[Jack Spret] Mon dégueuli verbal en 2016

Modérateur: Dunandan

Re: [Jack Spret] Mon dégueuli verbal en 2016

Messagepar Val » Jeu 28 Jan 2016, 20:47

:shock:

Autant je peux comprendre que la forme d'un Miami Vice ou d'un Public Ennemies rebute (ça a été le cas pour moi au début) autant Blackhat est beaucoup plus "sage" sur les effets DV.
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Re: [Jack Spret] Mon dégueuli verbal en 2016

Messagepar Waylander » Jeu 28 Jan 2016, 20:49

Bah non je trouve pas du tout. Le plus propre c'est Public enemies de mémoire et j'avais fais des captures de Blackhat alors attention la caméra qui recadre et les plans dégueus de poussière (précédés d'un plan propre sur le même perso) sur l'écran....moi je peux pas ce genre de truc j'ai l'impression de voir un doc et ça me sort du film.
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Re: [Jack Spret] Mon dégueuli verbal en 2016

Messagepar Jed_Trigado » Jeu 28 Jan 2016, 20:52

Cherche pas Val, Mann ne filme ni des animaux, ni des arbres, forcément il est perdu.
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Re: [Jack Spret] Mon dégueuli verbal en 2016

Messagepar Waylander » Jeu 28 Jan 2016, 20:57

Ouais sauf que Mann il y au moins 4-5 films dans mon top.

J'en parlais ici

Bref, du bon Mann mais il a fait 10x mieux et 10x mieux réalisé. AHMA
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Re: [Jack Spret] Mon dégueuli verbal en 2016

Messagepar osorojo » Jeu 28 Jan 2016, 21:12

J'suis d'accord avec Way pour Hacker, je l'ai trouvé vraiment, mais alors vraiment, très moche par moment. J'me rappelle de la scène moisie où le frangin de j'sais plus qui se fait dézinguer (un truc du genre, une bagnole qui explose), c'est tout moisiiiiii. Et dès que la caméra s'affole, les cadres perdent le contrôle de manière générale.
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Jane got a gun - 5,5/10

Messagepar Jack Spret » Ven 29 Jan 2016, 16:47

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"Jane Got a Gun" de Gavin O'Connor - Etats-Unis - 2016 - en salles


Il est important d'aller soutenir en salles ces films qui subissent un development hell à tous les niveaux. Entre les changements incessants des acteurs incarnant les premiers rôles, la folie destructrice de la réalisatrice attitrée au projet et les reports multiples de la sortie en salles (depuis 2013), Jane Got a Gun a bien failli ne jamais voir le jour au cinéma. Et pourtant, il comporte plusieurs caractéristiques qui font de lui un challenger intéressant: casting de luxe, scénario tiré de la Black List, budget conséquent. Mais ça n'en fait pas un excellent film pour autant. Si la note d'intention de coller aux westerns de Sergio Leone pour leur aspect crasseux, aride et violent est louable, on en est très loin, la faute à un personnage de femme pas si dure à cuire que ça. Car c'est tout de même ce qu'on est venu chercher à la base, une sorte de revival de Calamity Jane, qui userait autant de ses colts que de ses mots.

Si O'Connor gratifie son film de quelques explosions de brutalité très graphiques (le siège de la maison est énorme !), on a tendance à rester sur notre faim tant il y avait à faire autour de ce gang sans foi ni loi. A côté de ça, on se retrouve avec des discussions longues et platoniques au lieu de faire usage d'une économie de mots que le jeu des regards aurait pu épancher. Natalie Portman tire son épingle du jeu dans un rôle à contre-emploi total. Quelques fausses notes éparses viennent toutefois entacher sa prestation, dissimulées tant bien que mal par la présence et le charisme de Joel Edgerton. Ewan McGregor, quand à lui, est impeccable de justesse et machiavélique en diable. Remake dissimulé d'Un colt pour trois salopards, Jane Got a Gun ravira tout de même les aficionados de poussière et de sang, pour qui les Etats-Unis ont bâti les fondations de leur puissance sur des monticules de cadavres.

