Pourtant j'ai acheté le DVD en mars 2011.

Modérateur: Dunandan






 Surtout, vu son casting, j'ai sagement attendu une sortie physique en France pour le découvrir.
 Surtout, vu son casting, j'ai sagement attendu une sortie physique en France pour le découvrir.  Mais aussi très sérieux, avec un discours révolutionnaire réfléchi, agissant avec calcul et pas du tout à l'instinct. Par conséquent son face à face avec Welles (qui assure en gros connard mexicain
 Mais aussi très sérieux, avec un discours révolutionnaire réfléchi, agissant avec calcul et pas du tout à l'instinct. Par conséquent son face à face avec Welles (qui assure en gros connard mexicain  ) est un peu fade. Sans parler de la présence du perso du docteur anglais, incarné par John Steiner sans charisme, qui apporte le quota "gringo" au film, dont il est un passage obligé du genre, mais qui affadit l'histoire plus qu'elle ne sert de moteur. En effet, généralement dans ce style de film, le révolutionnaire et le gringo ont des vues opposées et leurs intentions changent au contact de l'autre. Mais ici c'est trop light, pas assez appuyé et ça donne lieu à des flashbacks pas bien passionnants. Finalement, ce sont deux personnages en retrait (le père et le gamin) qui apporteront un peu de fraîcheur à l'histoire.
 ) est un peu fade. Sans parler de la présence du perso du docteur anglais, incarné par John Steiner sans charisme, qui apporte le quota "gringo" au film, dont il est un passage obligé du genre, mais qui affadit l'histoire plus qu'elle ne sert de moteur. En effet, généralement dans ce style de film, le révolutionnaire et le gringo ont des vues opposées et leurs intentions changent au contact de l'autre. Mais ici c'est trop light, pas assez appuyé et ça donne lieu à des flashbacks pas bien passionnants. Finalement, ce sont deux personnages en retrait (le père et le gamin) qui apporteront un peu de fraîcheur à l'histoire.




 Les années ont passé et je l'ai enfin recommencé à zéro.
 Les années ont passé et je l'ai enfin recommencé à zéro. 
   
  ), des petits gunfights et de la tatane à intervalle régulier. Ca permet de ne pas voir le temps passer, d'autant que lorsque le climat se calme, Biao fait son Visiteur et arrive à être drôle, voire touchant quand il tombe amoureux malgré tout de Maggie Cheung.
 ), des petits gunfights et de la tatane à intervalle régulier. Ca permet de ne pas voir le temps passer, d'autant que lorsque le climat se calme, Biao fait son Visiteur et arrive à être drôle, voire touchant quand il tombe amoureux malgré tout de Maggie Cheung.| Film: Guerriers du temps (Les) Note: 6/10 Auteur: Scalp | Film: Guerriers du temps (Les) Note: 6,5/10 Auteur: Thom1979 | 





 
  
  ) et le retour vers son passé donne lieu à un tas de saynètes funs et nostagliques plutôt bien vues. Notamment toutes les rencontres avec ses anciens camarades de promo, qui sonnent plutôt vraies et occasionnent quelques gags, voire un peu de mélancolie aussi. Du coup ça fait bien passer la romance légèrement abusée.
 ) et le retour vers son passé donne lieu à un tas de saynètes funs et nostagliques plutôt bien vues. Notamment toutes les rencontres avec ses anciens camarades de promo, qui sonnent plutôt vraies et occasionnent quelques gags, voire un peu de mélancolie aussi. Du coup ça fait bien passer la romance légèrement abusée.




 
  A côté de cela, les histoires ont des constructions un peu identiques, comme dans tout whodunit, avec une présentation assez longue et qui m'a plu, le ridicule des persos de Bautista et Kate Hudson suffisant à détendre l'atmosphère. Ensuite le script arrive à suffisamment détourner l'attention pour qu'on ne puisse pas détecter le principal twist. D'ailleurs il est assez cool, permet de placer quelques trucs un peu funs, notamment avec le caméo de Hugh Grant, cependant s'il impossible de l'envisager, le flashback qui l'explique est ultra-pantouflard. Nous remontrer les scènes déjà vues avec ce qui manque dans le cadre, c'est pas Le 6ème Sens! D'autant que si l'effet a marché sur moi sur le moment, à la réflexion, un truc  cloche toujours :
 A côté de cela, les histoires ont des constructions un peu identiques, comme dans tout whodunit, avec une présentation assez longue et qui m'a plu, le ridicule des persos de Bautista et Kate Hudson suffisant à détendre l'atmosphère. Ensuite le script arrive à suffisamment détourner l'attention pour qu'on ne puisse pas détecter le principal twist. D'ailleurs il est assez cool, permet de placer quelques trucs un peu funs, notamment avec le caméo de Hugh Grant, cependant s'il impossible de l'envisager, le flashback qui l'explique est ultra-pantouflard. Nous remontrer les scènes déjà vues avec ce qui manque dans le cadre, c'est pas Le 6ème Sens! D'autant que si l'effet a marché sur moi sur le moment, à la réflexion, un truc  cloche toujours : 
 












 Côté écriture, ça paraît simple, mais ça fonctionne. Des persos tout ce qu'il y a de plus normaux avec quelques weirdos (seuls le pédopsy et le cuisto sont un brin abusés), des runnings gags, des amourettes, des bons sentiments et quelques insultes... la recette n'a pas l'air compliquée comme ça. Néanmoins la justesse du casting est primordiale et au moins au niveau des adultes, c'est un quasi sans faute. En plus, rien qu'avec la présence de "la jeunesse et les sports" on sait que ça sent le vécu.
 Côté écriture, ça paraît simple, mais ça fonctionne. Des persos tout ce qu'il y a de plus normaux avec quelques weirdos (seuls le pédopsy et le cuisto sont un brin abusés), des runnings gags, des amourettes, des bons sentiments et quelques insultes... la recette n'a pas l'air compliquée comme ça. Néanmoins la justesse du casting est primordiale et au moins au niveau des adultes, c'est un quasi sans faute. En plus, rien qu'avec la présence de "la jeunesse et les sports" on sait que ça sent le vécu.  





 
  La marmite qui roule avec des faux raccords de l'espace...
 La marmite qui roule avec des faux raccords de l'espace...  La scène en avion...
 La scène en avion...  On assiste à un vrai festival d'idées pas ouf que J. Lee Thompson filme comme dans les années 50, chupaire...
 On assiste à un vrai festival d'idées pas ouf que J. Lee Thompson filme comme dans les années 50, chupaire...  














 
  




 Le rythme est un peu trop pépère au début, mais quand c'est parti... c'est parti!
 Le rythme est un peu trop pépère au début, mais quand c'est parti... c'est parti!   A présent, je déteste tellement Justin Long que j'apprécie tous les moments où il s'en prend plein la tête et il y en a un bon paquet!
 A présent, je déteste tellement Justin Long que j'apprécie tous les moments où il s'en prend plein la tête et il y en a un bon paquet!  






Exit la comparaison avec Retour à la Fac, puisque je n'en ai plus aucun souvenir.


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