[Jack Spret] Mon dégueuli verbal en 2016

Modérateur: Dunandan

Re: [Jack Spret] Mon dégueuli verbal en 2016

Messagepar Jack Spret » Lun 18 Jan 2016, 16:03

Mark Chopper a écrit:
Jack Spret a écrit:sous-titre des gibons
:shock:


Oui, oui, tu as bien lu :mrgreen:
Meilleur moment du film cela dit !

Non mais quand je vois l'hallu sur les notes en bas (le 9/10 de Niko !), je veux l'adresse de son grossiste en marie-jeanne !


"- Ça vous dirait un petit échange dans la ruelle, derrière le bar ?
- Si c’est un échange de fluides corporels, je suis pas contre. Mais alors dans ce cas, tu passes devant."
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Re: [Jack Spret] Mon dégueuli verbal en 2016

Messagepar Mark Chopper » Lun 18 Jan 2016, 16:04

le 9/10 de Niko !


Gros passionné de cinéma asiatique, je remarque souvent les surnotages :chut:
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Re: [Jack Spret] Mon dégueuli verbal en 2016

Messagepar Jack Spret » Lun 18 Jan 2016, 16:09

Non mais moi j'aime bien le chocolat, c'est pas pour ça que si on me sodomisait avec du Nutella, j'apprécierais !


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Re: [Jack Spret] Mon dégueuli verbal en 2016

Messagepar Mark Chopper » Lun 18 Jan 2016, 16:10

Forcément, si tu veux rester dans ta zone de confort et refuse les nouvelles expériences :roll:

:mrgreen:
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Re: [Jack Spret] Mon dégueuli verbal en 2016

Messagepar osorojo » Lun 18 Jan 2016, 16:13

NOn fin bon, t'as le droit de pas aimer, voir de rejeter, sans prendre ceux qui ont aimé pour des abrutis non plus ;)

Je l'ai vu au ciné ce film, et j'avais apprécié la nouvelle expérience pour ma part :D Je lui mets 7.

Mais j'dois me toucher et mentir sur ce que j'en pense vraiment, probablement ^^
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Re: [Jack Spret] Mon dégueuli verbal en 2016

Messagepar Jack Spret » Lun 18 Jan 2016, 16:15

Je n'ai qu'une chose à te dire: revois-le :mrgreen:


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Re: [Jack Spret] Mon dégueuli verbal en 2016

Messagepar osorojo » Lun 18 Jan 2016, 16:17

S'il faut revoir tout ce qu'on a vu pour confirmer ce qu'on en a pensé, on est mal barré. Tu juges qu'on ne peut apprécier ce film, soit, pas grand chose à dire de plus pour le coup ^^
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Re: [Jack Spret] Mon dégueuli verbal en 2016

Messagepar Jack Spret » Lun 18 Jan 2016, 16:21

Au contraire, défends-le ! Trouve lui des points positifs !
7, c'est quand même une bonne note ! Et même si ton visionnage date de 2004 (si tu l'as vu l'année de sa sortie), alors je suis conscient que tu ais pu l'oublier, surtout qu'il s'agit davantage d'une œuvre expérimentale que d'un film à intrigue.
D'où mon "Revois-le" pour rafraichir ta mémoire parce que j'ai rarement vu aussi masturbatoire que cet exercice de style !


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Maison rouge (La) - 5,5/10

Messagepar Jack Spret » Mar 19 Jan 2016, 18:31

Image

"La maison rouge" de Delmer Daves - Etats-Unis - 1947 - DVD


1947 est l'année du doublon pour Delmer Daves car avant de livrer Les passagers de la nuit, sublime film noir à la mise en scène expérimentale, il va d'abord s'aventurer du côté du film de maison hantée avec La maison rouge. Avec un titre pareil et une intrigue délivrant la majorité de ses surprises dans le premier quart d'heure, difficile de cacher sa déception. Le film prend donc une dimension intéressante, celle d'un drame psychologique rural où des acteurs très investis vont se confronter. Cela peut paraître surjoué, la faute à une bande originale horrible, entre douceur guillerette et amour platonique, mais certaines répliques et personnages sont sans concession. Mais malgré un climax final attendu mais efficace, la toute dernière scène écœure au plus haut point et finit d'enterrer le film dans le ratage maladroit.

