Scalp a écrit:Une époque où il y avait vraiment un chef d'oeuvre par mois.
Ça serait vite oublié que tu as renié depuis plus de la moitié des films 90's que tu aimais.
"Our films were never intended for a passive audience. There are enough of those kinds of films being made. We wanted our audience to have to work, to have to think, to have to actually participate in order to enjoy them."
J'suis partagé, quand le sublime côtoie le nanar, c'est assez bizarre Par contre, Oldman, c'est juste pas possible. Coppola essaye mais se vautre quand même assez souvent en essayant de rendre par l'image tout ce que le mythe de Dracula l'inspire, ce qui aboutit à des passages assez autres. Mais il se rattrape en filmant de belles poitrines, je ne lui en veut donc pas