[Caducia] Mes critiques en 2016

Modérateur: Dunandan

Re: [Caducia] Mes critiques en 2016

Messagepar caducia » Mar 01 Nov 2016, 09:45

BILAN Octobre 2016
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FLOP





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Doctor Strange - 7/10

Messagepar caducia » Mar 01 Nov 2016, 22:06

Dr Strange

Réalisé par Scott Derrickson
Avec
Benedict Cumberbatch, Chiwetel Ejiofor, Tilda Swinton
Long-métrage : USA
Genre : comics
Durée : 01h55min
Année de production : 2016

7/10


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Synopsis

Doctor Strange suit l'histoire du Docteur Stephen Strange, talentueux neurochirurgien qui, après un tragique accident de voiture, doit mettre son égo de côté et apprendre les secrets d'un monde caché de mysticisme et de dimensions alternatives. Basé à New York, dans le quartier de Greenwich Village, Doctor Strange doit jouer les intermédiaires entre le monde réel et ce qui se trouve au-delà, en utilisant un vaste éventail d'aptitudes métaphysiques et d'artefacts pour protéger le Marvel Cinematic Universe

Critique

Encore un nième film de super-héros, on peut dire que ces derniers temps on frôle l'overdose mais comme ce genre de film à grand spectacle mérite un grand écran, on les découvre en général au cinéma. C'est donc avec peu d'entrain aux vues des premières photos promotionnelles d'un gout douteux que je suis aller voir le Docteur (même pas peur!).
Une bonne surprise car Dr Strange qui certes reprend les recettes d'un bon comics et la même structure narrative et va peu surprendre le public de ce point de vue là mais qui innove tout de même car mis à part la sorcière rouge, les Avengers ne sont pas magiciens et les films qu'on a pu voir dernièrement reposent plus sur des cascades en durs ou des scènes de destructions massives. Le film repose donc énormément sur la magie, les distorsions temporelles et spatiales permettant au Dr Strange de se démarquer de ses petits camarades, même s'il emprunte des éléments visuels déjà vus par ailleurs Matrix, Inception, l'apprenti sorcier...


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On pourra tout de même reprocher à cet opus Marvel un manque de fond avec une morale sans une once d'originalité et des réflexions métaphysiques de comptoir. Les studios prennent la peine de nous présenter longuement son héros arrogant au possible; le neurologue Stephen Strange aux doigts d'or qui est un génie dans son domaine, à l'ego démesuré à la recherche perpétuelle de réussite et d'honneurs. Le spectateur assiste à sa chute inexorable de ce personnage antipathique qui au final se repentir et subir une métamorphose psychologique et physique.
Impossible de ne pas penser au Batman Begins de Nolan et de ses pérégrinations spirituelles. Heureusement, la partie asiatique "entrainement" n'est pas trop plombante, ponctuée de rencontres, de pointes d'humour et a un rôle important dans la genèse du héros. L'homme imbus de lui-même doit tout reprendre à zéro. Contrairement aux avengers qui ont tous un caractère parfait (beau, honnête, intelligent mis à part Iron Man), Dr Strange gardera toujours sa volonté de perfection et de ne jamais échouer qui en fera sa force.



Puis, le film bascule dans une sorte de kaléidoscope géant où tout est possible (il faut se laisser emporter par les images et l'histoire) avec un voyage visuel incroyable: des décors mouvants, des immeubles qui se déforment, des passages d'un monde à l'autre, des changements gravitationnels (comme dans "arrival"). Le multivers (univers multiple) qui nous est livré offre une infinité d'action et le cinéaste Derrickson s'en donne à cœur joie. Mis à part une ou deux scènes d'un gout douteux (proche de l’esthétisme de Thor), des effets spéciaux qui décoiffent (vu le film en 2D) et l'originalité est au rendez-vous.
Bien sur, le fait de jouer avec le temps et l'espace provoque forcément des facilités de retournements de situations et de contradictions scénaristiques mais il faut savoir se laisser prendre au jeu.
Mads Mikkelsen incarne le bad guy; là aussi les images non retouchées de son maquillage pailleté faisait peur mais la post production a fait du bon boulot. Benedict Cumberbatch endosse un personnage de comics dans un but purement alimentaire mais est étonnement tout à fait crédible.

