
Itinéraire manqué (All things fall apart)
4.5/10
Le type meme d’histoire deja fait une tonnes de fois , un drame humain qui cache une legere critique social discriminative sous fond de fresque sportive , mais dont je rafole ! ben ouai c’est ptite connerie cousue de fil blanc , plein de bon sentiment , de valeur bien Ricaine et de combat inequitable contre l’adversites , la maladie ect … Un peu comme the blind side en 2009 , sauf que la , c’est en dtv et Written by curtis jackson !! bon d’ensemble , c’est bien moyen , ca a beau etre truffer de bonus , c’est trop naif et surtout ecrit a la truelle bordel !C’est trop long aussi 1h50 pour un film tres previsible et dont la fin ne va nulle part , en gros le message et le recit aboutie a rien a part la tranche de vie faite de surenchere dans le pathos facile , on sent quand meme que 50 a voulue faire ici sont film le plus honorable , c’est plein de bonne intention , mais vraiment hein , ca fait pas pitier , c est pas honteux du tout , c’est juste trop simplet .
on debut on se tape 40 minute qui se repete dans le genre poser les base ou tout est beau et qui doivent contraster au maximum avec la 2em partie . 50 c’est la future star , le joueur de foot vedette du lycee qui a des gros espoire de NFL , c’est redondant , tout lui sourit , il se tape toute les nanas et clash avec sont frangin , leur relation est caricatural car l’autre c’est l’intello qui a pas de chance avec les meuf et qui reste dans l’ombre meme des parent . Pis 50 se tape une perruque de dreadlocks qui craint un max , je comprend toujour pas que personne lui ai dit qu’il ressemblait a rien .Quand le diagnostic du cancer arrive , ca arrete un peu dans l’anodin et le dechirement familliale rend les chose un peu plus intense et prenante . Van peebles qui realise le film aussi , se reserve le meilleur role , le père poussif ancienne gloire qui a rater sa carriere et qui veut le meilleur pour sa future poule au œufs d’or . la reaction du père face aux cancer ca offre de bonne scene et de l’acting bien convaincant de van peebles .
Tout ce qui suit est meilleur que la 1er partie .
Alors oui c’est le fameux film ou 50 cent nous la fait christian bale stylz et perd 30 kilos , les detracteur pourron en sourire , mais le fait est que le resultat est vraiment saisissant et bluffant . 50 est impliquer , serieux , grave , la performance est quand meme louable et il fait passer des emotion , bon c’est pas actor’s studio mais c’est un atout au film indeniable . quand il part en reinsertion , oublier definitivement le foot , et cherche un taf , c’est beaucoup mieux ecrit , et propose encore une fois de jolie scene avec van peebles autour d’une biere dans le garage ou quand il essayent de le reentrainer physiquement et abusivement pour combattre la maladie . liotta passe vite fait pour 3 scene pas terrible , il joue le docteur qui suit 50 , bon c’est clairement du role alimentaire car liotta en a rien a battre et fait de la peine , on le sent fatiguer et pas en forme . alors oui la soundtrack est bonne car faite de plein de titre de G unit , 50 et autre mais c’est aussi car elle instore bien l’ambiance de chaque scene et encore une fois , c est humble , sincere, honnete mais on peut pas etre totalement aveugle devant autant de naiveter ou tout est surligner et pataud . pas la moyenne mais des encouragement cela dit










pis le fight contre smith moi j adhere grave

Un film que je kiffe profondement , la ou tout le subjectif depasse largement tout l’objectif qui ne m’interresse vraiment pas quand on cause plaisir , divertissement et spectacle . je pensais qu’en le revoyant maintenant je le trouverai peut etre moin plaisant qu’a l’epoque ou j’en était fan , et bien il en fut rien . apres a peine 15 minute j’était re-conquis . ca viellit admirablement bien , le doux souvenir d’ados ne s’effrite pas comme ca arrive souvent , au contraire enfaite maintenant je me rend compte d’encore plus de detail d’ecriture , de la grande coherence de ce monde . il y a plein de chose qui fourmille dans le background ou qui interviennent que pour une tres courte scene et qui sont toute logique et bien penser .
c’est une sequence defoulante super divertissante et qui en met pleins les yeux , sans aucun cgi , tout in camera , monter au pti onions . Pareil lors du climax sur le petrolier de dennis hopper savoureusement over the top qui cree un bad guy dictatorial extreme . des passage pop-corn qui font plaisir , le budget était enorme et ca se voit a chaque seconde a l’ecran . le decorum est riche , des vehicules rouilles et bidouiller d’armurerie , differente faction de personnage peuple ce monde .
Dean semler ( d’ailleur de DP de mad max ) le grand complice de costner qui a déjà shooter danse avec les loups pour l’acteur , est de retour derriere les objectif et offre un eclairage qui fait merveille, surement le rendue du bluray aide un peu , mais c’est vraiment epatant , ce sentiement d’immensites, d’infini est palpable , l’illusion est parfaite .
Dans les grand ligne , Waterworld est aussi paradoxale dans le fond qu’il l’est dans la forme . la realisation appliquer et classique clash avec l’habillage opulent et steampunk et c’est pareil pour le ton tres cynique du recit truffer de personnage cruel , d’idee nihiliste , une epoque tres sombre qui clash avec cette espoire que represente Dryland ainsi que l’humanisme qui se degage de la prophecie et perso feminin .