5,5/10
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Re: Nos futurs - 7/10

Messagepar Hannibal » Ven 29 Jan 2016, 16:59

Jack Spret a écrit:Remake dissimulé d'Un colt pour trois salopards


:eheh:
y'a pas à dire, les titres de films, c'est plus ce que c'était!
Mark Chopper a écrit:La mode des années 2010 consiste à faire des suites de merde qui permettent de réévaluer des purges.
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Re: [Jack Spret] Mon dégueuli verbal en 2016

Messagepar Milkshake » Ven 29 Jan 2016, 17:56

Oui tous les retours sur le film sont pas fameux c'est vrai que le scénario de base de Brian Duffield était juste sympa sans plus comme pour The Keeping Room autre western au féminin il suffit pas de transformer les perso principaux du genre en perso féminin juste pour en faire un bon film. Au final on se retrouve avec un film ultra basique qui n'a presque que cet argument pour tenir 1h30.

Surtout que c'est beaucoup moins original que les autres scénar de Brian Duffield dont un qu'il va diriger en tant que réal sous peu. Gros potentiel à suivre.


Entre temps Joel Edgerton et son pote de Warrior ont retouché l'histoire et puis il y a eu ces gros problèmes de production et la boite de prod qui fait faillite avant la sortie du film... Gavin O'Connor mérite pas ça c'est un bon réal :cry:

Par contre j'avais pas du tout fait le rapprochement avec Un colt pour trois salopards, c'est beaucoup plus comique de mémoire dans le ton celui là.
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Re: [Jack Spret] Mon dégueuli verbal en 2016

Messagepar Jack Spret » Ven 29 Jan 2016, 18:56

Milkshake a écrit:Par contre j'avais pas du tout fait le rapprochement avec Un colt pour trois salopards, c'est beaucoup plus comique de mémoire dans le ton celui là.


Le pitch des deux est sensiblement le même, à quelques variations près.


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Re: [Jack Spret] Mon dégueuli verbal en 2016

Messagepar Mr Jack » Ven 29 Jan 2016, 21:14

Waylander a écrit:Le plus propre c'est Public enemies de mémoire


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Justicier de Shanghai (Le) - 7,5/10

Messagepar Jack Spret » Sam 30 Jan 2016, 09:44

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"Le justicier de Shanghai" de Chang Cheh & Pao Hsueh-li - Hong-Kong - 1972 - DVD


Afin de concurrencer la Golden Harvest et son étoile montante, la Shaw Brothers met sur pied un film reprenant les codes de son rival: un artiste martial réputé doublé d'un acteur, une toile de fond mafieuse et un racisme de la campagne par les riches de la côte. En choisissant de faire un remake du film de Zhang Shichuan tourné en 1927, Chang Cheh voit juste: cette histoire d'un jeune homme ambitieux au kung fu impressionnant tout droit venu de la plus peuplée des provinces chinoises fait écho au fait que la société des frères Shaw vient de trouver la perle rare parmi le surnombre. Celui qui sera capable de faire face au succès grandissant de Bruce Lee. Si le côté martial du jeune acteur est incontestable, on ne peut malheureusement pas en dire autant de son jeu, Chen Kuan-tai ne faisant pas le poids face à un acteur tel que David Chiang. Et de ce point de vue là, nul doute qu'il ressemble fort à Bruce Lee (en plus de partager le même doubleur en mandarin).

SI on retient uniquement le nom de Chang Cheh, c'est parce qu'il était pleinement investi dans ce tournage. Mais il n'aura fallu qu'un mois de tournage, contre deux en temps normal, pour clôturer le tournage (d'où les 7 films réalisés en 1972 contre 6 prévus), partageant les prises de vue avec Pao Hsueh-li à cause d'un planning très serré, l'obligeant à filmer deux longs métrages en même temps (il tournera les scènes de nuit remplaçant au pied levé son collègue). A ses côtés, John Woo officiera en tant qu'assistant réalisateur et nul doute qu'il retiendra énormément des leçons apprises sur le terrain. Notamment sur le combat final (les fusillades destructrices de Woo résonnent toutes de cette scène) qui aura nécessité 10 jours pleins pour être mis en boîte. Une performance aussi bien martiale que chorégraphique, Liu Chia-liang et d'autres comparses mettant en oeuvre tout leur talent dans la composition des combats.