Techniquement, il est difficile de dire si le film est bon tant le son est atroce et l'image est sombre. L'histoire étant tombée dans le domaine public suite à une mauvaise procédure de copyright, des gens peu scrupuleux proposèrent donc des copies du film dans un état lamentable, ce qui explique le résultat final. Pourtant, on discerne quelques jolis effets de jeux d'ombre et de lumière, soulignant l'aspect fantomatique de certains personnages, que le Blu Ray américain doit corriger. Mais en ce qui concerne la qualité du bruitage, il faudra repasser car tout est inaudible et les quelques moments de frayeur tombent à plat. N'est pas Hitchcock qui veut !

5,5/10


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Agent secret (L') - 6/10

Messagepar Jack Spret » Mar 19 Jan 2016, 19:18

Image

"L'agent secret" de Christopher Hampton - Royaume-Uni/Etats-Unis - 1997 - DVD


Énième adaptation du roman de Joseph Conrad et remake dissimulé du film d'Alfred Hitchcock, L'agent secret de Christopher Hampton est plus fidèle que son prédécesseur au roman original, la femme d'Hitchcock ayant retouché l'histoire pour transformer le personnage principal en gérant de cinéma. SI le film ne se démarque pas par sa mise en scène (quoi que ponctuée d'un plan séquence introductif et final excellents), il est intéressant de part son scénario, d'une efficacité redoutable par sa simplicité, mêlant film politique et thriller. C'est simple, on dirait un scénario écrit par les frères Coen, avec son lot de péripéties improbables et de personnages pathétiques, losers magnifiques empêtrés dans des situations qui les dépassent.

Et avec un casting pareil, impossible de faire la fine bouche: Hoskins, Bale, Arquette, Depardieu, Williams ! Si certains ne font qu'une brève apparition, leurs personnages marquent au fer rouge l'intrigue par leur importance capitale dans l'avancée de cette dernière. Et l'optimisme naïf de certains contrastent avec le pessimisme autodestructeur d'autres, faisant jongler les acteurs entre différents états d'esprits contradictoires. Si ça n'est pas la meilleure histoire que Conrad ait pu écrire, elle reste intéressante par sa capacité à croquer un portrait noir et cynique d'une époque lointaine, dont les balbutiements résonnent encore aujourd'hui d'une manière inquiétante.

6/10


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Crimson Peak - 7/10

Messagepar Jack Spret » Mer 20 Jan 2016, 14:52

Image

"Crimson Peak" de Guillermo Del Toro - Etats-Unis - 2015 - Blu Ray


Il aura fallu attendre 9 ans et 12 ébauches de script afin que Guillermo Del Toro soit en mesure de livrer son hommage au cinéma fantastique, et plus particulièrement au cinéma gothique de la Hammer. A la vue du résultat final, il peut être déroutant de se rendre compte que la première heure introductive baigne dans le mielleux du romantisme baroque. De son propre aveu, le cinéaste dit s'être inspiré de la littérature anglaise typique de l'époque de l'intrigue comme Les Hauts de Hurlevent ou Jane Eyre. D'ailleurs, cette dernière avait été incarnée à l'écran par Mia Wasikowska, héroïne de Crimson Peak. La boucle étant bouclée, il fallait trouver d'autres acteurs susceptibles de coller aux personnages si typiques, et si Charlie Hunnam et Jessica Chastain sont des pièces rapportées des précédents projets du réalisateur, Tom Hiddleston bouffe littéralement l'écran, alors qu'il n'était à l'évidence pas le premier choix de Del Toro, lui ayant préféré Benedict Cumberbatch.

