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Zombi 3 - 4/10

MessagePosté: Sam 03 Sep 2011, 00:30
par Kareem Said
Zombi 3
de Lucio Fulci
(massacré par Bruno Mattei)

[1988]


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Une arme biologique extrêment dangereuse est dérobé d'un centre de recherches, par un commando dont l'un des membres va commetre l'irréparable en libérant une substance qui va métamorphoser les humains en zombies, cette épidémie va se propager à une vitesse hallucinante.



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Une suite à L'Enfer des Zombies (Zombi 2) ? Ca a dû exciter en son temps les amateurs du genre, surtout avec Lucio Fulci aux commandes, ce même avant de voir le produit fini et malgré les échecs qu'a essuyé le cinéaste Transalpin après avoir conquis de nombreux spectateurs avec seulement quatre films à savoir : Zombi 2, Frayeurs, La Maison Près du Cimetière et L'Au-Delà. C'est vrai que voir Fulci reprendre la suite de l'un de ses plus grands succès ne pouvait qu'attiser la curiosité. Zombi 3 n'a pas été le rendez-vous espéré, le tant attendu retour du maître. Bâclé, monté à la vas-vite, Lucio fulci quitte l'entreprise - selon la légende - avant même de se donner le temps de mettre en boîte une heure de film et la dernière demi-heure est reprise dans la fouléé par Bruno Mattei.

Lucio Fulci ayant à l'époque de gros soucis de santé, n'a pu réellement se pencher sur ce film, l'empêchant pour le coup, d'acquérir de nouveau la sympathie de son public. En plus de ses contraintes dû à une santé défaillante, il voit le scénario du film remanié à l'arrache sans même que l'on lui demande son avis. Le cinéaste vert de colère, retourne ses talons et quitte le plateau définitivement. Il a eu raison malgré que ce film soit gâté, on devrait toujours aviser un réalisateur des changements scénaristiques. Bref, vous aurez compris que Zombi 3 n'a rien d'une oeuvre Fulcienne. On peut reconnaître les talents nanardesques de Bruno Mattei avec des scènes pathétiques que Lucio Fulci n'aurait jamais servi à ses fans, comme la fameuse scène de la tête sortant du réfrigérateur.
Sinon le film atteint un statut dit "culte" dans la longue liste des nanards du cinéma d'horreur. Toutefois certains passages sont intéressants à défaut d'être bien exploités, Zombi 3 a le mérite d'être l'un des fondateur de ce style morts-vivants adeptent de course rapide contrairement à tous les zombies vu à l'écran jusque là qui étaient bien plus lent et mou. Ici, ils pourraient concourir dans la catégorie des grands athlètes sportifs et tout ceci avant même de voir arriver sur nos écrans, quelques années plus tard, ce sens du rythme repris dans le film de Danny Boyle, 28 Jours Plus Tard.

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Ce qui a susciter l'intérêt des fans de Fulci en France malgré les gros défauts (pour être poli) du film, c'est l'arrivée inespérée d'un DVD zone 2 enrichi d'une version longue avec près de 8 minutes de films en plus intégrées au métrage même. Ce qui a tout pour séduire sur le papier, à la lecture de cette nouvelle, s'avère catastrophique à l'écran et nous sommes amené à préféré l'ancienne version VHS dans laquelle ne figure pas cette abérante introduction très mal foutue (çà c'est sûrement du Mattei, pour le coup !). Sinon parmi les scènes supplémentaires (toutes en VOSTF), certains plans gores sont rajoutés. Pour quiqoncque souhaitant découvrir ce film, vous voilà prévenu, il n'est pas spécialement recommandé sauf si vous voulez découvrir ce qu'est un joli nanard.
Personnellement malgré tout ce qu'on peut lui reprocher je lui accorde un petit 4/10 car à son époque il m'avait bien diverti et la nostalgie l'emporte.



