
Modérateur: Dunandan



Scalp a écrit: Non mais pas revu depuis 15 ans au moins et à l'époque j'avais trouvé ça trop long, aujourd'hui je suis sur que ça passera mieux, pis la réal si l'histoire me passionne ça devient souvent juste un petit plus.
John Lawrence a écrit:J' ai moi aussi le souvenir d' un film beaucoup trop long avec plus de parlotte que d' action, j' avais trouvé Costner fade et Quaid assez bon. A revoir mais c' est pas dans mes priorités.
Alegas a écrit:Jamais vu le Kasdan mais le casting donne grave envie.




Bon alors moi j’ai pas vue le fameux plaisir coupable plutôt étonnant vanté par certain . ce qui est sur c’est que le coter nanard boursoufler peter de tune , ca il y est bien la ! pourtant je suis vraiment bon public et peut exigent , genre moi j’aime bien conan , jonah hex ou meme Resident evil 3 et le 4 dans une certaine mesure . Dumas et les film de cape et epe c’est aussi un gros kiff pour moi , bon la fidélité jm’en tape un peu a partir du moment ou on voit le nom du realisateur donc j’y allais quand meme en etant hyper indulgent et ca a pas passer .
La moitier du casting est lui aussi un point plutôt « fort » . Ray stevenson est biensure parfait en porthos , ca lui va comme un gant , un vrai plaisir de le voir bourriner les garde qui tombe comme des mouches .
D’un autre coter Mcfayden est bien fade en athos , surecrit dans le trauma pourri de sa love story , l’acteur est pas convaincant . Bloom est pas specialement mauvais , il fait meme sourir dans le bon sens du terme, on se fout pas trop de sa gueule mais bon il impose pas une grosse crainte . le teen qui fait d’artagan est absolument inssuportable , une ablette de la generation twilight , il fait pitier avec sont sourire emaille diament et milla jovovich est plus bidon que jamais , si j aime bien les resident evil c est a cause de l’action , des zombie et des 2nd role , certainement pas a cause de milla qui est une plait au cinema , faut vraiment qu’elle arrete , elle attain les limite du ridicule ici , du facepalm epic quand elle se fight et sa sequence d’infiltration a la snake c’est collector.
Dommage , le film est plomber par des elements ignoble de debilites et de mediocrites a l’ecran . les costume sont totalemetn impropable et d’une autre galaxie .. les mot me manquent .. bloom en violet a paillette avec des perruque de ouf , le roi de France est une pedalle de 14 ans en vert fluo .. bref entre les scene d’action qui font de la surenchere agreable , le ventre moue du film au millieu est tres pesant . | Film: Trois mousquetaires (Les) (2011) Note: 5,5/10 Auteur: passioncineorg |
Film: Trois mousquetaires (Les) (2011) Note: 2/10 Auteur: Pathfinder |













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Forcement decut . un tel sujet , un tel personage , avec le patrimoine professionelle , politique et polemique qu’il evoque , clint et leo , comme tout le monde j’attendais pas moin qu’un grand film . Bon alors sont acceuille mitiger a deja donner la tendance et oui c’est vrai que c’est clairement pas un grand film , ni un grand eastwood .
Sur le longueur du recit ouai c’est decousue , la fourchette chronologique est vaste , mais jusqua l’arrestation du coupable dans l’affaire lindberg c’est quand meme accrocheur . les debut de hoover et sont ethique de travaille j’ai bcp aimer comment c’est decrit . pareil pour sont obsession scientifique , franchement tout le coter hoover au bureau moi j’ai bien aimer et aurai pue voir ca jusqu’a la fin et j aurai eu un bon pti film . c’est loin de valoir The good shepherd mais si on aime ce genre d’ambiance et de sujet , ben ca reste complement loin d’etre honteux .
dommage que le scenariste est voulue nous explique la vie priver , le background emotionel du mec , via un portrait surligner au stabylo , bien consensual et previsible .
Le maquillage de hoover vieux fonctione a fond , pour m’as part j’ai trouver ca vraiment bien fait , leo est genial du debut a la fin et surtout tres credible dans ces emotion en façade et sont dileme interieur . d’ailleur le film viellit bien dans ma tete car beaucoup de scene montre des chose en apparence qui enfaite resone et livre des info plus subtile sur le personage .
La mise en scene joue bcp sur les interieur feutrer , les zone d’ombre, tellement que la photo en effet est ultra monochromatique , limite noir et blanc et surtout , souvent on voit juste que dale a l’ecran quoi . d’ailleur pour moi c’est bien la 1er fois que je resent l’age de clint via sont film , un film poussiereux au rhytme d’un fauteille roulant .










la compliciter des 2 flics est faite de non dit , des regards , des geste semblable , on sent dans leur court echange verbal la longue relation et le confiance recriproque , un film hautement insinuatif . les relation homme/femme compliquer sont la aussi un thème récurrent exploré par l'auteur. Farrel est un agent troubler , tenebreux ,terriblement pro, meme si il se laisse gagner par sont " too deep as in : which way is up " on ne doute pourtant jamais qu'il fera passer l'honneur de sa mission devant sont amourette . Gong Li, plus émouvante et sexy que jamais , elle est super bandante , super classe et en impose toujour autant avec sont visage si fascinant . encore une histoire d'amour condamné au caractère tragique merci a la Fatalité des éléments.
Il y a beaucoup d’idées de cinéma admirables dans Miami Vice. D’abord, on peut pas rester insensible au travail sur ces arrière-plans où s’étalent les lumières floues de la ville, rouges, bleues, blanches, les néons des clubs, les projecteurs des hélicos , satures sans tomber dans le tape a l'oeil . Collateral nous a appris que Michael Mann savait filmer la nuit : Miami Vice enfonce le clou. Grâce au numérique qui donne un grain très marqué aux images nocturnes mais equilibres grâce a des filtres qui les contrastes, l’envoûtement est à son comble.

