
SOURCE CODE
5/10
Un pti thriller SF tout ce qu’il y a de plus quelconque , vite vue et vite oublier . Un film qui se repose sur sont concept et fait que le coter ludique du truc nous interresse immediatement , mais c’est bien trop lisse , impersonel et calibrer pour stimuler un minimum . Enfait c’est trop peu ambitieux quoi . Alors oui sur la papier ca l’est , mais carrement pas dans l’aboutissement . Déjà l’idee du source code c’est cool , ca donne plein de possibilites qu’on commence a ce faire dans la tete , sauf qu’on les verra jamais dans le film . Apres nous avoir bien expliquer le concept du film par l’intermediare d’un jeffrey wright bien explicatif ( enfin bon on nous jette a la gueule quelque terme et fait sciantifique rapidement , et au final au c’est pas trop comment que ca marche le source code ) et subit quelque aller-retour dans le train , on commence a prendre plaisir et explorer le source code dans ces defaut , ces limite et ces supposition , on se dit tient y a pas mal de chose a explorer, et ben parcque c’est déjà la fin ! non mais 1h30 montre en main quoi , déjà ca met du temp a faire l’exposition du qui , du quoi , de comment et pourquoi , et hop , c’est torcher .
Rapidement en plus les enjeu et conviction personnel prennent vite le pas sur le les concideratione ethique , sur la bombe , sur le role de l’armer … non , ce qui interresse apparement les scenariste ici c’est une love story instantaner , improbable , precipiter et mievre . Surtout que autant gyllenhall est vraiment tres bon , super naturel et plein de nuance , autant monahan est fade et inbuvable et leur relation transpire que dalle quoi , jamais on y croit , c’est bien trop superficiel et semble imposer .
Pareil pour la relation paternel , on en apercoit que des reste quoi , ca manque de profondeur pour qu’on puissent croire au larme du heros , c’est mentioner rapidement de temp en temp et pourtant , c’est apparement l’obsession du mec . le film essai de brasser et caser trop de theme en si peu de temp et peu de moyen aussi , ce qui a du considerablement revoir leur ambition a la baisse .
Ainsi , a part quelque effet formel efficasse mais tres fonctionel , ben rien ne resort de la mise en scene , c’est pas moche, ca gere bien quelque sfx pas de grand grand qualites et sait cacher la miser d’un decor limiter ( l’interieur du train est bien lisse , propre , froid , aucune repere realiste ) , mais c’est du taf de commande tout a fait oubliable comme on en voit plein chaque annees . Enfaite source code fait penser a un projet de court metrage qui a été etirer pour en faire un long en mettant un peu plus de fric .
Strictement rien a dire sur la BO qui est discrete et aussi fade et oubliable que le reste , lisse lisse lisse est le maitre mot .
Parceque bon ca se croit bien plus malin que ca ne l’est vraiment . Vera fait potiche et de temp en temp du sens qu’elle a des truc a dire qui lui pese sur le cœur , mais on l’entendra jamais , pareil pour le pti twist final qui sert a rien et en rajoute dans l’alambiquer inutile pour faire un cliffhanger ingenieux , mouai bof, ca laisse surtout un arrier gout de potentiel un peut gacher quoi .
Divertissent oui , une fois quoi , c’est pas deplaisant mais limiter , dans le meme genre, le déjà vue du tony scott l’explose a tout les point de vue en etant bien plus audacieux et original . ceux qui on chier sur paycheck en criant au K.dick light et bafouer devrait relativiser la , car pour moi , entre le Woo et celui la , y a pas photo quand meme ( tfacon a l’epoque , des que affleck était a l’affiche on criait a la merde aussitôt).







Un bon pti melange de genre et d’influence de differente epoque et culture , sympathique et agreable si on aime l’univers de keenan wayans ( lui je l aime bcp , de meme que damon , par contre les 2 gogol qui font les spoof movie , non merci ) , c’est juste un peu grossier dans la concretisation et mise en route et l’humour a un peu viellit , sinon c’est un bon pti moment tres frequentable .

Ca commence avec le drame qui frappe Shep , alors a revoir maintenant et avec un regard de cinephile , c’est vrai que c’est un peu grossier et maladroit dont c’est balancer en intro , bon pas trop genant quand meme . Shep subit un bon trauma apres la perte de son meilleur pote et adversaire de one on one . Shep ( interpreter par leon , le black dans cliffhanger et plein de dtv from the streetz ) c’était le gros espoir du street a NY , une legend de high school et un joueur tres prometeur , mais il seras plus vraiment le meme et va traverser les terrain de rucker park comme un fantome . Le frere de shep , Birdie lui a fait chemin inverse . quand shep part se morfondre, birdie devient le seul homme dans sont foyer puis grandit en tent que Big boss du quartier , il a la main mise sur les reseau underground , les basketeur locaux pour les paris sur les match et hesite pas a buter quiquonce lui manque de respect en public , un vrai hustler tipique .



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, etonant qu'il soit si peut connue , c est vraiment bon quoi 

