[Heatmann] Mes critiques en 2009

Modérateur: Dunandan

Re: [Heatmann] Mes critiques en 2009

Messagepar Scalp » Mer 11 Nov 2009, 21:29

C'est fou parce que moi Miami Vice si j'ai autant de mal c'est a cause de ce script poussif qui accumule les raccourcis, d'ailleurs les 3 derniers Mann souffre d'un script moins bon que Heat par exemple, alors que niveau réalisation c'est toujours classe.
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Re: [Heatmann] Mes critiques en 2009

Messagepar Heatmann » Mer 11 Nov 2009, 21:33

mmmmm , je peut comprendre et voir pourquoi et tu n'est pas le seul d'ailleur , mais moi c'est juste carrement pas le cas .
d'ailleur j 'ai revue 2 fois public enemies depuis que j'ai le bluray ( 1 semaine :love: :eheh: ) , 1 fois comme ca et 1 fois pour le commentaire de Mann , et la 10 sera concerver et expliquer et justifer why .... :wink:
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Re: [Heatmann] Mes critiques en 2009

Messagepar Scalp » Jeu 12 Nov 2009, 14:26

Ton 10 sera bien entendu inexplicable :mrgreen:
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Re: [Heatmann] Mes critiques en 2009

Messagepar Heatmann » Jeu 12 Nov 2009, 15:19

ah mais pas du tout , tu verra :wink: je l'expliquerais et l'argumenterais encore plus que ton 10 a pat garret :mrgreen:
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Re: [Heatmann] Mes critiques en 2009

Messagepar Scalp » Jeu 12 Nov 2009, 16:31

Déjà ça vaut pas 10 rien parce que Depp c'est un tapette même pas capable de faire une cascade ( il est doublé pour le saut de guichet ahahahahaha ) :mrgreen:
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Re: [Heatmann] Mes critiques en 2009

Messagepar Heatmann » Jeu 12 Nov 2009, 17:02

la , tu l'auras chercher ...... :roll: ca vaut 10 , POUR MOI , pour tout plein de raison qui bout a bout font 2h10 8)
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Re: [Heatmann] Mes critiques en 2009

Messagepar Scalp » Jeu 12 Nov 2009, 17:07

Et le point handicape Marion Cotillard t'en fait quoi, parce que c'est - 1 pt direct avec elle :mrgreen:

Passé de Gong Li à Cotillard quelle déchéance.
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Re: [Heatmann] Mes critiques en 2009

Messagepar Heatmann » Jeu 12 Nov 2009, 17:09

t'es un poil relou la mon scalp , c'est con on dirait danza ou bounz , toi et la tolerence ca fait vraiment 12 ...

bye bye , blackbird
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Re: [Heatmann] Mes critiques en 2009

Messagepar Scalp » Jeu 12 Nov 2009, 17:10

la quoi ? et oue je sais je suis lourd mais c'est moi je suis comme ça et je changerais plus a mon age :mrgreen:
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Re: [Heatmann] Mes critiques en 2009

Messagepar Waylander » Jeu 12 Nov 2009, 18:28

Ya une interview de Terry Gilliam et sur un question concernant Deep il dit que son rôle dans Public...est fade. En gros. Il dit aussi que Deep n'a pas aimé travailler avec Mann.
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Re: [Heatmann] Mes critiques en 2009

Messagepar Milkshake » Jeu 12 Nov 2009, 19:55

Scalp a écrit: Pourquoi dans ta critique tu parles pas du script bancal ?? :mrgreen:


Pourquoi il a pas parlé de Colin Farrell qui a snifé de la coke pendant tout le tournage (c'est flagrant à l'écran) et de les fameuses scènes de douches digne des pires film de boule avec un Jamie "pimp" Foxx qui croit être dans un de ses clips :mrgreen:

Sinon certain plans sont juste sublime mais ça fait pas un film :twisted:
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Re: [Heatmann] Mes critiques en 2009

Messagepar Waylander » Jeu 12 Nov 2009, 20:04

Comme Milkshake : ce qui m'a gavé dans Miami Vice c'est le scénario ultra pauvre, ultra chétif, ultra vu et revu, sans profondeur et sans surprises. Et puis sérieux le jeu d'acteurs il est totalement bidon quoi.
Des fautes de gout énormes : le coup de la pizza c'est d'un ringard et la scène de douche aussi.
Bien évidemment la mise en scène assure : séquences de nuits, caméra à l'épaule HD qui fait absolument bien son effet, les costards classes, même la gueule à Farrell elle est bien mais tout ça cache un manque flagrant d'idées derrière pour l'histoire.

Vraiment, je comprend qu'on puisse être fan d'un réalisateur mais parfois faut regarder clairement les choses. Si Miami vice c'est du 9.5/10 alors Mission to mars c'est 9.5 aussi quoi sans déconner. :eheh: :eheh:

Je charrie poto :super:
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Re: [Heatmann] Mes critiques en 2009

Messagepar Niko06 » Jeu 12 Nov 2009, 21:18

Milkshake a écrit:Colin Farrell qui a snifé de la coke pendant tout le tournage


C'est un peu la même chose sur tous les tournages pour 80% des acteurs, c'est donc un détail :mrgreen:
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Re: [Heatmann] Mes critiques en 2009

Messagepar Heatmann » Jeu 12 Nov 2009, 22:43

ben non moi je trouve le scenes de douches tres bien , et farrel tres bon aussi , c'est pas parceque j sui fan de mann , meme si je le suis , c'est comme ca , c'est vrai , je tourve aucun acteur bidon , et je regard les choses en face ... comme je le disait a scalp faut etre plus tolerant ! meme avec smiley ! je comprend et critique pas vos avis , mais essayer pas d eme convaincre ou de " m'ouvrir les yeux " .
Moi ce film me tue a chaque seconde , je trouve le scenar tres bien pour ce type de film , bref j'ai quand meme assez develloper mon avis quand meme
apres etes tous + ou - moin du meme avis , et ben tent mieux , on a tous nos sensibiliter differente .