Sinon le plan large, en grand angle , la ca met en scene les duo et leur moyen de transport , leur ferrari sur l autoroute necessaire pour leur couvertur de trafiquant de marchandise en lourde quantiter , l’avion de tourisme entre deux falaises ou s’encastrant sous un autre avion, le hors-bord fonçant à travers le golfe du Mexique. A chaque fois, les images sont pétrifiantes de beauté, parce que Mans'en sert pour assouvir ces envie d estete et fait du graphique : cadrages obliques, zooms et dézoomages, cuts, travellings, sorties de champ. la ptite interlude onirique ou farrel conduit gong li en speedboat a cuba , ambiance musical , farrel protecteur, lui attache sa ceinture tout en lui faisant tenir le volant, est proprement inoubliable. la on entre dans le domaine du sensoriel ou les image et acteur tel le cinama muet nous expliquait ce qu il se passe , c est pas gratuit .
S’il n’y avait que cela , bon a titre personnel je sais pas trop quoi dire d autre , le film me transporte toujour plus a chaque fois , ... le rythme du film est assez fascinant et troublant je l admet , Innombrables sont les temps morts, les silences où l’action est vécue intensément. Chaque fois qu’une scène est immobile ou silencieuse, Mann propose différents angles de vue, souvent de la même échelle. C’est très frappant dans la sequence d intro de la boîte de nuit, ou par exemple, plus tard, lors d’une séquence où des barges filent à travers le port. a l'inverse, dès qu’il y a action, les plans sont moins nombreux, adhèrent davantage au récit. alors bon il nous fait une multiplication des plans lors des temps morts la ou un pti traveling aurai suffit pour l idee a l ecran , mais c’est évidemment une façon de pouvoir s’appesantir sur eux, de s’y tenir.
Sinon faus aussi parler du montage sonor , entre les morceau de la soundtrack epatant , latino , moby , et le score de john murphy, il y a aussi un mixage fait de buitage phenomenal , Bruits d’hélicoptères, ronronnement des voitures, fracas orageux, bourrasques de vent saturent le son d’ambiance..... ca fait clairement eclater et surgir le coter atmosphèrique , une menace sourde qui plane au dessus de ces flic qui bossent sur la breche , toujour dans le risque et l'inconnue , le theme principale evidement , et a ce titre on se rend compte a quelle point le fond et le forme sont donc en total adequation et sujet a moult analyse . pis Souvent aussi Mann coupe brusquement le son ou l’assourdit l( quand alonzo se jette sous le camion, le silence se fait et on voit juste la trace de sang dans les marques de pneu ) et pis Plus tard, y a une explosion muette. autre montage sonor Lorsque Sonny et Isabella dansent dans le bar cubain, la musique diégétique s’éteint soudainement au profit d’une nouvelle bande-son permettant de faire transition avec la scène d’amour.
alors je dit tout ca parcque dans un sens, ces silences et ce rythme si particulier, ralenti, font qu’on pourrait parler d'un polar contemplatif , introspectif meme , et totalement ambiantique . Par contre jvais pas me repeter de ce que je disait au debut sur les scene d action , quand elle arrive , ca eclate brusquement . maîtrisées tactiquement ou les geste sont pas la pour le bien cinematographique mais pour la coherence realiste et professionel , violentes, grandioses dans leur dimension humaine ainsi que le detail de la localisation des impact de balle .
Y a pas non plus que l'argent , les deal, la drogue et le travaille dans miami vice , il y a aussi ces gens qui on du mal a vivre leur propre vie . et ce sentiment est partagé par les truands autant que par les flics ( et la on voti clairement que la trilogie polar urbain de mann avec heat et collateral est d une grande uniformiter thematique ) . Isabella et Sonny peuvent donc s’aimer, conscients que leur passion, quoi qu’il arrive, est vouée à l’échec , ils le disent « C’est une mauvaise idée , On n’a pas de futur .... Alors pas de quoi s’inquiéter. » du coup ils restent a chacun des "clan" que le danger, le risque, le contact direct avec la mort ( toute les "mort" du film sont bien cash et fulgurante ) et donc le dernier plan logique c est sonny qui rejoint rico a l hopital ...
la relation isabella sonny a bien plus a proposer que leur idylle sud americaine , deja pour les 2 perso c est un moment de pause dans leur facade constante , ils se lachent receproquement , mais sonny est toujour la pour faire revenir sont deal sur le devant de la scene . La larme contenue qu’elle verse en faisant l’amour, la lutte entre l’arrogance dont il faut faire preuve pour garder sa credibilites et la passion qui se lit sur son visage, elle leur donne, écorchée, sublime, une intensité sans pareille.. si l’amour est impossible il peut quand meme exister de manière fugitive hors du temps, ailleurs. C’est l’effet que donne cette fuite au coeur du film vers Cuba. En dehors de la logique sociale, l’ailleurs est un refuge éphémère pour Sonny et Isabella.| Film: Miami Vice : Deux flics à Miami Note: 5,5/10 Auteur: Nulladies |
Film: Miami Vice : Deux flics à Miami Note: 4/10 Auteur: Pathfinder |
Film: Miami Vice : Deux flics à Miami Note: 6,5/10 Auteur: caducia |
Film: Miami Vice : Deux flics à Miami Note: 7/10 Auteur: Dunandan |
Film: Miami Vice : Deux flics à Miami Note: 8/10 Auteur: zirko |








jme suis donner envie de le rerererevoir hier quand on en parlait Alegas a écrit:Pas le temps de la lire, je ferais ça plus tard. En tout cas la mienne arrive bientôt.




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