[Velvet] Mes critiques en 2014

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Re: [Velvet] Mes critiques en 2014

Messagepar Mr Jack » Sam 27 Sep 2014, 14:56

Ah tiens je l'ai revu l'autre jour je vais poster mon avis. Mais j'avais pas pensé à History of Violence dans les comparaisons. Il y a des points convergents mais le Cronenberg est plus fort dans son propos quand même, je trouve.
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Re: [Velvet] Mes critiques en 2014

Messagepar Velvet » Mar 30 Sep 2014, 12:04

BILAN ESTIVAL (JUIN/JUILLET/AOUT/SEPTEMBRE)


Juin:

127) Mauvais sang de Leos Carax (1986) - 10/10 - CRITIQUE
128) Un lac de Philippe Grandrieux (2009) - 8/10 - CRITIQUE
129) Cannibal Holocaust de Ruggero Deodato (1980) - 8/10 - CRITIQUE
130) The Rover de David Michod (2014) - 8,5/10 - CRITIQUE
131) Drug War de Johnnie To (2014) - 7/10
132) Black Coal de Yi'nan Diao (2014) - 8/10
133) Edge of Tomorrow de Doug Liman (2014) - 6,5/10 - CRITIQUE
134) Tristesse club de Vincent Mariette (2014) - 7/10
135) The two faces of january de Hossein Amini (2014) : 4/10
136) Bird people de Pascale Ferran (2014) : 7,5/10 - CRITIQUE
137) Under the Skin de Jonathan Glazer (2014) : 10/10 - CRITIQUE
138) Enemy de Denis Villeneuve (2014) : 5,5/10
139) The Raid 2 de Gareth Evans (2014) : 8/10 - CRITIQUE

Juillet

140) La conte de la princesse Kaguya de Isao Takahada (2014) : 8,75/10 - CRITIQUE
141) Dragons 2 de Dean Deblois (2014) : 7,5/10
142) La crème de la crème de Kim Chapiron (2014): 5/10 - CRITIQUE
143) Supercondriaque de Danny Boon (2014): 2/10
144) The States of Grace de Destin Cretton (2014): 7,75/10 - CRITIQUE
145) Blue Ruin de Jeremy Saulnier (2014): 7/10
146) Dans ma peau de Marina de Van (2002) - 7,75/10 - CRITIQUE
147) Trouble Every Day de Claire Denis (2001) - 9/10 - CRITIQUE
148) Oslo, 31 aout de Joachim Trier (2012) - 9/10 - CRITIQUE
149) Pola X de Leos Carax (1999) - 7/10 - CRITIQUE
150) Be with me de Eric Khoo (2005) - 7,5/10 - CRITIQUE
151) Shortbus de John Cameron Mitchell (2006) - 8,5/10 - CRITIQUE
152) Room in Rome de Julio Medem (2010) - 7/10 - CRITIQUE
153) Les Amants du Pont-Neuf de Leos Carax (1991) - CRITIQUE
154) Denis Lionel Baillu (2013): 3/10
155) Le Lorax de Chris Renaud (2012): 3/10
156) Rebelle de Mark Andrews (2012): 4/10
157) The East de Zal Batmanglij (2013): 6/10
158) The Blade de Tsui Hark (1995): 8/10
159) Time and Tide de Tsui Hark (2001): 10/10
160) Training Day de Antoine Fuqua (2001): 6/10
161) Sabotage de David Ayer (2014): 2/10

Aout:

162) Nos pires voisins de Nicholas Stoller (2014): 4/10
163) 22 Jump Street de Phil Lord (2014): 6,5/10
164) Secret défense de Philippe Haime (2008): 6/10
165) Song for Marion de Paul Andrew William (2013): 5/10
166) Les petits princes de Vianney Lebasque (2013): 5,5/10
167) Lucy de Luc Besson (2014): 0/10 - CRITIQUE
168) La planète des singes, l'affrontement de Matt Reeves (2014): 6/10
169) Locke de Steven Knight (2014): 5/10
170) Les Gardiens de la galaxie de James Gunn (2014): 7/10
171) The Amazing Spiderman 2 de Marc Webb (2014): 3/10
172) Le serpent de Eric Barbier (2006): 5,5/10
173) Percy Jackson : La Mer des Monstres de Thor Freudenthal (2013): 3/10
174) Les stagiaires de Shaw Levy (2013): 5/10
175) Crime d'amour d'Alain Corneau (2010): 4/10
176) Meurtre Parfait de Andrew Davis (1998): 3/10
177) Batman : The Dark Knight Returns, partie 1 de Jay Oliva (2013): 7/10
178) Batman : The Dark Knight Returns, partie 2 de Jay Oliva (2013): 8,5/10
179) Chasing Mavericks de Michael Apted (2012): 4,5/10

