[oso] Ma prose malade en 2015

Modérateur: Dunandan

Re: [oso] Ma prose malade en 2015

Messagepar Jed_Trigado » Lun 16 Fév 2015, 23:27

Dossier. :chut:
"Je mets les pieds où je veux Littlejohn et c'est souvent dans la gueule." Chuck Norris

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Re: [oso] Ma prose malade en 2015

Messagepar pabelbaba » Lun 16 Fév 2015, 23:30

Angel me suit sur ce coup-là. Du coup reste du monde est en minorité. :alcolo: :mrgreen:
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Re: [oso] Ma prose malade en 2015

Messagepar Mark Chopper » Lun 16 Fév 2015, 23:32

pabelbaba a écrit:Je kiffe plus Flashpoint que vous, bande de moules! 8)


C'est bien ce que je disais : flic infiltré + dinde piégée.

Pas de ça dans le dernier Donnie :nono:

Flashpoint, c'est tout pété à part à la fin, point final.
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Re: [oso] Ma prose malade en 2015

Messagepar pabelbaba » Lun 16 Fév 2015, 23:42

Mark Chopper a écrit:C'est bien ce que je disais : flic infiltré + dinde piégée.

Merde tu m'as percé à jour... :(
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Re: [oso] Ma prose malade en 2015

Messagepar osorojo » Mar 17 Fév 2015, 00:18

Ouais, Flashpoint finit par un gros feu d'artifice dans la gueule et des slams sur le béton, de quoi le surévaluer un poil :mrgreen:
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Assurance sur la mort - 9/10

Messagepar osorojo » Lun 23 Fév 2015, 19:27

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ASSURANCE SUR LA MORT

Billy Wilder | 1944 | 9/10
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Habile reconversion d'un assureur à bout de souffle

L’ouverture d’Assurance sur la mort a de quoi inquiéter. Une voix off essoufflée se lance dans un long flashback pour poser le cadre d’une intrigue qui se dessine de manière assez classique : une marâtre intéressée joue de ses longs cils charmeurs pour s’assurer les faveurs du narrateur, chasseur talentueux au verbe solide d’inquiets à protéger, afin d’employer son tempérament flamboyant pour se débarrasser d’un époux qu’elle déteste profondément.

Mais bien vite, les premières inquiétudes s’estompent, les personnages prennent de l’ampleur et surtout Billy Wilder déroule son script, une toile parfaitement tissée qui exploite le meilleur de son potentiel manipulateur sans jouer une seule seconde sur l’effet de surprise, puisque ce dernier est écarté de l’équation dès les premières secondes. Le tour de force qui se joue alors à l’écran, à savoir cette hypnose qui découle de chaque mouvement qu’entreprend l’apprenti tueur, pour exécuter son plan sans commettre d’impair, est d’autant plus impressionnante qu’elle ne peut compter que sur l’immédiateté des situations et un côté didactique amusant qui prend des allures de petit guide du parfait meurtrier.

Pour accompagner sa mise en scène en retenue, Billy Wilder peut compter sur les noirs et blancs très denses ainsi que les jeux de lumières particulièrement joueurs de John Seitz. Ce dernier pare véritablement assurance sur la mort d’ambiances vaporeuses qui soutiennent dans l’ombre l’escalade entreprise par Fred MacMurray, homme sans histoire, vers le meurtre habilement perpétré. Au cœur du récit, l’acteur est impérial. Du monsieur tout le monde, il se métamorphose avec assurance en un tueur sans remords particulièrement calculateur. A ces côtés, en tant que figure paternelle et seul repère moral auquel peut se raccrocher le spectateur, Edward G. Robinson compose un joli rôle de mentor paternaliste. Le personnage vole même la vedette à la sensuelle Barbara Stanwyck en s’octroyant la plus belle séquence du film, à savoir sa fin, noire en diable et pourtant si émouvante.

