[oso] Ma prose malade en 2016

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Re: [oso] Ma prose malade en 2016

Messagepar lvri » Lun 02 Mai 2016, 09:38

Ça fait un bail que ne veux le voir. Je l'ai acheté il y a peu, et maintenant, j'ai moins envie de le voir après avoir lu (en partie pour pas trop me spoiler) ta critique... :(
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Re: [oso] Ma prose malade en 2016

Messagepar osorojo » Lun 02 Mai 2016, 10:15

Mark Chopper a écrit:En tout cas c'est sympa de l'avoir viré du top avec ta critique.


Y en a qui vont m'en vouloir :chut:

lvri a écrit:Ça fait un bail que ne veux le voir. Je l'ai acheté il y a peu, et maintenant, j'ai moins envie de le voir après avoir lu (en partie pour pas trop me spoiler) ta critique... :(


Tente le, c'est très personnel comme avis. Beaucoup aiment davantage ce film que le reste de la filmo de Kubrick, moi c'est l'inverse, à toi de voir où tu te places :mrgreen:
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Re: [oso] Ma prose malade en 2016

Messagepar Scalp » Lun 02 Mai 2016, 12:03

Top 5 des films les plus chiants de la galaxie. Je préfèrerais me taper la chienne de Logan que revoir ce film.
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Re: [oso] Ma prose malade en 2016

Messagepar Mark Chopper » Lun 02 Mai 2016, 12:17

la chienne de Logan


C'est le surnom d'un membre du BoMcast ?
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Re: [oso] Ma prose malade en 2016

Messagepar logan » Lun 02 Mai 2016, 12:41

A toi de deviner lequel :chut:
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Convoyeurs attendent (Les) - 7,5/10

Messagepar osorojo » Jeu 05 Mai 2016, 12:06

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•••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••
LES CONVOYEURS ATTENDENT

Benoït Mariage | 1999 | 7.5/10
•••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••

« La théorie du malaise »


Pas évident de savoir s’il faut rire ou pleurer devant Les convoyeurs attendent tant s’y fait malmener un humour belge particulièrement croustillant au point de presque disparaître de l’image. Au bout d’une heure de bobine, la comédie s’est même complètement fait la malle.

Ne reste alors qu’une famille ravagée par un quotidien difficile qui essaye de joindre les deux bouts avec les idées farfelues du maître de maison, joué avec grandiloquence par Benoît Poelvoorde, délicieux salopard, comme il sait si bien l’être. D’une étroitesse d’esprit redoutable, il donne le tempo d’une comédie sociale particulièrement dramatique comme lui seul peut le faire, inspirant, par une tirade enlevée, un malaise révoltant, comme le rire, l’instant d’après, au moyen d’une grimace inspirée. Totalement investi, d’un naturel redoutable, il rappelle qu’il est le maître incontesté de cet humour pince-sans-rire bien particulier qui a fait, entre autre, la réputation de C’est arrivé près de chez vous, son fait d’arme le plus célèbre, auquel on pense forcément devant Les convoyeurs attendent.

Certains diront que les belges n’auront jamais été aussi bien représentés —ah les salauds ! :p — mais c’est la nature humaine dans toute sa splendeur qui est dépeinte ici. Comme Dino Risi pouvait le faire dans son fabuleux Les monstres, Benoît Mariage se plait à forcer les traits de ses personnages : au père tenace désespéré convaincu que ses rejetons ne sont nés que pour le satisfaire, il oppose un fiston bonne patte qui ne sait pas dire non, une mère passive qui ferme les yeux et surtout une petite fille devenue adulte bien trop tôt.

La réelle force de cette galerie de personnages bien corsés, c’est qu’une fois introduite, elle se fait le vecteur d’une critique sociale extrêmement corrosive. A l’image du faux happy end – deux jeunes adolescents qui n’ont aucun recul sur le monde s’apprêtent à transmettre le peu qu’ils savent à leur descendance–, la tendance n’est ni à l’ouverture aux autres, ni à l’envie de s’émanciper. Ce père aux œillères envahissantes, qui camoufle son manque d’assurance par une cruauté ordinaire, ne semble alors plus si improbable. Au contraire, il est le modèle légitime d’une génération qui se contente de reproduire le schéma de vie de ses aînés, sans se poser de question, avec plus ou moins de réussite.