Septembre:

180) Gibraltar de Julien Leclerq (2013): 5/10
181) Les combattants de Thomas Cailley (2014): 7/10 - CRITIQUE
182) Babysitting de Philippe Lacheau (2014): 3/10 - CRITIQUE
183) Sex Tape de Jake Kasdan (2014): 0/10
184) Inside Job de NWR (2003): 6,5/10 - CRITIQUE
185) Les infidèles de 7 réalisateurs (2012): 2/10
186) Millennium Mambo de Hou Hsiao Hsien (2001): 9/10
187) Le sept samourais de Akira Kurosawa (1954): 7,5/10
188) La princesse Mononoké de Hayao Miyazaki (2000): 9,5/10
189) Ghost in the shell de Mamoru Oshii (1995): 10/10 - CRITIQUE
190) La Forêt de Mogari de Naomi Kawase (2007) - 9/10 - CRITIQUE
191) Calvaire de Fabrice de Welz (2005) - 5/10 - CRITIQUE
192) Predator de John Mc Tiernan (1987) - 8/10
193) Saint Laurent de Bertrand Bonello (2014) - 7/10
194) Drive de Nicolas Winding Refn (2011) - 8,5/10
195) Vorace de Antonia Bird (1999) - 7,5/10
196) Predator 2 de Stephen Hopkins (1990) - 5/10
197) Sunshine de Danny Boyle (2007) - 8,5/10


TOP ESTIVAL


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FLOP ESTIVAL


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Messagepar osorojo » Mar 30 Sep 2014, 12:36

UNE CRITIQUE DE TIME AND TIME (et de The blade aussi tant qu'on y est) EST DEMANDÉE D'URGENCE :mrgreen:
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Re: [Velvet] Mes critiques en 2014

Messagepar Velvet » Mar 30 Sep 2014, 13:22

Je pensais en faire une de Time and Tide en plus. Elle est dans les cartons, bientôt. :lol:
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Re: [Velvet] Mes critiques en 2014

Messagepar osorojo » Mar 30 Sep 2014, 13:36

Cool ! :chinese:
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Re: [Velvet] Mes critiques en 2014

Messagepar dagokhiouma » Mar 30 Sep 2014, 14:40

cool ce petit récap. petit bémol: j'ai les yeux qui saignent avec toutes ces lettres en rouge.
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Re: [Velvet] Mes critiques en 2014

Messagepar Mark Chopper » Mar 30 Sep 2014, 14:45

Perso je trouve ça beau comme une planche de Blacksad.
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Re: [Velvet] Mes critiques en 2014

Messagepar dagokhiouma » Mar 30 Sep 2014, 14:48

tout s'explique :chut: :eheh:
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3 coeurs - 3/10

Messagepar Velvet » Jeu 02 Oct 2014, 09:41

3 coeurs de benoit Jacquot (2014) - 3/10


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Manger sainement, ne pas trop fumer et vous aurez le remède miracle pour ne pas rater votre vie et ne pas connaitre des désillusions qui vous hanteront jusqu’à la fin de votre vie car un infarctus est vite arrivé et c’est le drame assuré. Voici, à peu de chose près, l’une des seules pirouettes qu’on retiendra dans un mélodrame sans cœurs ni irrigation. Après un très éphémère et bien maigre Les Adieux à la Reine, Benoit Jacquot revient sur le devant de la scène avec ce trio amoureux vieillot et sans enjeux où se cache mensonges, faux semblants et coup de foudre avorté par le destin. « Pourquoi l’as-tu choisi, elle ? » dira Sylvie à Marc en pensant à sa sœur Sophie. Dans un univers socialement contextualisé, Benoit Jacquot semble vouloir marcher sur les pas d’un cinéma romantique proche d’un Claude Sautet mais il n’en a pas l’envergure ni l’ambiguïté artistique et narrative. Ce dernier était un portraitiste audacieux et clairvoyant, arrivant à capter l’essence même des sentiments de ses personnages et la part d’ombre et de mystère de ses acteurs. Un cœur en hiver en est la preuve. Un soir, un homme rate son train dans la ville de Lyon, lui permettant dans un petit coin de rue mal éclairé, de rencontrer une jeune femme au charme un peu évanescent jonglé par sa douce voix cristalline. Marc rencontre Sylvie, c’est le coup de foudre. Un regard suffit, quelques mots pour désamorcer la timidité et le charme opère.

