Modérateur: Dunandan





jean-michel a écrit:Trop routinier et sans beaucoup d'imagination le réalisateur n'arrive pas à mettre en valeur ses acteurs.
Les décors sont mal faits



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| Livide |
Réalisé par: Alexandre Bustillo & Julien Maury |
| 2,5/10 |



| The Green Hornet |
![]() Réalisé par: Michel Gondry |
| 4/10 |
Surtout qu'au niveau péripéties, le reste du film, c'est du déjà-vu, et la mise en scène de Gondry ne propose rien de bien folichon: avec le sixième sens de Kato signalé par des effets rouges et le ralenti matrixien, on est en terrain connu. Le climax ne propose même pas le minimum d'excitation qu'on est en droit d'attendre de nos jours d'un blockbuster. Seule la scène où l'on va suivre différents personnages via une multitude de split screens amène quelque chose de visuellement stimulant. Finalement, la partie la plus fun, c'est celle où l'on voit les deux compères préparer les véhicules, les gadgets, etc.| Film: Green Hornet (The) Note: 7/10 Auteur: nicofromtheblock |
Film: Green Hornet (The) Note: 7/10 Auteur: cinemarium |
Film: Green Hornet (The) Note: 5/10 Auteur: Pathfinder |
Film: Green Hornet (The) Note: 7/10 Auteur: caducia |
Film: Green Hornet (The) Note: 3,5/10 Auteur: Alegas |



| Le Dingue du Palace |
![]() Titre original: The Bellboy |
| 6/10 |
Jerry Lewis incarne cette fois-ci un groom travaillant dans un grand hôtel de Miami. Un personnage quasi-muet (on ne l'entendra parler qu’une seule fois), dont les moyens d'expression sont limités à sa gestuelle ou à ses mimiques: autant dire que l'acteur s'en donne à coeur joie! Ce personnage, qui est la risée de ses collègues, est incapable de déterminer lequel des quatre téléphones situés devant lui est en train de sonner, de promener plusieurs chiens en même temps ou de ranger les clés des chambres dans les bonnes cases...mais s'avère hyper rapide pour installer des chaises dans une immense salle de spectacle!





| 125 rue Montmartre |
![]() Réalisé par: Gilles Grangier |
| 8/10 |
Toute l'introduction va tendre à crédibiliser l'environnement professionnel dans lequel travaille le personnage de Ventura. Ce n'est qu'au bout d'une dizaine de minutes que la rencontre entre les deux hommes va avoir lieu. Celle-ci va créer des étincelles, le noyé étant enclin à se plaindre, à voir du complot partout et à dissimuler des informations, alors que Ventura est du genre énervé, ne mâchant pas ses mots (leur relation préfigure d'ailleurs celle de L'emmerdeur de Molinaro). Une complicité va bientôt s'installer entre les 2 hommes: la manière dont Ventura va se prendre d'amitié avec cet homme à la sensibilité à fleur de peau et tenter de l'aider s'avère touchante. Ventura fait preuve d'une énergie formidable, son personnage s'énervant facilement mais possédant, au fond, un côté "bonne pâte". Robert Hirsch n'est pas en reste, en se montrant tour à tour agaçant et fragile. Les dialogues de Michel Audiard, c'est un régal, avec pas mal de d'humour dans les réflexions acerbes que lance le personnage de Ventura, renforcé par la verve naturelle de l'acteur.| Film: 125, rue Montmartre Note: 7,5/10 Auteur: osorojo |
Film: 125, rue Montmartre Note: 7,5/10 Auteur: Alegas |














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