Pour rigoler avec les copains : sur IMDB
Note : 7.6/10 - 19,575 votes et ce sont 12 000 mecs d’environs 30 à plus de 45 ans qui ont mis ce 7.6/10.
Modérateur: Dunandan

hahaha me marre bien la
il a pas non plus tout a fait tort way . et ouai je reste pas silencieux comme un lache moi , je prend position 


Waylander a écrit::mrgreen: Sérieux t'es vraiment un putain de vrai tocard. Excellent le mec.
Pour rigoler avec les copains : sur IMDB
Note : 7.6/10 - 19,575 votes et ce sont 12 000 mecs d’environs 30 à plus de 45 ans qui ont mis ce 7.6/10.je peux jouer aux cons moi aussi. Mais vous allez me dire que vos avis à vous (4-5 sur le forum) valent mieux que 12 000 personnes.
Et les mecs d'accord avec moi Logan j'en vois pas des masses. Et bizarrement c'est souvent les vieux cons comme toi qui sont d'accord entre eux non parce que ta condescendance me gonfle énormément et tes connaissances ciné me font rire surtout quand j’entends tes arguments lors des bomcast. t'es incapable de défendre un film autrement que par les mêmes 2 phrases récurrentes "nan mais c'est pas un mauvais film en soi" ou " mouais...mouais.." alors ton puits de science encyclopédique du cinéma tu te le fous au fion mec. et le vieux ciné pré 50 je m'en branle royalement parce que je me fous de voir des trucs d'1h avec des acteurs ne carton pâte et une caméra immobile. Je suis ouvert à tout le reste sinon.


Logan a écrit:Bah ouais tu prends position comme un mouton, on dirait de la merde contre moi que tu penserais pas, tu suivrais juste pour le plaisir, t'es pas crédible dude![]()
(Vous êtes dans le même combat tous les deux).
(Second degré inside hein je préviens maintenant.)






si moi je pense comme way quand il dit que quand tu defend un film tu dit : mouai mouai z'avex pas compris , ou alors, non la jsuis pas d accord .
Heatmann a écrit:Logan a écrit:Bah ouais tu prends position comme un mouton, on dirait de la merde contre moi que tu penserais pas, tu suivrais juste pour le plaisir, t'es pas crédible dude![]()
(Vous êtes dans le même combat tous les deux).
(Second degré inside hein je préviens maintenant.)
m'en fout de ton second degree, tu le sort a chaque fois , c'est pas comme si on allai foutre en l air une amitier de longue date entre nous 2![]()
pourquoi je suis pas credible ?
si moi je pense comme way quand il dit que quand tu defend un film tu dit : mouai mouai z'avex pas compris , ou alors, non la jsuis pas d accord .
par contre si on chie sur un de tes film alors la on dit la merde
nice one
Logan a écrit:si moi je pense comme way quand il dit que quand tu defend un film tu dit : mouai mouai z'avex pas compris , ou alors, non la jsuis pas d accord .
Tu me la referas à jeun celle la car j'ai rien compris.
(Sinon c'est comme le reste tu prends un cas (Kill list) et t’amplifies car cite moi en d'autre des films ou je dis que tu dis de la merde....aucun, j'ai encore le droit de penser que tu dis de la merde sur UN film sans que t'en fasses une globalité si? On se croirait à la maternelle je te jure.)






Apologie du rêve américain dont le sens et surtout l'issu sont un tant soit peu contourné , Rocky marquait certainement à son époque un genre au fer rouge par son émotion sincère, simple et honnête qui ne verse jamais dans la pathos malgré le background et l'ambiance urbaine pouilleuse et crasseuse des quartiers pauvres de Philadelphie. Le béton, les marches solitaires de nuit, les rencontres entre inadaptés, drogués et alcooliques, la galère, les petits boulots douteux, la patine du film volontairement granuleuse , sombre, dépouillée et au style presque reportage de Friedkin ici académique (sans shacky ) "fauché" -dans le bon sens du terme- etc...renvoient fortement à une Amérique mise de côté et vivant dans le silence, dans l'anonymat et dans la misère la plus opposée au rêve Américain le plus pur, celui de la richesse , de la célébrité et de la position de winner détenue ici par un black déguisé en Oncle Sam jette des pièces au public avant son combat ou le monde à l'envers.
Écrit avec passion, le film touche le public et ne le lâche plus grâce à des personnages très touchants (surtout le couple Adrian/Rocky). A l'époque de Rocky le cinéma se permettait des choses et ici, la femme du film est loin des canons prototypes omniprésents aujourd'hui ou dans l’ancienne Hollywood. Les héros du film sont d’une classe sociale à laquelle personne ne souhaiterait appartenir, et l'identification à Rocky ou à Adrian est très réussie alors que leurs statuts et leurs "images" d'idiot et de vieille fille n'étaient pas pour nous y aider. Des gens, des vrais, qui ne veulent qu'une chose : être aimer et s'en sortir.
Loin d'imposer les combats de boxe comme moteur premeir de son film, le cinéaste repousse l’échéance lors des 10 dernières minutes (je ne compte pas les 2 minutes de boxe d'intro) pour mieux nous toucher, nous sensibiliser et nous confronter à un univers repoussant de prime abord. Avec une musique maint theme génial et entrainante qui donne envie de s'entrainer à mort, Rocky conserve aujourd'hui toute sa puissance sportive et humaniste sous une simplicité qui en appelle à un des sentiments les plus purs et essentiels : l'empathie.
Le film possède quelque métaphore amusante mais pertinente comme Rocky qui s'entraine contre de la viande et qui la frappe jusqu’à brisée des côtes de carcasse...la nourriture la plus onéreuse qui demeure encore aujourd'hui le signe d'une certaine aisance économique. Amusant aussi de voir un black champion du monde en costard qui parle avec la ponte du moment et qui est doué d'une intelligence opportuniste alors que le blanc se retrouve ici dans le rôle du miséreux conspué joué par un Stallone habité par son personnage (voir le monologue énervé dans son appartement suite à la visite de opportuniste de Mickey Goldmill) et investit dans le film (le scénario est lui) dans ce qui semble être dans le top 3 de ses rôles avec Copland et Rambo (que je n'ai encore jamais vu). Rocky fut aussi le point de départ d'un genre qui connut plusieurs perles (Million dollar baby en version féminine, Cinderella man, The wrestler ou encore son véritable successeur Warrior). Final excellent qui brise les attentes : le héros ne gagne pas le match mais le mène jusqu'au bout, non sans blessures , et ce qui clôt ce film ce n'est pas Rocky hissé en winner mais Rocky qui appelle sa femme et lui dit je t'aime. 




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