Grisant.
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Pension complète - 3/10

Messagepar osorojo » Jeu 05 Mai 2016, 19:03

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•••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••
PENSION COMPLETE

Florent Emilio Siri | 2015 | 3/10
•••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••

« Siri, où es-tu ? »


Qui aurait pu prévoir qu’un jour Siri serait condamné à tourner en mode automatique, à remplir du vide en faisant la part belle à ce qui se fait certainement de pire dans la comédie à la française. Pension complète, c’est le Dubosc Show par excellence, un remake qui n’existe que pour permettre au comique de livrer sa partition, à savoir des punchline bas du front, relevées par sa voix stridente, sa prononciation caractéristique. Dès lors, comment un cinéaste peut laisser place à sa propre patte alors qu’il y a déjà une individualité si puissante à l’image. Et bien, il ne peut pas, tout simplement.

Si Siri avait su surprendre une grande partie de ceux qui avaient prédit un plantage à l’annonce du projet d’adaptation de la vie de Claude François –qui avait été emballé lorsque l’info était tombée ? Certainement pas moi…– en signant un film très marqué par sa fougue visuelle, il confirme malheureusement ici le scepticisme qui entourait Pension complète en réalisant une comédie plate, sans idées, qui fera peut-être rire les moins aigris.

Les autres trouveront Pension complète au mieux terriblement anecdotique, au pire lamentable. Tellement vide en tout cas qu’il n’est borné par aucune limite en matière de mauvais goût. Pour honorer la promesse comique faite par la présence de Tonton Franky sur l’affiche, tout est permis, de la présence d’une belle-soeurette alcoolisée H24 à l’imagination d’un pauvre sous-chef frustré qui déshabille du regard toutes les femmes qu’il croise.

Alors oui, quelques séquences rappellent les compétences techniques de Siri, mais dans l’ensemble Pension complète est complètement inhabité, terriblement quelconque et surtout sans aucun intérêt. Il y avait peut-être quelque chose à faire pour sauver le navire du naufrage, en faisant dévier le film de la farce potache à la comédie d’action —les 10 ans d’absence de Lanvin pouvaient nourrir une bonne trame d’espionnage, ou autre— mais non, il faudra se contenter d’un néant total niveau inspiration.

Bref, une grosse déception vu que je considère Siri comme l’un des réalisateurs français à suivre depuis son Nid de guêpes. Déception amplifiée par le visionnage des 4 premiers épisodes de Marseille, la série que lui a confiée Netflix, qui semblent confirmer la mauvaise passe que traverse le bonhomme. Espérons qu’il saura trouver à nouveau un projet qui lui permettra de s’exprimer, mais je commence à m’inquiéter.
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Re: [oso] Ma prose malade en 2016

Messagepar Mark Chopper » Jeu 05 Mai 2016, 19:46

Quelle journée de merde :mrgreen:
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Re: [oso] Ma prose malade en 2016

Messagepar osorojo » Jeu 05 Mai 2016, 20:10

J'ai fait mon rattrapage Siri, en bon fanboy, mais ouais, j'ai essuyé mes larmes :mrgreen:

Il me reste 4 épisodes de Marseille et je serai à jour ! :p
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Re: [oso] Ma prose malade en 2016

Messagepar Jed_Trigado » Jeu 05 Mai 2016, 20:12

T'as pas fini de bouffer de la merde, ça je te le dis. :chut:
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Re: [oso] Ma prose malade en 2016

Messagepar osorojo » Jeu 05 Mai 2016, 20:16

Marseille, c'est tellement naze que c'est divertissant. J'pense que la série se mate presque en mode nanard :eheh:

Pour ses prochains projets, on verra bien !
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Jeremiah Johnson - 8,5/10