Les histoires de fantômes, le cinéaste mexicain connaît bien et en même le parangon du cinéma fantastique moderne. Et en choisissant des effets spéciaux en dur, il renoue avec la plus pure tradition du genre, épurant au maximum son intrigue pour que ses apparitions ne soient pas toujours justifiées mais créent l'impact désiré. Le seul regret est ce besoin constant de faire appel à une orchestration musicale lors de chacune de leur apparition, perdant ainsi cette faculté de nous faire dresser les cheveux sur la tête. La volonté de coller le plus possible à la réalité historique se voit de part l'implication des costumiers, des maquilleurs et des décorateurs. Véritable personnage à part entière, la maison vit et respire en fonction de ses occupants. Certaines ailes sont absolument époustouflantes de beauté alors que d'autres, délabrées, semblent avoir été abandonnées et occupées par les âmes errantes des défunts, où certaines rencontres vont parvenir à créer l'horreur chère à Del Toro. Comme si l'intérieur de la maison était un purgatoire dans lequel sont tiraillés les morts et les vivants. Intégralement construite pour le tournage du film, la réflexion de son architecture en amont a donc permis de s'offrir des couloirs aériens pour que la caméra semble virevolter comme un ectoplasme, capturant ainsi toute l'essence du lieu.

L'extérieur n'est pas en reste avec cette neige qui, d'un blanc immaculé, va virer au rouge sang au fur et à mesure que l'argile sera puisé dans ses sols. L'horreur graphique est donc bel et bien l'objectif final de Del Toro et le résultat est à la hauteur de nos espérances. Même ce final qui, bien que grotesque, réussit le pari de nous avoir emmener au fur et à mesure dans l'horreur la plus esthétique. Si Guillermo a rendu une copie bien moins supérieure que ce à quoi nous étions en droit de nous attendre, il n'en reste pas moins le meilleur héritier du genre, respectueux des codes et de l'identité visuelle d'un style ayant fait ses preuves.

7/10
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Legend (2015) - 6/10

Messagepar Jack Spret » Mer 27 Jan 2016, 09:44

Image

"Legend" de Brian Helgeland - Royaume-Uni/France - 2016 - en salles


A la suite d'une rencontre avec un type à la balafre impressionnante, Brian Helgeland décide de l'interroger sur sa provenance. C'est en entendant la mention du nom des jumeaux Kray que le déclic se fait dans son esprit. Adaptation très libre de la biographie "The Profession of Violence: The Rise and Fall of the Kray Twins" de John Pearson, le scénario prend forme autour de ces deux figures britanniques de légende, entre fraternité solide et violente dualité. Rencontrant au fur et à mesure les proches des Krays ainsi que certains associés encore en vie, le réalisateur/scénariste travaille sa fresque le plus minutieusement possible, cherchant à rendre à l'écran cette intensité qu'il ressent chez les deux ex-gangsters. S'il prend certaines libertés sur la forme (l'humour presque omniprésent, le personnage de la femme de Reggie,...), le fond semble sincère et très documenté.

Mais on ne peut s'empêcher d'être déçu par le résultat final. Si la bande annonce laissait présager d'un résultat honorable, le film est loin de satisfaire dans son intégralité. Bien que la première demie-heure soit un modèle en terme de caractérisation des personnages et d'écriture, le Brian réalisateur a déjà été plus inspiré en terme de mise en scène. Hormis un plan séquence certes basique mais ultra efficace lors de la découverte du club des deux frangins, on reste sur notre faim et la caméra se contente d'embrasser en split-screen la double prestation de Tom Hardy. Grimé de telle manière à ce qu'il puisse incarner les deux hommes, l'acteur semble plus investi dans la peau de Reginald que de Ronald, le côté psychotique du personnage ouvrant ainsi le fameux panel de mimiques et de bruits de gorge que l'on connaît à Hardy, révélant l'aspect comique du métrage qui désamorce alors chaque scène violente (y compris l'ultime scène d'une sauvagerie hors norme).