Une belle manière de conclure ce jeu de piste truqué auquel Billy Wilder convie une audience qu’il manipule avec vice du début à la fin de sa bobine. Aucun mystère, tout n’est que perception, celle que veut bien dessiner le cinéaste au moyen d’une voix off pernicieuse qui s’impose comme la seule vérité alors qu’elle n’est que le requiem, mi-honnête, mi-roublard, d’un homme au pied du mur en quête d’une lueur de compassion apaisante dans les yeux de son père spirituel.
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Re: [oso] Ma prose malade en 2015

Messagepar Mr Jack » Lun 23 Fév 2015, 23:26

Haut du panier dans le genre du film noir, ça (même si j'ai une préférence pour Sunset Boulevard du même Wilder) :super:
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Re: [oso] Ma prose malade en 2015

Messagepar osorojo » Mar 24 Fév 2015, 19:02

Une très belle découverte effectivement qui va me pousser à en voir d'autre de Wilder. J'ai prévu de me faire Sunset Boulevard :super:
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De bruit et de fureur - 9/10

Messagepar osorojo » Mar 24 Fév 2015, 19:17


★★★★★★ ZE CHALLENGE DÉCOUVERTE ★★★★★


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DE BRUIT ET DE FUREUR

Jean-Claude Brisseau | 1988 | 9/10
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Quelques graines pour Superman

Quand la force d’une suite de mots parfaitement agencés étaye la fureur d’une critique sociale sans concession, une alchimie redoutable prend forme à l’écran. En insérant en terrain hostile un personnage déphasé du monde, dont le comportement rappelle furtivement une certaine forme d’autisme, Jean Claude Brisseau dresse le portrait saisissant d’une France d’en bas en pleine détresse, marquée par une précarité illustrée par différents portraits de solitaires en recherche de repères.

Chaque personnage donnant de la voix dans De bruit et de fureur est en effet le témoin d’une solitude maladive, d’une incapacité à trouver sa place dans une communauté qui ne parvient plus à trouver l’harmonie. Une institutrice propulsée dans une classe agitée, un peu malgré elle, qui s’accroche à un élève pas comme les autres pour retrouver cette fibre passionnelle qui l’a conduite à choisir son métier, un jeune garçon dont l’esprit fertile joue le rôle de palliatif à l’absence de sa mère, son ami peu recommandable qui souffre de l’inintérêt que lui porte son père ou encore un grand père malade condamné à creuser de son poids un matelas inconfortable, tous cherchent chez l’autre un regard où se refléter, pour confirmer leur existence dans un monde qui les rejette.

Un propos difficile à équilibrer, qui peut vite devenir graveleux s’il n’est pas accompagné d’un certain contrepoint ; une nuance que Jean Claude Brisseau construit notamment au moyen de dialogues savamment pesés. Lorsque l’étau se resserre, que l’atmosphère se fait noire ébène, le cinéaste laisse la puissance d’une maxime apaiser l’urgence de la situation. Quand la mort s’invite avec fracas dans le cycle d’une vie laborieuse, elle est contrebalancée dans le même temps par une pensée philosophique positive qui permet de désamorcer le côté dramatique de chaque situation. Et surtout, entre deux larcins peu reluisants, Brisseau dédramatise également son portrait par quelques traits d’humour qui apportent à ses images un peu de légèreté, même s’il est bien souvent dans l’esprit abrupt du film : corrosif et revendicateur.

Il ne pourrait en être autrement d’ailleurs, puisque le leitmotiv de Brisseau ici est de filmer l’errance de ses personnages sans la rendre visuellement flatteuse, si ce n’est pendant les phases fantasmatiques du seul personnage qui est, ici, autorisé à rêver. C’est cette constante brutalité qui confère à De bruit et de fureur autant de puissance. Quand Brisseau filme le béton, il le met en boite tel qu’il le voit, à la fois inhospitalier et rassurant, échiquier impartial qui fait tomber 10 têtes pour en sauver une. Un parti pris qui repose essentiellement sur une direction d’acteur admirable, dont la précision s’exprime à travers les partitions étonnamment justes que délivrent les deux plus jeunes acteurs de la troupe, certainement inspirés par la belle énergie du terrible Bruno Cremer.