Messagepar osorojo » Sam 07 Mai 2016, 13:14

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•••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••
JEREMIAH JOHNSON

Sidney Pollack | 1972 | 8.5/10
•••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••

« Pour quelques scalps de plus »


Les duels énervés dans la neige sont une valeur sûre. Quand le manteau immaculé d’une nature d’apparence paisible se souille d'un rouge vif, la violence qui l’a engendré gagne immédiatement en impact. En déchirant, par une violence sèche typiquement humaine, de grands espaces bercés par un silence de tombe, Pollack livre un récit prenant parce qu'il est entièrement focalisé sur son protagoniste.

Aucun réel contexte n'est posé ici sinon celui d’une fuite du monde dit civilisé pour un retour à la nature, et c’est très certainement ce qui fait de Jeremiah Johnson un portrait d’homme réussi et plus généralement un western intemporel. Ravissant encore les mirettes de ceux qui le découvrent plus de 40 ans après son façonnage, son cœur n’est qu’un message universel, qui n’est à aucun moment pollué par une quelconque revendication de son auteur.

La touche Milius certainement, qui préfère mettre en avant les tempéraments guerriers, les principes d’acier, plutôt que faire de son personnage le porteur d’un quelconque idéal de vie prônant un retour à la nature dans ce qu'il avoir de plus utopique. Honnêtement, qui, à la fin de Jeremiah Johnson, souhaiterait troquer ses confortables pantoufles pour les bottes trouées du pauvre Redford qui gagne son statut de légende en défendant sa peau sans relâche, arrachant à cette terre qu’il comptait apprivoiser une renaissance dans la douleur.

C’est à n’en pas douter cette adversité constante que rencontre le personnage qui insuffle à Jeremiah Johnson son souffle épique. En l’espace de quelques rencontres, d’embuscades vicieuses et d’un rythme parfaitement géré, Pollack livre un western stimulant, servi par un Robert Redford impérial, un morceau d’aventure aussi touchant qu’il est divertissant, qui se déguste comme un bon chocolat chaud après une corvée de bois en plein blizzard.

A la fois pudique —c’était casse figure de jouer la carte « famille » mais son traitement sans guimauve fait mouche—, radical lorsqu’il est question de construire le mythe et dépaysant, il ne manque à Jeremiah Johnson qu’un soupçon de percussion dans sa mise en scène, les duels qui prennent place dans la dernière partie du film notamment, manquent un peu d’envergure.

En l’état, il reste néanmoins un western atypique assurément à découvrir, un sacré morceau d’aventure que tous les amoureux des grands espaces et des personnages charismatiques se doivent d’avoir vu.
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Porte du Paradis (La) - 8/10

Messagepar osorojo » Sam 14 Mai 2016, 19:12

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•••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••
LA PORTE DU PARADIS

Michael Cimino | 1980 | 8/10
•••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••

« Dieu a paumé la clé »


Laissez-moi quelques secondes… le temps de déchausser mes bottes poussiéreuses, de poser sur la table basse mon révolver encore chaud et d’ôter de mon visage les restes sanguinolents de la dernière bataille et je pourrai peut-être coucher ici quelques mots à propos de La porte du paradis, une fresque sensationnelle dont l’immersion au sein d’une époque radicale n’aura sans doute jamais été aussi ambitieuse. Certainement la raison, d’ailleurs, du sort maudit qu’a été celui de ce film mal aimé, ultime témoignage d’une époque où le cinéma était presque tout puissant et ses acteurs majeurs, prêts à tous les sacrifices, pour toucher du doigt la quasi perfection en matière de reconstitution d’époque.

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Et c’est à la fois ce qui fait l’état de grâce que peut atteindre le film de Cimino et ce qui conditionne aussi ses petites faiblesses, à savoir l’abandon du potentiel porté par une histoire très dense au profit d’une prouesse formelle à couper le souffle. Cimino et son souci du détail, sa folle envie d’approcher visuellement au plus près l’histoire de son pays, sont aussi respectables qu’ils semblent parfois envahissants : les minutes sont longues en terre harvardienne, par exemple, alors que l’élite de la nation se fait une image idéalisée de l’impact qu’elle aura dans l’histoire de son pays.