Du point de vue de l'histoire, on a l'impression de se retrouver devant Scarface à la sauce chinoise. Mais plus qu'un rise & fall classique, on assiste là à une explosion des valeurs traditionnelles, bafoués par l'apparitions de gangs peu scrupuleux, sans aucune connaissance du kung fu, s'armant de haches et de pistolets (dont on entend le nom mais qu'on ne voit jamais) plutôt que de courage pour arriver à leurs fins. Le personnage de Ma apparaît donc comme un intrus dans cette société hiérarchisée avant de devenir le symbole d'une résistance à l'oppresseur (il ne rackette pas les pauvres et l'argent n'est pas son objectif), cherchant avant tout la reconnaissance de ses pairs plutôt que la fortune et la gloire. En cela, la fin est tonitruante car en se transformant en martyre, il espère faire résonner son nom longtemps dans les rues de la ville. Le justicier de Shanghai est donc tout sauf un film de kung fu classique, cachant en son sein une véritable petite bombe sociale, se posant également comme l'un des fleurons du genre.

7,5/10
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Re: [Jack Spret] Mon dégueuli verbal en 2016

Messagepar pabelbaba » Sam 30 Jan 2016, 09:49

Mouaif... Il est un peu longuet quand même. Et pis un peu chiant aussi. Avec un héros aux contours mal définis, bandit au grand coeur, mis pas super malin, comme Jackie dans Shinjuku Incident.
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Sinon, oui, j'aime les nibards. :chut:
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Re: [Jack Spret] Mon dégueuli verbal en 2016

Messagepar Jed_Trigado » Sam 30 Jan 2016, 09:53

Un de mes SB préferés. :super:

Si Chang Cheh a pu tourner autant de films a cette époque, c'est qu'il déléguait énormément la mise en scène a ses assistants (essentiellement sur les séquences dialoguées pour se garder les scènes d'action sous le coude), c’était dans la logique de formation interne du studio où finalement tous les postes artistiques s'apprenait sur place.

D'ailleurs, dans le livret du dvd, Woo confirme que c'est davantage le film de Pao Hsueh-Li que celui de Chang Cheh.
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Carol - 7/10

Messagepar Jack Spret » Dim 31 Jan 2016, 15:47

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"Carol" de Todd Haynes - Royaume-Uni/Etats-Unis - 2016 - en salles


A l'heure où des films comme La vie d'Adèle ou Love résonnent très fortement dans les festivals et bénéficient d'une aura médiatique importante, aidés en cela par l'actualité brûlante, cela semble difficile de se démarquer lorsque l'on emprunte la voie de la discrétion pour traiter d'un sujet tel que l'homosexualité. D'autant plus quand l'époque dépeinte représente la quintessence du conservatisme américain, cet après-guerre où les Etats-Unis, peu friands du changement, recherchent de nouveau à briller mondialement en offrant une image sans faille. Et sur un continent aussi puritain que celui-ci, l'amour entre deux personnes de même sexe y est considéré, sinon comme une tare, au moins comme un affront à vouloir rentrer dans le rang. Adapté d'un roman de Patricia Highsmith publié en 1952, Carol cherche avant tout à pointer du doigt le besoin de liberté qui émane de ces femmes enfermés dans les carcans bien trop étroits du modèle familial américain. C'est sur un couple fébrile que se pose donc les fondations du roman, au ton aussi mélancolique qu'optimiste.

