Burning : 5.5/10 Va falloir qu'il apprenne à couper au montage, c'est loin d'être mauvais mais qu'est-ce que je me suis ennuyé -_- La dernière demi-heure est quand même bien idiote par contre, ou comment rétamer en quelques choix d'écriture ridicules tout le magnétisme du personnage le plus intéressant de l'intrigue.
Le tueur qui garde des totems dans sa salle de bain, qui garde le chat de son dernier forfait, on croit rêver.
"Our films were never intended for a passive audience. There are enough of those kinds of films being made. We wanted our audience to have to work, to have to think, to have to actually participate in order to enjoy them."
L'intention est louable mais la conception est très maladroite. Presque tout pue le fake, et l'histoire est vue et revue. Pourtant on ne s'emmerde pas trop, étrangement, et Gollum et l'actrice de Walking Dead relèvent un peu le niveau.
Ça me fait penser : Scalp et Oso vous avez oublié de le noter ici celui là.
"Our films were never intended for a passive audience. There are enough of those kinds of films being made. We wanted our audience to have to work, to have to think, to have to actually participate in order to enjoy them."