Et pis que Gilliam disent que depp et fade ou pas, ca me feras pas non plus changer mon point de vue ! m'en tape , moi j etait trop dedans , et je le trouve parfait , il faut connaitre un minimum le vrai dillinger , et la franchement c'est exactement ca ...

et dOnc oui miami c'est 9.5 pour moi , mais mission to mars reste un pti 4/10 voir moin , ca marche pas tes echelles de comparaison ...
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Panique à Needle Park - 8/10

Messagepar Heatmann » Jeu 12 Nov 2009, 22:46

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Panique a needle park



De Jerry Schatzberg




8/10



:shock: vue 1 fois , y a trees longtemp , certaines idees et passages me genait a l'epoque et du coup avait bien influancer mon avis .... maintenant apres quelque annees , je comprend mieux , et la , c'est un pti choc perso ...

« Needle », en anglais, c’est l’aiguille, et pas seulement à tricoter, mais aussi celle qu’on s’enfonce dans le bras pour s’injecter des substances pas tout à fait licites ni tout à fait bonnes pour la santé. « Needle Park » est le nom que donnaient les héroïnomanes new-yorkais des années 1970 (post-beatniks mais pré-SIDA) au parc où ils s’approvisionnaient. Quant à la panique, c’est celle qui s’empare de deux addicts, Bobby et Helen, lorsqu’une saisie de la police les met en grave danger de manque et menace de leur ôter la seule chose qui rend leur vie plus belle : leur amour débordant. Un film puissant et ravageur, dont les images quasi documentaires hantent longtemps.


Bobby rencontre Helen alors que celle-ci vient de se faire avorter. Coup de foudre. Helen, réservée et timide, petite provinciale perdue dans New York, s’accroche à Bobby, véritable pile électrique, concentré d’énergie, de débrouille et... d’héroïne. Mauvaise pioche ? Pas pour Helen. Par amour pour Bobby, pour mieux comprendre son monde ou peut-être par nécessité, elle s’enfonce elle aussi dans les sensations d’extase que lui procurent ses injections, se prostitue quand le couple doit se payer ses doses, subit sans rien dire, jusqu’au jour où elle dénonce Bobby, devenu dealer, pour sauver sa propre peau. Mais Bobby, lui, rêvait de l’épouser...

Drôle d’amour que celui d’Helen et Bobby. Ils ne savent, et ne sauront, quasiment rien de leur passé. Puisque leur avenir ne leur dit rien de bon, ils vivent le présent avec rage, traînant d’un squat à l’autre, riant des petits riens qui parsèment leur vie commune puis qui disparaissent progressivement alors que leur passion se consume dans la consommation d’héroïne. Ces deux antihéros, paumés et perdus, ignorant de la dépendance et du monde extérieur, inconscients du risque et de la fatalité, s’aiment malgré tout et malgré les autres, d’un amour si fort qu’il se passe de compréhension.

Si Helen et Bobby sont si attachants, c’est que Jerry Schatzberg s’est appliqué à les rendre "vrais". Al Pacino (dont c’est le premier grand rôle, juste avant Le Parrain et Kitty Winn (merveilleuse interprète, justement récompensée par un prix à Cannes) adoptent un jeu très naturaliste sans être trop naturel, où l’improvisation tient sans doute une grande place, à la limite de l’autisme pour Helen et de la folie pour Bobby. Pour donner à ses héros cette puissance réaliste, Jerry Schatzberg (dont Panique à Needle Park était le deuxième long métrage) se fend d’une esthétique très documentariste qui annonce, en 1971, un nouveau mouvement artistique dans le cinéma américain. La structure narrative ne lésine pas sur les ellipses, le montage sur les coupures brutales ; quant au travail sur le son, il est novateur à l’époque : totalement dénué de musique, Panique à Needle Park est également un film où les bruits de la ville de New York, dans lequel le film est tourné comme à l’arraché, ont leur vie à part entière, couvrant parfois les dialogues, assourdissant le spectateur, comme pour mieux souligner la détresse inhérente à la vie urbaine.

Panique à Needle Park est surtout le premier film qui décrit point par point les ravages de la drogue, sans les sentimentaliser ou les embellir. Avec un sens du détail parfois insoutenable, Jerry Schatzberg montre toutes les étapes de la descente aux enfers : la préparation dans des laboratoires clandestins de la poudre brune, qui, venue des champs de pavot, finira dans de petits sachets en plastique ; la lente procédure calculée de l’héroïnomane remplissant sa seringue ; l’aiguille qui s’enfonce dans la veine du bras pendant de longues minutes (scène filmée en gros plan sur fond de discussion sentimentale entre Helen et Bobby, pour accentuer le contraste entre les facteurs de vie et ceux de mort), l’euphorie, où le drogué perd totalement conscience du monde qui l’entoure, puis l’overdose, qu’Al Pacino joue de manière si réaliste que la scène est à la limite du supportable.

L’amour de Helen et Bobby, emporté par une passion trop forte, trahi par la drogue, redevient une lueur d’espoir dans la scène finale, où les deux héros partent ensemble vers leur avenir incertain. C’était l’entre-deux générations : le peace and love optimiste et "opiumisé" des hippies avait laissé place au désespoir morbide des incompris du Viêt-Nam, mais la mort, la vraie, accompagnée de son compagnon de destruction, le SIDA, ne faisait encore que rôder.
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