4/10

Romanzo Criminale - 8/10

MessagePosté: Sam 03 Sep 2011, 10:36
par Kareem Said
Romanzo Criminale
de Michele Placido
[2005]



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Le Libanais vit à rome et monte une organisation de malfaiteurs et souhaite bien conquérir la ville au travers de divers trafics mais son parcours sera semé d'embuches.



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Jolie mise en scène, de bons acteurs, une bande son entraînante malgré un premier chapitre (le film est filmé sous forme de 3 chapitres) assez lent, pour ensuite prendre aux tripes et ne plus nous lâcher.
Un très bon film qui sort des sentiers battus d'un cinéma qui se veut, de nos jours, conventionnel. Le nouveau cinéma Italien redonne au polar toutes ses lettres de noblesse, loin des codes hollywoodiens qui ont trop souvent servi de modèle pour retirer toute forme d'originalité aux autres. C'est donc avec un magnifique plaisir que nous nous laissons prendre par ce magnifique film qui cache bien son jeu au travers d'une mise en scène toute simplette mais qui soudainement se réveille avec une intensité rare.
Voici un ténébreux hommage à ces polars des années 70 tout en revisitant de manière originale le genre. Tout est très subtil et l'acheminement ressemble au même destin croisé que le réalisateur brésilien Fernando Meirelles a su mettre en scène avec son chef d'oeuvre La Cité de Dieu avec une magie toute autre. Son regard sur l'Italie de la grande époque du crime s'associe parfaitement à une légère touche de romance avec une force indéniablement machiavélique, un tour de force remarquable où l'image ressemble non pas à une reconstitution mais à des images d'archives qui donne un côté encore plus réaliste au film, sans oublier une écriture quasiment parfaite et des rôles d'acteurs d'une étoffe exemplaire, quelle magnifique Anna Mouglalis, cette jolie actrice française aux origines grecques qui interprête une beauté italienne au physique effarant. Une petite demi heure de moins aurait propulsé Romanzo Criminale au rang de chef d'oeuvre et aurait laissé une empreinte indélébile. Un fim à ne pas rater surtout si vous êtes amateur de grands polars bien sombres à dimensions humaines.

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8/10

Re: [Kareem Said] Mes Critiques en 2011

MessagePosté: Sam 03 Sep 2011, 10:38
par Scalp
Bien sympa ce Romanzo, le nouveau film de Placido sort ce mois, en espérant qu'il soit bien distribué.

Brooklyn Rules - 5/10

MessagePosté: Mar 06 Sep 2011, 10:11
par Kareem Said
Brooklyn Rules
de Michael Corrente
[2007]



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Le destin semé d'embuches de trois amis d'enfance dans le milieu mafieux du Brooklyn des années 80 jusqu'à nos jours.


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Une petite histoire d'amitié entre Sleepers et Stand By Me avec une touche plus prononcée pour le dernier. Une sorte de Mob Movie dramatique avec une violence plus édulcorée que la plupart des films qui régient le genre. Un film captivant avec son petit jeu d'acteur très convaincant, Freddie Prinze Jr. et Alec Baldwin notammment, on s'attache aux personnages, les épreuves qu'ils parcourent et leur destin sont habilement mis en images, ce qui leur donne un humanisme intéressant.
Le scénario ne révèle rien de bien nouveau mais l'enterprise est assez juste. Mena Suvari apporte une touche de charme à l'ensemble pour offrir avec un joli naturel au film l'impact de sa sublime prestance. Vers la fin, l'issue de l'un des destins tragique porte un sacré coup au film avec une émotion assez forte qui freine légèrement le rythme que véhiculait un dynamisme jusque là passionnant, le metteur en scène n'amène pas les éléments adéquats pour éviter certains clichés.
Le Brooklyn des années 80 est plutôt bien retranscrit pour un travail respectueux. Brooklyn Rules est un petit film sans grande prétention qui n'est pas pour autant inoubliable mais la sincérité de l'ensemble nous fait passer un agréable moment. La bande son qui utilise un répertoire très 80's confère à l'oeuvre une touchante nostalgie qui colle à chaque plan. Avec une prévisibilité dans l'intrigue qui freine au final son impact, Brooklyn Rules reste un honnête film à découvrir. Une réalisation simplette mais efficace.