Les yeux humides, le cœur gros, on raccroche le casque épuisé par un final d’un désespoir absolu, sauvé de la plus totale dépression par une incartade littéraire profondément touchante. L’oiseau, symbole omniprésent de cette quête de liberté illusoire qu’entreprennent tous les personnages de cette envoûtante histoire, perd ses ailes et son libre arbitre ; un rêve de trop lui fait préférer l’ultime fuite qu’un percuteur rend possible au fantasme illusoire d’une vie potentiellement meilleure.

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Re: [oso] Ma prose malade en 2015

Messagepar Val » Mar 24 Fév 2015, 20:00

:super: Ce final...

Clairement ma plus belle découvertes de l'an passé.
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Re: [oso] Ma prose malade en 2015

Messagepar Jed_Trigado » Mar 24 Fév 2015, 20:09

J'avais trouvé ça complètement pété. :chut:
"Je mets les pieds où je veux Littlejohn et c'est souvent dans la gueule." Chuck Norris

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Re: [oso] Ma prose malade en 2015

Messagepar Val » Mar 24 Fév 2015, 20:19

:|
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Re: [oso] Ma prose malade en 2015

Messagepar osorojo » Mar 24 Fév 2015, 22:05

Val a écrit::super: Ce final...

Clairement ma plus belle découvertes de l'an passé.


Une belle propale qui est à mon sens la définition même que je me fais du challenge. Je ne serais jamais allé vers ce film de moi même et j'ai pris une belle taloche.

Jed_Trigado a écrit:J'avais trouvé ça complètement pété. :chut:


Quitte ou double, je pense, ce film.
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Foreign Duck, the Native Duck and God in a Coin Locker (The) - 8/10

Messagepar osorojo » Jeu 26 Fév 2015, 18:34


★★★★★★ ZE CHALLENGE DÉCOUVERTE ★★★★★


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•••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••
THE FOREIGN DUCK,
THE NATIVE DUCK AND
GOD IN A COIN LOCKER

Yoshihiro Nakamura | 2007 | 8/10
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Itinéraire chaotique d’un Bhoutanais en détresse

Yoshihiro Nakamura est particulièrement habile pour titrer ses films. Mystérieux, voir presque totalement abscons, The Foreign Duck, the Native Duck and God in a Coin Locker a de quoi émoustiller l’intérêt d’un spectateur qui s’intéresserait à son œuvre. Et si ce dernier a déjà été soufflé pour son talent à composer du feel good movie devant Fish Story —l’un des films japonais qui m’a le plus enthousiasmé ces dernières années— alors l’envie d’en découdre à nouveau se fait féroce.

Dès les premières minutes, la patte singulière de Nakamura prend sa pleine expression : des personnages d’un naturel saisissant, à l’écriture sans fausse note, envahissent l’écran et deviennent le point de départ très solide d’une intrigue qui se permet, avec aisance, de multiplier les angles d’attaque et les ruptures de ton. Rapidement la tendance se dessine, à savoir une histoire faussement compliquée dont il est impossible de démêler le vrai du faux tant que la main aux commandes n’a pas décidé de tout remettre dans le bon ordre. Une fable initiatique qui passe du rire aux larmes en un battement de cils, sans jamais verser dans un misérabilisme facile. C’est d’ailleurs ce qui se dégage de ce film et qui était déjà la marque de fabrique de Fish Story, cette facilité qu’a Nakamura à dépeindre ses semblables sans tomber dans la banale caricature. Alors qu’à leur première apparition à l’écran, ses personnages semblent très exagérés, ils font vite preuve d’une dimension plus complexe.

Cette sensibilité à jouer avec son époque et ses problématiques, qu’elles soient communes (le passage à l’âge adulte) ou plus ambitieuses (politiques même, quand il évoque les problèmes d’intégration des étrangers au Japon), ancre les films de Yoshihiro Nakamura dans une ambiance de conte de fée moderne, où la poudre magique aurait été remplacée par quelques miettes de pain appréciées avec gourmandise au petit déj’. Dans le cas présent, il signe une histoire, au prime abord, presque fantastique, qui se départit progressivement de son mystère pour faire état d’un drame touchant de simplicité, même s’il n’évite pas, à quelques occasions, certains choix narratifs un peu cavaliers —celui de la petite amie qui fait la grue, les bras écartés, devant une bagnole prête à bondir, étant le plus difficile à digérer— ainsi qu’un recours au flashback un peu didactique qui manque d’un soupçon d’idée.