Benoit Jacquot fait appel à Benoit Poelvoorde pour interpréter l’homme perturbé par ses entrailles, l’amoureux transit névrosé par le doute et la culpabilité.A ce compte-là, l’acteur en fait un peu trop, avec une démarche mal assurée et un regard en coin patibulaire. Dès les premières minutes, on sent un film sur la corde raide avec cette rencontre originelle, un peu fausse et gênante où vient s’ajouter une musique, ridicule de désarticulation avec le film, vrombissante, lourde et sursignifiant une angoisse fabriqué. Marc, par la force des choses, retrouvera Sylvie car il se mariera avec Sophie, la sœur de Sylvie (sans le savoir). Les coïncidences de la vie sont au centre du sujet, de ses retrouvailles en cachète, aucune passion dévastatrice ne s’immergera de cette fracture psychologique, de cette attente insupportable. 3 cœurs est le trio amoureux aux accents redondants, le film emmitouflé dans son envie d’avancer cacher, de ne jamais se dévoiler ses mystères, pour exploser sans émouvoir où se dégage une froideur antipathique. Les deux sœurs sont les opposés symbolisant le summum d’une certaine ringardise rétro, avec celle qui est libre de ses mouvements, un peu bohème.

L’autre est la femme fragile, celle qui a besoin d’une épaule, qui a les larmes faciles, qu’on aime protéger et cajoler. La maman à qui on fait un enfant et qu’on baise en missionnaire pour faire l’exercice conjugal obligatoire. Le chaud et le froid, en quelque sorte. Où Marc sera attiré par le chaud, l’aventure, le goût de l’incertitude face à la routine quotidienne. Le point d'orgue la faiblesse de 3 coeurs est cette écriture navrante de lieux communsAvec l’œuvre de Benoit Jacquot, nous nous retrouvons en « terrain connu », avec cette assemblage de protagonistes fictifs (la mère, patriarche, jouée par Catherine Deneuve ; ou le maire, catalyseur de culpabilité morale et religieuse) dont les mises en situations balisées n’arrangent pas les choses. Le tout sent malheureusement le réchauffé ponctué de quelques moments gracieux de mise en scène (séquence de voiture intrépide entre Marc et Sylvie). La magie de 3 cœurs est tuée dans l’œuf par son manque de folie romanesque, ses fautes de goûts inexplicables (une voix off comme si l’on était dans un livre pour enfants), par son absence totale de poésie venimeuse, une platitude narrative dont ne parviennent pas à s’extirper trois acteurs un peu à la dérive. On restera sur notre faim, Benoit Jacquot préférant nous mettre à la diète.
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Film: 3 cœurs
Note: 5/10
Auteur: Moviewar

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Re: [Velvet] Mes critiques en 2014

Messagepar Mr Jack » Jeu 02 Oct 2014, 09:58

Merde, je comptais le voir avec ma chérie mais bon, décidément, 2014...
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Mommy - 8/10

Messagepar Velvet » Jeu 02 Oct 2014, 12:34

Mommy de Xavier Dolan (2014) - 8/10


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Xavier Dolan se libère d’un poids, et avec Mommy, il compose avec un certain brio toutes les caractéristiques de son cinéma si ambivalent et clivant. Cinquième film du jeune réalisateur, Mommy est avec Laurence Anyways, le deuxième long métrage où Xavier Dolan ne se retrouve pas acteur dans l’une de ses réalisations, lui permettant de s’amuser avec ses acteurs et ne pas alourdir son film d’effets de style surlignant sa présence. Comme s’il retrouvait une humilité qu’on ne lui confère pas souvent. Après une tentative un peu trop factice pour engendrer un ton plus adulte et plus mature à son cinéma avec le thriller sadomasochiste Tom à la ferme, le réalisateur canadien revient à ce qui fait sa force (mais aussi ses défauts), c’est-à-dire un style beaucoup moins épuré, beaucoup plus clinquant, sa grandiloquence juvénile et psychédélique, sa mise en scène au montage parfois surdécoupé, son fétichisme des gestes et des visages, son sens du rythme clippesque, sa musicalité pop et prépondérante, son style 80’s.