5/10

Bad Company (1994) - 7/10

MessagePosté: Mar 06 Sep 2011, 13:07
par Kareem Said
Bad Company
(Nature of the Beast)
de Victor Salva
[ 1994 ]



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Jack est en déplacement au fin fond du Nevada. Sur sa route, il croise le chemin de Adrian, un homme taciturne et menaçant, qui semble connaître l'un de ses plus intimes secrets. Jack va vivre un enfer, seul face à ce qui semble être le mal incarné.



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A ne pas confondre la traduction française du titre avec le film de Joel Schumacher sortit en 2002. Bien avant de réaliser Jeepers Creepers 1 et 2, Victor Salva a réalisé quelques films parmi lesquels ce recommandable téléfilm très bien fichu et prenant de bout en bout, une photographie très chaleureusement retranscrite à l'écran donne un côté moins téléfilm au projet, qui sort des sentiers battus maintes fois vu et revu dans d'autres productions réservées au passage télé. Les interprêtes donne le ton dès l'ouverture du film et cette qualité se maintient jusqu'au générique de fin. Par contre les dernières vingt minutes ne vont pas jusqu'au bout de nos attentes mais Victor Salva nous donne bien plus durant tout le métrage, nous lui pardonnons donc cet écart qui freine le mécanisme. Lance Henriksen et Eric Roberts sont balaises et très à l'aise dans leur rôle. Par moments on repense à Hitcher et Duel car Salva porte son attention et son savoir sur un suspense adroit et absorbant. Une petite série B bien recommandable qui renvoie certains films, exploitables en salles, au panier. Souvent trouvable dans les linéaires à 1 ou 2 euros.

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7/10

Re: [Kareem Said] Mes Critiques en 2011

MessagePosté: Mar 06 Sep 2011, 13:24
par Scalp
Tu le vends bien, je vais me le prendre ( y a la vO sur le dvd ? )

Re: [Kareem Said] Mes Critiques en 2011

MessagePosté: Mar 06 Sep 2011, 13:38
par Kareem Said
Non FR seulement mais le doublage passe.

C'est Beau une Ville la Nuit - 6,5/10

MessagePosté: Mar 06 Sep 2011, 13:45
par Kareem Said
C'est Beau une Ville la Nuit
de Richard Bohringer
[ 2006 ]



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Richard, un bluesman de Paris décide de partir avec ses musiciens et sa fille Romane dans un long voyage, une sorte de quête spirituelle, qui les mènera au coeur de l'Afrique.



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Une oeuvre autobiographique qui ose kidnapper le spectateur dans de frêles songes tantôt somptueux tantôt incompréhensibles...
Le culot de Richard va beaucoup plus loin qu'une simple critique de désaccord. Soit on y adhère soit on lâche prise mais le naturel revient au galop face à une interprétation simple et efficace. Il invite sa fille Romane, d'ailleurs qui d'autre aurait pu jouer le rôle de sa fille dans une oeuvre quasi fidèle à cette triste réalité, celle qui fût la révélation avec Les Nuits Fauves est excellente d'authenticité. Ce film est l'adaptation du premier livre du même nom écrit par Bohringer lui-même.
Sa joie de vivre et sa tristesse fortement palpables peuvent être glaçantes par moments surtout en réalisant qu'un acteur tel que lui n'obtient aucune reconnaissance dans le milieu restreint et formaté du cinéma Français. Filmé tel un documentaire, C'est Beau une Ville la Nuit est une oeuvre criante d'authenticité et de joie, jouée et réalisée avec le coeur gros comme çà. Pour l'apprécier comme il se doit il faut retirer tous ses vêtements - bien entendu c'est une image - donc oter tout ce qui pourrait vous renvoyer vers d'autres idées (sociales, culturelles ou encore religieuses) pour entrer dans cette poésie atypique signée Richard Bohringer.


