'inverse.

Le seul petit sursaut salvateur se fait dans les derniers retranchements du film mais il se termine deux ou trois minutes après. On pense qu'enfin on va avoir le droit à une petite séquence musclée lors d'une partie revenge qui s'invite à la fête, mais c'est évidemment sans surprise que l'idée est éludée aussi rapidement qu'elle est apparue. En l'espace de 15 secondes, c'est bâché, avec une mollesse qui rappelle le rythme absent de croisière qui a habité toute la pellicule.

The call c'est le stéréotype du film qui n'a rien pour lui à part deux trois scènes furtives qui relèvent un peu le niveau navrant de l'ensemble. Dur de tenir jusqu'à la fin du pseudo combat mental qui se livre à l'écran, tout est torture, des réactions complètement wtf du serial killer, à celles ridicules des passants qu'il croise, sans parler du dernier acte complètement absurde. En gros, ne perdez pas de temps, passez au film suivant sans état d'âme.
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Place Beyond the Pines (The) - 8/10

Messagepar osorojo » Jeu 15 Aoû 2013, 15:38

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THE PLACE BEYOND THE PINES

++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++
Derek Cianfrance (2013) | 8/10
++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++



Subtile et sensible cette jolie histoire de filiation que nous propose l'auteur du déjà sympathique Blue Valentine. Derek Cianfrance renoue avec l'acteur qui portait déjà son premier film pour un rôle parfois similaire mais un peu plus ambitieux. Véritable pivot de l'histoire, Ryan Gosling livre ici une prestation à saluer, toute en retenue, il parvient à trouver l'équilibre juste entre la marginalité qui le caractérise et la passion qu'il se découvre pour son fiston, petit être surgi de nulle part à qui il s'identifie instantanément. Cette relation très touchante est le coeur palpitant de the place beyond the pines, mais permet aussi surtout au cinéaste de développer son propos en nous laissant sur le carreau après moins d'une heure de bobine.

La belle force de cette histoire touchante c'est qu'elle repose sur 3 storyline à logique temporelle assez joliment racontées. Reliées par le destin de plusieurs hommes, dont le sang joue le rôle d'un témoin nécessaire à la poursuite du chemin, elles s'intéressent à cet héritage impalpable qu'un père lègue à son fils, qu'il soit ou non, présent dans sa vie. Derek Cianfrance développe son propos avec une belle cohérence en plus de le traiter avec beaucoup de subtilité. S'il nous prend au dépourvu dans la première partie de son métrage, ce n'est pas gratuitement et nécessaire à la bonne marche de son entreprise. Il permet en effet à son dernier acte de revêtir une belle puissance évocatrice lorsque l'âme du personnage joué par Gosling qui rayonne dans tout le film reprend vie par l'intermédiaire de son fils. Ce dernier lui redonne en effet vie en se plongeant dans le passé de son père, partagé entre tristesse de n'avoir connu un homme qu'il commence à admirer et envie de vengeance pour la personne qui lui a ôté toute possibilité d'un jour vraiment le connaître. Et là où Derek Cianfrance la joue habile, c'est qu'il ne se laisse pas aller à la dramatisation facile en faisant par exemple de ce fils curieux une victime ou l'instrument binaire d'une vengeance d'outre tombe. Il préfère lui donner la force de caractère de son père, l'intelligence de pardonner ainsi que l'honneur de conclure son histoire, lors d'une symbolique très touchante qui met un point final assez juste à l'ensemble.

The place beyond the pines est un beau film assurément. De la trempe de ces jolies oeuvres qui savent s'ouvrir un chemin vers cette pompe à sentiment qui nous fait respirer. Animé par une photographie très bien sentie qui sait varier ses points de vue, alternant subtilement plans très larges pour évoquer la liberté qui se dégage du côté paisible des grands espaces traversés par les personnages et gros plans sans profondeur de champ lorsqu'il faut tirer le maximum d'émotion d'un visage marqué par la vie. Ce côté très pensé des images permet à Derek Cianfrance de marquer nos esprits. Il en est conscient, et semble être naturellement doué pour véhiculer une jolie tendresse par l'image; on pouvait en effet déjà l'apprécier dans son premier film. Il fait également à nouveau ici de bons choix musicaux pour continuer de dresser ce portrait d'une Amérique intimiste propice à son histoire. Les ballades qui bercent le film sont une jolie douceur à nos oreilles et insufflent une mélancolie de circonstance aux errements des personnages.

Avec The place beyond the pines, Derek Cianfrance continue de marquer des points et se place dans la liste des hommes dont j'attend les prochains films. Esthète confirmé, et surtout excellent directeur d'acteurs, ce dernier semble prédisposé à nous offrir de jolies choses dans un futur pas si lointain.
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Re: [oso] Mes critiques en 2013

Messagepar Hulkiss » Jeu 15 Aoû 2013, 20:34

!!!!!!!
c'est le film que je voulais voir pour Gosling sans un Danois dans les environs.......j'espère que je serai pas déçu.............
vu les notes qu'il accumule et cette dernière critique, ça devrait aller.
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Re: [oso] Mes critiques en 2013

Messagepar osorojo » Jeu 15 Aoû 2013, 20:53

C'est un très beau film, premier degré donc accessible par le plus grand nombre (c'est pas only god forgives en gros :mrgreen: ) ! Tu devrais y trouver ton compte, sans aucun doute :super:
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