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Mais à n’en pas douter, c’est la folle ambition formelle de son auteur qui a permis de hisser La porte du paradis dans les sphères de la perfection formelle. Au moyen d’une photographie exigeante, d’une caméra à l’agilité redoutable, qui donne l’impression de s’élever dans les airs, pareil à une montgolfière qui prend de la hauteur, Cimino pare son film d’ambiances d’époque que l’on sent documentées, en témoigne par exemple le passage où Kris Kristofferson donne de la voix dans une boutique prise d’assaut par d’impatients clients qui viennent se fournir en bibine, carabine et autres mauvaises combines. Il n’y a que la dernière bataille, follement ample mais un peu brouillonne, qui laisse un goût d’inachevé en bouche, pour le reste, La porte du paradis est un sacré morceau, une apologie visuelle des grands espaces américains qui force le respect, à plus d’un égard.


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Une telle abnégation pour générer du réalisme a cependant un prix. Et ce prix, ce sont à mon sens certains personnages qui le payent par une inexploitation de leur fort potentiel. Le trio de tête, mis à part, lequel perd follement la tête à courber les droites d’un triangle amoureux relativement subtil —à aucun moment leur histoire ne se perd en niaiserie, ce qui est assez admirable—, les autres personnages se contentent d’huiler les gonds rouillés d’une porte qui reste entrouverte. Et pourtant, quel défilé de sales ganaches se donne ici en spectacle, à l’image d’un John Hurt taquin qui promettait éloquence et roublardise et se perd dans une folie peu inspirée. Et puis, sous employer autant Jeff Bridges, c’est presque criminel !
Heureusement, pour les trois élus qui monopolisent les éclairages, la mélodie est toute autre, entre gestuelles sensibles et face à face touchants, même si Huppert peine un peu à se hisser au niveau de ses deux charismatiques prétendants. Et en aparté, puis-je me laisser aller à dire que je trouve ce choix de casting peu judicieux. La demoiselle a ses bon côtés, mais en femme fatale qui fait tourner la tête à deux apollons sur lesquels toutes les demoiselles se retournent, elle peine à faire illusion. Et quand elle sort la winchester, mutant en une Xena la guerrière providentielle, la crédibilité de son personnage se perd dans les limbes, c’est même presque gênant.


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Ces petits choix discutables n’ont toutefois pas émoussé l’enthousiasme qui m’a habité pendant plus de 3 heures. A quelques séquences près, la durée de la séance ne se fait jamais ressentir, bien au contraire. Et puis, la dernière demi-heure, malgré son chaos partiellement maîtrisé, est d’une énergie folle, contenue par une fin en apesanteur, d’un désespoir total. L’argent dicte peut-être sa loi —La porte du paradis est l’illustration ultra violente de ce qu’il peut rendre possible—, mais il ne peut construire le bonheur. Coupé du monde, celui qui le possède, sans jamais avoir réussi à trouver sa place dans une société qui lui avait pourtant donné les meilleures cartes à jouer, a perdu toute raison de faire battre son palpitant, sinon celle de le conduire vers ses derniers jours.

On quitte la séance le cœur lourd mais les mirettes rassasiées. Quelle époque mes amis!
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Re: [oso] Ma prose malade en 2016

Messagepar lvri » Sam 14 Mai 2016, 19:23

J'ai hâte de découvrir ce film ! Mais sa durée fait qu'il faut "réserver" sa soirée ! (Il dure plus longtemps que 3h non ?).
Belle critique en tout cas ! (Alegas va être content :wink: )
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Re: [oso] Ma prose malade en 2016

Messagepar osorojo » Sam 14 Mai 2016, 19:50

3h30 pour la director's cut. Ça faisait un moment que je repoussais la séance, j'me suis pas levé trop tard ce matin, et hop ! ;)
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