6,5/10

True Romance - 10/10

MessagePosté: Mar 06 Sep 2011, 21:28
par Kareem Said
True Romance
de Tony Scott


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Le film sacrifié de Tarantino comme le souligne Roger Avary. Ils pensaient le tourner ensemble mais Hollywood en a fait autrement, ce True Romance est la vision de Tony Scott, ce n'est pas préjudiciable mais l'origine du projet était Tarantino à la réalisation, finalement il reste le scénariste de cette épatante story et le final sera moins dramatique qu'à l'origine mais le spectateur n'est pas ménagé pour autant. Un script affûté entre tendresse et violence, une vraie romance à la sauce Tarantino.
On y croit vraiment, c'est beau et dur à la fois, Clarence et Alabama un couple mythique comme Mickey et Mallory, quoi que pour ces premiers j'ai une nette préférence.
La mise en scène de Tony Scott est excellente, la photographie superbe et la bande originale envoûtante. Du lourd à tous les niveaux et on ne parle même pas du casting qui reste l'un des meilleurs du genre et l'un des plus réussis. Patricia Arquette démonte, elle n'a jamais été aussi sensuelle, elle nous tue littéralement. Quel plaisir de voir ou revoir ce pur bijou. Beaucoup de scènes dépotent comme celle entre Walken et Hopper, mémorable ou encore ma préférée dans le motel lorsque Patricia Arquette se retrouve nez à nez avec James Gandolfini, là c'est un vrai bonheur. Tony Soprano en pleine action, ce personnage marquera l'acteur à jamais. Son rôle dans True Romance est annonciateur de son potentiel mafiosi, quelle claque la scène entre Alabama et lui, un furieux moment que je préfère même au final qui est aussi très dantesque à la sauce John Woo.
True romance est de ces films que l'on peut revoir avec toujours le même entrain. Allez, je le lâche le 10 parce que j'ai bien kiffé de le revoir !

10/10

Re: [Kareem Said] Mes Critiques en 2011

MessagePosté: Mar 06 Sep 2011, 22:02
par zack_
Ca fait plaisir de te lire en tout cas! Film que j'ai jamais pris le temps de voir, a priori grave erreur!

Planque (La) - 6/10

MessagePosté: Mer 07 Sep 2011, 13:03
par Kareem Said
La Planque
d'Akim Isker
[2010]


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Kiko, Gilles et Pera braquent une banque et s’enfuient avec 45 millions d’euros répartis dans trois sacs Vuitton. En sortant, ils découvrent avec stupéfaction que Titi, le chauffeur du gang, et sa Fiat Panda ont disparu. Kiko, la tête pensante du trio cagoulé, ne trouve pas de meilleur refuge qu’un commissariat pour échapper à la police !


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La Planque est à la base un court métrage de 2008 qui se voit offrir les grandes portes des salles obscures, estampillé Europacorp, il réserve au spectateur un joli moment de détente, il ne plaira pas à tous c'est sûr comme le prouve les premières critiques spectateurs d'Allociné, qui sont tout de même louches. Des critiques de bourges comme ils le signalent.
Perso j'ai bien aimé et passé un agréable moment, le scénario de Jalil Naciri est suffisamment travaillé pour combler les meubles jusqu'à la dernière minute. Les dialogues sont extra, ils glissent bien. Le jeu des acteurs est assez bon malgré Gilles Bellomi et Guillaume Verdier moyens.
L'acteur principal qui est aussi le scénariste est excellent et porte bien le film, il a du potentiel. Samira Lachhab, échappée de la série Braquo, quant à elle est l'atout charme du film avec ses airs d'Elisa Tovati, elle est aussi bonne actrice. Toute la team se retrouve au sein d'une histoire prétexte à nombres de rebondissements. On rit franchement, son rythme est trépidant, le tout soigné par une bande originale Funk bien sélectionnée.
Il y a de la facilité parfois et de l'irréel mais on se laisse berner avec plaisir comme les gamins qui prennent d'assaut le commico, mention spéciale à la petite de Titi.
J'en attendais rien mais au final j'en suis sorti conquis malgré une conclusion vaseuse manquant de culot, préférant joué la carte de la bonne morale.