Dr Strange évoque bien entendu la dualité entre le bien et le mal, la signification de la vie mais aussi l'éternelle quête d'immortalité ou encore l'effet papillon. Rien de nouveau sous le soleil.

Malgré la faiblesse de certains dialogues éculés, on ne boude pas son plaisir devant le film avec un héros plus humain que d'habitude, un humour sous jascent et des références contemporaines (Sherlock) qui font exprès de détonner dans cet univers comics.
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Smoke - 6,75/10

Messagepar caducia » Jeu 10 Nov 2016, 23:01

Smoke

Réalisé par Wayne Wang
Avec
Benedict Harvey Keitel, William Hurt, Stockard Channing
Long-métrage : USA
Genre : drame
Durée : 01h50min
Année de production :1995

6.75/10



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Synopsis

Les destins d'un écrivain désespéré, d'un adolescent noir fabulateur et de l'ex-femme d'Auggie, photographe amateur et patron du café de Brooklyn où ils se croisent, vont se mêler, s'entremêler et basculer.

Critique

Film sans prétention qui avec peu de moyens visuels et même peu de moyens tout court offre un résultat honorable en narrant les destins croisés de gens simples issus de divers milieux et origines. Les portraits des personnages sont intéressants car ils ont tous un bon fond mais chacun possède quand même des défauts plus ou moins mineurs pour un effet empathique fort.
Un gros bonus pour les dialogues qui ne sont pas puissants mais justes avec surtout le magnifique récit tenu par Auggie (Harvey Keitel) à la fois tendre et poétique.


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Le script joue beaucoup sur les non-dits, les histoires de famille difficiles ou les relations amoureuses torturées mais Smoke est aussi une histoire de solidarité et d'entraide sans arrière pensées malsaines. Smoke joue la carte de l'intime, de la simplicité et tend à nous montrer que même si on n'est pas sorti de la cuisse de Jupiter, certains rencontres peuvent être décisives et redonner espoir en l'avenir.


La plaque tournante du film est un bureau de tabac à l’américaine tenu par Auggie où traînent les habitués et les gosses du quartier qui viennent de rincer l’œil sur les magazines "sympathiques". Un rendez-vous où les brèves de comptoir s'échangent furtivement ou bien des négociations peu catholiques afin de s'enrichir rapidement et se faire une place au soleil.
Une galerie de personnages modestes qui paraissent tout à fait crédibles à l'écran avec une jolie distribution (H Keitel, Forrest Whitaker, Ashley Judd...).
Critiques similaires
Film: Smoke
Note: 7,5/10
Auteur: Jed_Trigado

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Histoire de l'amour (L') - 8/10

Messagepar caducia » Sam 12 Nov 2016, 16:20

L’histoire de l'amour

Réalisé par Radu Mihaileanu
Avec
Derek Jacobi, Sophie Nélisse, Gemma Arterton
Long-métrage : USA
Genre : Drame, Romance, Fantastique
Durée : 02h14min
Année de production : 2016

8/10


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Synopsis

Il était une fois un garçon, Léo, qui aimait une fille, Alma. Il lui a promis de la faire rire toute sa vie. La Guerre les a séparés - Alma a fui à New York - mais Léo a survécu à tout pour la retrouver et tenir sa promesse. De nos jours, à Brooklyn, vit une adolescente pleine de passion, d’imagination et de fougue, elle s’appelle aussi Alma. De l’autre côté du pont, à Chinatown, Léo, devenu un vieux monsieur espiègle et drôle, vit avec le souvenir de « la femme la plus aimée au monde », le grand amour de sa vie. Rien ne semble lier Léo à la jeune Alma. Et pourtant… De la Pologne des années 30 à Central Park aujourd’hui, un voyage à travers le temps et les continents unira leurs destins.

Critique

Il ne faut pas fier au titre "L'histoire de l'amour" qui peut paraître prétentieux ou super cul-cul car justement le film de Radu Mihaileanu n'a rien de tout celà et est dans son ensemble assez subtil même si la passion demeure le fil conducteur universel du script.
Le rythme narratif est assez désordonné mélangeant des instants âpres de Pologne et la vie contemporaine New-yorkaise. Le film repose sur la rencontre des personnages des années après la guerre où les destins se sont séparés mais où leurs souvenirs communs les rendent inséparables, même si les belles promesses ne sont pas toujours tenues et les trahisons bien réelles. "L'histoire de l'amour" ne multiple pas les personnages inutilement, on suit une dizaine d'acteurs dont le destin est mêlé et que le hasard va ressembler pour le meilleur ou pour le pire.
Radu Mihaileanu apporte aussi une pointe de fantastique, si bien qu'entre les flash-blacks continuels, les séances oniriques, on a du mal à distinguer le réel et l'imaginaire ce qui permet d'amplifier son pouvoir romantique et de fantasmes.




Mihaileanu offre de nombreuses séquences bucoliques, un peu clichées où la sublime Gemma Arterton batifole avec ses amoureux, ne sachant lequel choisir. Chaque apparition est lumineuse, pourtant sa présence sera au final assez limitée à l'écran.
Ce sont sur les épaules de Derek Jacobi que repose le film et il nous livre une prestation dingue avec ce personnage âgé plutôt aigri (dans le genre Popek) qui râle tout la journée pour un rien à cause de son expérience du passé, de ses frustrations, du fait qu'on l'ait trompé alors que lui a toujours tenu ses promesses et est allé jusqu'au bout. Jacobi passe par presque tous les sentiments; tristesse, folie, drame, joie démesurée. Il forme avec Elliott Gould, un duo digne du Muppet show délectable.



Un film choral inspiré où l'équilibre entre espoir et désespoir est parfaitement dosé, un savant mélange de générations, d'époques et de sentiments qui en font une oeuvre profondément humaine.
Coté djeuns, il est toujours plaisant de retrouver Sophie Nélisse (la voleuse de livres, mean dreams), ado perturbée par la perte de son père et le sens de la vie.

Une orchestration touchant la perfection qui soulève des réflexions sur des thèmes universels qui traversent les époques de tous temps gachée par quelques moments de grandiloquences.
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Angel - 4/10

Messagepar caducia » Mar 15 Nov 2016, 00:18

Angel

Réalisé par François Ozon
Avec
Romola Garai, Lucy Russell, Michael Fassbender
Long-métrage : France
Genre : Romance
Durée : 02h14min
Année de production : 2007

4/10


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Synopsis

Angleterre, 1905. Angel Deverell, jeune écrivain prodige, connaît une ascension fulgurante et réalise ainsi le rêve de toute jeune fille : succès, gloire et amour. Mais n'est-ce pas trop pour une seule femme ?


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Critique

"Angel" est tout droit tiré d'un roman d'Elizabeth Taylor et hélas malgré quelques points positifs, le spectateur en ressort globalement déçu par cette histoire focalisée à 100% sur son héroïne. Le film se divise clairement en deux temps, une partie très joyeuse où le succès sourit à Angel qui enchaîne les succès puis une conclusion qui évoque la déchéance physique et morale de l'écrivaine. Ozon propose un film bien déséquilibré où le drame apparaît beaucoup trop tardivement, on ne retiendra donc que des scènes clichés où Angel vit dans un cocon qu'elle s'est forgée pour mieux se couper du monde dénommé "paradise"; un peu comme Michael Jackson et son Neverland, ami de Liz Taylor.