Même l'écriture s'essouffle sur la durée, Helgeland étant plus habile à travailler de la véritable fiction que du fait divers réaliste. Ce qu'il faut retenir, c'est une excellente utilisation de la musique, la composition de Carter Burwell passant complètement inaperçu. La multiplicité des décors londoniens ainsi que la fidélité aux accents des banlieues de l'East End sont également des points bénéfiques qui donnent de l'authenticité et de la profondeur au film, évitant ainsi de le faire entrer dans la case d'un Ritchie-like. Mais c'est bien faible quand on repense à Payback...

6/10
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Stanford Prison Experiment (The) - 7/10

Messagepar Jack Spret » Mer 27 Jan 2016, 11:09

Image

"The Stanford Prison Experiment" de Kyle Patrick Alvarez - Etats-Unis - 2015 - DVD


Il y a des expériences dont est sûrs du résultat avant même de la réaliser. C'est un peu le cas de celle de la prison fictive de Stanford, où une vingtaine de volontaires devinrent prisonniers ou matons à leur guise lors de la signature du contrat. Et dans cette certitude de ce que sera le résultat final naît une certaine forme de sadisme de la part des instigateurs de cette dernière. Comme si regarder de jeunes adultes se confronter, de manière sèche et parfois brutale, révélant ainsi la part d'animalité qui habite chaque homme (à défaut de faire l'expérience avec des femmes), leur fait plaisir. A l'image du professeur psychologue qui fait transparaître chez lui une certaine satisfaction devant sa caméra, retardant l'échéance de l'expérience à chaque montée de violence. Bien que baignés dans une jeunesse hippie et un rejet du gouvernement (on est en pleine sortie du Vietnam), les cobayes sont savamment choisi par leur propension à être martyrisés ou devenir bourreaux. Ces choix permettent ainsi d'accélérer le processus d'identification des sujets. Si on peut les voir déconner au tout début du premier jour, il suffit d'une première nuit de sévices psychologiques pour que le fossé se creuse entre les deux partis.

Ce qui est encore plus intéressant, c'est de constater à quel point l'expérience se fait également de l'autre côté de la caméra. Tous les intervenants extérieurs représente un microcosme aussi instructif que celui des sujets observés. Entre ceux qui abandonnent le navire en cours de route, jugeant la démarche trop étrange; ceux qui veulent s'en aller mais qui reviennent à chaque fois, comme mus par une attirance malsaine; ceux qui s'en vont juste avant la catastrophe et celui (car à la fin, le professeur est seul face à son étude, renvoyant ainsi au Dr Frankenstein devant sa créature) qui désamorce tout avant que ça dérape, les observer devient presque plus intéressant de voir comment se comportent les matons envers les prisonniers. Car leur comportement est dicté par avance car on leur a laissé les pleins pouvoirs quand aux moyens de faire régner l'ordre et l'autorité dans les cellules.

Côté cinématographique, c'est pas déplaisant, il y a du travail dans la retranscription de l'époque, les acteurs sont bons et le film s'ouvre sur une scène pré-générique excellente. Côté réalité historique, ça suit à la lettre la véritable expérience sans jamais mordre la ligne, ce qui en fait un film d'utilité publique mais trop sage, là où "Das Experiment" semble aller plus loin dans la folie humaine. Une curiosité cinématographique complément passé inaperçu en salles.

7/10


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Re: [Jack Spret] Mon dégueuli verbal en 2016

Messagepar Jed_Trigado » Mer 27 Jan 2016, 11:12

Ça a l'air pas mal ce truc, d'autant que j'adore l'Expérience.
"Je mets les pieds où je veux Littlejohn et c'est souvent dans la gueule." Chuck Norris

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Re: [Jack Spret] Mon dégueuli verbal en 2016

Messagepar Jack Spret » Mer 27 Jan 2016, 11:34

Comme je le dis dans ma critique, ça reste assez sage.
Mais y'a un gros travail sur le son et les couleurs. On est tout le temps dans une teinte de gris omniprésente qui montre qu'il n'y a aucun manichéisme.
Certain sujets incarnant les taulards montrent de vrais dispositions à être des criminels.


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