En suivant ce couple, illégitime dans sa relation et ses choix sexuels, Highsmith questionne son lecteur sur sa capacité à entrevoir plusieurs formes de libertés plutôt qu'une seule. A de nombreuses reprises, des répliques sur l'accomplissement de soi, la quête identitaire, reviennent sur le tapis, comme autant de portes à franchir pour se trouver soi même. Le tout est brillamment mis en scène par Todd Haynes qui, par sa sensibilité et son point de vue personnel (ce dernier étant lui même homosexuel), apporte une touche aussi romanesque que réaliste sur la condition de la femme dans les années 50. Femme qui se retrouve également dans le choix de la pellicule, le cinéaste rendant ainsi hommage aux travail des photographes féminins de l'époque, s'inspirant de Vivian Maier pour les clichés de Carol pris par Thérèse, alors que le choix s'optait davantage sur le travail de Saul Letter, homme photographe qui articulait ses clichés autour de scènes de la vie courante prises sur le vif. Une manière de signaler que le personnage de Thérèse suit sa propre voie et la trouve, le déclic se faisant au détour d'une scène d'amour d'une tendresse incroyable.

Cette scène n'a pu naître qu'en instaurant un climat de confiance sur le plateau entre les deux actrices, permettant ainsi cette complicité et cette proximité des corps. La composition de Carter Burwell termine de souligner la pureté des sentiments des deux femmes, le thème principal étant un petit bijou d'épure tout en évoquant très habilement la palette d'émotions se dégageant de leurs actes. Les points négatifs ne sont pas légion mais nuisent globalement au film, que ça soit la prestation balourde de Kyle Chandler ou la durée à rallonge. Mais en l'état, Carol reste un beau film qui n'a pas volé ses multiples nominations aux Golden Globes.

7/10
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La Isla Mínima - 5,5/10

Messagepar Jack Spret » Mer 03 Fév 2016, 16:19

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"La Isla Mínima" d'Alberto Rodríguez - Espagne - 2015 - DVD


Des jeunes femmes mutilées, violées et laissées pour mortes dans des marais. Deux flics que tout oppose mènent l'enquête, révélant un complot bien plus étendu que prévu. Non, nous ne sommes pas devant l'adaptation hispanique de la première saison de True Detective. D'ailleurs, le thriller de Rodriguez a été mis en boîte avant la série. Mais les faits se ressemblent et la manière d'arriver aux termes de l'enquête également. Si la mise en scène est moins ingénieuse que chez Cary Fukunaga, le travail sur la photographie est indéniable, saturant la luminosité pour atteindre des teintes pastels et une image un peu usée, à l'image de ces deux protagonistes qui ne sont que des faire-valoirs d'une justice déjà expédiée avant même l'ouverture de l'enquête. Dans la tentative maladroite de l'Espagne d'intégrer la démocratie dans les années 80, le réalisateur préfère se consacrer aux relents de la dictature passée et de la violence qui en a découlé. Ces deux visions du pays sont personnifiés par les inspecteurs, l'un jeune et représentant l'espoir, l'autre ancien combattant franquiste intégrant toute la rage et la haine, cherchant un exutoire de ses péchés dans la traque de criminels.

Bien qu'il ait été porté aux nues dans les différents festivals où il a été programmé, le film ne révolutionne pas grand chose. Si ce n'est cette volonté toujours plus présente qu'ont les Espagnols d'inscrire leur cinéma dans une ligne directrice très hollywoodienne. Mais côté scénario, on est sur des rails qui, malgré le final un peu subversif et pessimiste, ne se limitent qu'à de simples courbes ne représentant jamais un danger qui pourrait faire dérailler l'enquête. Le côté politico-social qui sert de toile de fond aurait mérité d'avoir une place plus importante, la démocratisation de l'Espagne étant un sujet brûlant et trop peu exploité dans le cinéma ibérique qui nous est proposé en France. Il faudra se contenter d'un thriller de facture classique, un peu mou mais qui tente tout de même de soulever quelques lièvres, même si cela est fait bien trop gentiment.

5,5/10
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