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Angel possède des hauts et des bas avec une reconstitution soignée au niveau des costumes et des décors anglais mais un vrai dégueulis visuel d'incrustations sur fond vert (on se demande comment ça a pu sortir tel quel!), digne d'un amateur qui fait ça dans son garage.

Globalement l’héroïne n'évolue quasiment pas tout au long du film, une fille modeste mythomane qui se met à écrire tous les mensonges et les histoires folles qu'elle raconte jusqu'à qu'un éditeur croit en elle et la publie. Angel vit dans son propre monde, balaye la réalité dès que la laideur pointe le bout de son nez (guerre, maladie, pauvreté) et se construit un passé, un présent, un futur sans se soucier de son entourage, ce qui va la mener à sa perte. Ce n'est que vers la fin du métrage qu'Angel prend un peu de recul sur elle-même et descend sur terre pour affronter la dure réalité mais il est trop tard. Ozon fixe sa caméra sur cette fille agaçante au possible, mijaurée, capricieuse, menteuse au dépend des relations avec son entourage ce qui donne une narration redondante et anesthésiante, malgré la bonne volonté de ses interprètes (Michael Fassbender ou encore Sam Neil en tête.).
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Re: [Caducia] Mes critiques en 2016

Messagepar caducia » Jeu 17 Nov 2016, 23:42

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Animaux fantastiques (Les) - 7,25/10

Messagepar caducia » Sam 19 Nov 2016, 20:52

Les Animaux Fantastiques

Réalisé par David Yates
Avec
Eddie Redmayne, Katherine Waterston, Dan Fogler
Long-métrage : USA, UK
Genre : Fantastique, Aventure
Durée : 02h13min
Année de production : 2016

7.25/10


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Synopsis

New York, 1926. Le monde des sorciers est en grand danger. Une force mystérieuse sème le chaos dans les rues de la ville : la communauté des sorciers risque désormais d'être à la merci des Fidèles de Salem, groupuscule fanatique des Non-Maj’ (version américaine du "Moldu") déterminé à les anéantir. Quant au redoutable sorcier Gellert Grindelwald, après avoir fait des ravages en Europe, il a disparu… et demeure introuvable.


Critique

Pas fan de la saga Harry Potter où j'ai toujours halluciné devant le fanatisme jusqu’au boutisme de certains, proche des passionnés de starwars ou de star trek.
L’astucieuse J.K. Rowling n'abandonne pas le filon de sorcellerie en nous proposant un préquel. Si on doit comparer cet épisode avec l'univers HP, je trouve l'univers des "animaux fantastiques" plus mur et plus sombre, mais globalement on ressent moins d'étoiles dans les yeux ou de surprises car malgré la bonne volonté qu'on arrive à ressentir.



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Dans HP, le spectateur se fondait aux héros enfantins et bien entendu avec un regard d'enfant on est largement plus émerveillé, les bêtises sont au rendez-vous donnant des moments de légèreté entre des plans plus dramatiques, un sentiment de complicité de petites canailles. Dans les animaux fantastiques, le ton ne varie presque pas, l'ambiance est donc constante avec un déferlement d'effets spéciaux et de chimères magiques mais la poésie est moins présente.
On ressent plus de réalisme, rien que dans les décors New-Yorkais des années 30 qui sont tout à fait crédibles, avec reconstitution minutieuse hallucinante.
Dans HP, la magie imprégnait même l'université, les gares, les maisons, les tableaux, ici rien de tout celà. L'ambiance citadine proposée n'est pas gaie et même très sombre avec une présence envahissante de la grisaille. La ville de New-York est surement l'une des plus filmée au monde, le film ne propose pas des plans mettant en scène des endroits emblématiques mais plutôt dans cadres neutres qui manque un peu d’âme.


