[Scalp] Mes Critiques en 2011

[Alegas]

Deux chef-d'oeuvre indiscutables.
Magnifiques critiques résumant bien l'intérêt de ces grands films.
Et puis cette dernière capture quoi.

[Scalp]

je réponds à Way :

Largement ? t'es fou toi et pas besoin qu'un film nous parle ou nous touche pour trouver ça très bien, tout les films ne sont pas sensoriel.

[Waylander]

je réponds à Way :
tout les films ne sont pas sensoriel.

Non là on parle pas du tout de ça.

Quand un film est bien mais que ça te touche pas, que ça te parle pas, que niveau émotions c'est transparent pour "toi" bah forcément le film te capte pas.

c'est ça la grosse différence entre le film, le roman ou la musique qui va te scotcher et celle que tu vas juste trouver bien.

Je pourrais franchement pas mater 10 fois un film qui me touche pas. Aprsè si toi t'enes capable c'est cool.

[Scalp]

Ah bein y a plein de films que j'adore et qui sont loin de me "toucher".

Par contre pourquoi tu préfères le 1largement ?

[Waylander]

Bah sincèrement : pour le personnage de Don Corleone, pour l'interprétation de Brando, pour l'ouverture du film, pour ce pamphlet qui raconte l'histoire de la mafia comme une fresque alors que le 2 c'est carrément un autre délire. Certes, cinématographiquement le 2 est au-dessus du premier mais j'ai jamais été époustouflé par le jeu de Pacino.

[Scalp]

Oue mais y a De Niro dans le 2 qui déchire grave.

[Waylander]

Ah mais je suis un ouf !!
c'est dans le 2 les flashback avec De Niro??

Bon bah en fait c'est le 2 le mieux.

[Scalp]

faut savoir, ( t'as pas lu ma critique en fait ).

[Waylander]

J'ai jamais dit que je l'avais lu.
Je lis pas tout.
et c'est le 1er le mieux mais le 2 aussi pour De Niro.

[Waylander]

Ah bein y a plein de films que j'adore et qui sont loin de me "toucher".

Il me semblait que rien ne te touchait.

[Scalp]

Bein quand j'ai la trique c'est que le film me touche, quand je me gratte le nez aussi ( ça veut dire que j'emmerde donc ça me touche puisque je me touche ).

[Waylander]

Non ça c'est quand ta femme te touche pendant un Malick. Ton doigt gratte ton zen et ta femme te gratte l'entrejambe. Double effet. Donc Malick ça te touche.

[Godfather]

"Keep your friends close and your ennemis much closer."

Tout est dit, The Godfather Part II est un film sur la solitude, décrivant des personnages qui seul face à eux-mêmes ou entourés d'une foule massive et impersonnelle sont toujours aussi profondément mélancoliques.

[Heatmann]

exactement , d'ailleur oui pacino est enorme , mais alors c'est surtout ces scenes avec fredo qui sur ce film dechirre tout, putain les regard qui en disent long quoi , cazale aussi est a saluer .

-Et pis la construction avec les 2 epoque rend le film magistrale sur le point du script , de la coherence , et la continuiter sur plusieur film , plusieur generation , plusieur personnage et leurs evolution .

-Coppola a fait expres de mettre en parralele vito et michael , pas que pour "faire la prequelle de vito " mais pour bien montrer que l'ombre de la destiner de vito plane irremediablement sur celle de michael . d'ailleur les 3/4 du film c est concacrer a michael , vito c est presque juste l inconscient de michael , il est en train d echouer la ou son pere a reussit , surtout au niveau familliale plus que le buisness, chose que vito adulte version brando a toujour proner .

-et pis coppola met ca en scenes de facon sublime sur la forme et subtile dans le fond , il appuie le contraste entre la vie presque héroïque de Vito avec des couleurs éclatantes en Sicile gorger de soleil et plein de grandes scènes baroques, en opposition a l'ascention monstrueuse et glauque de son micheal faite de plein de lumières sombres et d' atmosphère feutrée ,malsaine , camoufler , bref la realisation de coppola, quand on prend ca en vue s'ensemble le dyptique part 1 et 2 , c'est un veritable opera au sens propre ....

