maltese a écrit:
Bah, je ne nie pas la forme de plaisir coupable, mais je m'étais bien amusé devant ce film, De Palma balance tout : split-screen, caméra subjective, scène de douche, du double féminin en veux-tu en voilà...et puis on y retrouve ses obsessions habituelles comme la réflexion sur le pouvoir des images et l'omniprésence des caméras dans notre société et ce que ça implique sur notre vie privée, la folie engendrée par la passion, etc... Rien à faire, ses thèmes me parlent toujours.
Tout pareil que toi
Un film clairement bourré de défauts (la scène du parking, les placements de produit Apple qui foutent la gerbe), mais j'ai pris mon pied de bout en bout. On sent que De Palma s'amuse derrière la caméra, qu'il ne se pose pas de question. Et les thématiques sont bien là, totalement exploitées, et elles me branchent à fond.