Perso, je suis fan du bestiaire proposé avec une multiplicité d'animaux malicieux qui rendent un peu d'imprévisibilité au scénario car ils sont prêts à tous pour s'échapper, ne pas obéir à leur maître ou faire resurgir leurs instincts. Techniquement, on frôle la perfection (avec des références à d'autres bêtes ou monstres de ciné) mais le sentiment d’affection ou de complicité entre le héros et ses bêtes n'est pas assez perceptible selon moi.




Gros bémol sur le personnage secondaire Tina incarnée par Katherine Waterston qui ne dégage aucun charme, effacée, sans caractéristiques affirmées contrairement à sa sœur Queenie (Alison Sudol, aux faux airs de Rachel Weisz) qui est une méga caricature et en décalage complet avec le reste de l'intrigue mais qui illumine la pellicule à chaque apparition formant un couple extra avec Jacob (Dan Fogler) qui lui sera un peu le pendant de Ron pour la touche humoristique et maladroite.
Eddie Redmayne fait le job de façon correcte, mais le passé de Norbert est brièvement évoqué, de même que ses tendances sexuelles d'après les insinuations insistantes. Le héros principal manque clairement de fantaisie demeurant totalement prévisible ce qui donne un sentiment de redondance narrative forte.

Le film se clôture par la révélation du coté obscur qui permet un cliffhanger en béton pour les fans qui me désole personnellement.
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Re: [Caducia] Mes critiques en 2016

Messagepar Mr Jack » Sam 19 Nov 2016, 21:38

Ta note est généreuse pour ce que tu en dis :mrgreen:

Eddie Redmayne fait le job de façon correcte, mais le passé de Norbert est brièvement évoqué, de même que ses tendances sexuelles d'après les insinuations insistantes.


J'ai pas vu d'insinuations perso, y'en avait beaucoup plus entre Ezra Miller et Colin Farrell.
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Re: [Caducia] Mes critiques en 2016

Messagepar caducia » Sam 19 Nov 2016, 21:43

tu as au moins 2-3 répliques qui donnent des indices et une scène appuyée.
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Re: [Caducia] Mes critiques en 2016

Messagepar Mr Jack » Sam 19 Nov 2016, 22:07

Je veux bien que tu me dises parce que honnêtement j'ai du passer à côté :mrgreen:
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Re: [Caducia] Mes critiques en 2016

Messagepar caducia » Sam 19 Nov 2016, 22:20

- quand Graves se demande bien pourquoi Dumbledore n'a fait que des louanges à son sujet alors que Dragonneau s'est fait expulsé de Poudlard et était le seul à le defendre (sachant que Dumbledore est gay d'après les news qui sont sorties récemment). Et Dragonneau laisse dire et ne répond pas.

-quand Tina évoque l'amie d'enfance de Dragonneau et qu'il dit que les gens changent et qu'il a beaucoup évolué depuis et qu'il se barre super froid sans aucun geste affectueux envers elle (ni envers aucune femme pendant tout le film) alors que tout le monde attend le bisou !

après c'est juste mon interprétation. :wink:
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Re: [Caducia] Mes critiques en 2016

Messagepar Mr Jack » Sam 19 Nov 2016, 23:28

Pour Dumbledore j'ai vu ça sans arrière pensée, genre c'était juste le petit protégé, comme Harry Potter l'était (le sera).

Ouais je comprends mieux ton interprétation du coup, même si il se barre avec la larmichette quand même, pas super froid non plus :mrgreen:
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Re: [Caducia] Mes critiques en 2016

Messagepar logan » Sam 19 Nov 2016, 23:31

Angel c'est le seul Fassbender que je n'ai pas vu, on le voit beaucoup dedans?
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Re: [Caducia] Mes critiques en 2016

Messagepar Mr Jack » Sam 19 Nov 2016, 23:36

Je traduis : on voit son zguègue ?
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Re: [Caducia] Mes critiques en 2016

Messagepar logan » Sam 19 Nov 2016, 23:39

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