-michael est au top de sa gloire , le parrain 2 sera ca lente descente aux enfers , c'est un homme profondément seul , l'inverse de vito, lui il est corrompu par son pouvoir immense et peu a peu il va tout perde , sa position sociale est mit en danger par des enquêtes , sont entourage est mis à l’écart ou assassinés one by one et pis surtout le plus important sa famille , kay le quitte, sa mere meurent , et pis fredo on sait ce qui lui arrive .

- d'ailleur l intro du 2 c est presque un remake tragique de l intro du 1 . michael c est installer a l ouest , s enbourgoise , les Corleone n'ont plus grand chose de sicilien. l uniter des corleone vascille deja ... pis en s’enrichissant michael et les corleone se mêlent à d’autres affaires , d'autre milieux , la guerre des clan , des famille qui dirige Ny c est loin , c est la prehistoire , la c es tl apolitique , les riche industriel juif expatrier a cuba , ca tue moin , moin de meurtre violent , on est bcp plus calculateur et prudent , c es tplus des douleur morale et insidieuse et pis ca devient chaud pour michael car la c est un millieu qu il metrise pas . il est enfin , a l inverse de vito , ébranlé, et force michael a se tranformer en l oppose de son papa , un monstre et la pacino deboite. . Le contraste entre les 2 film qui sont juste separer de 2 ans est dingue, on dirait qu il a viellit du triple au moin. il est imperturbable , defois des brusque ecces de colere ( la scnes ou kay lui dit qu elle avorte, actor's studio inside !! ) mike est arriver au sommet et devenue incontrôlable. Arrivé au sommet et vue qu il a presque plus personne pour le soutenir , il a plus de limite ni de moral .

godfather part 2 , mais indissiciable du 1 , c'est a peu pres tout ce qui peut se faire , de plus approndondie , de dense , de coherent , de mieux en etude de psychologie de personnage . masterpiece inconstestable indeed my dear friends

[Alegas]

The Offence Sidney Lumet - 1972

J'en sort très déçu, au vue de l'excellente réputation du film m'attendais vraiment à un truc plus ultime.

Les 3 grosses scènes de dialogues m'ont un peu soulé, je les ai pas trouvé spécialement bien dialogué ( là ou un Garde à vue est génial grâce aux dialogues ciselé de Audiard et là ou 12 hommes en colère était passionnant de bout en bout grâce à ces dialogues ce Offence peine à cause de dialogues de piètre qualités, c'est un peu bateau ) ni spécialement bien joué ( Connery surjoue un peu trop, à force de vouloir casser son image de 007 il finit par en faire des tonnes, au bout d'un moment les "bloody" ça soule un peu mais c'est vrai qu'on ressent bien toute la détresse que le personnage porte en lui, les flashback dans la voiture sont vraiment excellent ).

La fin on la voit assez facilement venir ce qui fait que les enjeux sont super limité ( en fait rapidement je m'en foutais de savoir pourquoi il avait tuer le pédophile ) et la fin même si couillue se révèle trop prévisible ( c'est pas si ambigüe que ça ).
On est loin de l'ambiance glauque, oppressante et malsaine vendu, l'ambiance grisâtre de cette partie de l'Angleterre était plus marquante dans Get Carter.
Le film souffre des défauts habituels des films de Lumet à savoir des longueurs pénalisantes, la longue séquence avec Connery et sa femme au secours quoi ( bon par contre j'ai kiffé le passage ou il lui dit qu'elle est moche ) dans l'idée c'est bien mais à l'écran ça donne une scène bien chiante.
J'ai adoré la première demi heure, en gros jusqu'au retour de Connery chez lui j'ai trouvé ça très bon puis à ce moment là on comprend le truc et du coup le film devient nettement moins passionnant ( le passage avec son supérieur m'a ennuyé au plus haut point ).
Les expérimentations visuel de Lumet tombe un peu à plat ( pas toujours il est vrai : ) mais il sait toujours aussi bien filmé des séquences dialogués ( excellent passage lors du dernier interrogatoire ou le rapport s'inverse et que la caméra passe en contre plongé sur Sean Connery pour montrer son moment de faiblesse ) par contre la structure éclaté est bien géré ( comme dans le Gang Anderson ).
Loin des touts meilleurs film de Lumet, juste correct.

5/10