
Modérateur: Dunandan




scalp a écrit:Southland Tales d'un drogué
On dirait une version scary movie de Strange Days.
10/10




moricenlive a écrit:C'est pas du tout le même niveau. Alien n'a pas été calculé pour faire un max de fric contraire à Jaws.

scalp a écrit:Southland Tales d'un drogué
On dirait une version scary movie de Strange Days.
10/10




scalp a écrit:Southland Tales d'un drogué
On dirait une version scary movie de Strange Days.
10/10


 
 


scalp a écrit:Southland Tales d'un drogué
On dirait une version scary movie de Strange Days.
10/10



 Boyle permet à un genre réduit de se trouver une voie parallèle aux similitudes bien évidemment assumées avec les films de Romero dont Boyle préserve et approfondit le fond. La violence des hommes, la sauvagerie et la barbarie dont nous sommes capables et dont les enragés ne sont que le reflet. L’humanité qui s’évapore peu à peu de nous en situation de survie , l'étincelle pourtant toujours bien présente, l’interdépendance, et enfin le rapport hommes/zombis (ici enragés) et le jeu du massacre qui habite l’œuvre Romero. Les infectés représentent no côtés les plus primaires. Survivre, se nourrir.
Boyle permet à un genre réduit de se trouver une voie parallèle aux similitudes bien évidemment assumées avec les films de Romero dont Boyle préserve et approfondit le fond. La violence des hommes, la sauvagerie et la barbarie dont nous sommes capables et dont les enragés ne sont que le reflet. L’humanité qui s’évapore peu à peu de nous en situation de survie , l'étincelle pourtant toujours bien présente, l’interdépendance, et enfin le rapport hommes/zombis (ici enragés) et le jeu du massacre qui habite l’œuvre Romero. Les infectés représentent no côtés les plus primaires. Survivre, se nourrir.  Mine de rine pour un tel budget bah Boyle assure et signe même une fabuleuse explosion tout aussi impressionnante et bien plus originale que celles des grosses machines américaines aux millions de dollars.
 Mine de rine pour un tel budget bah Boyle assure et signe même une fabuleuse explosion tout aussi impressionnante et bien plus originale que celles des grosses machines américaines aux millions de dollars. mais touchant (la relation père/fille, la famille de chevaux, la transformation du père...). Boyle reste donc dans cette optique de décrire la vie de survivants sans grande profondeur toutefois et le final dans la maison de militaires c'est du grand spectacle glauque et malsain où ce ne sont pas vraiment les infectés qui foutent la merde mais les hommes eux-mêmes. C'est récurrent dans le genres et quelques films de monstres : un ennemi extérieur , un groupe de survivant et ce microcosme va se renverser, se désorganiser et s’autodétruire sans intervention extérieur ou presque : très souvent quand c'est une attaue externe i ls'agit d'autres humains
  mais touchant (la relation père/fille, la famille de chevaux, la transformation du père...). Boyle reste donc dans cette optique de décrire la vie de survivants sans grande profondeur toutefois et le final dans la maison de militaires c'est du grand spectacle glauque et malsain où ce ne sont pas vraiment les infectés qui foutent la merde mais les hommes eux-mêmes. C'est récurrent dans le genres et quelques films de monstres : un ennemi extérieur , un groupe de survivant et ce microcosme va se renverser, se désorganiser et s’autodétruire sans intervention extérieur ou presque : très souvent quand c'est une attaue externe i ls'agit d'autres humains   (the mist, les films de zombis, Walking dead etc..)
  (the mist, les films de zombis, Walking dead etc..) L'intro du film pose déjà le ton à la fois dépressif, mélancolique et nostalgique du film grâce à ces extraits d'émeutes, de guerres civiles etc..qu'on impose à un chimpanzé. Les images tv sont bien pire que toute la violence du film réunit puisqu’elle montre des homes contre des hommes et non pas des enragés conte nous. C'est ce que constate le chef du groupe militaire : depuis toujours des gens s'entretuent et aujourd'hui ce n'est pas plus différent qu'avant.
L'intro du film pose déjà le ton à la fois dépressif, mélancolique et nostalgique du film grâce à ces extraits d'émeutes, de guerres civiles etc..qu'on impose à un chimpanzé. Les images tv sont bien pire que toute la violence du film réunit puisqu’elle montre des homes contre des hommes et non pas des enragés conte nous. C'est ce que constate le chef du groupe militaire : depuis toujours des gens s'entretuent et aujourd'hui ce n'est pas plus différent qu'avant.
 Boyle est un maitre sur les placements de caméra. 70% du temps c'est vraiment insolite et ça change de l'académisme omniprésent sur les écrans. Ça fait son petit effet. Anthony Dod Mantle (le chef op) a vraiment une sacré patte artistique et la majorité des films ont son nom au générique. c'est vraiment l'atout de ce cinéaste : la recherche artistique. on pourra dire que le film est visuellement horrible mais c'est ce qui fait son charme a l'inverse d'un I am legend hyper léché dont la forme est antinomique avec le propos.
Boyle est un maitre sur les placements de caméra. 70% du temps c'est vraiment insolite et ça change de l'académisme omniprésent sur les écrans. Ça fait son petit effet. Anthony Dod Mantle (le chef op) a vraiment une sacré patte artistique et la majorité des films ont son nom au générique. c'est vraiment l'atout de ce cinéaste : la recherche artistique. on pourra dire que le film est visuellement horrible mais c'est ce qui fait son charme a l'inverse d'un I am legend hyper léché dont la forme est antinomique avec le propos.
 Par la suite, on assiste à tout un long passage on man show - post-apo hommage à I am legend et au Jour des morts-vivants de Romero.
Par la suite, on assiste à tout un long passage on man show - post-apo hommage à I am legend et au Jour des morts-vivants de Romero.
 Concernant le casting, 28 days later révélait un Cillian Murphy rachitique et habité dont l'acte final relève de la perfection absolue d'investissement dans un rôle , un Brendan Gleeson sympathique et surtout Naomie Harris qui pourrait faire une "Michonne" parfaite pour Walking dead. d'ailleurs c'est aussi un hommage à Romero d'avoir mis un personnage black en tête de liste qui plus est en héroïne viscérale, une vraie survivante qui se rend peu à peu compte qu'elle perd son humanisme afin de survivre.
Concernant le casting, 28 days later révélait un Cillian Murphy rachitique et habité dont l'acte final relève de la perfection absolue d'investissement dans un rôle , un Brendan Gleeson sympathique et surtout Naomie Harris qui pourrait faire une "Michonne" parfaite pour Walking dead. d'ailleurs c'est aussi un hommage à Romero d'avoir mis un personnage black en tête de liste qui plus est en héroïne viscérale, une vraie survivante qui se rend peu à peu compte qu'elle perd son humanisme afin de survivre.
| Film: 28 jours plus tard Note: 7/10 Auteur: caducia | Film: 28 jours plus tard Note: 9/10 Auteur: Alegas | Film: 28 jours plus tard Note: 8,5/10 Auteur: Dunandan | Film: 28 jours plus tard Note: 8/10 Auteur: osorojo | Film: 28 jours plus tard Note: 5,5/10 Auteur: Scalp | 





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