Ces réserves mises à part, The Foreign Duck, the Native Duck and God in a Coin Locker est une jolie réussite. Et puis on y retrouve un autre trait caractéristique de Nakamura : une bande son entraînante y accompagne les tribulations des personnages. La voix de Bob Dylan, omniprésente, rappelle la forte sensibilité musicale d'un auteur qui joue ici avec un thème récurrent, dont les paroles font sens lors du final. Une conclusion sans esbroufe, nappée de poésie : Dieu est aveugle, les hommes peuvent enfin se laisser vivre.

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Dead or alive - 6/10

Messagepar osorojo » Sam 28 Fév 2015, 16:51

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•••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••
DEAD OR ALIVE

Takashi Miike | 1999 | 6/10
•••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••

The crying Sangoku

Se murmurer à mi-voix « Sérieux ? », les yeux exorbités, l’estomac partiellement chahuté par des images sorties d’un mon spirituel à part ? Bienvenue dans l’univers complètement autre du sieur Takashi Miike. L’homme est passé maître dans l’art de la provocation en abolissant les barrières généralement érigées par une morale bien pensante. Semblable à l’effet gros monstre bleu en deux temps de la fraîcheur Kisskool, une fois passée la répulsion qu’inspirent certaines idées, c’est un vrai sentiment de liberté artistique qui émane du travail de ce cinéaste hors norme, cela même si le film qui nous intéresse pour l’occasion s’avère être aussi enthousiasmant que dangereusement bancal.

En 5 minutes d’image, l’ambiance est posée, Dead or Alive ne sera pas un film comme les autres. Une introduction clipesque qui condense les bas-fonds d’une société vérolée par l’excès, c’est la manière qu’a choisi le trublion Miike pour chauffer son audience. Un moyen de hurler sa fougue indomptable qui promet un spectacle à venir complètement débridé. Mais rapidement, l’intérêt retombe, l’histoire patauge et la scène choc s’invite uniquement à la fête pour mettre mal à l’aise un spectateur placé en équilibre instable, sur un fil tendu à la va-vite, entre provocation gratuite et tentatives désespérées d’étoffer un script qui ennuie bien vite, à défaut de caractériser efficacement les deux protagonistes qu’il essaye de construire.
A l’image de cette vie de famille d’un inspecteur placé face à ses principes par une femme qui ne semble communiquer avec lui que pour lui demander de l’oseille, Dead or Alive patine pendant près d’une heure, avec en ligne de mire, la seule séquence qui rentabilise à elle seule la séance, à savoir sa fin énervée, tournée sous acide, sorte de mélange improbable entre un Fukasaku rural et un dragon ball z live du plus mauvais effet. Un final fascinant, qui file le sourire et rattrape, en partie, le peu d’intérêt que revêt finalement le film dans son ensemble.

Alors forcément, certaines séquences chocs de Dead or Alive sont si extrêmes qu’elles se gravent avec violence dans les esprits ; mais est-ce pour autant un gage de qualité ? Rien n’est moins sur. Il est évident que je vais me rappeler longtemps de cette partie de jambes en l’air canines complètement surréaliste, ou de cette baignade en eaux troubles bien dégueulasse, mais est-ce pour les bonnes raisons ? Si elles témoignent d’une évidente force de proposition, d’un caractère insoumis qui inspire beaucoup de respect, elles sont en tel décalage avec l’ambiance générale qu’en ressort une attitude racoleuse assez malvenue. C’est bien dommage, il y avait matière à proposer quelque chose de plus contenu, mais en l’état, Dead or Alive ne dépasse jamais le cadre de l’expérimentation trash un peu vaine.
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