Ce cadre, en 1 :1 (à deux reprises, le film changera de format) permet d’empaqueter son univers haut en couleur mais jamais jusqu’à l’asphyxie. Pour certains, le film sera un immense fourretout dégoulinant de couleur exécrable, avec un ton et une imagerie un peu beauf mais même s’il est impossible de ne pas s’étendre sur la forme visuelle d’une œuvre de Xavier Dolan, Mommy est la preuve vivante, comme l’était Laurence Anyways, que Xavier Dolan sait faire vivre un récit, créer et donner de l’ampleur à des personnages où chacun joue un rôle précis et précieux. Il montre un amour tout particulier pour ses personnages, les regarde avec compassion et bienveillance malgré une tristesse perturbante qui entourera toute la durée du film. Mommy, est à l’image de Steve, enfant survolté, dynamique, ne restant jamais en place un seul moment, charismatique et sale gosse, un douloureux émotif, qui déploie une féroce envie de liberté et une puissance émotionnelle à en perdre raison. Xavier Dolan reprend son thème favori, celui des amours imaginaires, le lien familial et maternel, un amour/haine révélateur, un rapport indestructible de je t’aime moins non plus qui dévore de l’intérieur.

Mommy, c’est l’histoire de Diane, une mère dont le mari est mort et qui doit s’occuper de son fils pris de troubles affectifs et comportementaux et n’étant plus acceptés dans les internats par son excès de violence. Ils vont essayer de former un « team » pour s’en sortir, un duo marginal à la verve pétaradante, qui se déchire violement, s’étrangle, tout comme ils dansent de façon langoureuse ou préparent des repas avec amour. Diane aime son petit « gars » et fera tout pour lui, quitte à essayer de baiser l’idiot de juriste. Cela permettant à Dolan de construire son film à travers une rythmique narrative parfaite où drôlerie de langage et tristesse de situation fonctionne parfaitement. Mommy, c’est une boule de nerf cosmique, tout sauf subtile, mais dont la générosité permet de toute de suite s’identifier à des personnages ultra attachants et qui ne manquent pas de profondeur. Dans leur débrouille un peu merdique, le couple va se voir aider par la voisine, par l’excellente Suzanne Clément, interprétant le rôle d’une ancienne enseignante, connaissant des troubles de communications depuis un tragique évènement familial dont elle ne parlera pas mais qu’on comprendra par le biais d’une photo.

Dolan a un sens du rythme, un sens du burlesque un peu naïf et cheap complétement assumé et remporte le magot par son trio d’acteur génial. Ils sont le symbole du cinéma de Xavier Dolan. Parfois esthétique, mais parfois grossièrement bariolés, mais d’un naturel sans borne, une main tendue vers une émotion intime. Il y a un excès total chez Dolan, mais de façon contagieuse, aspire le film vers des sentiments qui eux, ne sont jamais pré fabriqués. C’est l’histoire d’un fils qui veut aider sa mère, sa « priorité », le récit d’une mère qui faire face aux obstacles et qui ne cessera jamais d’aimer son fils ; et la perspective d’une femme pour combler les trous de son passé vivant dans un malaise familial pesant. Mommy, c’est un portrait magnifique de trois laissés pour compte qui veulent juste essayer de gagner la partie, un dernier saut vers l'inconnu.
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Re: [Velvet] Mes critiques en 2014

Messagepar Moviewar » Ven 03 Oct 2014, 07:37

Xavier (ouais je l'appelle Xavier) et moi-même approuvons ta critique :mrgreen:

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(ouais je la reposte encore une fois 8) )
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Re: [Velvet] Mes critiques en 2014

Messagepar Mark Chopper » Ven 03 Oct 2014, 08:18

C'est bien dans Têtu que ton interview sera publiée ?
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Re: [Velvet] Mes critiques en 2014

Messagepar Moviewar » Ven 03 Oct 2014, 08:30

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Re: [Velvet] Mes critiques en 2014

Messagepar Mr Jack » Ven 03 Oct 2014, 21:34

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