Tient j'ai oublié de faire ma critique, finalement plus j'y pense plus c'est de la merde, mais du genre grosse merde qui se croit super malin alors que c'est aussi bien écrit que insaisissable et que Boyle cache la misère en faisant le kéké.
Mouais, Trance, c'est surtout un film qui part à 200% dans son trip, sans jamais se prendre la tête. C'est un peu con, mais ça s'assume totalement jusqu'au bout. Un concentré de fun, ni plus ni moins.
Dionycos a écrit:Mouais, Trance, c'est surtout un film qui part à 200% dans son trip, sans jamais se prendre la tête. C'est un peu con, mais ça s'assume totalement jusqu'au bout. Un concentré de fun, ni plus ni moins.
Pas vraiment d'accord avec ça.
Le twist tant décrié, qui à la fois la limite et la force du film, remet a flot toutes les ambitions profondes de Boyle (tourner un mélodrame sous ecstasy avec une grosse partie portée sur l'esprit et l’aliénation mentale) poussant à une seconde vision avec ce twist en tête pour mieux digérer encore les choix artistiques du film qui ne prennent sens qu'a la fin (notamment le gimmick des reflets comme symbole d'une personnalité bicéphale pour chacun des personnages).
A part l'ouverture très rock n'roll, je ne trouve pas le film si fun que ça, il demande une certaine attention quand même, voire une méditation (j'ai attendu quelques temps avant de donner mon avis), raison pour laquelle j'ai pensé a Sunshine et la Plage qui partaient aussi de canevas très codés pour finalement partir sur des trajectoires qui leur sont propres.
Dionycos a écrit:Mouais, Trance, c'est surtout un film qui part à 200% dans son trip, sans jamais se prendre la tête. C'est un peu con, mais ça s'assume totalement jusqu'au bout. Un concentré de fun, ni plus ni moins.
Pas vraiment d'accord avec ça.
Le twist tant décrié, qui à la fois la limite et la force du film, remet a flot toutes les ambitions profondes de Boyle (tourner un mélodrame sous ecstasy avec une grosse partie portée sur l'esprit et l’aliénation mentale) poussant à une seconde vision avec ce twist en tête pour mieux digérer encore les choix artistiques du film qui ne prennent sens qu'a la fin (notamment le gimmick des reflets comme symbole d'une personnalité bicéphale pour chacun des personnages).
A part l'ouverture très rock n'roll, je ne trouve pas le film si fun que ça, il demande une certaine attention quand même, voire une méditation (j'ai attendu quelques temps avant de donner mon avis), raison pour laquelle j'ai pensé a Sunshine et la Plage qui partaient aussi de canevas très codés pour finalement partir sur des trajectoires qui leur sont propres.
Dionycos a écrit:Mouais, Trance, c'est surtout un film qui part à 200% dans son trip, sans jamais se prendre la tête. C'est un peu con, mais ça s'assume totalement jusqu'au bout. Un concentré de fun, ni plus ni moins.
Pas vraiment d'accord avec ça.
Le twist tant décrié, qui à la fois la limite et la force du film, remet a flot toutes les ambitions profondes de Boyle (tourner un mélodrame sous ecstasy avec une grosse partie portée sur l'esprit et l’aliénation mentale) poussant à une seconde vision avec ce twist en tête pour mieux digérer encore les choix artistiques du film qui ne prennent sens qu'a la fin (notamment le gimmick des reflets comme symbole d'une personnalité bicéphale pour chacun des personnages).
A part l'ouverture très rock n'roll, je ne trouve pas le film si fun que ça, il demande une certaine attention quand même, voire une méditation (j'ai attendu quelques temps avant de donner mon avis), raison pour laquelle j'ai pensé a Sunshine et la Plage qui partaient aussi de canevas très codés pour finalement partir sur des trajectoires qui leur sont propres.
Entièrement d'accord.
Peut-être n'était-ce pas très clair, vu que vous semblez vous liguer contre moi Mais moi, j'ai bien aimé Trance, je lui ai mis 7/10 quand même, c'est une bonne note. Mais je persiste, pour moi c'est avant tout un film ultra fun, avec certes des idées dans le fond, mais tous les trucs un peu profonds sont à peine esquissés alors qu'il y avait moyen d'aller plus loin sur le plan psychologique. Boyle préfère visiblement partir dans son gros trip du film qui te balance des twists in your face toutes les 15 minutes, avec une réal hallucinée, des effets dans tous les sens et une fin un peu WTF. Perso, j'appelle pas ça un film sérieux, et c'est un peu pour ça que ça m'a plu