6/10

Reservoir Dogs - 8,25/10

MessagePosté: Dim 11 Sep 2011, 01:36
par Kareem Said
Reservoir Dogs
de Quentin Tarantino


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Dès l'introduction on est déjà dans l'univers Tarantino, une longue discussion autour de choses qui ne servent pas forcément le scénario mais cette discussion est excellente, on sent la passion du cinéma et de la culture pop au travers de tout cela. Cette intro dure 7 minutes juste avant le générique. Voilà la patte du cinéaste et encore là ce n'est que le début Jackie Brown sera l'apothéose du genre. Rarement le blabla au cinéma aura été aussi fort.
Reservoir Dogs réserve pas mal de surprises, à commencer par un whodunit qui ne prend personne pour un imbécile, d'ailleurs la révélation aura lieu bien avant la dernière partie. Les flashbacks sont pas mal, on suit le parcours de nos personnages avant leur rencontre et ce fameux braquage. La passion de Tarantino est palpable à l'écran et cet amour force le respect, pour un premier film il réussit un tour de force, à la fois un film de gangster moderne et de qualité. On peut le ranger du côté des perles telle que Scarface voir même le Parrain. Même si il ne partage qu'une infime ressemblance qui est celle du genre.
Voilà un très bon film que chaque cinéphile se doit de connaître, de plus sa bande originale dépote sévère. Petite parenthèse, à l'époque Michael Madsen avait une putain de sacrée gueule avec la jeunesse qui lui allait bien. Maintenant comme Ray Liotta il est pas mal bouffi.

8,25/10

Man on fire - 9/10

MessagePosté: Mar 13 Sep 2011, 09:06
par Kareem Said
Man on Fire
de Tony Scott
[2004]



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John Creasy, un garde du corps, se lie d'amitié avec la fillette dont il doit assurer la protection, mais celle-ci est kidnappée. Creasy décide donc de remonter à la source de la filière avec force et fracas.



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Man on Fire est une bombe qui nous éclate au visage au travers d'une violente montée aux enfers du personnage campé par un Denzel Washington au somment de sa forme. Mais la violence n'est pas ce qui caractérise au mieux le film, non car la psychologie des sentiments opère dans une première partie poignante et touchante où Creasy s'attache petit à petit à la jeune Pita. Le chemin qui lie Creasy à Pita est attachant et émouvant à la fois donc quand la tempète se déchaîne soudainement on est pris dans ce terrible tourbillon orchestré par un Tony Scott en très grande forme qui nous livre son oeuvre la plus travaillée et la plus saisissante de sa carrière. La photographie et le montage nerveux de la pellicule accouche d'un tableau où les démons côtoient les anges dans une symphonie qui atteint des sommets en nous achevant avec sa tonitruante bande originale, tantôt machiavélique et tantôt mélodieuse.
Côté casting et seconds couteaux de l'or en barre, d'abord la prestigieuse interprétation de Dakota Fanning et la participation de Mickey Rourke et Christopher Walken. Ce dernier résume d'ailleurs très bien les agissements en devenir de Creasy : "L'art de Creasy c'est la mort, et il s'apprête à peindre son ultime chef-d'oeuvre". Un très grand film car il est rare de vivre un tel moment de cinéma, qui allie parfaitement action, violence et émotion.
Pour la petite anecdote le film est un remake d'un film réalisé par le Français Elie Chouraqui en 1987 et son acteur principal est également appellé Creasy.


9/10



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Re: [Kareem Said] Mes Critiques en 2011

MessagePosté: Mar 13 Sep 2011, 09:10
par Heatmann
:love: :love:

Re: [Kareem Said] Mes Critiques en 2011

MessagePosté: Mar 13 Sep 2011, 13:17
par Scalp
Sans la note de Zack le film serait dans le top :mrgreen: