Ca fait discours de vieux con quand même. Alors ok, il pointe certaines vérités, mais un peu de demi-mesure ne serait pas de trop. A l'écouter, on croirait que ça n'existe plus des grands films depuis des années.
"Our films were never intended for a passive audience. There are enough of those kinds of films being made. We wanted our audience to have to work, to have to think, to have to actually participate in order to enjoy them."
"- Ça vous dirait un petit échange dans la ruelle, derrière le bar ? - Si c’est un échange de fluides corporels, je suis pas contre. Mais alors dans ce cas, tu passes devant."
Je ne savais même pas que Thoret bosse chez Charlie En plus lors des attaques j'avais entendu parler des histoires du journaliste qui était en retard pour la réunion etc... Je n'avais pas percuté que c'était lui.
En effet, c'est passionnant. Et je viens de voir qu'une rétro Friedkin est prévue pour octobre dans un de mes cinémas, je pense que je vais me faire plaisir.
"- Ça vous dirait un petit échange dans la ruelle, derrière le bar ? - Si c’est un échange de fluides corporels, je suis pas contre. Mais alors dans ce cas, tu passes devant."
J'espère qu'il va s'en tenir a sa note d'intention de le faire comme ses précédents films, a le tourner en indépendant avec petit budget et liberté artistique totale, ça me parait faisable.
Mais bon aux dernières nouvelles, il est occupé a adapter To Live and Die in LA pour la télévision, donc c'est pas encore fait....